Ramonville-Saint-Agne. Antennes relais : quel danger ?

   PUBLIÉ LE 26/10/2011 03:46 | B.M.

Des mesures ont été réalisées près de la tour TDF./Photo DDM

Des mesures ont été réalisées près de la tour TDF./Photo DDM

Nos antennes relais présentent-elles un danger ? Lors d’une réunion publique, trois représentants des bureaux d’étude Aexpertise, Apave et Veritas ont présenté les résultats des mesures des champs magnétiques à Ramonville, effectuées les 30 et 31 mai derniers. Ces bureaux d’étude ont été respectivement mandatés par les trois opérateurs de téléphone mobile : Orange, SFR et Bouygues Telecom. La mesure de ces ondes (radios, téléphone, wifi, 3G…) permet d’évaluer le niveau d’exposition des riverains et de comparer ces niveaux avec le seuil limite d’exposition imposé par la loi (qui est de 28 voltmètres pour la plupart des fréquences). Les mesures ont été effectuées sur différents sites, près des antennes relais : la tour TDF, la place Marnac, près de la route de Narbonne, le quartier des services techniques, près du métro et à Port-Sud. Comparés aux résultats de 2009, les niveaux ont peu évolué. Sans surprise, les fréquences les plus importantes sont celles du téléphone portable (GSM 900) et de la radio FM. Le niveau d’exposition est de l’ordre de 2 % par rapport au seuil limite d’exposition. Un public de Ramonvillois avertis et avisés a assisté à cette réunion publique, dont le collectif Antenne 31. Le public a pu parler avec les différents représentants des bureaux d’étude et de TDF et s’informer sur le protocole de ces mesures. De nombreuses questions ont nourri le débat quant à la fixation du seuil limite imposé par la loi. Du côté d e la municipalité, on souhaite que ce type de campagne soit réalisé régulièrement pour suivre l’évolution de ces émissions et en informer les Ramonvillois et Ramonvilloises. Pour marquer son intérêt et sa vigilance, la ville mène actuellement une réflexion avec les opérateurs afin d’établir une charte de bonne conduite. Un arrêté pourrait également voir le jour en fixant un périmètre à respecter autour des zones sensibles.

Les résultats de ces analyses détaillées sont disponibles sur le site www.cartoradio.fr

SOURCE : http://www.ladepeche.fr/article/2011/10/26/1201450-ramonville-saint-agne-antennes-relais-quel-danger.html


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La Ville de Paris part en guerre contre les antennes-relais

    | 25.10.11 | 14h43   •  Mis à jour le 25.10.11 | 15h34

Jusqu’où ira l’affrontement entre la Ville de Paris et les opérateurs de téléphonie mobile ? Les négociations devant aboutir au renouvellement de la charte qui les liait depuis 2003 sont suspendues et la ville menace de démonter les 186 antennes-relais installées sur les bâtiments municipaux (sur les 1 200 présentes sur le territoire communal).

Les protagonistes devaient se retrouver autour de la même table avec des représentants de l’Etat et de la société civile, mardi 25 octobre, à l’occasion d’un comité opérationnel de concertation, né du “Grenelle des ondes”. Au menu : des simulations et des expérimentations in situ de baisse des seuils d’exposition du public aux ondes électromagnétiques émises par les antennes-relais. Les 14e et 15e arrondissements de la capitale participent à cette session de travaux pratiques parmi dix-sept collectivités locales pilotes.

Le dénouement du conflit n’est cependant pas en vue. La mairie de Paris, sansmâcher ses mots, a fait savoir qu’elle “condamne” l’attitude de Bouygues, Orange, SFR et Free, à qui elle reproche leurs “exigences inacceptables” tant en matière de puissance d’émissions des antennes-relais que sur le processus de concertation des élus et des riverains – qui se traduirait par exemple par une “réduction drastique des délais d’instruction”, selon la municipalité.

La ville reproche également aux opérateurs de vouloir minorer leurs obligations d’intégration paysagère. Elle déplore “un recul dans le dialogue” sur un sujet qui préoccupe une grande partie de ses concitoyens, “soucieux d’un accès aux technologies de communication, mais aussi très vigilants sur les enjeux sanitaires”.

