Pour le déplacement de l’antenne relais SFR et Orange à Lavernose Lacasse

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A l’attention de La mairie de Lavernose Lacasse 31410, Haute Garonne, France,

A l’attention des habitants de Lavernose Lacasse, et de tous les collectifs ou associations concernés.

Un pylône de téléphonie mobile de 35 mètres de haut est implanté à Lavernose Lacasse au lieu dit du “Prat de casse” à moins de 100 mètres des habitations. 
L’antenne émet des ondes de type GSM et UMTS (900 à 2100 MHz). 

De nombreuses études démontrent la nocivité des ondes électromagnétiques sur nos organismes (effets sur le système nerveux, immunitaire et endocrinien…). Aucune étude ne tend a rendre compte de l’inoffensivité des antennes relais. 

Ces résultats imposent l’application du principe de précaution reconnu par notre constitution. 

Le choix de l’emplacement pour l’implantation de l’antenne retenu en 2003 par la mairie sur le terrain communal en limite de la station d’épuration et des riverains proches, n’a fait l’objet d’aucune consultation préalable avec les concitoyens concernés. 

Nous redemandons à Monsieur le Maire de reconsidérer le choix de cet emplacement en intervenant auprès des opérateurs afin qu’un site alternatif soit recherché (à plus de 500 mètres des habitations), qui garantisse la santé et l’environnement de tous. 
Nous lui demandons plus généralement de redéfinir, pour l’avenir, des règles qui encadrent toutes installations de type GSM et UMTS et qui assurent la sauvegarde de notre santé et de notre paysage, et nécessitent une consultation citoyenne.

Nous avons besoin de votre soutien, plus nous serons nombreux, plus nous aurons de chance de préserver notre lieu de vie. 

Collectif Sans Antenne.

Signez la pétition >>

Source : http://www.lepost.fr/article/2011/07/11/2545596_pour-le-deplacement-de-l-antenne-relais-sfr-et-orange-a-lavernose-lacasse.html

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Brax. Le projet d’antenne s’éloigne

   PUBLIÉ LE 08/07/2011 10:32 | B. DV.

Les opposants au projet d'antenne sont mobilisés depuis septembre 2010./Photo DDM archives

Les opposants au projet d’antenne sont mobilisés depuis septembre 2010./Photo DDM archives

Ce n’est pas encore une victoire, mais c’est un début encourageant, pour l’association Bien vivre à Brax qui se bat depuis septembre 2010 contre l’implantation d’une troisième antenne relais de téléphonie mobile sur le territoire de la commune. Le 18 mai dernier, Bouygues Télécom a informé par courrier le propriétaire du terrain où devait être implanté le pylône de sa décision de résilier à l’amiable le bail de location signé quelque temps auparavant. « Car le bailleur n’a plus souhaité nous louer son terrain », précisait hier l’opérateur via son service de presse. Mais Bouygues Télécom n’en a pas pour autant officiellement renoncé à ses ambitions braxoises. Car s’il reconnaît avoir calé sur ce premier projet, l’opérateur refuse d’abandonner la place : « avec le concours de la mairie, nous sommes à la recherche d’un autre terrain », affirme-t-on au siège parisien de l’entreprise. A la mairie de Brax, cette collaboration revendiquée avec les élus fait doucement sourire : « C’est un peu facile de la part de Bouygues de laisser entendre que l’ensemble du conseil municipal serait d’accord. Car c’est loin d’être le cas », se défend Cathy Taborski, l’élue en charge de la communication municipale. Pour couper court à tout nouveau risque de contestation après la procédure intentée par dix-sept membres de l’association Bien vivre à Brax contre Bouygues Télécom. « Une commission extra-municipale composée d’élus et d’habitants a été créée à l’initiative de la mairie. Et désormais tout nouveau projet d’implantation d’antenne sera soumis à cette commission », poursuit l’élue.

Public ou privé ?

