LUZENÇON TOUS À LA MANIFESTATION LE 9 AVRIL A 10H00 POUR LE DEPLACEMENT DE L’ANTENNE

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Dans un esprit de solidarité et d’entraide, qui seul pourra nous permettre d’accéder à une téléphonie mobile utile et sans danger pour nos santés, nous vous appelons à épauler l’association aveyronnaise Aproluz, de Luzençon, ( 14 km Sud Ouest de Millau) lors de la manifestation du samedi 9 avril .
Pour mieux comprendre leur problématique, nous vous invitons à consulter l’affiche jointe et à vous rendre sur leur site Internet

A L’AIDE ST GEORGIENS – SUD AVEYRONNAIS !!

Vous avez un téléphone portable ? Nous aussi !
Mais qui peut affirmer aujourd’hui, homme politique, médecin ou simple citoyen quels risques nous prenons à utiliser un téléphone portable et subir les radiofréquences ?
Vous trouverez ci-dessous dans l’encadré les dernières dispositions gouvernementales à ce sujet :
Les articles 183 et 184 de la loi n° 2010-788 du 12 juillet 2010 portant engagement national pour l’environnement dite « Grenelle 2 » prévoient des dispositions sur les champs électromagnétiques, notamment :
· l’obligation de fournir un accessoire limitant l’exposition de la tête (type kit-oreillette) lors de la vente d’un téléphone mobile ;
· l’interdiction de faire de la publicité pour la vente ou l’usage d’un téléphone mobile par des enfants de moins de quatorze ans ;
· l’interdiction de l’utilisation par un élève d’un téléphone mobile durant toute activité d’enseignement et dans les lieux prévus par le règlement intérieur ;
· la possibilité d’interdire certains équipements radioélectriques spécifiquement dédiés aux enfants de moins de six ans ;
· l’affichage du débit d’absorption spécifique (DAS) des téléphones mobiles ;
· le recensement des points atypiques du territoire pour lesquels les niveaux d’exposition du public dépassent sensiblement la moyenne nationale, qui devra être établi d’ici au 31 décembre 2012 ;
· la définition de règles de prévention des risques pour la santé et la sécurité des travailleurs exposés aux champs électromagnétiques.

Voir la suite au format PDF

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Robin se retire du Grenelle des Ondes (mais pas du COMOP) Communiqué de presse – 28/03/2011

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Déni de risque, reniement de la loi, le Grenelle des Ondes est dévoyé ; Robin des Toits se retire.

Depuis Mai 2009, Robin des Toits a été invité à participer au processus dit « Grenelle des Ondes » visant à faire dialoguer l’Etat, les opérateurs et les associations.

Robin des Toits s’est investi dans ce processus, participant aux réunions et différents groupes de travail, examinant les documents fournis, formulant des propositions techniques, concrètes et réalisables.

Malheureusement, mis à part la mise en place d’une expérimentation de l’abaissement des seuils d’exposition – COMOP (encore cette expérience est-elle fortement malmenée par les opérateurs qui sont réticents à l’engager), aucun des chantiers n’a concrètement débouché.

La lettre d’alerte sur le blocage du processus en date du 1er Décembre 2010, commune à plusieurs associations, comme les propositions concrètes de Robin des Toits, n’ont pas reçu de réponse.

Il est apparu que l’organisation d’un « dialogue » servait uniquement aux pouvoirs publics de prétexte à ne pas intervenir (« le dialogue est en cours dans le cadre du Grenelle des ondes »), alors que le rapprochement des points de vue entre les opérateurs et les associations a nécessairement ses limites : les opérateurs sont par nature hostiles à tout ce qui peut brider leur activité, et les associations ne peuvent pas souscrire à des évolutions qui mettent en danger la Santé Publique sans information des citoyens.

La concertation, et notamment la dernière réunion du 23 Mars, n’a été que la formalisation d’un discours d’impuissance et d’inaction.
Sur l’abaissement du seuil à 0,6 V/m, comme pour la commercialisation de forfaits « uniquement SMS », ou d’appareils à oreillette intégrée, on ne « peut pas », ne « veut pas », n’ « a pas envie », il n’y a pas de clientèle.

Quant à l’électrosensibilité, on verra plus tard.
Sur la communication, un autosatisfecit général de l’inaudible et incomplète campagne de communication réalisée mi-décembre 2010 par l’INPES.