“Il existe un doute sur ces ondes qui prêtent à tous les fantasmes, observe Mao Péninou (PS), adjoint au maire chargé de la qualité des services publics. La qualité de l’information et la transparence sont donc essentielles dans ce dossier.”

Pour montrer qu’il ne s’agit pas de simples déclarations, la mairie avait annoncé, lundi 17 octobre, qu’elle suspendait toute nouvelle installation sur des sites lui appartenant. Trente-cinq demandes sont ainsi gelées. “Si les opérateurs ne reviennent pas à la raison, prévient Mao Péninou, nous passerons par les tribunaux, même si cela doit prendre un an ou deux.”

La Fédération française des télécoms (FFT) qui regroupe les opérateurs à l’exception de Free, se dit “surprise” par la réaction parisienne. “Nous sommes dans une volonté d’apaisement”, assure Jean-Marie Danjou, directeur général délégué du collège “mobile” de la FFT.

Dans un communiqué, celle-ci affirme vouloir que “Paris soit une capitale numérique exemplaire tant par la couverture, la qualité de service et les débits de l’Internet mobile que par ses dispositifs d’information, de concertation, d’attention aux préoccupations de certains riverains.”

Elle annonce son intention de s’attaquer au traitement “des points dits atypiques”, où l’exposition peut atteindre 10 à 15 volts par mètre (V/m). Mais ce n’est pas la revendication de la mairie de Paris qui demande qu'”un seuil d’exposition le plus bas possible” soit retenu pour l’ensemble du territoire communal.

En 2003, tenant compte notamment de sa densité de population, les opérateurs avaient accepté de traiter la capitale avec plus d’égards que le reste des communes françaises. La charte qu’ils avaient signée comportait un seuil maximum d’exposition de 2 V/m en moyenne sur vingt-quatre heures, ce qui correspond à 4,5 V/m en émission maximale. La municipalité espérait une nouvelle baisse à l’occasion du renouvellement de cet accord.

Comme d’autres communes, Paris est de plus en plus interpellée par la population qui lui demande de faire éloigner les antennes-relais des écoles maternelles, notamment. Mais les initiatives des élus dans ce sens ont jusqu’à présent été désavouées. Le 30 septembre, devant le Conseil d’Etat, le rapporteur public a ainsi plaidé pour qu’il soit rappelé aux édiles de trois communes (Les Pennes-Mirabeau, Saint-Denis et Bordeaux) que ce pouvoir n’est pas de leur ressort, mais de celui de l’Agence nationale des fréquences (ANFR). Pour cette dernière, les seuils restent de 41 V/m pour une émission correspondant à la 2G (GSM) et de 61 V/m pour la 3G (dont l’UMTS). Ces valeurs maximales ont été arrêtées en 2002 à partir de recommandations européennes dantant de 1999.

Reste qu’une partie de l’opinion publique exprime une inquiétude grandissante au fur et à mesure que le nombre d’antennes explose (ces installations sont recensées sur cartoradio. fr, le site de l’ANFR). Et l’arrivée de la quatrième génération (4G) va se traduire par un déploiement supplémentaire sur le territoire.

A la veille de délivrer les premières licences pour le très haut débit mobile, le gouvernement s’inquiète du conflit parisien. Le ministre de l’industrie, de l’énergie et de l’économie numérique, Eric Besson, a pris fait et cause en faveur des opérateurs dès le 18 octobre en fustigeant “la décision unilatérale de la mairie de Paris”. L’intervention n’était pas de nature à apaiser la situation. Elus et associations aimeraient en effet que le gouvernement se saisisse du dossier non pour attiser la querelle mais pour faciliter un compromis.

Martine Valo

SOURCE : http://www.lemonde.fr/technologies/article/2011/10/25/la-ville-de-paris-part-en-guerre-contre-les-antennes-relais_1593511_651865.html

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BARJAC (GARD)Gaz de schiste : 6 500 personnes manifestent

Le Dauphiné Libéré   Le cortège, avec les élus en tête, s’est déroulé dans les rues de Barjac.

les élus en tête, s’est déroulé dans les rues de Barjac.

Hier, à Barjac (dans le Gard), s’étaient donné rendez-vous les différents collectifs luttant contre l’exploitation du gaz de schiste. Ils étaient 6 500 à se déplacer d’Ardèche, de Drôme, d’Aveyron, de l’Hérault et du Gard. Un lieu de rassemblement symbolique puisque Barjac est actuellement concerné par le permis du bassin d’Alès.

