CEM et altération Numération Formule Sanguine

NEXT-UP  

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Les ondes artificielles et naturelles (Champs ÉlectroMagnétiques – CEM) véhiculent une quantité d’énergie par les quantums (la plus petite masse d’énergie en mouvement), c’est la notion centrale de la théorie des quantas, laquelle donnera naissance à la mécanique quantique. En fonction de la fréquence (longueur d’onde) une équation détermine la valeur de l’énergie véhiculée (dans un photon). [Plus avec Wikipedia]
*Demain la médecine sera quantique … et révolutionnera notre quotidien par le Dr Jean-Louis GARILLON] Cette énergie entre en interaction avec tout ce qui est vivant, notre corps inclus  qui  est totalement bioélectromagnétique (exemple d’analyse du potentiel d’action), notamment tous les échanges cellulaires immuables, les potentiels d’actions membranaires des cellules (animation), les récepteurs neurobiologiques cellulaires, bref toutes les transmissions des informations (les neurotransmetteurs) qui sont basées sur des courants endogènes entrent en interaction avec toutes les énergies des CEM exogènes des Hautes ou des Basses Fréquences dites artificielles. Notons que le champ magnétique naturel terrestre qui est une base essentielle à la vie, ne perturbe pas le vivant car il est continu et non alternatif, en conséquence il n’induit rien dans les corps conducteurs.                                                         .
D’autres phénomènes d’interactions délétères plus complexes se greffent à ces interactions, telle que la résonnance qui prend depuis quelques années une dimension majeure dans la génomique avec les travaux du  Professeur Luc Montagnier et al dans l’interaction des signaux électromagnétiques du séquençage d’ADN. [Envoyé Spécial Interview Pr Henry Lai]
Altération Numération Formule Sanguine : une preuve irréfutable

Voir la suite sur le site de next-up 

Les ondes dans le sang 

http://videos.next-up.org/France3/Numeration_Formule_Sanguine_et_CEM_Antennes_Relais_Sainte_Luce_sur_Loire/20_02_2011.html

La bataille des lucéens contre orange et réseau ferré de France

Source :  http://www.next-up.org/Newsoftheworld/Alteration_Numeration_Formule_Sanguine.php#1

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L’amiante, cette épidémie silencieuse

  • Post category:Amiante

  Mardi 15 Fév – 23:20 – Saint Claude

Des salariés d'Eternit victimes de l'amiante, au tribunal des prud'hommes d'Albi en septembre 2009./ Photo DDM, Jean-Marie Lamboley

Des salariés d’Eternit victimes de l’amiante, au tribunal des prud’hommes d’Albi en septembre 2009./ Photo DDM, Jean-Marie Lamboley

Pour mieux renforcer la surveillance des maladies liées à l’amiante, la déclaration des mésothéliome (cancers de l’amiante) sont obligatoires en Aquitaine et Midi-Pyrénées depuis le 1er janvier.

Pas facile d’avoir une visibilité sur la réalité du scandale de l’amiante dans notre région. Même au niveau national, où les statistiques publiées de l’assurance maladie sont plus fines, on ne dénombreen 2008 « que » 387 décès au titre des maladies professionnelles reconnues dans le régime général de la sécurité sociale. Un chiffre qui de facto écarte le monde agricole, les fonctionnaires, les militaires, mais aussi les artisans et commerçants. En Midi-Pyrénées les derniers chiffres disponibles, ceux de 2009, font état de 40 personnes reconnues comme ayant contracté au cours de cette année-là une maladie professionnelle directement liée à l’amiante. Le nombre des décès parmi les malades n’est pas répertorié…

LE 2E POSTE DE DÉPENSE DE LA CRAM
Aquitaine et Midi-Pyrénées sont depuis le 1er janvier parmi les six régions (1) à participer à une « phase pilote » rendant obligatoire la déclaration des mésothéliomes, ces cancers touchant les poumons et directement liés à l’amiante. Car la réalité des chiffres va bien au-delà des statistiques de l’assurance maladie. Concernant le mésothéliome pleural malin, on a estimé à 1 090 le nombre de décès survenus sur l’année 2005, selon un document datant de 2009 de la Haute autorité de santé (HAS) et de l’Institut national du cancer (INCa). Pour 80 % d’entre eux, une exposition aux fibres d’amiante est retrouvée.

