Etudes bidon, conflits d’intérêts : l’aspartame dans de sales draps

Accueil   Par Sophie Verney-Caillat | Rue89 | 27/06/2011 | 19H05

Où sont les études qui ont autorisé l’aspartame ? Trente ans après sa mise sur le marché, leur absence embarrasse l’Europe.

Une cannette de Coca light écrasé (Goupil/Flickr/CC).

Lorsque la Food and Drug Administration (FDA) américaine a homologué l’aspartame (E951), elle a fixé une dose journalière admissible (la DJA) de 40 mg par kilo de poids corporel par jour. Comprendre que jusqu’à cette dose, correspondant à une trentaine de cannettes (33 cl) de Coca light pour un adulte de 60 kilos, le produit est inoffensif.

L’Autorité européenne de sécurité des aliments (Efsa) a emboîté le pas à son homologue américaine, et la France a logiquement suivi. Problème : « Cette dose a été fixée au petit bonheur la chance », conclut le député Gérard Bapt, qui a déjà obtenu l’interdiction des biberons au bisphénol A en Europe.

L’enquête de Marie-Monique Robin « Notre poison quotidien » avait commencé à lever le voile sur cette affaire troublante. L’édulcorant le plus utilisé au monde, inventé par la firme Searle dont le patron était alors Donald Rumsfeld [que l’on retrouvera par la suite à diriger la guerre en Irak au côté de George Bush…], a été homologué peu après l’arrivée au pouvoir de son ami Ronald Reagan.

« Une décision purement politique », tranche la journaliste. Marie-Monique Robin a retrouvé la littérature scientifique juste avant l’autorisation :

« Tous les toxicologues de la FDA concluaient que ce produit était potentiellement cancérigène. Et par enchantement, après l’élection de Reagan, l’aspartame a été autorisé. Mais les études étaient toujours aussi contestables. »

Le dossier est introuvable

De nombreuses études publiées depuis tendent à prouver que la dose journalière admissible ne protège pas la santé des consommateurs, et fait courir aux femmes enceintes des risques d’accouchement prématuré. A chaque fois, leurs conclusions sont jugées pas assez scientifiques aux yeux des autorités sanitaires françaises et européennes.

Malin, le Réseau environnement santé a du coup décidé de demander à celles-ci de prouver, a contrario, que les études initiales étaient bien scientifiques. C’est là que le bât blesse. Laurent Chevallier, médecin et lanceur d’alerte, a demandé à Hugues Kenigswald, le chef de l’unité additifs alimentaires de l’Efsa, sur quoi se basait son autorisation. La réponse vaut son pesant de cacahuètes :

« L’Efsa ne dispose pas du dossier de demande d’autorisation de l’aspartame qui devait contenir ces études. Par ailleurs, les contacts que nous avons eus avec nos collègues de la Commission européenne semblent indiquer que la Commission ne dispose plus de ce dossier. Vous pouvez toutefois contacter monsieur Michael Flüh, chef de l’unité en charge des additifs alimentaires. »

Après plusieurs semaines, ce dernier n’a toujours pas retrouvé les études. L’eurodéputée Corinne Lepage, chantre du principe de précaution, s’insurge :

« L’Efsa n’a jamais eu les études sur lesquelles sont fondées son autorisation ou en tout cas ne les a jamais lues. Dès lors, comment oser rejeter les nouvelles études ? S’il faut avoir toutes les preuves que ce produit est nocif pour l’interdire, ce n’est plus de la précaution ! »

« Ils ne sont pas très à l’aise »

L’élue a réussi à faire voter en commission au Parlement de Strasbourg une disposition mettant en garde les femmes enceintes. Las, la mesure qui doit être adoptée définitivement dans le cadre de la directive sur l’étiquetage « sera retoquée en plénière », assure Corinne Lepage. Lobbies obligent…

En effet, quand on cherche à comprendre pourquoi l’agence européenne est si frileuse sur ce dossier, on découvre les liens douteux qu’entretiennent ses experts avec l’industrie.

Sur les vingt experts de la commission additifs alimentaires de l’Efsa, ils sont onze à avoir des conflits d’intérêts, dont un Français travaillant pour l’ANSES, révèle une enquête du Corporate Europe Observatory, une ONG spécialisée dans la lutte contre les lobbies. Certains experts ont ainsi « oublié » de déclarer qu’ils étaient aussi consultants pour Coca Cola… Corinne Lepage remarque :

« Ils ne sont pas très à l’aise à l’Efsa et à la direction générale santé et consommateurs de la Commission. Ils sentent que les mailles du filet se resserrent. »

Pour éviter qu’un scandale à la Mediator ne la frappe, l’agence européenne a décidé d’avancer à 2012 (au lieu de 2020) la réévaluation scientifique des données sur l’aspartame. Et l’agence française vient de lancer la réévaluation des bénéfices et des risques nutritionnels des édulcorants intenses, dont l’aspartame.