Le but de la journée était de maintenir la vigilance. « L’abrogation le 12 octobre des permis de Nant, Montélimar et Villeneuve-de-Berg ne solutionne en rien la problématique. Et ce, sur l’ensemble de la France », a déclaré Michel Mariton, porte-parole du collectif ardéchois.

José Bové en invité surprise

Les textes abrogeant ces trois permis n’auraient, en effet, aucune valeur juridictionnelle. De plus, il reste 61 permis en cours sur le territoire français « et 88 demandes en attente », précise-t-il.

L’Ardèche est concernée par les permis de la plaine d’Alès et du bassin d’Alès. « De nombreux permis sont à cheval sur plusieurs départements, explique Michel Mariton. Notre intention est donc d’agir main dans la main ».

Une idée soutenue par Joël Jolivet, membre du collectif gardéchois et maire d’une commune concernée par le permis du bassin d’Alès : « Ensemble, nous permettons une mobilisation plus forte et une meilleure analyse de la situation. » José Bové, invité surprise, a pris le micro pour encourager les manifestants.

SOURCE : http://www.ledauphine.com/ardeche/2011/10/23/gaz-de-schiste-6-500-personnes-manifestent

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Communiqué de presse : environnement Lancement de l’Enquête Nationale Santé Linky

Accueil Lyon Communiqués : les communiqués de presse en direct Lyon & Rhône-Alpes Avec  NEXT-UP organisation communiqué le 24/11/2011

L’Organisation Next-up qui est une ONG spécialisée dans l’étude des champs électromagnétiques va lancer la première Enquête Nationale Santé Linky auprès des 250 000 foyers français qui sont déjà équipés du nouveau compteur d’ERDF.
Suite à l’installation en phase test du compteur Linky, le Ministre de l’Industrie, de l’Énergie et de l’Économie Numérique Eric Besson a fait le 28 septembre 2011 l’annonce de sa généralisation à tout le territoire français ce qui représente 35 millions de compteurs à installer et en projection financière 4 à 6 milliards d’euro d’investissement.

La Directive Européenne 2009/72/CE prévoyait p 64 réf 55 : “Il devrait être possible de baser l’introduction de systèmes intelligents de mesure sur une évaluation économique. Si cette évaluation conclut que l’introduction de tels systèmes de mesure n’est raisonnable d’un point de vue économique et rentable que pour les consommateurs dépassant un certain niveau de consommation d’électricité, les États membres devraient pouvoir tenir compte de ce constat lors de la mise en place des systèmes intelligents de mesure.”
Néanmoins, sans attendre le retour de l’évaluation économique, la Commission de Régulation de l’Énergie (CRE) a bousculé le calendrier prévisionnel en lançant en procédure accélérée le 10 février 2011 au BOAMP (Bulletin officiel des Annonces des Marchés Publics) l’appel d’offres concernant l’Étude technico-économique portant sur le projet de système de comptage évolué “Linky” d’ERDF.
Cette action d’emballement de la CRE bouscule non seulement le calendrier prévisionnel des études d’évaluations du Linky sur leurs conformités, mais ne répond pas aux exigences de la Directive Européenne qui n’ont pas été préalablement transposées concernant les intérêts des consommateurs pour le nouveau compteur, à savoir si le compteur n’est pas rentable pour les consommateurs, les États doivent en tirer les conclusions qui s’imposent. 

Parallèlement concernant les effets éventuels des rayonnements électromagnétiques du Linky sur la santé il est constaté la même démarche, concrètement aucune étude d’impact sur la santé n’a été réalisée avant ou après son déploiement dans la phase test et il en est prévu de même pour sa généralisation dans les foyers français.   