La déclaration obligatoire « vise à renforcer leur surveillance épidémiologique, à augmenter la reconnaissance des maladies professionnelles liées à l’amiante et à améliorer la connaissance des cas survenant en dehors d’une exposition professionnelle à l’amiante », note l’institut. Mais pour les associations de victimes de l’amiante, ce n’est certes pas la panacée.

Faute de recensement exhaustif, la mortalité due à ce cancer qui peut aussi toucher les revêtements de la cavité abdominale (péritoine) et plus rarement du cœur (péricarde), n’est pas bien établie.

Depuis sa création en 2002 en France, le Fonds d’indemnisation des victimes de l’amiante (Fiva), financé par l’Etat et la branche accidents du travail de la Sécurité sociale, a versé près de 2,4 milliards d’euros à quelque 52 000 victimes. En 2009 les maladies professionnelles liées à l’amiante ne représentent que 3,8 % des maladies professionnelles gérées par la Caisse d’assurance retraite et de la santé au travail (ex-CRAM) de Midi-Pyrénées. Et pourtant, leurs coûts, induits par des traitements lourds, des indemnisations ou des rentes à la hauteur du préjudice d’une vie, en font le deuxième poste de dépense de la Caisse régionale avec plus de 6 millions d’euros versés à la quarantaine de nos malades de l’amiante.

(1) Aquitaine, Auvergne, Ile-de-France (Val-de-Marne et Seine-Saint-Denis), Lorraine, Midi-Pyrénées, Provence-Alpes-Côte d’Azur (Alpes-Maritimes, Bouches-du-Rhône, Var)

Tous, partout
De nombreuses professions ont été exposées à l’amiante, fibre minérale, cancérigène, utilisée comme isolant et anti-incendie : dans le bâtiment, la carrosserie industrielle, plombiers, charpentiers et électriciens, peintres, décorateurs, bijoutiers, cheminots, mécaniciens automobiles… Impossible de dresser une cartographie : dans notre région. L’usine Eternit d’Albi, les mines de Carmaux, mais aussi les usines Giat à Tarbes, la fonderie de Fumel ou encore la verrerie de Vianne en Lot-et-Garonne, font parties des sites ayant fait le plus de victimes. Mais les salariés de grandes entreprises comme EDF, la SNCF, ont eux aussi été touchés.

Le chiffre : 100 000
morts > D’ici 2025. C’est, selon l’Agence française sanitaire environnement et travail, le nombre possible de décès dus l’amiante d’ici 15 ans. Son caractère cancérigène est connu depuis les années 50 mais le premier décret réglementant son usage ne date que de 1977 et son interdiction de 1997…

« On se bat aujourd’hui pour que la réparation coûte plus cher que la prévention. » Jean-Marie Birbes, président de l’Addeva 81 (Association départementale des victimes de l’amiante)

