«Coordination Antennes 66» et « Robin des Toits 66 » tirent le bilan de la manifestation de samedi dernier au congrès des Maires de Villeneuve de la Raho.

Cette manifestation était l’occasion pour tous les collectifs de riverains d’antennes du département, rassemblés au sein de la Coordination (UMPLO, Céret, Montesquieu, Millas, Perpignan, Saint André, Cabestany etc…) de demander à nos élus de prendre conscience du problème de santé publique lié à l’implantation non concertée de ces antennes et d’appliquer à ces dernières le principe de précaution, comme le recommande d’ailleurs depuis juillet le Conseil d’Etat. Rappel : un seuil maximal d’émission de 0,6V/m permet aux antennes de fonctionner normalement tout en respectant la santé publique, seuil qui n’est malheureusement pas appliqué aujourd’hui.

Outre son soutien sans faille à tous les collectifs l’association «Coordination Antennes 66» affirmait aussi massivement son opposition au wifi régional imposé d’office à certaines communes dans «Languedoc-Roussillon Haut Débit» et réclamait la couverture de tout le département des P.O. en filaire (fibre et/ou cuivre).

Le wifi est en effet tout aussi nocif pour la santé que les antennes relais et de plus ses capacités techniques en matière de débit sont plus que limitées (1 mégabit/seconde grand maximum).

La présidente de la Coordination et déléguée Robin des Toits PO a d’ailleurs interpellé M. Bourquin à ce sujet.

Le président du Conseil Général et Vice Président de la Région s’est engagé à recevoir la Coordination pour aborder ce sujet du haut débit et aussi celui des personnes électro-hyper-sensibles (malades des ondes).

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Les opposants aux antennes-relais du Roussillon craignent aussi le wifi

La Clau   Vendredi 22.10.2010. 18:00h

Christian Bourquin et la coordination « Antennes 66 », au Congrès des maires des Pyrénées-Orientales, samedi 16 octobre 2010 © Jean-Robert GatonasChristian Bourquin et la coordination « Antennes 66 », au Congrès des maires des Pyrénées-Orientales, samedi 16 octobre 2010 © Jean-Robert Gatonas


Le président du Conseil Général catalan, C. Bourquin, promet de prendre les choses en main.


La crainte face aux antennes-relais, qui se généralise en Roussillon, s’est exprimée samedi dernier lors du Congrès des maires des Pyrénées-Orientales, à Villeneuve de la raho. Ce vendredi, la coordination Antennes 66 et l’association Robin des Toits 66, qui fédèrent les opposants aux antennes de téléphonie mobile situées à proximité des lieux de vie, assure avoir reçu ce jour-là le soutien de Christian Bourquin. Le président du Conseil Général des Pyrénées-Orientales, interpellé directement par Anne-Laure Mager, porte-parole du mouvement, a promis de recevoir la coordination pour évoquer le problème des antennes et des personnes électro-hyper-sensibles, ou « malades des ondes ». Habitante du quartier Saint-Assiscle de Perpignan, Mme Mager entend réunir les inquiétudes ressenties à Cabestany, Montesquieu, Céret, Millas, Saint-André et Perpignan, en demandant aux élus de « prendre conscience du problème de santé publique lié à l’implantation non concertée de ces antennes ». Mais la lutte engagée concerne aussi le l’Internet wifi, qui fait l’objet d’un plan « Languedoc-Roussillon Haut Débit » financé par la Région dans les communes de montagne. Ce projet en cours, « tout aussi nocif pour la santé » que les antennes, sera débattu avec M. Bourquin, en sa qualité de vice-président de l’institution régionale.

Source : http://www.la-clau.net/info/5313/les-opposants-aux-antennes-relais-du-roussillon-craignent-aussi-le-wifi-5313

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Orange perd une antenne-relais à cause d’un défaut de permis de construire

  • Post category:Justice

Les Mobiles Orange

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Le Tribunal administratif de Dijon a annulé l’installation d’une antenne-relais d’Orange à Magny-Cours. L’opérateur n’aurait pas demandé de permis de construire.

