Portables, wi-fi, tablettes : les vrais dangers des ondes

Actualité politique, internationale, société par le Nouvel Observateur, infos du jour

Publié le 01-10-2013 à 13h46 – Mis à jour le 02-10-2013 à 18h31
Odile Benyahia-Kouider

Alors que Bouygues ouvre mardi son réseau 4G, les spécialistes se divisent sur les risques des objets high-tech sur la santé. Et s’ils étaient moins inoffensifs qu’on ne le croit ?

Antennes-relais sur le toit d'un immeuble parisien. (JPDN/SIPA)

Elles sont inodores et incolores. Mais sont-elles pour autant inoffensives ? Les ondes électromagnétiques sont partout. Téléphones portables, sans fil, wi-fi , tablettes, consoles de jeux… Et plus les radiofréquences envahissent notre quotidien, plus elles suscitent méfiance et inquiétude. Alors que les opérateurs de téléphonie sont en train de déployer la 4G qui permet de télécharger en quelques secondes des films sur son mobile et de desservir toutes les zones rurales, les associations environnementales et les écologistes se désolent qu’aucune étude d’impact sanitaire n’ait été lancée à ce jour. Pour ne pas gêner les industriels ? 

La 4G, ce sont des milliards d’investissements, la survie des trois opérateurs talonnés par Free sur le marché du mobile et des milliers d’emplois. Et pour réduire la fracture numérique, devenue une priorité nationale, on imposera à la population une augmentation de 50% de l’exposition aux ondes. Comment être sûr que cette nouvelle technologie n’aura aucun effet sur la santé ? Pour les maires, le sujet est devenu explosif, surtout à l’approche des municipales. Souvent interpellées dès qu’un opérateur veut installer une antenne-relais devant une crèche ou une école, les communes préfèrent appliquer le principe de précaution plutôt que de se fâcher avec leurs électeurs.

La guerre des « pro » et « anti-ondes »

Entre les « pro » et « anti-ondes », la guerre fait rage. D’un côté, ceux qui se présentent comme les héritiers des Lumières et considèrent, à l’instar du professeur André Aurengo, 64 ans, membre de l’Académie de Médecine, que « le rayonnement des ondes électromagnétiques n’a aucune incidence sur la santé ».Spécialiste de médecine nucléaire à la Pitié-Salpêtrière, il est catégorique : « Plus de trente études en double aveugle ont été menées dans le monde et, à chaque fois, il apparaît que les patients ne ressentent pas les effets des ondes. Les gens cherchent des explications à leurs maux sur internet et se raccrochent à l’électrosensibilité comme à une croyance. »

A l’opposé, le professeur Dominique Belpomme, 70 ans, cancérologue, rejette ce procès en sorcellerie. Il considère que l’électrosensibilité fait partie des nouvelles maladies environnementales, au même titre que les pathologies dues à l’amiante, aux pesticides et autres perturbateurs endocriniens. A tous ceux qui l’accusent de charlatanisme, il rétorque : « Pasteur aussi était regardé avec méfiance par ses confrères jusqu’à ce qu’il découvre les microbes ! »

Président de l’Artac (Association pour la Recherche thérapeutique anticancéreuse), Dominique Belpomme a ouvert une consultation pour tous ceux qui ne trouvent aucune réponse à leurs souffrances. Les patients viennent de tout l’Hexagone et même de l’étranger comme Anne-Laure, traductrice pour une organisation internationale à Genève. La première séance dure en général une heure trente. Le professeur Belpomme interroge les patients sur leurs intolérances alimentaires, d’éventuels antécédents psychiatriques, leur mode de vie, leur dernier téléphone, leurs alliages dentaires et même les morsures de tiques, qui peuvent attaquer le système nerveux. Atteinte de sclérose en plaques, Anne-Laure souffre de migraines, de picotements au bout des doigts et de la langue, de sensations de brûlure au visage, de nausées, vertiges, douleurs abdominales, allergie aux produits d’entretien, crises d’asthme…

Je vais sans doute remettre en cause ce diagnostic, lui explique-t-il. Il se peut que vous souffriez d’une forme particulière de MCS (Multiple Chemical Sensitivity). Les patients qui en sont atteints sont souvent plus sensibles à une exposition prolongée aux ondes. »
Outre la suppression définitive du portable et un déménagement, Dominique Belpomme ordonne à la Genevoise des tests sanguins et des échographies du cerveau.