Pour rendre son compteur Linky communiquant ERDF va modifier le courant électrique 50 Hz en y injectant sur sa porteuse un signal radiatif de type CPL en kHz qui va irradier tout le réseau Basse Fréquence du territoire, ceci jusque dans les appartements et les chambres des enfants par le maillage des câbles électriques des maisons.
Des mesures de champs électromagnétiques qui ont été réalisées chez les particuliers possédant un Linky, démontrent que les valeurs de rayonnements artificiels sont d’environ 17,5 V/m ce qui n’est pas négligeable même si les normes actuelles des rayonnements sont respectées par ERDF. 
De nombreuses études scientifiques démontrent que bien en dessous des normes le CPL est nocif pour la santé s’il n’est pas déployé avec des câbles électriques anti-rayonnements blindés. ERDF à ce jour n’envisage pas cette option de protection sécuritaire. Ce qui aggrave la nocivité des rayonnements du CPL du Linky c’est la notion de dose puisque la durée d’exposition des personnes dans leurs appartements sera pérenne et de surcroit en champs proches la puissance radiative sera maximum.
Il est donc constaté qu’ERDF n’a pas intégré un volet environnemental complet pour lutter contre l’Electrosmog dans le développement du compteur Linky par un protocole rigoureux d’impact sur la santé de la population. 

Le 22 octobre 2011 dans un débat en direct Marc Boileau directeur de la stratégie à ERDF a répondu en ces termes à Serge Sargentini le coordinateur de Next-up organisation qui lui exposait le problème : “ERDF a lancé des études par sa branche Recherche et Développement sur les effets sur la santé du CPL” et qu’ “ERDF est convaincue aujourd’hui qu’il n’y a aucun effet sur l’organisme humain et évidement comparé à tout ce qui existe dans la maison comme le WiFi, la 3G, etc … C’est absolument … heu, … sans impact aucun” a déclaré Marc Boileau.
Il est maintenant prouvé en 2011, face aux réalités des pollutions environnementales, que les modèles des normes actuelles basés sur le concept dits des faibles doses mis en place il y a plus de deux décennies sont totalement obsolètes, en conséquence pour savoir exactement qu’elle est l’impact sur la santé de la population française des rayonnements du Linky, Next-up organisation lance l’Enquête Nationale Santé Linky auprès des français qui sont déjà équipés du nouveau compteur d’ERDF.
Santé Publique oblige l’organisation souhaite et espère que des milliers de personnes équipées du nouveau compteur Linky répondront à l’Enquête Nationale Santé Linky afin qu’elle soit crédible.
Les résultats de cette vaste enquête qui seront consultables par tous, notamment des autorités de santé, permettront de déterminer en toute transparence et avec exactitude si le compteur Linky est nocif ou pas pour la santé humaine. 

Parallèlement les ingénieurs informaticiens de l’organisation vont prochainement lancer un sondage national sur
la perception du Linky auprès d’un large échantillon représentatif de 100 000 personnes de la population française.

SOURCE :  http://www.lyon-communiques.com/communiques/lancement-de-l-enquete-nationale-sante-linky-c73071.htm

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GEOLOCALISATION. Mon téléphone, cet espion

nouvelObs.com, journal d'actualité en temps réel   Publié le 18-10-11 à 17:24    Modifié le 21-10-11 à 09:31     par Boris Manenti

Via les réseaux téléphoniques ou les puces GPS, les mobiles se transforment facilement en véritable mouchard.

Une écoute téléphonique, dans le film "Le 4ème protocoleé de Michael Caine (AFP)

Une écoute téléphonique, dans le film “Le 4ème protocoleé de Michael Caine (AFP)

3G est-il synonyme de KGB ? En avril dernier, deux chercheurs britanniques ont révélé que l’iPhone, téléphone multifonctions d’Apple, enregistre et conserve en mémoire tous les déplacements de son porteur.

Malgré un correctif, l’opinion publique découvre alors que les smartphones tant vantés sont de formidables mouchards de poche. Suivre à la trace les consommateurs, c’est l’obsession des opérateurs de téléphonie et des réseaux sociaux.

Apple vient d’ailleurs de lancer à grand renfort de publicité la page de son application “Localiser mes amis” sur iTunes. Compatible avec l’appareil iOS 5, elle permet d’envoyer une requête à ses proches pour savoir où ils sont. Apple aussi.

L'application "Localiser mes amis" d'Apple (Capture d'écran)

Géolocalisé en permanence

La marque à la pomme n’est évidemment la seule à vous pister. Tous les mobiles dits de nouvelles générations ont une fonction de localisation embarquée. Elle peut rendre bien des services mais transforment de facto ces produits en mouchard.