 

La loi française prévoit un permis de construire lorsque l’installation dépasse 20 m2, sinon c’est une simple déclaration de travaux. Orange explique qu’il construit son installation technique sur 19 m2 à côté de l’antenne et que cela ne néces

nal admisite pas un permis de construire.

Le Tribunal administratif de Dijon estime que la construction d’une antenne-relais « reposant sur une surface de 3,8 m de côté » et « d’une dalle bétonnée devant accueillir les installations techniques d’une surface de 19 m2 » sont « deux éléments indissociables », dépassant les 20 m2.

Cette décision va compliquer les installations d’antennes-relais des opérateurs. Habituellement, les anti-antennes utilisent les arguments sanitaires mais, dans ce cas, il s’agit d’un point de droit inédit.

Source : http://www.echosdunet.net/dossiers/dossier_6126_orange+perd+antenne-relais+cause+defaut+permis+construire.html

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Une mesurette pour prévenir les dangers des ondes électromagnétiques

   Publié le 19/10/2010 à 20:17  Par Pauline de Saint Rémy

Une mesurette pour prévenir les dangers des ondes électromagnétiques

Les vendeurs de téléphones mobiles seront obligés à partir d’avril 2011 d’afficher le niveau d’exposition aux ondes des appareils sur les points de vente et dans les publicités © Sipa

Face aux angoisses provoquées par l’impact du téléphone mobile sur la santé – objet récurrent de débats et d’actions en justice – les ministères de la Santé et de l’Environnement font ce qu’ils peuvent pour rassurer les consommateurs. C’est à dire peu. Mais la recherche sur la nocivité des ondes des téléphones portables n’en étant qu’à ses débuts, la marge de manoeuvre du gouvernement est plutôt limitée. Pour preuve ce décret du 12 octobre qui, à partir d’avril 2011, obligera les vendeurs de mobiles à afficher le niveau de rayonnement électromagnétique – ou débit d’absorption spécifique (DAS), de son nom scientifique – des appareils, sur les lieux de vente mais aussi dans toutes les publicités. La mesure résulte, parmi d’autres, du très discret « Grenelle des ondes », tenu en avril 2009 par la ministre de la Santé Roselyne Bachelot, entourée des secrétaires d’État à l’économie numérique et à l’écologie, Nathalie Kosciusko-Morizet et Chantal Jouanno.

Une « obligation » à laquelle les opérateurs comme les vendeurs de téléphonie mobile devraient se soumettre bien volontiers… pour la simple raison qu’un certain nombre d’entre eux le font déjà, dans les boutiques comme sur les publicités, de leur propre initiative. « Ça ne changera rien chez nous en tout cas, nous le faisions déjà volontairement », explique-t-on par exemple chez Phone House. « Nous distribuons aussi les prospectus d’information du ministère de la Santé. » Chez Phone House comme à l’Association française des opérateurs mobiles (AFOM), on ne semble donc pas inquiet des retombées de la mesure en termes d’image. « Quand on en parle aux clients, ils semblent plutôt au courant de la question, mais cela n’entre pas encore dans leurs critères d’achat principaux qui sont le prix, la fonctionnalité et le design » explique Phone House.

« Le DAS ne reflète pas le niveau moyen d’exposition aux ondes » (association)

En réalité, pour beaucoup de consommateurs, le DAS, autrement dit la quantité d’énergie absorbée par le cerveau d’un utilisateur de téléphone, n’évoque rien. Pourtant il existe depuis 2003 un niveau maximal de sécurité en Europe, fixé à 2W/kg. En théorie, plus il est faible, plus l’exposition aux ondes électromagnétiques est réduite. Mais pour Édouard Barreiro, de l’UFC-Que Choisir, les choses sont plus compliquées : « Je suis dubitatif. C’est bien d’informer, mais je ne suis pas sûr de la pertinence de cette information-là… Non seulement en général les consommateurs ne savent pas ce qu’est le DAS, mais en plus il correspond à un niveau maximum d’exposition. Or ce qui compte c’est le niveau d’exposition lors d’une utilisation moyenne. »