« Dès qu’on tousse, on se met à gamberger »
S’ils sont si contents de se retrouver, ce vendredi-là, à Gaillac, c’est d’abord parce qu’avant d’être des victimes, c’était d’abord des collègues, des syndicalistes qui se sont battus ensemble contre le patron avant de se débattre avec la maladie. L’association qui les réunit c’est l’Addeva 81 (Association départementale des victimes de l’amiante du Tarn), dont le noyau dur est constitué par d’anciens ouvriés et salariés de l’usine Eternit de Terssac, qui, de 1971 à fin 1996 a fabriqué des plaques de fibrociment à base d’amiante. Parmi la petite dizaine de membres présents cet après-midi de janvier, âgés de 52 à 67 ans, tous sont atteints de pathologies dues à l’amiante : « Deux copains sur trois ont des plaques pleurales. Ici on en a tous. C’est plus ou moins douloureux, ça réduit la capacité pulmonaire. Surtout, ça fait gamberger ». Jean-Marc Garo explique : « À force de voir des copains partir en quelques semaines, emportés par des cancers foudroyants dans des souffrances atroces, maintenant, dès qu’on tousse, on ne peut pas s’empêcher de gamberger. » Son frère Jean-Pierre renchérit : « C’est en nous, ça ne nous quitte jamais. On n’y pense pas toute la journée, mais c’est là, ça trotte… Après chacun fait comme il peut pour se débrouiller avec. » Silence. « Jamais on n’avait pensé que c’était mortel », souffle Christian Gombert, 67 ans, entré en 1971 et dont le frère vient de mourir à 62 ans, en n’ayant travaillé que 4 ans chez Eternit. « Moi je n’avais pas voulu travailler aux mines de Carmaux, car mon père était mineur et je ne voulais pas m’y empoisonner. » Christian s’occupait de l’entretien des machines. Il soufflait la poussière d’amiante qui les recouvrait pour les réparer. Avant qu’elle ne retombe.Il en bouffait, littéralement, comme les autres, sans masque, ni protection. Il se rappelle que l’aération du réfectoire et du vestiaire donnait sur le stock amiante… « Le déclic, ça a été la mort de Raymond Cabrit, en 1993. Il avait 49 ans, il est mort en quelques semaines. À l’époque, on se battait contre les plans sociaux. C’était très difficile de comprendre qu’on risquait de mourir alors qu’on se battait pour garder nos emplois. » En 1996, l’Addeva 81 est créée. 15 ans plus tard, Jean-Marie Birbes en est toujours le président et l’asso continue de se battre aux côtés des familles. « Les indemnisations, c’est primordial, mais tout ça ne servira à rien s’il n’y a jamais le procès des responsables. Ceux qui savaient, depuis des dizaines d’années que l’amiante était cancérigène. Et qui ont préféré leurs profits à nos vies. Jamais ils ne se sont excusés, jamais ils n’ont reconnu leur faute. Il faut dire que le business de l’amiante continue dans d’autres pays… » Selon les chiffres de l’Addeva 81, 2000 salariés d’Eternit France ont contracté des maladies directement liées à l’amiante. 400 en sont morts. Dont 17 à Albi.

Georges Arnaudeau
Quatorze ans après l’interdiction de l’amiante, où en est-on ?

Georges Arnaudeau, membre du bureau de l’Association nationale des victimes de l’amiante.. On progresse, notamment en matière d’information, ou concernant le désamiantage de certains matériels ou bâtiments, mais il reste encore beaucoup à faire. Au niveau des malades, on a encore beaucoup de difficultés à faire reconnaître les pathologies comme étant des maladies professionnelles.

Que peut apporter la déclaration obligatoire du cancer de l’amiante ?

Une meilleure connaissance de l’ampleur du phénomène puisqu’on estime que 20 % de ces cancers ne sont pas déclarés. Mais il faudrait surtout mettre maintenant l’accent sur la prévention et le suivi professionnel et post-professionnel des salariés exposés. Cette déclaration obligatoire peut, peut-être, nous aider à faire progresser la loi. Aujourd’hui seule la radio est obligatoire. Pour que le dépistage soit efficace, il faudra rendre obligatoire le scanner.

Espérez-vous toujours un procès pénal ?

Oui, c’est notre combat depuis 1995 et les premières plaintes. La France doit aux victimes un grand procès de l’amiante. Les dossiers sont à l’instruction au pôle santé, à Paris.

Source :  http://www.ladepeche.fr/article/2011/02/15/1014464-L-amiante-cette-epidemie-silencieuse.html

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Cachez cette antenne-relais que je ne saurais voir !