Exit donc les tractations directes entre opérateurs et mairie dénoncée en leur temps dans les plaquettes de Bien vivre à Brax. Reste que ce retrait de Bouygues Télécom ne clôt pas encore l’action en justice intentée contre l’opérateur par les membres de Bien Vivre à Brax. Renvoyés en première instance devant le tribunal administratif l’association et son avocate Me Judith Amalric Zemati contestent désormais devant la cour d’appel de Toulouse la mission de service public dont se prévaut l’opérateur pour justifier son droit à s’installer où bon lui semblerait sur le territoire national au nom « de l’obligation de licence qui nous oblige à couvrir 99 % de la population et à assurer la transmission des appels d’urgence ». Outre cet argument de droit repris par l’ensemble des opérateurs lorsqu’ils sont en conflit avec des habitants, la cour d’appel devra statuer sur la dangerosité de cette antenne qui devait culminer à 25 mètres au-dessus des têtes de 17 enfants en bas âge confiés à cinq assistantes maternelles, des patients de la clinique Néphrologique Saint-Exupéry, et d’une jeune femme de 26 ans attente d’une leucémie.

Source :  http://www.ladepeche.fr/article/2011/07/08/1124230-brax-le-projet-d-antenne-s-eloigne.html

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Castres. Ils font analyser leur sang pour dénoncer une antenne-relais

   PUBLIÉ LE 07/07/2011 07:40 | SYLVIE FERRÉ

Hier après-midi, des habitants de Dourgne se sont mobilisés à Castres pour effectuer des prévèlements sanguins dans l'optique de prouver que les antennes-relais ont des effets sur la santé./Photo DDM, Thierry Antoine.

Hier après-midi, des habitants de Dourgne se sont mobilisés à Castres pour effectuer des prévèlements sanguins dans l’optique de prouver que les antennes-relais ont des effets sur la santé./Photo DDM, Thierry Antoine.

Protestant contre le projet d’implantation d’une antenne-relais SFR près de leur domicile, des habitants de Dourgne ont effectué des prélèvements sanguins, hier, dans un laboratoire castrais, pour prouver, si besoin, l’impact sur la santé.

L’action se répand au fur et à mesure des projets d’implantation d’antennes-relais. Après la commune de Rivières, dans le nord du Tarn, celle de Dourgne est concernée par un projet SFR. Pour exprimer leur refus, des riverains réunis en collectif ont réalisé des prélèvements sanguins, hier après-midi, dans un laboratoire d’analyses castrais, « parce qu’il est démontré que les champs électromagnétiques (CEM) ont des effets sur la moelle osseuse et plus exactement sur ce qu’elle produit, cellules sanguines, plaquettes et globules rouges et blancs », précisent-ils. Ces analyses sont en fait une numération de la formule sanguine (NFS, analyse hématologique quantitative et qualitative des différents éléments constituant le sang).

Soutenus par le collectif Antennes 81, par l’association Robin des toits et son représentant tarnais Jean-Claude Gironde, rejoints par Claude Latger, du collectif des Riverains des antennes-relais de Castres, les manifestants dourgnols ont exprimé leurs inquiétudes par la voix de Sandrine Cabrit, 39 ans, maman de trois enfants âgés de 3 à 8 ans : « Nous avons adressé plusieurs courriers à SFR qui sont restés sans réponse. La première maison est située à 300 m de l’endroit où le projet se dessine, car des coffrets électriques ont été installés en février dernier. Depuis, nous nous mobilisons, à travers une pétition de près de 200 signatures, nous nous sommes rapprochés de la municipalité de Dourgne, où nous avons reçu des informations évasives… »

Hier, alors que la discrétion était de mise au laboratoire d’analyses, les enfants dourgnols arboraient des tee-shirts où l’on pouvait lire : « Protégez-nous ! N’abîmez pas nos têtes ! »

« On se sent petit face à SFR, confie Gilles Cabrit, mais on s’est aperçu que nous n’étions pas isolés, c’est réconfortant d’avoir un appui technique et moral. » Ces prises de sang, si cette antenne-relais existe, seront renouvelées 6 à 8 mois après son activation et les résultats seront comparés aux premiers.