Quelle chance y a-t-il que cette fois, leur analyse soit objective ? Pour Marie-Monique Robin :

« Les autorités cherchent à gagner du temps. Quand la stévia aura remplacé l’aspartame, la question gênera moins les industriels. »

Avec Colette Roos, dont vous pouvez réécouter la chronique jusqu’au 1er juillet sur le site de l’émission Service Public de France Inter.

Photo : une cannette de Coca light écrasé (Goupil/Flickr/CC).

SOURCE : http://www.rue89.com/dessous-assiette/2011/06/27/etudes-bidon-conflits-dinterets-laspartame-dans-de-sales-draps-211122

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Licence 4G : Bouygues Telecom se brouille avec le gouvernement

DEGROUP NEWS   Brève rédigée le 27/06/2011 à 14h32 par Arik Benayoun

Le déploiement de la 4G se fait dans la douleur.Bouygues Telecom part en croisade contre le gouvernement. L’opérateur refuse de prendre en charge la résolution des problèmes d’interférences provoquées par la 4G sur les ondes de la télévision. Jugeant son coût exorbitant, il a saisi le Conseil d’Etat pour que l’Etat prenne en charge ces difficultés techniques. 

Le gouvernement obtiendra-t-il les 2,5 milliards d’euros tant attendus de l’attribution des licences 4G ? A peine a-t-il autorisé le dépôt des candidatures que les procédures pour tenter de faire baisser le prix s’enchaînent. La dernière en date est menée par Bouygues Telecom. 

Antenne relais téléphonie mobile

De récentes expérimentions ont prouvé que les ondes émises par la téléphonie de quatrième génération brouillaient celles de la TNT. En d’autres termes, certains foyers situés près d’antennes relais ne reçoivent plus la TNT. C’est l’écran noir. En cas de déploiement, ce phénomène pourrait concerner près de 20 % des foyers français. Ce problème technique pourrait être anecdotique mais il semblerait sa résolution coûte excessivement cher. Bouygues Telecom estime le coût des modifications à apporter aux réseau 4G pour éviter les interférences entre500 millions et 1,7 milliard d’euros. 

Refusant de prendre en charge ce surcoût, Bouygues Telecom a saisi le Conseil d’Etat pour que ce soit l’Etat qui paye la facture. Pourtant mi-mai, Eric Besson, ministre de l’Economie numérique déclarait que le gouvernement avait tenu compte de cette nouvelle donnée en baissant les tarifs de certains blocs de fréquences notamment ceux contenant les spectres de fréquences les plus proches de la TNT. 

Or, comme le fait remarquer Bouygues Telecom, le gouvernement a ajoutél’article 44 dans le projet d’ordonnance de transposition du paquet télécoms qui stipule que les opérateurs qui achètent les fréquences 4G « doivent prendre les mesures nécessaires pour prévenir et traiter les interférences. » 

TNT logo avec tele

Mais qu’entend le gouvernement par prendre « les mesures nécessaires » ? Développer des systèmes de protection comme en Suède ? Mettre en place des filtres anti-brouillage ? Et surtout, qui paiera la note ? Le propriétaire de la licence ? PourBouygues Telecom, ce problème est suffisamment sérieux pour remettre en cause l’attribution des licences. « Il en résulte un niveau d’incertitude et d’indétermination qui ne permet pas aux opérateurs de faire acte de candidature à l’attribution des fréquences dans des conditions raisonnables de sécurité juridique » estime l’opérateur. En d’autres termes, pour Bouygues Telecom il serait hasardeux d’acquérir ces licences sans connaître le coût exact de la résolution de ce problème technique. 

Le Conseil d’Etat devrait trancher le 14 juillet. En cas de décision en faveur de l’opérateur, le calendrier de l’appel d’offres risque d’être reporté. En cas de rejet de la saisine de Bouygues Telecom, les surcoûts engendrés par le déploiement de la 4G risquent finalement d’être répercutés dans les forfaits de téléphonie.