Le Post

Le groupe Alcatel-Lucent vient de mettre au point des antennes-relais si réduites qu’elles sont invisibles dans le paysage. Cette technique baptisée “lightRadio” fait tenir dans deux cubes de 5 centimètres de côté, l’antenne et son amplificateur et le module de traitement du signal.

Modèle de type

Une technique qui permet une exploitation plus écologique

Alcatel-Lucent annonce que la consommation énergétique de ces nouvelles stations sera bien moindre en raison de leur taille extrêmement réduite. Elles pourront être alimentées à l’énergie solaire ou éolienne. Habillé ainsi d’un beau costume vert, Alcatel-Lucent s’affranchit de ne pas communiquer sur la puissance des ondes électromagnétiques émises par ces nouvelles antennes qui sera logiquement égale à celles des modèles plus anciens.

Les murs ont des antennes-relais

De part leur volume réduit, ces antennes pourront être fixées sur du mobilier urbain ( réverbères, panneaux publicitaires, façade d’immeubles…). Dissimulées ainsi dans le paysage, les habitants ne les remarqueront pas et ne s’émouvront donc pas de leur implantation sur tel ou tel site sensible comme les établissements scolaires ou les parcs.

Un réseau à surveiller

Coup double donc pour les opérateurs qui en plus des économies d’argent réalisées grâce à ce saut technologique s’exposeront moins à des manifestations ou des pétitions demandant le retrait de ces implantations qui sont loin d’être sans conséquence sur le plan sanitaire. Plus que jamais, il faut donc se tenir informé et rester vigilant. Pour ce faire, il existe deux sites de référence. Le premier est celui de l’association ’Robin des toits’ qui informe sur le danger des technologies « mobile » (téléphone portable, antenne-relais, Wi-Fi, Wimax, Bluetooth, sans fil DECT …). Le second est celui de l’Agence Nationale des Fréquences et permet d’obtenir une cartographie précise de ces antennes-relais sur tout le territoire français.
Source :  http://www.lepost.fr/article/2011/02/09/2400633_cachez-cette-antenne-relais-que-je-ne-saurais-voir.html

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Dioxyde de titane Une bombe à retardement ?

  06 février 2011

Le dioxyde de titane, un pigment entrant dans la composition de nombreux produits d’usage courant, comme les crèmes solaires ou les dentifrices, aurait les mêmes effets toxiques que l’amiante.

« Avec le dioxyde de titane, on se retrouve dans la même situation qu’avec l’amiante il y a 40 ans », affirme le professeur Jürg Tschopp, prix Louis-Jeantet de médecine 2008, qui a piloté une étude franco-suisse sur les effets toxiques de ce nanomatériau. Le potentiel inflammatoire du dioxyde de titane était déjà connu, mais ses mécanismes d’action n’avaient pas été clairement élucidés jusqu’ici. C’est aujourd’hui chose faite grâce aux travaux effectués conjointement par les chercheurs du département de biochimie de l’université de Lausanne (UNIL) et de l’université d’Orléans. Les tests in vivo et in vitro sur des souris, et in vitro sur des cellules humaines, montrent que le dioxyde de titane, sous forme nanométrique (particules de dimensions un million de fois plus petites qu’un cheveu), a une activité pro-inflammatoire sur les poumons et le péritoine. D’où un possible effet cancérigène. Tout comme l’amiante et la silice, deux irritants environnementaux bien connus.

Un constat d’autant plus alarmant que le dioxyde de titane entre dans la composition de nombreux produits de la vie quotidienne. Utilisé principalement comme pigment et comme opacifiant, il se retrouve aussi bien dans les crèmes solaires, les dentifrices ou les confiseries que dans les peintures et les médicaments.

L’organisme ne parvient pas à s’en débarrasser

Le nanomatériau peut être absorbé par voie digestive, cutanée ou respiratoire. Aujourd’hui, on manque encore de données sur l’absorption de dioxyde de titane via l’alimentation ou la peau. Si le risque de pénétration n’est pas exclu à la surface d’une peau lésée (brûlures ou peau atopique), l’ingestion par voie respiratoire est bien plus préoccupante, en particulier pour le personnel des industries nanotechnologiques.