L’opérateur SFR confirme le projet

Responsable environnement pour le Sud-Ouest auprès de l’opérateur SFR, Philippe Cometti assurait hier n’avoir pas eu connaissance de courriers émanant des riverains du projet dourgnol. Cependant, il a confirmé : « Cette implantation va se faire ! Ce projet a été retardé en raison du choix de couverture de déploiement. Les élus souhaitaient que ce projet ne se situe pas à moins de 200 m d’une habitation, SFR a été à l’écoute de ce que l’on nous a demandé. » Au regard de l’action menée par les riverains, le représentant de SFR indique : « Chacun est libre d’arbitrer des sujets sanitaires comme il l’entend. Depuis 2009 et le dernier rapport de l’Afsset (Agence française de sécurité sanitaire de l’environnement et du travail), il n’y a aucune raison aujourd’hui de remettre en question les avis sanitaires, tous identiques dans le monde. Je ne nie pas les interrogations et les polémiques, mais un consensus existe par rapport à la prise de position sanitaire, respecté par les opérateurs. »

Voir aussi :http://antennes31.over-blog.com/article-cem-et-alteration-numeration-formule-sanguine-67339445.html

Source : http://www.ladepeche.fr/article/2011/07/07/1123499-ils-font-analyser-leur-sang-pour-denoncer-une-antenne-relais.html

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Ondes électromagnétiques : à quoi sommes nous vraiment exposés ?

tom’s hardware   lundi 27 juin 2011 par Matthieu Lamelot

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Antennes de Villeneuve de la raho: la mairie cède enfin

La Clau   Mardi 5.7.2011. 00:15h

Villeneuve de la raho, épicentre de la lutte contre les antennes de téléphonie mobile dans les Pyrénées-Orientales, voire en  France, va perdre son statut : jeudi, la mairie votera la fin des contrats passés avec les opérateurs Orange, SFR et Bouygues. Les antennes, craintes par une bonne partie de la population, devraient être rapidement déplacées en périphérie des zones habitées.

Château d'eau de Villeneuve de la raho, 2011 © France 5

Château d’eau de Villeneuve de la raho, 2011 © France 5

La polémique en cours à Villeneuve de la raho, où 25 antennes de téléphonie mobile sont présentes en coeur de village, touche à sa fin. Le déplacement des relais est en effet inscrit en dernier point de l’ordre du jour du conseil municipal de ce jeudi 7 juillet, une dernière assemblée avant la pause estivale, en séance publique. Concrètement, les contrats passés avec les opérateurs Orange, SFR et Bouygues Telecom, devraient être dénoncés en bloc. Cette annonce est une victoire pour l’association Un Mât Pour Les Ondes, qui milite ardemment depuis 2008 pour que les antennes-relais soient installées en dehors des lieux de vie de la commune. La fin des contrats étant fixée au 22 août, l’intérêt accru des opérateurs a assurer leur service devrait accélérer le montage d’une pylône, éloigné du centre-ville de Villeneuve de la raho, en concertation avec la mairie.

Les avancées sur ce dossier sont à la fois citoyennes et sanitaires, dans un certain flou artistique relatif aux effets supposés des antennes. Le cas de Villeneuve de la raho a d’ailleurs été cité par la chaîne France, dans un reportage dont la diffusion a accentué la pression sur le députée-maire, Jacqueline Irles. Sur le terrain, le mouvement d’opposition s’est cristallisé le 8 juin, lors de la remise de 464 signatures contre les antennes, au préfet des Pyrénées-Orientales, à Perpignan. Depuis plusieurs mois, l’inquiétude a également gagné la ville d’Elne, dont le maire, Nicolas Garcia, lance une étude pour vérifier si les ondes dégagées par les opérateurs, en plein centre-ville de sa commune, ne dépassent pas le seul autorisé de 0,6V/m. En Pays Catalan, des mouvements de méfiance sont également observés dans les communes de Cabestany, La Bastide, Palau del Vidre, Saint-Genis des fontaines, Maureillas et Montesquieu.

Source : http://www.la-clau.net/info/antennes-de-villeneuve-de-la-raho-la-mairie-cede-enfin-6760

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Toulouse : Ondes négatives autour d’un projet

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Créé le 04/07/2011 à 07h23 — Mis à jour le 04/07/2011 à 07h23  

Une pétition des riverains a recueilli 500 signatures.  

Une pétition des riverains a recueilli 500 signatures. f. Scheiber / 20 minutes

société Opposition de riverains à l’installation d’une antenne-relais dans le quartier de Lardenne

Mauvaises ondes autour du projet d’implantation d’une antenne relais de téléphonie mobile à Lardenne. Les riverains ont déposé à la mairie une pétition comptant 500 signatures contre l’arrivée du pylône de l’opérateur Bouy­gues sur le terrain de l’entreprise Amouroux, chemin de Ramelet- Moundi. Une lettre a aussi été envoyée le 27 juin à Pierre Cohen. Craignant pour leur santé, ils refusent que cette antenne trône au milieu des nombreuses habitations.