Quand on parle de rayonnement, il faut distinguer les ondes émises par les téléphones portables de celles des antennes-relais. Plusieurs études ont montré que l’utilisation excessive (plus d’une heure par jour pendant cinq ans) du téléphone portable sans oreillette peut augmenter les risques de tumeur au cerveau et avoir des effets négatifs sur la fertilité masculine. En 2010, on avait parlé de « Tchermobile », jeu de mots macabre rappelant qu’après la catastrophe de Tchernobyl le nombre de cancers de la thyroïde avait explosé.

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LE NOUVEL OBS l’écrivain français découvre qu’il est électro-hypersensible.

Mauvaises ondes

En 2012, pris de malaises à Berlin, l’écrivain français découvre qu’il est électro-hypersensible. Il s’insurge contre le tout-technologique Schproum, par Jean-Yves Cendrey, Actes Sud, 202 p., 19,80 euros. Jean-Yves Cendrey, le Tarass Boulba de la littérature française, reprend du service.

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Avec sa musculature de … L’article est à lire en suivant le lien ICI

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Perpignan : ils dénoncent le wifi du Palais des expositions

La Clau

Radicalement opposée aux antennes de téléphonie mobile actuelles et aux ondes wifi, l’association Robin des toits annonce sa présence relative au prochain forum des associations de Perpignan. En effet, son stand ne sera animé par personne, en signe de refus de la présence d’ondes wifi, réservés aux exposants souhaitant accéder à Internet.

Le prochain forum des associations de Perpignan, organisé les 21 et 22 septembre, comportera une absence inédite, en vertu de la présence anodine d’ondes wi-fi. En effet, l’association Robin des Toits, consacrée à la surveillance de l’impact des antennes-relais de téléphonie mobile, a annoncé par communiqué, ce 19 septembre, le montage d’un « stand sans bénévoles ». Egalement réservé au sujet des systèmes bluetooth, cet organisme prône une baisse des intensités électriques déployées à 0,6 volt par mètre (V/m), un moratoire sur la téléphonie de troisième génération, un arrêt définitif du wifi et du wimax, tout en exigeant que le ministère de la Santé reconnaisse l’électrosensibilité.

« Situation d’exclusion »

L’électrosensibilité, caractéristique de certains individus, incite l’association, basée à Paris, à boycotter partiellement le forum, car le wifi installé dans l’enceinte du Palais des expositions de Perpignan constitue, selon son analyse, une « situation d’exclusion ». Robin des Toits, qui n’hésite pas à rapprocher le wifi de l’affaire de l’amiante, estime « absurde d’installer ces dispositifs partout y compris dans les écoles », car la « vulnérabilité » est plus importante sur le « cerveau des enfants ». Elle-même électrosensible, la présidente de Robin des Toits 66, Anne-Laure Mager, se déclare partisane d’antennes moins puissantes, quitte à ce qu’elles soient plus nombreuses.

Anne-Laure Mager, présidente de l'association Robin des toits 66 © NRJ 12

Anne-Laure Mager, présidente de l’association Robin des toits 66 © NRJ 12

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On nous aurait menti !

Un article parmi d’autres qui dénonce les méthodes qui doivent permettre l’exploitation des gaz de schistes.

Gaz de schiste : 40 ans, que c’est court !

Sans surprise le ministre de l’Énergie et des Mines, Youcef Yousfi, a annoncé l’intention de son secteur de lancer des projets d’exploration de «shales gas».