Un téléphone peut être en permanence géolocalisé via le réseau téléphonique (par rapprochement avec les 35.000 relais de France) ou via les puces GPS. On connaissait la fameuse “fadette” (pour “Facture détaillée”, c’est-à-dire la liste des appels passés et reçus) obtenue par la police sur simple réclamation à l’opérateur, mais le mobile est capable de bien pire. A l’insu de l’utilisateur, il peut enregistrer les conversations, copier les SMS entrants et sortants, voire même écouter en temps réel autour du téléphone et enregistrer la vidéo captée par l’objectif. Surtout, il peut transmettre des données y compris lorsqu’il est éteint.

Des possibilités accessibles aux forces de l’ordre sur commission rogatoire d’un juge ou sur autorisation du Premier ministre, mais aussi aux particuliers qui s’équiperaient de logiciels (illégaux) en vente sur internet. Ils font un carton.

Boris Manenti – Le Nouvel Observateur

Source : http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20111018.OBS2741/geolocalisation-mon-telephone-cet-espion.html

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Montpellier : ANTENNES RELAIS TELEPHONIE MOBILE "Conférence-débat Environnement Droit Santé"

Les Technologies sans fil et notre Santé

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Nous souhaitons vivement votre participation, votre présence est bien sûre indispensable !!!

A diffuser très largement à tous vos contacts

Merci de votre soutien !!!

Coordination Régionale Ondes Santé Robin des Toits Languedoc  Roussillon        
Pour une technologie numérique respectueuse de la santé publique 

Le Délégué régional Robin des Toits Bruno Goupille

Pour tous renseignements vous pouvez nous contacter au 04 67 39 04 91
ou par Mail : cros.robindestoits@laposte.net

24, Impasse Alfred NOBEL 34500 Béziers

Membre de l’association nationale :
Robin des toits http://www.robindestoits.org/

Bien cordialement,
Nathalie OUZOULIAS
Robin des Toits Gard / Lozère
http://www.robindestoits.org/

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Première mondiale scientifique avec les EHS de France: La preuve des encéphaloscans comparatifs.