Et en prime, le reniement inacceptable de la Loi n° 2010-788 du 12/07/2010 :

« Art. L. 5231-3. – Toute publicité, quel qu’en soit le moyen ou le support, ayant pour but direct de promouvoir la vente, la mise à disposition, l’utilisation ou l’usage d’un téléphone mobile par des enfants de moins de quatorze ans est interdite.

« Art. L. 5231-4. – La distribution à titre onéreux ou gratuit d’objets contenant un équipement radioélectrique dont l’usage est spécifiquement dédié aux enfants de moins de six ans peut être interdite par arrêté du ministre chargé de la santé, afin de limiter l’exposition excessive des enfants. »

« Art. L. 511-5. – Dans les écoles maternelles, les écoles élémentaires et les collèges, l’utilisation durant toute activité d’enseignement et dans les lieux prévus par le règlement intérieur, par un élève, d’un téléphone mobile est interdite. »

qui ne serait, soi-disant, même plus applicable au regard des obligations communautaires. C’est un prétexte pour renier les engagements du Grenelle, et comment croire que le Conseil d’Etat ne s’en soit pas rendu compte ?

Il est inconcevable pour Robin des Toits que le Gouvernement revienne sur une Loi protégeant la Santé Publique qu’il a lui-même fait voter.

L’Etat doit prendre ses responsabilités. Il se refuse à le faire, dans l’unique souci de ne pas froisser les opérateurs.

Robin des Toits ne veut pas cautionner un processus de reniement qui sert de prétexte à l’inaction.
A l’exception du COMOP (expérimentation de l’abaissement du seuil), Robin des Toits se retire, à regret mais avec détermination, du dispositif du Grenelle des Ondes, et reprend sa stratégie sur le terrain comme sur le plan judiciaire.

Contact Médias
Etienne CENDRIER – Porte-Parole – Tél. : 01 40 18 02 81

3 Pièces jointes:

– Lettre ouverte à Jean-François GIRARD, Président du Groupe de
Suivi Radiofréquences, Santé, Environnement
– Lettre ouverte à Nathalie KOSCIUSKO-MORIZET, Ministre de l’Ecologie,
du Développement durable, des TRansports et du Logement
– Lettre ouverte à Xavier BERTRAND, Ministre du Travail, de l’Emploi
et de la Santé

Voir les divers courriers envoyés aux responsables politiques

 

Source : http://www.robindestoits.org/Robin-se-retire-du-Grenelle-des-Ondes-mais-pas-du-COMOP-Communique-de-presse-28-03-2011_a1200.html

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Robin des Toits dépose plainte auprès du procureur contre les hyperfréquences

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accueil midilibre.com Édition du jeudi 24 mars 2011

Et de deux ! Après avoir déposé une plainte auprès du procureur de la République du tribunal de grande instance d’Alès (c’était le 16 février dernier), l’association Robin des Toits vient de remettre ça. Et ce, pas plus tard qu’hier après-midi, dans les bureaux du parquet montpelliérain. But de ces actions en justice ?   « Il s’agit de porter plainte contre X pour demander le démantèlement des antennes relais », détaille Nathalie Ouzoulias, la présidente nationale de l’association Robin des Toits. Mais attention, pas de confusion ! Il ne s’agit pas ici des mâts servant de relais à la téléphonie mobile mais de ceux dédiés à l’internet sans fil (wifi, wimax…). Dont, estiment nombre de chercheurs et médecins, les hyperfréquences provoqueraient des troubles graves et avérés chez certaines personnes. Mais pas seulement.

Dans le secteur de l’aéronautique civile, ces hyperfréquences pourraient être la cause de brouillages de certains systèmes de l’avionique. Boeing vient ainsi d’arrêter pour le moment des tests à bord de B 737 équipés de bornes wifi : les hyperfréquences y auraient en effet provoqué des   ‘blanking’   (des coupures) sur certains des écrans plats équipant le cockpit. Fâcheux.

Sur le plancher des vaches, Robin des Toits dénonce les réseaux déjà mis en place à Nîmes, dans les Cévennes et le Montpelliérain (dispositif Num’Hér@ult).

  « Nous voulons alerter, sensibiliser et mobiliser avec cette intervention auprès du pouvoir judiciaire. D’autant que cette technologie n’est absolument pas indispensable et c’est un problème d’inégalité de traitement suivant les zones où l’on se trouve. On nous dit que la nocivité n’est pas avérée mais ces mêmes personnes admettent aussi qu’il y a un doute. Alors à qui profite-t-il ? Aux gens, aux malades ou aux opérateurs ? », poursuit Nathalie Ouzoulias.