 

L'Algérie a décidé l'exploration du gaz de schiste
L’Algérie a décidé l’exploration du gaz de schiste

La révision de la loi sur les hydrocarbures n’avait de raison d’être que cette perspective : l’exploitation à brève échéance de ces hydrocarbures «non-conventionnels ». Les promoteurs du «nouveau» texte de loi l’ont soigneusement caché à l’opinion nationale. Ils nous disaient que « L’exploitation interviendra à l’horizon 2050 » ! Aujourd’hui il est clair que ce n’était-là que manœuvres et tromperies. L’annonce est faite et établit que l’exploitation de cette ressource décriée s’impose à la nation par le mensonge, la duperie et aussi par une forme de chantage.

 

Un choix illégitime et antinational

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ON N’A PAS LE C.. SORTI DES RONCES

Libération

Ecologie: des «lanceurs d’alerte» dénoncent leur éviction du dialogue

Des associations de «lanceurs d’alerte» sur la santé et l’environnement, soutenues par Delphine Batho et trois autres anciens ministres de l’Environnement, ont dénoncé mardi leur «éviction» du dialogue environnemental.

A trois jours de la 2e conférence environnementale, organisée vendredi et samedi, le collectif Rassemblement pour la planète a notamment dénoncé la non représentation de ses associations membres au sein d’une nouvelle instance de concertation installée la semaine dernière par le ministre de l’Ecologie Philippe Martin.

«On est scandalisés (…). Une fois encore, les lobbies ont gagné. Ce n’est pas seulement le Rassemblement pour la planète qui a été évincé, c’est toute la sphère environnement-santé», a estimé Nadir Saïfi, vice-président d’Ecologie sans frontière, l’une des ONG de ce collectif comprenant des petites associations spécialisées: Générations futures (pesticides), Réseau environnement santé (RES, santé en général), Robin des toits (ondes électromagnétiques) ou Sea Shepherd (biodiversité marine).

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Site d'actualité Le Point

Le Point.fr – Publié le 16/09/2013 à 16:43

Trois anciennes ministres de l’Écologie soutiennent l’ONG Rassemblement pour la planète, qui est pourtant boudée par l’État.

À la veille de la Conférence environnementale (20 et 21 septembre), les trois anciennes ministres de l’Écologie Delphine Batho, Chantal Jouanno et Corinne Lepage s’affichent du côté des ONG. Mardi matin, à Paris, elles donneront une conférence de presse commune pour soutenir le Rassemblement pour la planète. Cette ONG, qui fédère associations et lanceurs d’alerte spécialisée dans l’environnement et la santé, a été purement et simplement évincée de la Conférence environnementale, au profit d’une association de… surfeurs*, spécialisée dans le nettoyage de plages !

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Des « lanceurs d’alerte » évincés de la conférence gouvernementale

Le Monde.fr | 17.09.2013 à 17h54 • Mis à jour le 17.09.2013 à 19h55 |  

Elles se disent « scandalisées et stupéfaites » : connues pour leur rôle de lanceur d’alerte sur les questions de santé liées à l’état de l’environnement, les associations du collectif Rassemblement pour la planète poussent un cri de colère. Elles viennent de découvrir in extremis qu’elles ne figuraient pas dans la liste des organisations invitées à la deuxième conférence environnementale, les 20 et 21 septembre à Paris.

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Vous voyez en fait c’est simple d’éviter les sujets qui fachent. Cela fait longtemps que nous savons que pour ne pas avoir de fièvre il suffit de casser le thermomètre.

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Il faudrait tripler le nombre d’antennes-relais pour garantir la santé face aux ondes

latribune.fr | 26/08/2013, 17:33 – 389 mots

Selon des travaux publiés lundi par le gouvernement, il faudrait au moins tripler le nombre d’antennes-relais pour garantir aux Français une « faible exposition » aux ondes, tout en conservant une couverture mobile satisfaisante.