Les EHS ont le droit de vivre, mais en France face à la pression des lobbies c’est une absence de toute reconnaissance, ce droit inaliénable ne leur est pas à ce jour octroyé.
Pour survivre ils n’ont pas le choix, il est donc légitime qu’ils prennent leur devenir en main comme d’autres l’ont fait en 1940 face à un gouvernement “légitime” qui était totalement inféodé à un pouvoir illégitime.
L’ignorance sur les notions de bases de l’électromagnétisme est savamment entretenue par les lobbies : C’est l’énergie électromagnétique naturelle qui est à l’origine de la théorie du créationnisme de la vie sur terre, celui-ci se calque en complément de la théorie de l’évolutionnisme de Darwin.
Pour faire simple, nous naissons tous EHS, car l’humain est totalement bioélectromagnétique, tous nos échanges cellulaires sont ÉlectroMagnétiques, nous perdons cet état à notre mort lorsque ces échanges cessent, notre électroencéphalogramme devient plat, problème : La majorité de la population est totalement ignorante de cette réalité, en d’autre terme l’état d’EHS est génétique, son degré de perception (sensibilité) est variable suivant les personnes et l’environnement.
Le principal facteur de perturbation de cet état est la nouvelle pollution électromagnétique artificielle qui n’a jamais existé sur terre jusqu’à présent, la pire de toute étant celle non confinée (sauf dans les fours) des rayonnements des communications mobiles issus du spectre de Hautes Fréquences microondes.
Pour les fréquences électromagnétiques artificielles plus courtes, cette pollution est confinée dans les … réacteurs nucléaires, c’est exactement pareil mais à une autre échelle, qui le sait ? En effet, plus la longueur d’ondes est courte, plus l’énergie dégagée est importante, c’est pour cela qu’il a des zones dites de sécurité pour les antennes relais et les téléphones mobiles [Nokia : manuel utilisateur].
Plus la longueur d’onde diminue (ex. GHz) comme pour les Répéteurs Hertziens de la TM, cela engendre une stricte interdiction de stationner dans les faisceaux d’irradiation, ceci quelque soit la distance de la source, même à des kms : l’irradiation étant létale dans un laps de temps très court.
L’interaction des CEM artificiels avec le métabolisme bioélectromagnétique humain génère des pathologies décrites dans Le Syndrome des Micro-Ondes [Dr C.Monnet  et P. le Ruz avec vidéo].
Dans la littérature scientifique c’est le Dr Richard Gauthier qui a transcrit [dossier scientifique] les mécanismes d’interactions liés à l’exposition aux Champs ÉlectroMagnétiques artificiels des HF micro-ondes dans les protéines de la membrane cellulaire ce qui déclenche des modifications en chaines, notamment les taux de calcium, l’activation d’enzymes et la fabrication des protéines de stress. Les enzymes vont d’abord activer des réactions en chaînes, puis, si le signal persiste, les protéines de stress vont bloquer diverses fabrications au sein même de la cellule dont par exemple les messagers entre les cellules du cerveau appelés neuromédiateurs, ce qui a pour conséquence
une modification de l’activité du cerveau.
Première mondiale scientifique avec les EHS de la forêt de Saoû : Encéphaloscans comparatifs.
Pourquoi avoir choisi la forêt de Saoû ? [Dossier 1 – 2]:
Il existe maintenant  en France très peu de Zones Blanches ou de lieux à faibles rayonnements EM artificiels (EHS Zones Refuges). Ces lieux, bien évidemment ne peuvent qu’être principalement des sourcement, les EHS n’ont que peu de choix de zones foncières de vie.
La forêt de Saoû dans la Drôme est un de ces lieux où les EHS peuvent survivre, néanmoins pour valider cet espace naturel sensible et inhabité une expérience a été réaliseé depuis plusieurs mois in situ C’est une première mondiale qui a demandé beaucoup de courage à Philippe, EHS, membre du collectif “Une terre pour les EHS” qui a servi de cobaye en résidant seul pendant plusieurs mois dans l’environnement particulièrement hostile de l’hiver 2009-2010 à la forêt de Saoû.
Son seul contact étant celui contemplatif des écogardes présents dans la journée à la forêt de Saoû.
La présence de Philippe, “le cobaye ermite” avec son camping-car à la forêt de Saoû n’était pas anodine, en effet il était suivi médicalement par l’ARTAC qui regroupe des scientifiques donc les recherches sont axées sur les cancers et à ce titre un groupe ayant à sa tête le Pr Dominique Belpomme travaille sur l’Électro Hyper-Sensibilité et une cohorte d’EHS.
Un État des lieux des recherches de l’ARTAC sur les CEM a été publié au 18 12 2009.
Philippe a subi divers examens médicaux conservatoires avant son séjour à la forêt de Saoû, dont un encéphaloscan dans les services du Centre d’Exploration de la Fonction Cérébrale du Dr Ph Lebar.
L’encéphaloscan est actuellement le meilleur marqueur (diagnostic) des signes de la “souffrance” cérébrale chez les personnes souffrant d’Électro Hyper-Sensibilité.
C’est une preuve scientifique de l’état d’EHS.
Cet examen donne une image de l’irrigation artérielle des zones des deux hémisphères du cerveau.
Les analyses des résultats des encéphaloscans sont basées par rapport à des écarts types de références.
Sur le diagramme en barres verticales, apparait en couleur rouge et en orange les zones correctement irriguées ; en jaune ou en bleu les zones qui souffrent d’un débit (vascularisation) insuffisant.

Diagramme 1

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Le diagramme 1 représente l’encéphaloscan de Philippe EHS avant son arrivée à la forêt de Saoû, on constate que rester exposé depuis plusieurs années à la pollution électromagnétique artificielle micro-ondes d’une ville moyenne, il est en état de faiblesse : Sur ce 1er diagramme, les valeurs des débits des diverses zones des deux hémisphères du cerveau sont très altérées.