Du côté des élus :   « Je ne sais pas pourquoi, ‘ils’ ne veulent pas nous recevoir. »

Outre les plaintes régionales, deux précédents existent déjà, à Dijon et Tarbes. Une procédure vis-à-vis de laquelle le parquet a deux mois pour faire connaître sa position.

 
JEAN-FRANÇOIS CODOMIÉ

Archives J.-M. M.

Source : http://www.midilibre.com/articles/2011/03/24/MONTPELLIER-Robin-des-Toits-depose-plainte-aupres-du-procureur-contre-les-hyperfrequences-1573287.php5

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Antennes 31 envoie un courrier aux élus du conseil général

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Madame, Monsieur

Le 27 mai 2011, M. Pierre Le Ruz se déplacera à Toulouse suite à l’invitation que
lui a faite le Collectif Antennes 31 et d’autres associations2. Il sera en fin de matinéesur le
site d’Airbus, et le soir à la salle du Sénéchal à Toulouse pour une conférence publique.
Pierre Le Ruz est porteur d’un message important : la population est partout
exposée à un environnement électromagnétique sans cesse croissant en intensité. Il ne fait
aujourd’hui aucun doute que cette exposition a des conséquences sur la santé des
populations et des êtres vivants : elle change les équilibres électriques inter-cellulaires.
L’augmentation vertigineuse du nombre de personnes Electro-Hyper-Sensibles,
c’est-à-dire des personnes ayant de graves troubles de santé uniquement causés par
l’exposition aux ondes électro-magnétiques est une preuve que ces ondes modifient les
équilibres constituant les êtres vivants.

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Robin des toits National envoie un courrier à Monsieur Pierre IZARD président du conseil général de la Haute-Garonne à propos du WIMAX et/ou WIFI

Monsieur le Président,

Des responsables politiques acceptent l’installation et la mise en service de réseaux WIMAX et/ou WIFI – WIFI (Internet, jeux et télécommunications sans fil – faible portée) – WIMAX (équivalent au WIFI mais rayonnant sur environ 50 km de rayon) – Le WIFI et le WIMAX ne permettent pas le très haut débit et ne permettent pas d’échanges de données Internet sécurisés.
Pour expliquer de telles décisions, il y a lieu de supposer que nombre d’informations leur font défaut.
On passe trop souvent sous silence les risques sanitaires associés à ces technologies de télécommunications sans fil.
Cette absence de risques n’est d’ailleurs jamais garantie par les industriels. En revanche, ils sont soulignés par les plus grandes Compagnies d’assurances et de ré-assurances mondiales qui ne couvrent pas, ou plus, les risques sanitaires liés aux émissions de champs et ondes électromagnétiques.
La vraie solution pour réduire la fracture numérique est déjà développée sur la majeure partie du territoire (mais il est très difficile d’en connaître la couverture exacte), et a déjà été financée par les contribuables. Cette solution est la fibre optique.

Lire la suite du courrier au format PDF


Robin des toits 66 et Coordination Antennes 66 ont sollicité les candidats aux élections du conseil général.

Voici les réponses.

Lire la réponse 1

Lire la réponse 2

Lire la réponse 3


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EAU SECOURS 31 : A Toulouse comme ailleurs, comment les multinationales transforment l’eau en argent

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mardi 22 mars 20h40 sur ARTE
 

Water Makes Money

Documentaire société inédit durée : 1h15 année : 2010  

Une enquête sur le processus qui a conduit à l’abandon des régies publiques, encouragé par «le droit d’entrée» : une pratique consistant, pour les opérateurs privés, à mettre à disposition des communes une confortable somme d’argent afin de s’assurer la conversion au modèle du PPP – partenariats public-privé. Ces mariages d’intérêt ne sont pas restés sans conséquences pour les usagers : factures en constante augmentation, canalisations non entretenues, une liste de doléances qui a incité certaines municipalités, comme Paris et Grenoble, à choisir la «recommunalisation». En France, mais aussi en Allemagne, au Kenya ou au Guatemala, par la voix d’experts, d’élus locaux et de représentants d’associations de consommateurs, ce film alerte sur les dangers liés à l’hégémonie de Veolia et Suez.