SOURCE  : http://www.degroupnews.com/actualite/n6513-licence_4g-tnt-bouygues_telecom-eric_besson-gouvernement.html

VOIR AUSSI :  http://www.dslvalley.com/telephonie+mobile+4g+bouygues+telecom+saisit+le+conseil+detat-27-06-2011.html

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Le maire PCF d’Elne (Pyrénées-Orientales) interdit l’antenne pour mobile du centre-ville

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Le maire communiste d’Elne a pris un arrêté municipal, transmis mardi 14 juin 2011 à la préfecture des Pyrénées-Orientales, pour interdire les émissions de l’antenne relais pour téléphonie mobile située au centre-ville tant qu’une “mesure des fréquences et intensités n’aura pas été réalisée”.

Le maire, Nicolas Garcia, a expliqué à une correspondante de l’AFP qu’il voulait « s’appuyer sur le principe de précaution » en prenant cet arrêté « symbolique ».

L’arrêté du 9 juin, dont l’AFP a obtenu copie, précise que l’étude devra être « réalisée par un organisme indépendant aux frais des opérateurs de téléphonie mobile ».
Elle devra « indiquer clairement que les puissances d’entrée ne dépassent pas les 0,6 volt et qu’elles ne se cumulent pas entre elles ».

Le plafond de 0,6 volt par mètre est celui réclamé en général par les associations de riverains qui craignent les rayonnements électro-magnétiques.

L’arrêté reprend par ailleurs une disposition d’un arrêté de novembre 2010 instituant un « moratoire d’un an (…) pour l’installation d’antennes relais (…) situées à moins de 200 m de toute habitation ».

L’antenne concernée « dans le périmètre urbain » par l’interdiction d’émettre est utilisée par Orange et Bouygues. SFR a déjà accepté d’installer ses antennes dans une zone éloignée des habitations.


SOURCE : http://www.lagazettedescommunes.com/67978/le-maire-pcf-delne-pyrenees-orientales-interdit-lantenne-pour-mobile-du-centre-ville/


Le maire d’Hérouville-Saint-Clair refuse l’implantation d’une antenne-relais - Ouest France - 15/06/2011  par Robin des Toits

Le maire d’Hérouville-Saint-Clair refuse l’implantation d’une antenne-relais – Ouest France – 15/06/2011

Le maire d’Hérouville-Saint-Clair, Rodolphe Thomas (Modem) s’est opposé dans un arrêté signé le mardi 14 juin à l’implantation d’une antenne-relais de téléphonie mobile de Bouygues Telecom dans sa commune, « en vertu du principe de précaution ». L’antenne devait être posée sur le toit d’un immeuble d’habitation au 1010, quartier des Belles Portes. Le maire s’appuie notamment sur l’article 5 de la Charte de l’environnement, incluse dans la Constitution et rappelle l’annonce récente de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) : mardi 31 mai, des experts réunis par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) ont classé comme « cancérogènes possibles » les champs électromagnétiques de radiofréquence, y compris ceux de la téléphonie mobile. En 2009, la ville d’Hérouville avait voté un moratoire sur l’installation des antennes-relais et décidé de supprimer l’ensemble des équipements Wi-Fi dans les écoles.

Lire la news sur le site de Robin des toits

SOURCE : http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-Le-maire-d%E2%80%99Herouville-Saint-Clair-refuse-l%E2%80%99implantation-d%E2%80%99une-antenne-relais_40771-1835119-pere-bno_filDMA.Htm

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Côte d’Or : La fille de deux Talantais, Anne, électrohypersensible vit recluse à cause des ondes. Le calvaire d’Anne finira-t-il ?

le 16/06/2011 à 05:00 par anne-françoise bailly

Les Talantais Robert et Michèle Cautain, parents d'une fille électrohypersensible, dénoncent un scandale sanitaire. Photo A.-F. B.

Les Talantais Robert et Michèle Cautain, parents d’une fille électrohypersensible, dénoncent un scandale sanitaire. Photo A.-F. B.