Diagramme 2
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Le diagramme 2 représente l’encéphaloscan de Philippe EHS après trois mois de séjour dans la forêt de Saoû (zone à très faible rayonnement EM artificiel), on constate une amélioration spectaculaire des débits artériels cérébraux dans les deux hémisphères du cerveau, conséquence physique concrète : Philippe n’était plus en état d’affaiblissement.
(extrait de la feuille d’analyse médicale : L’exemple de la 5ème barre (tranche) correspondant à la zone capsulo-thalamique de l’hémisphère droit où l’on est passé d’un débit d’irrigation anormalement faible à une zone correctement irriguée).
Cette expérience scientifique est une preuve qui devrait ouvrir les yeux des autorités sanitaires sur l’impérieuse nécessité de légiférer immédiatement sur l’abaissement drastiques des seuils d’irradiation EM, la création de Zones Refuges pour les EHS dans chaque département, avec en parallèle l’instauration d’un cadastre Hertzien dans chaque commune afin que les citoyens puissent savoir les taux d’irradiation des zones d’habitat.
Pareillement tous les panneaux d’informations électroniques municipaux de France devraient comporter au même titre que l’affichage de la date ou de la température, une sonde intégrée destinée à l’affichage de la valeur de l’irradiation ambiante, cette information étant cruciale pour les personnes âgées, les femmes enceintes et toutes les personnes en état de faiblesse (malade) se trouvant in situ. 
Dans l’immédiat, les rares zones encore préservées de la pollution électromagnétique artificielle sont plus que précieuses, ce sont les seuls endroits où les EHS peuvent aller pour pouvoir améliorer leur état de santé, voire pour certains EHS cloitrés, souvent en état de faiblesse extrême, les seuls lieux où ils peuvent encore survivre. 

Source : http://www.next-up.org/pdf/EHS_Premiere_mondiale_scientifique_Encephaloscans_comparatifs_23_08_2010.pdf


Ci-dessous 2 Encéphaloscans de membres du collectif Antennes 31 exposés aux champs électromagnétiques, où l’on retrouve les mêmes caractéristiques que ci-dessus. Le second est celui d’une enfant de 11 ans déscolarisée parce qu’elle est électrohypersensible.

encephaloscan-02.JPG

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Explication du Syndrome d’Intolérance aux Champs Electromagnétiques (SICEM) par l’ARTAC

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Une antenne relais au Conseil d’Etat

Une antenne relais au Conseil d'Etat - Le Canard Enchaîné - 12/10/2011  Mercredi 12 octobre.

Les maires n’ont pas leur à mot à dire sur l’implantation des antennes de téléphonie dans leur commune. C’est Ia thèse audacieuse qu’a défendue, devant le Conseil d’Etat, le « rapporteur public » Xavier de Lesquen. Le 30 septembre, le Conseil d’Etat avait à examiner les pourvois de deux communes, Les Pennes-Mirabeau (Bouches-du-Rhône) et Saint-Denis (Seine-Saint-Denis). Leurs maires avaient chacun pris un arrêté pour restreindre, au nom du principe de précaution, l’implantation des antennes relais de téléphonie mobile. Arrêté annulé, dans les deux cas, par le tribunal administratif et la cour d’appel. Le Conseil d’Etat examinait aussi un pourvoi de SFR, qui contestait la réglementation du maire de Bordeaux sur l’implantation des antennes. 

Chargé de « dire le droit », le rapporteur n’a pas navigué entre deux eaux. Il a recommandé au Conseil d’affirmer qu’en matière d’implantation d’antennes relais « les décisions du maire ne peuvent se substituer à celles du ministère chargé des communications numériques et de l’Agence nationale des fréquences ». Autrement dit, le gouvernement décide et les maires la ferment. « La question. de la protection de la population. contre l’exposition aux ondes étectromagnétiques » n’est pas de leur « ressort », estime le rapporteur. Les opérateurs de téléphonie n’en espéraient pas tant. Pourquoi tant d’amabilités à leur endroit ? Sans doute parce que le rapporteur ne veut plus de vagues et en a assez de les voir ramer localement. 

Enarque et diplômé de l’Ecole navale, le maître des requêtes Xavier de Lesquen du Plessis Casso – ouf ! – est un marin qui sait naviguer. Il est aussi et surtout l’ancien patron du Défi Bouygues Telecom Tansiciel, qui participa, en 2000, à la Coupe de l’America avec un bateau de 60 millions de francs, dont les deux tiers ont été fournis par l’opérateur de téléphonie mobile. Cela crée des liens. 

Du coup, les municipalités craignent un jugement téléphoné… 
Sollicité par « Le Canard le rapporteur n’a pas décroché. 
Le Conseil d’Etat assure, lui, qu’« eu égard à l’ancienneté des faits » le conflit d’intérêts n’existe pas. Un avis d’expert : en janvier, son patron, Jean-Marc Sauvé, avait rendu au président de la République un rapport sur le sujet. Sans intérêt sûrement. 

Jean-Michel Thénard


Voir aussi et surtout : http://www.next-up.org/France/Paris.php


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