La Salvetat-Saint-Gilles. Antenne relais, le collectif opposé au projet ne désarme pas

LA-D-p-che-copie-1.png   PUBLIÉ LE 12/06/2012 03:45 | LA DÉPÊCHE DU MIDI

De nombreux riverains ont manifesté leur colère de ne pas avoir été concertés et leurs inquiétudes./Photo DDM, L. B.

De nombreux riverains ont manifesté leur colère de ne pas avoir été concertés et leurs inquiétudes./Photo DDM, L. B.

Au cours d’une manifestation organisée devant la mairie, le maire recevait une représentation du collectif antenne Apouticayre-Paradets.

A l’issue des débats, le collectif précisait : « La conviction des élus d’apporter un service nouveau aux salvetains sans risques pour la santé semble sincère mais, selon nous, il n’était qu’à voir le crédit qu’apportait M. le maire aux documents de l’AFOM (assoc française des opérateurs mobiles) pour voir à quel point la mécanique de persuasion de l’opérateur de téléphonie mobile Orange était bien rodée. » Retour sur un dossier conflictuel qui oppose ces Salvetains à leurs élus : Pendant la réunion, les intéressés contestataires argumentaient sur les dangers sanitaires d’une telle antenne et sur leurs inquiétudes quant à la puissance d’émission. Les élus ont défendu le service apporté aux Salvetains et minimisé les risques en insistant vivement sur les dangers liés aux portables et aux équipements domestiques sans convaincre les membres du collectif d’un déplacement de l’antenne de quelques mètres afin de la cacher dans les arbres. Pour ces derniers : « la taille de l’antenne (30 m) dépasse largement les arbres et le problème sanitaire demeure, les données techniques présentes dans le dossier laissent penser qu’Orange ne se contente pas de réaliser le complément de couverture du quartier » dénonce le collectif autour des zones d’ombre. Le désaccord reste entier d’autant que joint par téléphone, le négociateur d’Orange n’aurait pas voulu donner la puissance réelle de l’antenne ni commenter le chiffre de 1V/m, puissance maximale évoquée oralement par l’opérateur selon la mairie. Cet engagement oral concrétisé serait une nouveauté dans le dossier. Alors que la norme se situe à 3V/m depuis 2006, l’opérateur ne s’est pour l’instant engagé par écrit qu’au respect de la norme de 2002 : 41V/m, ajoute- t-on. « Une rencontre serait possible fin juin soit après le montage de l’antenne ! »

Le maire, Philippe Dauvel, s’efforce de répondre à la demande croissante : « Au collège presque tous les enfants ont un mobile, il faut donc du réseau, j’ai moi-même des proches qui vivent dans ce quartier, croyez-vous que je prendrai le risque de les exposer eux aussi ! » conclut-il.

SOURCE : http://www.ladepeche.fr/article/2012/06/12/1375206-la-salvetat-saint-gilles-antenne-relais-le-collectif-oppose-au-projet-ne-desarme-pas.html

 
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Implantation des antennes relais de téléphonie mobile, exposition des riverains aux champs électromagnétiques et santé publique 13 ème législature

Question écrite n° 23683 de Mme Françoise Laborde (Haute-Garonne – RDSE)