Le DAS mesure en effet le niveau d’exposition aux ondes avec un téléphone utilisé à pleine puissance. Or le niveau moyen, lui, est beaucoup plus difficile à calculer. « Un téléphone peut très bien avoir un taux maximum d’exposition élevé alors que le taux moyen est bas, et inversement », précise Édouard Barreiro. L’AFOM prend elle aussi ses précautions sur ce dispositif : « La quantité d’énergie dépend en réalité de plein de paramètres, notamment la distance de l’antenne-relais ou la qualité de la réception, ou encore la façon dont vous tenez votre téléphone. Le DAS donne une indication mais il ne faut pas lui prêter plus de sens que cela. Il faut surtout rappeler que cette mesure n’invalide pas les autres mesures de précautions, et notamment la plus simple : l’utilisation d’un kit oreillette », conclut l’AFOM. La mesure gouvernementale aura eu au moins le mérite d’attirer l’attention du consommateur sur la question. En attendant que la recherche apporte ses réponses définitives.

Source : http://www.lepoint.fr/economie/une-mesurette-pour-prevenir-les-dangers-des-ondes-electromagnetiques-19-10-2010-1251641_28.php

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Les PCB, nocifs pour l’homme, contaminent encore les cours d’eau

nouvelObs.com, journal d’actualite en temps reel    LEe 17/10:2010 à 14:46 

« On va vers une catastrophe sanitaire lente », estime le président de l’association Robin des bois.

"Il faut un traitement beaucoup plus énergique pour dépolluer les sites terrestres", et ainsi freiner le transfert des PCB vers les cours d'eau, selon Jacky Bonnemains. (AFP)


Interdits, les PCB ne cessent pourtant de contaminer les cours d’eau en France, et désormais « tous les bassins sont plus ou moins touchés » par des arrêtés réglementant la consommation de poissons, a déclaré samedi 16 octobre le président de l’association écologiste Robin des Bois.

Les PCB, plus connus sous le nom de pyralènes, entraînent chez l’homme, s’ils sont ingérés régulièrement sur une longue durée, des problèmes de fertilité, de croissance ou des cancers.

« On va vers une catastrophe sanitaire lente et la réponse des autorités à cet empoisonnement n’est pas à la hauteur », a estimé Jacky Bonnemains dont l’association vient de publier la 5e édition de son atlas des sites pollués aux polychlorobiphényles (PCB).

Cette pollution « insidieuse » par cette molécule particulièrement résistante n’a pas « l’impact psychologique d’une catastrophe soudaine comme le déversement massif de boue rouge ou la rupture d’un barrage », explique-t-il.

 Interdits à la vente depuis 1987

Selon le président de Robin de Bois, le constat « le plus inquiétant » de cette nouvelle édition est « l’extension des arrêtés préfectoraux d’interdiction ou de restriction de la consommation des poissons ». « Maintenant, tous les bassins sont plus ou moins touchés », indique-t-il, s’inquiétant particulièrement de la situation de la Seine et de la Somme.

La 5e édition de cet atlas fait état de 416 sites contaminés terrestres. Ils étaient 361 lors du premier inventaire en mai 2008. Il s’agit de bâtis, sols ou sous-sols industriels, ou d’autres milieux qui, après dépôts, infiltrations…, sont devenus le réceptacle de substances contaminées aux PCB.

Bien que complètement interdits à la vente depuis 1987, les PCB continuent d’être dispersés. Un phénomène en partie attribuable aux inondations, mais aussi au « mauvais repérage des appareils contenant des PCB et qui continuent à fonctionner, fuir ».