Une charte sur les antennes relais en cours
« Nous ne sommes pas opposés à cette installation mais nous voulons un emplacement plus approprié, explique Ludovic Gaillard, porte-parole du collectif anti-antenne relais de Lardenne, dont le jardin est à deux mètres de la future antenne. On pourrait la mettre sur les bords de la rocade ou dans une zone moins densifiée que notre quartier ». Laetitia Justin, sa compagne, s’inquiète de l’impact des ondes sur leurs deux enfants. « Les dernières études de l’Organisation mondiale de la Santé montrent que l’usage du téléphone portable peut être cancérigène pour l’homme, souligne-t-elle. Alors je ne peux que m’inquiéter du danger des ondes électromagnétiques sur mes enfants. Il faut appliquer le principe de précaution ».
L’opérateur de téléphonie Bouygues Télécom indique que « ce projet est actuellement à l’étude mais qu’aucune déclaration préalable n’a été déposée à la mairie de Toulouse ». Le service environnement de la ville a d’ores et déjà émis un avis défavorable pour cette implantation. Régis Godec, élu Europe-Ecologie du secteur, doit recevoir un groupe de riverains demain. « Nous voulons que l’opérateur crée des conditions de dialogue avec les habitants car nous ne pouvons interdire une antenne sur un terrain privé, confie-t-il. L’idéal serait de mutualiser les antennes des opérateurs ». La municipalité travaille actuellement à l’élaboration d’une charte sur les antennes-relais. Elle associe riverains, opérateurs et mairie. Tous ont rendez-vous en septembre autour d’une table pour faire avancer ce dossier.

Julie Rimbert
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Tokyo doit être évacuée !

  • Post category:Nucléaire

AgoraVox le média citoyen  

L’impensable est devant nous : on ne peut plus vivre à Tokyo, la radioactivité y est trop forte. Ce terrible constat ne doit pas nous porter au désespoir. Tout au contraire, c’est l’occasion de faire sens de notre destin et de l’assumer.

Alors même qu’il se trouve encore des zozos comme Régis Debray pour nous chanter « Tout va bien Madame la Marquise » et ne retenir de Fukushima que la seule nécessité de ne pas construire de centrales nucléaires sur des failles sismiques, les rudes leçons de cette catastrophe nous sont livrées jours après jour sur un site de l’association militante Next-Up principalement engagée dans la lutte contre l’exposition criminelle du grand public aux champs électromagnétiques.
 
La dernière information communiquée est consternante : le niveau de radioactivité mesurable au sol est supérieur à 6 microsieverts par heure (6 µSv/h) ce qui donne 52 millisieverts par an (52 mSv/an) soit pas loin du triple de la dose maximale admissible pour les travailleurs du nucléaire et 52 fois (sic) la dose admissible pour le grand public selon les normes internationales étant donné que celles-ci se situent à 1 millisievert par an.
 
La conclusion tombe logiquement : il faut évacuer Tokyo.
 
La conclusion de la conclusion c’est que l’exposition de la population mondiale aux mensonges gouvernementaux et médiatiques va certainement atteindre des niveaux critiques, probablement jamais vus mais qui, malheureusement, ne vont pas étouffer les porte-paroles et leurs suppôts journalistiques.
 
Il faut savoir en effet que les mesures officielles ne sont pas réalisées au sol comme le font les dizaines de milliers de Tokyoïtes  disposant d’un compteur Geiger mais à 18 mètres de haut (selon la vidéo de Next-Up à 01:00), ce qui permet de diviser par 100 le degré d’exposition puisqu’on ne mesure plus alors que 0.06 µSv/h. Le problème est que les Tokyoïtes ne lévitent pas à 18 mètres de haut. Ils se déplacent avec les pieds au sol, là où l’exposition est cent fois plus élevée.
 
Le catastrophiste sain d’esprit et respecté qu’est Jean-Pierre Dupuy indiquait récemment sur France Culture [1] que le désastre de Fukushima avait changé la donne concernant le calcul des probabilités d’un accident nucléaire majeur. Tout à coup, le savant télescopage des grands nombres et de l’infiniment petit qui permettait d’annoncer un risque négligeable est ramené à une catastrophe majeure tous les trente ans, ce qui, bien sûr, est difficilement acceptable.
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