publiée dans le JO Sénat du 07/06/2012 – page 1329

Mme Françoise Laborde attire l’attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur les conséquences en matière de santé publique de l’implantation des antennes relais de téléphonie mobile, suite notamment à l’exposition des riverains aux champs électromagnétiques. 
Le déploiement des réseaux de téléphonie mobile a engendré la dissémination d’une multitude d’« antennes relais » sur l’ensemble du territoire. Ce phénomène s’est aggravé avec l’introduction d’un quatrième opérateur sur ce marché et avec le passage à la téléphonie mobile de quatrième génération. Ces innovations, si elles constituent un progrès technique indéniable, soulèvent de vives inquiétudes auprès d’un nombre de plus en plus important de riverains, vivant à proximité de ces antennes ou des lieux prévus pour leur installation. C’est le cas en Haute-Garonne, notamment à Balma, à Mondonville ou encore à Launac, où l’on a pu constater la forte mobilisation des populations. Outre les critiques sur les seuils d’exposition aux champs électromagnétiques générés par ces antennes, les collectifs de riverains dénoncent le manque de concertation et d’information. Cette inquiétude est renforcée par les résultats contradictoires des études scientifiques réalisées sur la dangerosité des ondes et des champs magnétiques. Face à cette situation, le précédent Gouvernement s’est borné à organiser une table ronde « Radiofréquences, santé, environnement », en 2009, ayant débouché sur divers groupes de travail et un comité opérationnel, le COMOP. Malgré la publication de « 10 grandes orientations », sur le terrain, les mécanismes de concertation prévus entre les communes et les opérateurs téléphoniques n’apportent pas de réponse à l’inquiétude des riverains, comme en témoignent les cas précités. Pis, depuis l’arrêt du Conseil d’État du 26 octobre limitant les pouvoirs des maires en matière d’implantation des antennes relais, ces craintes sont renforcées. 
Dans ce contexte, elle s’inquiète de l’absence d’application du principe de précaution, principe constitutionnel depuis 2005, mais dont les contours demeurent flous, en particulier dans ce secteur d’activité. Elle estime que ce sont tous les mécanismes de gouvernance relatifs à l’implantation et à la règlementation des antennes relais qui sont à revoir. Pour répondre à ces interrogations, elle lui demande de lancer une réflexion sur la révision des seuils d’émission des antennes relais. Ces derniers sont fixés par le décret n° 2002-775 du 3 mai 2002, avec comme plafond : 41, 58 et 61 volts par mètre (V/m), suite à la recommandation du Conseil de l’Union européenne 1999/519/CE du 12 juillet 1999, et elle indique que, depuis cette date, plusieurs États membres de l’Union européenne ont choisi d’abaisser les seuils en question, au motif du principe de précaution.

En attente de réponse du Ministère des affaires sociales et de la santé.

source : http://www.senat.fr/questions/base/2012/qSEQ120623683.html

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Appel international de plus de 1000 médecins allemands pour la réduction de la pollution électromagnétique – Juin 2012

Association Robin des Toits
Aujourd’hui, dix ans plus tard, nous en tant que médecins nous en appelons à nouveau à la communauté internationale. Nous sommes profondément préoccupés. Malgré tous les avertissements, de plus en plus de nouvelles technologies sans fil sont introduites dans nos vies: les réseaux de téléphones cellulaires, TETRA, LTE, téléphones sans fil, Wi-Fi, les moniteurs pour bébé, les compteurs sans fil, la radio et la télévision numérique et bien d’autres.Toutes ces technologies sans fil surchargent les voies biophysiques de communication cellulaire dans les systèmes vivants avec des couches et des densités croissantes de champs électromagnétiques.

La vie humaine, animale, végétale est contrôlée par des champs électromagnétiques (EMF) et des signaux naturels. Dans ces domaines les techniques et les fréquences peuvent interférer profondément avec les processus biologiques de la communication et du métabolisme cellulaire.

Initialement, le pouvoir d’auto-guérison des êtres vivants sera de compenser les déséquilibres à travers des mécanismes de contrôle finement réglés. Le Stress électromagnétique prolongé, cependant, peut conduire à un manque chronique d’énergie et aux maladies qui en résultent.

Les conséquences de cette déficience fondamentale de l’autorégulation ont maintes fois été démontrée dans des études scientifiques:

– l’agglutination des globules rouges,

– la perméabilité accrue de la protection par la barrière hémato-encéphalique,

– des changements dans l’activité des ondes cérébrales et du rythme cardiaque,

– la libération des déséquilibrée des neurotransmetteurs et des hormones (en particulier l’augmentation des hormones de stress),

– des troubles du système immunitaire,

– des dommages au matériel génétique,

– la baisse de fertilité,

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Plainte d’un enseignant demandant le démantèlement d’antennes-relais dans son lycée

NOUVELOBS    Créé le 11-06-2012 à 17h55 – Mis à jour à 17h55

Un enseignant de Nanterre (Hauts-de-Seine), qui réclame le démantèlement d’antennes-relais de Bouygues Telecom situées sur le toit de son lycée, a porté plainte contre X au pénal, estimant que les ondes émises peuvent constituer un risque sanitaire, a-t-on appris lundi de sources concordantes.