Le problème, c’est que l’évaluation réelle des risques se fera sur le long terme. « Aujourd’hui, on constate que les particules s’accumulent dans l’organisme qui ne parvient pas à s’en débarrasser. En l’état actuel des recherches, on peut seulement prédire qu’il y a là un potentiel pour produire une inflammatoire chronique », précise le Pr Tschopp.

En attendant, plus de deux millions de tonnes de dioxyde de titane nanométriques sont produites chaque année dans le monde, un chiffre qui a doublé en moins de 10 ans. Pour de nombreux produits, la valeur ajoutée du dioxyde de titane est des plus discutables. Ainsi, le nano-TiO2 incorporé aux pâtes dentifrices leur confère une blancheur sans effet sur leur pouvoir nettoyant, mais synonyme d’efficacité dans l’esprit des consommateurs. « Nos données suggèrent que le nano-TiO2 devrait être utilisé avec une plus grande prudence qu’il ne l’est actuellement », soulignent les auteurs de l’étude. « De meilleures précautions devraient être prises », pour limiter son ingestion, dans l’industrie comme dans la vie quotidienne. « Il a fallu presque 100 ans et d’innombrables décès avant que l’amiante soit bannie », rappellent les chercheurs.

Florence Humbert

Source : http://www.quechoisir.org/environnement-energie/risque-environnemental/actualite-dioxyde-de-titane-une-bombe-a-retardement/?utm_source=nlh&utm_medium=email&utm_campaign=nlh110208

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Antennes-relais : l’exposition aux ondes mesurée dans six sites pilotes

Accueil   Mis à jour 08-02-2011 20:40

Jusqu’à fin 2011 sont menées des expérimentations sur l’exposition aux ondes des téléphones portables. Selon des premiers résultats, les niveaux mesurés restent inférieurs aux seuils autorisés. A suivre…

Est-il techniquement possible d’abaisser l’exposition aux ondes électromagnétiques émises par les antennes-relais, sans nuire à la couverture et à la qualité des services de téléphonie mobile? Vaste sujet, sur lequel se penche le Comop (Comité opérationnel chargé des expérimentations sur la téléphonie mobile), qui réunit depuis juillet 2009 des opérateurs, l’Etat, des collectivités locales, des scientifiques et des associations (FNE, CLCV, Robin des Toits, Criirem, Priartem, Agir pour l’environnement, Familles rurales, AFUTT, Confédération syndicale des familles).
Une réunion ce mardi (8 février) a été l’occasion de présenter les premiers résultats des travaux de mesures réalisés sur six communes pilotes. Le choix de Grenoble (Isère), Paris 14e, Thiers (Puy-de-Dôme), Kruth (Haut-Rhin), Grand Champ (Morbihan) et Courbevoie (Hauts-de-Seine) se voulait “représentatif des principales configurations d’exposition” (territoires ruraux et urbains, plaine et montagne, bâtiment ancien et moderne).
Des niveaux “inférieurs” au seuil réglementaire