Réalisateur : Leslie Franke , Herdolor Lorenz

rediffusions

sur Arte  jeudi 24 mars 10h05 sur Arte  jeudi 31 mars 14h45

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Israël : pour l’instant l’introduction de LTE (dite 4 G) a été refusée par le Ministère de la santé et de l’environnement

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PRIARTEM-copie-1.jpg  

6 mars 2011par Priartem – Thème : La gestion des risques

Selon le Jerusalem Post, daté du 28 février 2011, les deux Ministères de la Santé et de l’Environnement ont déclaré au Ministère des Communications qu’ils refusent le déploiement des infrastructures de la téléphonie mobile ayant pour objectif l’introduction des appareils de la 4ème génération (4G), ceci jusqu’à ce qu’on ait étudié de manière approfondie tout danger sanitaire pouvant provenir des rayonnements. Les directeurs des deux ministères invitent le Ministère des Communications à collaborer avec eux pour progresser sur ce sujet.

En France, nous avons eu un Grenelle des ondes, nous avons eu un avis de l’AFSSET qui relatait l’existence d’un socle d’études indéniables montrant des effets des ondes de la téléphonie mobile sur nos organismes, mais, en France, nous n’avons pas vu nos ministres s’inquiéter du futur développement de la 4 G. A quand une véritable préoccupation de santé publique sur toutes ces questions d’ondes électromagnétiques. Faudra-t-il sur ce dossier également un jour écrire « les ondes de la téléphonie mobile, combien de morts » pour qu’enfin des décisions de protection des populations soient prises ?

 

Source :  http://www.priartem.fr/Israel-pour-l-instant-l.html

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Assises du médicament Les portes claquent

logo que choisir en ligne   18 mars 2011

L’association pour une formation des médecins indépendante des laboratoires, le Formindep, vient de claquer la porte des Assises du médicament, ces rencontres suscitées par la crise du Mediator, en dénonçant une « mascarade ».

Les Assises du médicament ont été lancées par le ministre en charge de la Santé, Xavier Bertrand, suite au rapport de l’Inspection générale des affaires sociales (Igas) sur le Mediator. Rendu public le 15 janvier, ce rapport dénonçait de graves dysfonctionnements dans la chaîne d’autorisation et de diffusion des médicaments, chaîne dont les Assises sont censées esquisser une réforme.

Selon l’association pour une formation des médecins indépendante des laboratoires (Formindep), on n’en prend pas du tout le chemin. Elle a d’ailleurs annoncé son départ le 15 mars. Elle évoque « une mascarade chargée d’étouffer dans un pseudo-consensus le drame du Mediator », et considère que « nulle part la remise en question de la mono-expertise sanitaire actuelle, bonne à tout faire du lobby pharmaceutique, n’est inscrite ne serait-ce qu’en filigrane dans le programme de travail ».

Le Dr Dominique Dupagne, animateur du blog www.atoute.org, a également claqué la porte des Assises, pour les mêmes raisons. Le Dr Irène Frachon, dont le livre a porté sur la place publique le scandale du Mediator, a également manifesté des réserves quant au déroulé des débats.

Un des incidents qui ont provoqué le départ du Formindep est lié à l’enregistrement audio et vidéo des séances des six groupes de travail. Plusieurs participants, dont les représentants de la revue médicale indépendante « Prescrire », avaient demandé à ce qu’il soit possible de filmer et d’enregistrer les discussions, dans un souci de transparence. La requête a été rejetée. Le Dr Philippe Foucras, membre du Formindep, a passé outre en séance, provoquant la colère des représentants de l’industrie. Finalement, suite au départ tonitruant du Formindep, la possibilité de filmer a été rétablie le 16 mars…

Aucun journaliste en dehors de ceux de la revue « Prescrire » n’a été autorisé à assister aux débats. Stéphane Horel, réalisatrice du documentaire « Les Médicamenteurs », diffusé l’an dernier sur Arte, a vu sa demande d’accréditation rejetée.

Le Formindep relève que 150 participants répartis en six groupes de travail étaient initialement prévus (dont des représentants de l’UFC-Que Choisir). Ils sont finalement 250, la centaine d’experts supplémentaires venant à une écrasante majorité des rangs de l’industrie pharmaceutique.

Le rapport des Assises du médicament est attendu pour la fin du mois de mai.

Erwan Seznec

Source :http://www.quechoisir.org/index.php//sante-bien-etre/maladie-medecine/medicament/actualite-assises-du-medicament-les-portes-claquent

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