Le niveau des champs électro-magnétiques relevés près du gymnase du lycée Joliot-Curie pourrait « provoquer des dysfonctionnements d’appareils tels que des défibrillateurs ou des pace-makers » et constituer « un danger pour les élèves et personnels du lycée », a affirmé à l’AFP le professeur Frédéric Bailleux. Le dépôt de sa plainte a été confirmé par une source judiciaire.

« Les niveaux d’exposition sont faibles et tout à fait conformes à la réglementation », a pour sa part assuré à l’AFP Jean-Philippe Desreumaux, directeur de fréquences et protection chez Bouygues Telecom, se basant sur les résultats d’un rapport commandé fin 2011 par l’opérateur de téléphonie mobile à un laboratoire de mesures de champs électro-magnétiques.

Sollicité par M. Bailleux, le Criirem (Centre de recherche et d’information indépendantes sur les rayonnements électromagnétiques) conteste les conclusions de ce même rapport.

« Le Criirem n’est pas habilité à effectuer ce type de mesures et inquiète inutilement les gens », estime Jean-Philippe Desreumaux.

Dans sa plainte, M. Bailleux affirme par ailleurs que le contrat passé en 1995 pour l’installation des antennes-relais serait arrivé à terme en 2009, ce que dément une autre source chez Bouygues Telecom.

Selon l’enseignant, l’opérateur de téléphonie mobile aurait proposé de déménager les antennes-relais « à l’autre bout du bâtiment ». Une information non confirmée par Bouygues Telecom, qui dit simplement « être en relation » avec le proviseur de ce lycée, qui accueille environ 1.300 élèves.

Contacté par l’AFP, l’intéressé n’a pas pu être joint. D’après M. Bailleux, sept autres enseignants du lycée auraient porté plainte.

En 2008, le tribunal de grande instance de Nanterre avait condamné Bouygues Telecom à démonter une antenne-relais à Tassin-La-Demi-Lune (Rhône) pour « risque potentiel sur la santé ».

SOURCE : http://tempsreel.nouvelobs.com/education/20120611.AFP9030/plainte-d-un-enseignant-demandant-le-demantelement-d-antennes-relais-dans-son-lycee.html

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Législatives: les élus d’un village anti-THT, réquisitionnés, démissionnent

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La DEPECHE.pf    Publié le dimanche 10 juin 2012 à 04H38

Législatives: les élus d'un village anti-THT, réquisitionnés, démissionnent_1

Des militants anti-THT déchirent leur carte électorale dna sun bureau de vote à Chefresne, dans la Manche, le 10 juin 2012

Les élus d’un village de la Manche traversé par la ligne à très haute tension (THT) du futur réacteur EPR de Flamanville ont démissionné après avoir été réquisitionnés pour organiser le scrutin législatif, qu’ils voulaient boycotter, a-t-on appris dimanche auprès du maire.

« Le conseil municipal, réuni samedi soir, a décidé en bloc de démissionner après que les gendarmes ont débarqué dans l’après-midi chez tous les conseillers municipaux avec des ordres de réquisition », a indiqué à l’AFP le maire du Chefresne, Jean-Claude Bossard, confirmant une information de Ouest-France.

Les dix conseillers municipaux du Chefresne (310 habitants), tous réquisitionnés, assuraient cependant la tenue du scrutin dimanche, conformément à la réquisition de la préfecture, a indiqué l’élu.

Le conseil municipal avait voté vendredi soir, à l’unanimité et « opposition comprise », le boycott du scrutin pour protester contre le tracé de la THT et un placement en garde à vue de M. Bossard intervenu mercredi.

« Nous sommes indignés de mon arrestation arbitraire et politique, avec douze heures de garde à vue, alors que, ceint de mon écharpe, je voulais faire respecter un arrêté municipal », a déclaré le maire.