Traitement plus énergique

« Il y aussi beaucoup d’usines qui ferment et sont abandonnées avec des transformateurs électrique au PCB à l’intérieur. Ces sites sont très souvent vandalisés et le liquide répandu dans les sols », explique Jacky Bonnemains.

De manière générale, « il faut un traitement beaucoup plus énergique pour dépolluer les sites terrestres », et ainsi freiner le transfert des PCB vers les cours d’eau, selon Jacky Bonnemains.

(Nouvelobs.com avec AFP)

Source : http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/planete/20101017.OBS1399/les-pcb-nocifs-pour-l-homme-contaminent-encore-les-cours-d-eau.html

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Les télécoms bientôt taxés pour financer la recherche sur les méfaits des ondes?

   Le 15/10/2010

Le gouvernement envisage d’imposer une nouvelle taxe aux opérateurs pour payer la recherche et les mesures d’exposition aux radiofréquences. Elle rapporterait 10 millions d’euros.

Les opérateurs télécoms ne sont peut-être pas au bout de leur « overdose fiscale ». Un amendement au projet de loi de finances 2011, qui devrait être déposé avant l’examen en séance publique début novembre, prévoit ainsi de les assujettir à une nouvelle « taxe pour financer la recherche et la mesure des champs électromagnétiques. »

S’ils sont d’accord pour contribuer au financement d’un fonds public, les opérateurs s’opposent en revanche à la création d’une nouvelle taxe « dont le produit annuel serait disproportionné », explique l’un d’eux. Le dispositif envisagé leur coûterait 10 millions d’euros par an au total.

Selon le texte, que « La Tribune » a pu consulter, inséré après l’article 70 au chapitre « écologie, développement et aménagement durables » de la loi, cette « taxe additionnelle », égale à 10 % du montant de l’imposition forfaitaire sur les entreprises de réseau (Ifer) créée l’an dernier pour remplacer la taxe professionnelle à raison de 1.530 euros par antenne-relais, serait affectée à l’État, et non aux collectivités locales comme l’Ifer.

Nommée « taxe Jouanno »

Plus précisément, 2 millions d’euros par an iraient à l’ANSES, (la nouvelle Agence nationale de sécurité sanitaire), qui a succédé à l’Afsset et absorbé la Fondation Santé et Radiofréquences qui finançait la recherche sur le sujet. Le reliquat irait à l’Agence de services et de paiement, l’ASP, « pour le financement des mesures d’exposition du public aux radiofréquences », que tout citoyen peut demander.

Les opérateurs fourbissent en amont leurs armes contre cette « taxe Jouanno », comme on la surnomme déjà dans le secteur, en référence à la secrétaire d’État à l’Écologie, Chantal Jouanno. L’un d’eux plaide que « cette taxe coûterait 5 à 10 fois plus que le montant actuel de la contribution des opérateurs », au titre du financement de la recherche (500.000 euros par an environ à la Fondation Santé et Radiofréquences) et de celui des mesures (de l’ordre de 1 million d’euros). L’assiette de la taxe pose aussi problème, puisque le parc d’antennes est amené à augmenter, donc la contribution aussi.

Toutefois, ce texte n’est qu’un projet d’amendement et « les discussions ne sont pas closes », en particulier au sein du groupe de travail constitué après le « Grenelle des ondes » sur le financement de la recherche.

Delphine Cuny – 15/10/2010, 17:27

Source : http://www.latribune.fr/technos-medias/telecoms/20101015trib000563190/les-telecoms-bientot-taxes-pour-financer-la-recherche-sur-les-mefaits-des-ondes.html

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Coutiches : le maire exaspéré par l’attitude d’SFR