A l’issue de cette rencontre, le ministère de l’Ecologie a fait savoir que les niveaux d’exposition mesurés étaient “nettement inférieurs” aux seuils fixés par la réglementation française (41 à 61 Volts par mètre) : “Si les niveaux d’exposition mesurés peuvent varier selon l’environnement, le niveau médian reste faible, inférieur à 0,3 V/m. Cependant, quelques points, dit atypiques, montrent des niveaux plus importants pouvant atteindre jusqu’à 12 V/m.”
Et de rappeler : “Ces valeurs limites d’exposition, recommandées par les instances internationales et européennes, permettent de protéger la population de l’échauffement des tissus du corps humain, qui est aujourd’hui le seul effet biologique identifié pour l’exposition aux champs électromagnétiques émis par les antennes.” (voir aussi le portail Radiofréquences-santé -environnement du gouvernement)
Deuxième phase en avril
La seconde phase d’expérimentations doit être lancée en avril. Objectif : “la simulation et, le cas échéant, l’expérimentation terrain d’un abaissement de puissance de l’exposition”. Outre les six communes précédemment citées, dix autres collectivités volontaires y participent : Brest (Finistère), Cannes (Alpes-Maritimes), Paris 15e, Couffouleux (Tarn), La Rochelle (Charente-Maritime) et Chassieu (Rhône). Les expérimentations doivent être achevées avant la fin de l’année sur l’ensemble des sites pilotes.
Vers un diagnostic gratuit à domicile
La ministre de l’Ecologie, Nathalie Kosciusko-Morizet, a par ailleurs annoncé le lancement, par l’Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire) d’ici à fin mars, d’un appel à projets de recherche sur les radiofréquences pour un montant de 2 millions d’euros. Enfin, précise le ministère, “le cadre réglementaire permettant à tout riverain d’antennes-relais de faire mesurer gratuitement le champ électromagnétique dans son logement sera opérationnel dès 2012.”

Le “Grenelle des ondes” patine
Ces annonces interviennent alors que certaines associations se plaignent d’une insuffisance de mesures face aux risques potentiels de la téléphonie mobile sur la santé. L’une d’elles, Robin des toits, qui estime que le Grenelle des ondes “commence à tourner vinaigre” et “pratique le déni de risques de manière outrancière”, a suspendu temporairement sa participation.
Il y a quelques jours, le mouvement, qui réclame notamment “la préservation et un accès facilité aux zones non encore couvertes pour les électrohypersensibles”, a tenu à rappeler que, “pour poursuivre leur participation au Grenelle, les associations demandaient que le gouvernement reconnaisse explicitement ‘la controverse scientifique’, qu’il adresse un message clair en direction des femmes enceintes et des enfants.”

Source : http://www.metrofrance.com/info/antennes-relais-l-exposition-aux-ondes-mesuree-dans-six-sites-pilotes/mkbh!l2ZtSxFtWT8lA/

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Monpitol. Des questions soulevées par le projet d’antenne relais

   PUBLIÉ LE 06/02/2011 03:47 | LADEPECHE.FR

Dans le dernier bulletin municipal, les Montpitollois ont été informés d’un projet d’antenne relais sur les communes de Montpitol, Roqueserière et Azas, les invitant à se prononcer sur cet épineux sujet.

Afin de les aider à mesurer les nuisances occasionnées par les ondes électromagnétiques, l’association « Un cadre de vie sain pour notre campagne » a proposé une réunion publique d’information au cours de laquelle sont intervenus des représentants du collectif Antenne 31, Robin des Toits et le CRIIREM (centre de recherche et d’information indépendantes sur le rayonnement électromagnétique).

Si peu d’informations à ce jour filtrent sur l’état d’avancement du projet, le but de la réunion était de « permettre à chaque citoyen de s’informer notamment sur les risques des antennes sur la santé, de partager les inquiétudes soulevées par des études scientifiques et reprises par des associations et par l’agence européenne de l’environnement ».

Le but de cette réunion était aussi de sensibiliser les propriétaires de terrains susceptibles d’accueillir une antenne relais et d’être contactés par l’opérateur, de l’impact de leur choix sur tout un environnement.

Ceux qui n’ont pas pu assister à cette rencontre peuvent contacter l’association: 0561846498 ou cdviesan.asso@gmail.com

Source : http://www.ladepeche.fr/article/2011/02/06/1007457-Monpitol-Des-questions-soulevees-par-le-projet-d-antenne-relais.html

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Decazeville. Antenne : nouvel échec pour Orange

   PUBLIÉ LE 08/02/2011 08:14 | SYLVIE FERRER

Pour des raisons de sécurité envers les membres de l'association BVA, l'antenne est restée à terre./Photo DDM, S. F.