Cet arrêté pris en 2008 et non invalidé interdit à la ligne THT de passer à moins de 500 mètres des habitations du Chefresne, alors que le tracé en cours de construction la fait passer « à moins de 150 mètres », souligne M. Bossard.

« La préfecture avait été informée dès jeudi de notre intention de boycott et nous avait assurés qu’elle prendrait les dispositions pour que le scrutin puisse être organisé sans réquisitions, d’où notre indignation », a-t-il indiqué.

Maire depuis 2001 et candidat Europe Ecologie Les Verts aux régionales de 2010, M. Bossard est l’un des élus fer de lance de l’opposition au tracé de la THT Cotentin-Maine.

La démission de son conseil municipal, qui doit être validée dans les 30 jours par la préfecture, est irrévocable, a-t-il souligné. « Si nous démissionnons, c’est parce qu’on ne peut plus travailler dans ces conditions. Il n’est pas question de se représenter. »

La préfecture de la Manche a confirmé que le scrutin se déroulait de façon satisfaisante et a précisé que la réquisition des élus, qui s’apparente « plutôt à une mise en demeure », était, selon le code électoral, une étape préalable obligatoire avant une éventuelle organisation d’un scrutin directement par ses services.

© 2012 AFP

SOURCE : http://www.ladepeche.pf/article/france/legislatives-les-elus-dun-village-anti-tht-requisitionnes-demissionnent

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Les antennes-relais leur hérissent le poil

   PUBLIÉ LE 09/06/2012 07:20 | GILLES-R. SOUILLÉS

Le réseau d'antennes-relais continue à se développer… en silence./Photo DDM, Michel Viala

Le réseau d’antennes-relais continue à se développer… en silence./Photo DDM, Michel Viala

Tabou ! Alors qu’il n’y a jamais eu autant de demandes d’implantations d’antennes-relais en ville (développement du réseau Free oblige), la plus grande discrétion est de mise sur le sujet chez les opérateurs comme pour les collectivités publiques. Sans doute pour éviter les levées de boucliers, qui se multiplient autour des nuisances supposées des ondes électromagnétiques.

Ce matin, le collectif toulousain Antennes 31 veut une nouvelle fois alerter l’opinion sur l’absence de réglementation contraignante pour les industriels. « La concurrence crée une frénésie, dans un contexte de vide juridique. Ils considèrent l’espace public comme leur far-west », dénonce l’association en appelant à une prise de conscience « devant l’urgence » d’une remise en cause du système de décision publique. « Nous devons exiger que des mécanismes décisionnels solides soient mis en place pour que la technologie sans fil ne mette pas notre santé en péril » plaident les opposants.

JUSQU’À 10 000 € DE REDEVANCE PAR AN

Pour l’heure, les opérateurs n’ont qu’à demander pour être servis. Il suffit de déposer un permis de construire auprès de la municipalité, visé ensuite par l’architecte des bâtiments de France et le tour est joué. À Toulouse, un moratoire a bien été voté en 2008 pour interdire les antennes-relais sur les bâtiments publics, mais sur les autres toits « privés », les affaires continuent. Avec des redevances qui peuvent aller jusqu’à 10 000 euros par an, les syndics d’immeuble sont moins réticents à donner leur aval… Pour le reste les municipalités ne manquent pas de rappeler que les pouvoirs d’opposition du maire en la matière restent limités au code de l’urbanisme. Seule contrainte connue : les antennes ne peuvent pas être implantées dans un rayon de 500 mètres autour d’établissements recevant du public comme les écoles. Une zone loin d’être toujours respectée. Mais au Capitole, on pointe aussi la responsabilité du tribunal administratif qui rejette régulièrement les recours des riverains. Bref, chacun se renvoie la balle et les antennes poussent. Et chez Free, on fait savoir « qu’on ne communique pas sur le déploiement de son réseau ».