L Observateur du Douaisis   Le 15/10/2010 06:54:12

Coutiches : le maire exaspéré par l'attitude d'SFRIl y a bientôt un an, le maire de Coutiches, Xavier Dupire, affichait son exaspération devant le mépris de la société SFR qui voulait imposer son projet d’antenne-relais à Coutiches. Le panneau du permis de construire est toujours planté mais le projet d’antenne semble au point mort. «SFR a bougé depuis la réaction de la municipalité», avoue Xavier Dupire. «Ils ont feint de changer d’avis et finalement reviennent au projet initial», déplore-t-il. «On leur a proposé deux ou trois autres possibilités bien meilleures pour tout le monde. J’ai reçu il y a peu une lettre qui me confirme qu’ils maintiennent leur position initiale. On n’est pas respecté.» Le premier magistrat de Coutiches maintient néanmoins sa position toujours plus remonté par les manières de procéder de la société de téléphonie mobile (qui n’a jamais voulu consulter la municipalité coutichoise) qu’opposé au projet même. «Je suis prêt à aller au tribunal s’ils ne font pas un pas vers nous. C’est peut-être le pot de terre contre le pot de fer mais tant pis.» Si la municipalité de Coutiches est connue dans le Douaisis pour sa discrétion, cette fois les élus coutichois n’entendent pas se laisser faire.

Source : http://www.lobservateurdudouaisis.fr/actualite/Coutiches-:-le-maire-exaspere-par-l-attitude-d-SFR-2870-flash.html

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PERPIGNAN Nouvelle résistance à l’antenne relais

Accueil Lindependant.com   Edition du 11 10 2010

L’antenne relais SFR, installée en décembre dernier malgré la forte résistance du collectif du château d’eau puis de l’ADSE (association pour la défense de notre santé et de notre environnement) suscite toujours autant de craintes. En témoigne ce dernier épisode. Trois propriétaires riverains du chemin pédestre qui conduit au site où se trouve le mât de 12 mètres étaient convoqués mardi dernier par le géomètre en charge d’un bornage de ce chemin à la demande de l’entreprise SPIE. Seuls Guy Papais, le géomètre et Monsieur Laguerre, adjoint au maire, délégué par le maire pour signer l’acte (mais non habilité à répondre aux questions) ainsi que deux représentants de SPIE étaient présents au rendez-vous.
«Nous n’y étions pas car aucun des propriétaires n’a demandé le bornage de ce chemin», déclarent les riverains par la voix d’un communiqué de l’ADSE.
Un chemin au centre des débats
Si l’antenne n’est toujours pas en service à ce jour, c’est précisément parce que son accès, par le dit chemin, n’est pas suffisant pour le passage des branchements électriques. Déjà l’installation du pylône avait exigé un hélitreuillage. Le mât étant situé sur un lieu enclavé par des terrains privés et relié par ce seul chemin pédestre dont la propriété semble encore floue. La mairie agit comme si le
cami del pertus faisait partie du domaine communal tandis que Pascal Bobillot, président de l’ADSE et riverain ne l’entend pas ainsi:
«C’est un ancien chemin d’exploitation qui devait jadis mener à des vignes, il est, par définition, privé, d’ailleurs la mairie n’a toujours pas fourni la preuve qu’elle est propriétaire de ce chemin». Ce petit chemin muletier dit « du Perthus » est parfois débroussaillé par un groupe d’amis bénévoles qui entretient chemins de promenades et sources à l’intention des randonneurs. Sur place, mardi dernier, le géomètre-expert d’Argelès-sur-Mer s’est donc trouvé dans l’obligation de dresser un procès-verbal de carence pour ce bornage à l’amiable. Il semblerait qu’il reste à la municipalité de solliciter, si l’entreprise SPIE le demande, un bornage judiciaire. Dans ce cas, le bornage ne sera plus gratuit et les riverains devront en partager les frais. Mais les riverains sont prêts à tout pour empêcher cette antenne, qui pourrait alimenter la 3G de tout le département, de fonctionner.
Michelle Vardon avec A. Girard
Le bornage du chemin d’accès à l’antenne relais n’a pas pu être effectué car les propriétaires riverains n’étaient pas là.MONTESQUIEU-DES-ALBERES

Source : http://www.lindependant.com/articles/2010-10-10/nouvelle-resistance-a-l-antenne-relais-262318.php

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