Pour des raisons de sécurité envers les membres de l’association BVA, l’antenne est restée à terre./Photo DDM, S. F.

Nouveau branle-bas de combat, hier matin, sur les hauteurs d’Auzits. Dès potron-minet, les propriétaires des terrains riverains du lieu où doit être implantée l’antenne-relais ont sonné le clairon à l’arrivée de l’entreprise toulousaine Itas Sud-Ouest, mandatée par Orange pour ériger le mât haut de 40 mètres. Aussitôt, les membres de l’association Bien vivre à Auzits (BVA), créée pour s’opposer à l’érection de cette antenne, ont investi les lieux, bien décidés à empêcher toute entreprise, ceci dans un calme olympien. Et ils y sont arrivés, une nouvelle fois. Michel Lacaze, l’huissier présent sur les lieux en compagnie des gendarmes, n’a pu qu’appliquer la réglementation : « Les membres de BVA sont trop près et ne sont pas équipés de casques. Je constate donc que le pylône ne peut pas être monté », explique-t-il.

« Nous recommencerons »

La dizaine de membres présente sur les lieux n’a pourtant pas quitté son poste de guet. « Si nous partons, ils monteront l’antenne aussitôt. Dans certains cas, ils ont même travaillé la nuit pour que les riverains ne s’aperçoivent de rien », assurent-ils. Ce n’est que sur les coups de 11 heures, après que l’entreprise a reçu l’accord d’Orange, que le camion a levé le camp pour se diriger vers Firmi, au grand soulagement des opposants qui ont pu à leur tour quitter les lieux. Des opposants qui ont gagné une nouvelle bataille mais restent vigilants : « Nous savons qu’ils reviendront et nous recommencerons. à la moindre alerte des personnes proches qui assurent une surveillance, nous nous retrouverons là-bas », explique Serje Perronnet, porte-parole de l’association BVA, qui attend toujours le bornage demandé à un géomètre il y a plusieurs semaines. Dans tous les cas, elle assure qu’elle n’en restera pas là.

Source : http://www.ladepeche.fr/article/2011/02/08/1008788-Antenne-nouvel-echec-pour-Orange.html

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Alcatel promet de faire disparaître les antennes relais pour téléphones mobile

Radiobfm.com   La rédaction avec Anthony Morel – radiobfm.com, le 07/02/2011


Le groupe a présenté lundi une nouvelle technologie baptisée LightRadio, qui simplifie l’architecture des réseaux de haut débit mobile. Grâce à cette technologie, le groupe promet de grosses économies à ses clients opérateurs.

 - - DR  En simplifiant à peine, on peut dire que le pari d’Alcatel c’est de remplacer les antennes relais par des Rubiks cube. Des cubes qui tiennent dans la paume de la main et dans lesquels on trouve toute la technologie nécessaire pour la 3G et le LTE, le futur très haut débit mobile. Ce simple dispositif pourra être installé un peu partout, sur des poteaux, des abribus ou à flanc d’immeuble. Il va remplacer les stations de base, encore appelées antennes relais, des éléments du réseau très encombrants, très gourmands en énergie et très coûteux.
Eviter la saturation des réseaux
Ce système simplifié, beaucoup plus flexible, grâce auquel on peut regrouper les cubes là où le trafic est important, va permettre aux opérateurs de réduire de 50 % leurs dépenses liées aux antennes. C’est en tous cas ce que promet Alcatel. Surtout, cette technologie répond à la problématique du moment : comment gérer l’explosion du trafic internet mobile sans continuer à encombrer les villes ? Sous l’assaut des smartphones et des consommateurs frénétiques de vidéos sur iPad, les réseaux risquent déjà la saturation et le trafic devrait être multiplié par 26 dans les quatre ans qui viennent.

source : http://www.radiobfm.com/edito/home/95832/alcatel-promet-de-faire-disparaitre-les-antennes-relais-pour-telephones-mobiles/

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