Trois fois plus d’antennes-relais. Voici ce qui serait nécessaire pour préserver une couverture mobile « satisfaisante » tout en garantissant une « faible exposition » des Français aux ondes selon des simulations menées dans cinq villes et publiées lundi par le gouvernement.

0,6 volt par mètre, un seuil de sécurité sanitaire

Le Copil, un comité issu du Grenelle des ondes en 2009 réunissant l’Etat, les opérateurs de téléphonie, les élus locaux et les associations, était chargé d' »étudier la faisabilité du projet. A savoir, une réduction de l’exposition du public aux ondes » sous le seuil de 0,6 volt par mètre, défendu par des associations comme un « seuil de protection » sanitaire. Ce comité a chapeauté des travaux visant à simuler un tel abaissement dans plusieurs villes (Paris XIVe, Grand-Champ (Morbihan), Grenoble, Lavelanet (Ariège) et Thiers (Puy-de-Dôme) puis à calculer le nombre d’antennes qu’il faudrait rajouter pour préserver la qualité de couverture.

Verdict: « 90% des niveaux d’exposition modélisés sont inférieurs à 0,7 V/m et 99% à 2,7 V/m, d’après un état des lieux mené en 2010 et 2011 dans seize zones pilotes, alors que les valeurs limites réglementaires sont comprises entre 40 V/m et 61 V/m pour les fréquences utilisées par la téléphonie mobile », indique le rapport de synthèse remis lundi aux ministres de l’Ecologie et de l’Economie numérique.

Tripler les 50.000 antennes-relais actuelles

Or d’après des simulations numériques, l’abaissement de l’exposition à 0,6 V/m « s’accompagnerait d’une forte déterioration de la couverture réseau, en particulier à l’intérieur des bâtiments »: de 82% en intérieur à Paris XIVe par exemple. Si un tel abaissement était mis en oeuvre, il faudrait alors multiplier le nombre d’antennes « par un facteur au minimum égal à trois », selon ce rapport. Sachant que selon l’Agence nationale des fréquences (ANFR), il y a actuellement environ 50.000 antennes-relais de téléphone mobile en France.

Cet état des lieux, mené en 2010 et 2011, n’inclut toutefois ni le réseau 3G de Free Mobile ni les réseaux 4G récemment ouverts au public, précise le rapport, qui souligne que le déploiement de la 4G « devrait s’accompagner d’une augmentation de l’exposition du public » aux ondes de l’ordre de 50%.

Du reste, si l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a classé en 2011 les ondes comme potentiellement cancérigènes, les opérateurs préfèrent s’appuyer sur le dernier avis de l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses), datant de 2009, pour écarter tout danger. Un avis que l’agence doit cependant actualiser prochainement.

 

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Comment les industriels utilisent la science comme un instrument de propagande

BASTA !

Imposture

Par Nolwenn Weiler (8 juillet 2013)


Études biaisées, pseudo-expertises, financements occultes : les industriels ont entrepris dès les années 50 de manipuler la science à leur profit. Inaugurées par les géants de la cigarette, les techniques de détournement de la science sont aujourd’hui utilisées par les producteurs de pesticides ou les climato-sceptiques. Le déclin des abeilles est ainsi devenu un « mystère » et le changement climatique « relatif ». Des stratégies décryptées par Stéphane Foucart, journaliste scientifique, dans son ouvrage La fabrique du mensonge, comment les industriels nous mentent et nous mettent en danger. Entretien.

Basta ! : Les industriels ont choisi de tordre la science, dites-vous, pour contrer ce qui pourrait entraver leurs activités. Par exemple les révélations sur les effets sanitaires désastreux de certains produits. Comment s’y prennent-ils ?