Des effets mal connus

En juin 2011, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a pris la décision de classer les ondes de la téléphonie mobile dans la catégorie des agents « cancérogènes possibles ». Confirmant par là même un rapport publié en 2009 par l’Agence française de sécurité sanitaire de l’environnement et du travail (AFSSET) qui évoquait un domaine « incertain ».

L’AFSSET soulignait également « qu’il existe des signaux suffisants d’effets biologiques ». Et la majorité des scientifiques s’accorde aujourd’hui a minima pour l’application du principe constitutionnel de précaution. Mais sur le terrain, rien ne bouge.


Les normes sont-elles suffisantes ?

Actuellement, un maire ne peut s’opposer à l’implantation d’infrastructures, à l’exception de celles qui relèvent du domaine public non routier, et son rôle reste pour l’essentiel cantonné à de la médiation. Les Verts veulent une loi qui leur accorde les moyens de réguler les antennes relais en fonction de critères précis. Mais ils remettent aussi en cause la réglementation nationale sur l’exposition aux ondes de téléphonie mobile jugée insuffisante. Aujourd’hui la loi, qui repose sur des textes de 1999, fixe la valeur limite d’exposition aux ondes UMTS à 61 V/m, alors que plusieurs pays de l’Union européenne ont réduit cette limite d’exposition à 3 V/m. L’Autriche a même été plus loin en fixant cette limite à 0,6 V/m. « Valeur reconnue comme le meilleur compromis entre la préoccupation de santé publique et celle du fonctionnement du service de téléphonie mobile »., notent les écologistes. En pleine explosion de la téléphonie mobile, il s’agit pour eux du principe minimal de précaution et de protection de la population aux effets des champs électromagnétiques.

SOURCE :  http://www.ladepeche.fr/article/2012/06/09/1373855-les-antennes-relais-leur-herissent-le-poil.html

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Communiqué Antennes 31 : Appel à manifester des collectifs de Midi-Pyrénées le samedi 9 juin 10h 30 à Toulouse place du Capitole.

Banderole

9 juin 10h30 à Toulouse
   Manifestation Place du Capitole -> Place du Parlement
   organisée par le Collectif ANTENNES 31

APPEL à tous les collectifs luttant contre l’implantation d’antennes de téléphonie mobile et contre les autres technologies de communication sans fil : venez vous rencontrer ce jour-là dans le cortège, avec votre pancarte/banderole.

APPEL à tous les particuliers, toutes les organisations, venez rencontrer des lanceurs d’alerte qui vous feront découvrir ce problème de santé publique qui se pose à nous tous et tout de suite.

Depuis la nuit des temps, les animaux et les plantes sont soumis au champ magnétique terrestre. 1997-2012 : depuis quinze ans, nous assistons à une augmentation vertigineuse de l’exposition des cellules vivantes aux ondes électromagnétiques pulsées.

Les conséquences sur la santé humaine sont totalement ignorées par le pouvoir, de par sa structure décisionnelle qui est la proie facile des lobbies.
L’absence de réglementation contraignante pour les industriels développeurs les autorise à considérer l’espace public comme leur « far-west ». La population, comme des indiens incrédules devant tant de misanthropie, laisse faire puisque pour la plupart d’entre nous, les effets neurologiques de l’exposition aux ondes sont imperceptibles à court terme.

Voici ce qu’écrivait le médecin Maurice Tubiana pour l’Organisation Mondiale de la Santé en 1957 : « Du point de vue de la santé mentale, la solution la plus satisfaisante pour l’avenir des utilisations pacifiques de l’énergie atomique serait de voir monter une nouvelle génération qui aurait appris à s’accommoder de l’ignorance et de l’incertitude. »
Ceci était formulé pour le nucléaire, le même cynisme semble être appliqué à l’utilisation irraisonnée de champs électromagnétiques artificiels nocifs. Et pourtant les populations financent des agences censées protéger leur santé.

Antennes 31, par cette manifestation, appelle à une prise de conscience de la population devant l’urgence d’une REMISE EN CAUSE du système de décision publique : nous  devons exiger que des mécanismes décisionnels solides soient mis en place pour que la technologie sans fil ne mette pas notre santé en péril.


Contact : Contact@antennes31.org

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