Stéphane Foucart : La technique « d’utilisation de la science » a été théorisée par John Hill, un grand communicant américain. Les industriels de la cigarette l’ont appelé au secours en 1953, au moment où sont publiés les premiers travaux scientifiques sur le lien entre cigarette et cancer. Suite à une réunion de crise [1], John Hill rédige un petit mémo, dans lequel il dit en substance : « La science est un outil très puissant, dans lequel les gens ont confiance. On ne peut pas l’attaquer frontalement. Il faut procéder autrement. En fait, il faut faire de la science, l’orienter, la mettre à notre main ». John Hill propose notamment la création d’un organe commun aux géants de la cigarette, pour financer la recherche académique, menée au sein de laboratoires universitaires par exemple. Des centaines de millions de dollars seront injectés dans la recherche via cet organe. Pour financer des études qui concluent à l’absence de danger du tabac, mais pas seulement. Ils ont par exemple beaucoup financé la recherche en génétique fonctionnelle, qui décortique les mécanismes moléculaires dans le déclenchement des maladies.

Ce type de recherche est bénéfique pour les industriels : les origines environnementales des maladies, et notamment du cancer, sont « oubliées » et occultées…

Le comité permanent amiante, en France, a-t-il adopté la même stratégie ?

En 2013, on a aussi affaire aux climato-sceptiques…

Cela participe de « la fabrication du doute », que vous pointez comme partie intégrante de ce détournement de la science par les industriels à leur seul profit ?

C’est notamment le cas pour les études qui mettent en évidence l’impact des pesticides sur les abeilles…

Les industriels ont par ailleurs la mainmise sur l’évaluation de leurs produits, notamment dans le domaine de l’agrochimie…


  

Le lien pour lire la réponse aux questions ci-dessus

 

et à d’autres……

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Plaisance-du-Touch. Première antenne de téléphonie mobile dans la cité

Actualités

Publié le 30/06/2013 à 03:47, Mis à jour le 30/06/2013 à 09:17

Les élus en réunion publique du conseil municipal./ Photo DDM, C. C.

Les élus en réunion publique du conseil municipal./ Photo DDM, C. C.  

Les travaux supplémentaires prévus au complexe Monestié, ont divisé les élus lors de la réunion du conseil municipal jeudi dernier. Ils faisaient l’objet d’un avenant au marché d’extension du complexe. «Celui concerne des modifications demandées par la ville explique le maire Louis Escoula : prestations intérieures, pour la brasserie notamment, adaptations de travaux pour le parking et pour pallier aux aléas rencontrés lors de la phase des fondations». Pour Patrice Lacointa (Union de la Majorité pour Plaisance) : «les avenants ne peuvent pas être évités, il y en aura toujours». Pascal Barbier (Réinventons Plaisance) s’inquiète de l’augmentation du coût de ce projet pour le budget de la commune et «qu’il faudra, en 2015, être en conformité avec la réglementation thermique». Les élus de la liste Réinventons Plaisance s’abstiennent et Raphaël Réquéna, pour le collectif de gauche, ne prend pas part au vote.

Les délibérations sur l’adoption de la charte entre la ville et les exploitants de réseaux de téléphonie mobile et la convention d’occupation du domaine public par le groupe de téléphonie Orange, rue des Landes, ont, aussi, suscité les débats. Raphaël Réquéna, constate qu’«on demande d’adopter la charte et en même temps l’implantation, vous aviez dit que cela prendrait du temps et ce n’est pas le cas». Chris Thouzet, adjoint en charge de l’aménagement du territoire, répond «c’était prêt, aucune raison de faire traîner». La charte encadre le développement des infrastructures de téléphonie mobile le seul outil mis à la disposition des élus pour pouvoir conduire une action concertée avec la population et les opérateurs. Raphaël Réquéna voudrait voir pris en compte la protection de la population ce à quoi il est répondu «la population risque plus par le manque d’antennes». Donc sur une emprise de 35 m² sur l’espace vert situé à proximité de la piste de roller, un mât d’une hauteur totale de 30,62, abritera l’antenne relais. La convention sera conclue pour une durée de 12 ans, reconductible pour une période de 6 ans, moyennant une redevance annuelle de 6 000 €. Raphaël Réquéna vote contre ces deux délibérations.

Voir l’article lCI

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