Un formidable espoir pour leur fille Anne ! Voilà comment les Talantais Robert et Michèle Cautain perçoivent les récentes évolutions, en matière de reconnaissance de l’électrohypersensibilité. Le 31 mai, 31 experts internationaux, rassemblés à Lyon sous l’égide du Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), agence de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), ont conclu que les ondes émises par les téléphones portables, jusqu’ici décrites comme sans danger, devaient être classées en « peut-être cancérogènes pour l’homme. » Des études épidémiologiques associent un risque accru de gliome, tumeur du cerveau, à l’usage soutenu du téléphone portable…
Un exil forcé

Pour les parents d’Anne. c’est un pas important vers la compréhension du calvaire de leur fille, dont le syndrome d’électrohypersensibilté a été attesté par le professeur Dominique Belpomme, président de l’association de recherche thérapeutique anticancéreuse « Avec le Wimax, elle a été obligée de se sauver, comme d’autres électrohypersensibles (EHS) qui trouvent refuge dans des caves ou des parkings sous-terrains », dénonce sa mère Michèle. « Pour échapper à ses vertiges, ses gonflements, ses brûlures et ses maux de tête, Anne s’est réfugiée dans la grotte du hameau de Baumugnes, à Saint-Julien-en-Beauchênes, dans les Hautes-Alpes », précise-t-elle. « Elle n’a pas de chauffage et vit avec un anorak… Elle va finir par manquer de lumière solaire ! », se désole son père Robert, évoquant une situation dramatique. L’espoir ? Il vient aussi de la résolution de l’assemblée parlementaire du conseil de l’Europe ; adoptée à l’unanimité le 11 mai dernier. Elle recommande aux états membres de « porter une attention particulière aux personnes électrosensibles atteintes du syndrome d’intolérance aux champs électromagnétiques et de prendre des mesures spéciales pour les protéger, en créant par exemple des “zones blanches” non couverte par les réseaux sans fil. »

A ce titre, Anne Cautain, ravitaillée de l’extérieur, se bagarre du fond de sa grotte qu’elle partage avec une hôtesse de l’air parisienne, elle aussi électrosensible. Avec sa fille Laure Birgy, elle œuvre comme présidente d’honneur de l’association « Une terre pour les EHS » créée le 22 mars dernier. Ce projet, auquel un autre Côte-d’Orien électrohypersensible actuellement réfugié à dans la Drôme est associé, concerne la création d’une zone préservée des champs électromagnétiques artificiels sur la commune de Boulc, dans le même département ; 15 à 20 places seraient prévues pour l’accueil permanent, et 5 à 10 pour l’accueil d’urgence…

« Le seul remède pour les malades, ce sont les zones blanches », soulignent les parents d’Anne, militant pour la suppression du système hertzien au profit du système filaire comme la fibre optique, et pour la réduction des puissances…

« J’espère qu’on mettra moins de temps que pour l’amiante ! », s’exclament les parents d’Anne, associés à la plainte contre X visant le Wimax, déposée en décembre à Dijon auprès du procureur de la république par le collectif Pour la Vie-Bourgogne.
Source : http://www.bienpublic.com/cote-d-or/2011/06/16/le-calvaire-d-anne-finira-t-il

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Aumont-Aubrac (Lozère) expérimente la fibre optique jusqu’à l’abonné

  • Post category:Electrosmog

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Aumont-Aubrac (1 147 hab., Lozère) est l’un des premiers villages en France entièrement câblé en fibre optique. Le nouveau réseau a été inauguré mercredi 15 juin 2011.

Aumont-Aubrac, une commune lozérienne de 1 147 habitants, dispose désormais d’un réseau en fibre optique permettant de raccorder en très haut débit (100 Mégabits/s) la totalité des foyers (612 prises raccordables).

L’opération a été portée par le conseil général de la Lozère, en partenariat avec l’opérateur Altitude Infrastructure. Elle s’inscrit dans le cadre de l’appel à projets lancé le Commissariat général à l’investissement pour expérimenter les conditions techniques du déploiement de la fibre optique dans les zones les moins denses du territoire.

A un coût raisonnable en milieu très rural – La consultation a permis de désigner 7 projets pilotes dont celui d’Aumont-Aubrac. « Il s’agissait de montrer que la fibre optique jusqu’à l’abonné (FTTH) peut être mise en œuvre en milieu très rural à un coût raisonnable », souligne Patrick Boyer, directeur des TIC au conseil général.

Le réseau FTTH d’Aumont-Aubrac a pu être créé grâce à l’existence d’une artère en fibre optique déployée depuis 2008 sous l’autoroute A 75, dont le village est proche. Il comporte 11 km de fibre.

L’investissement (820 000 euros) a été cofinancé par :

le conseil général (43,9 %),
l’Etat (42,2 %)
et Altitude Infrastructure, via sa filiale Net 48 (13,9 %).
« Nous avons optimisé toutes les techniques de pose pour limiter l’impact sur l’environnement et minimiser les coûts, explique Patrick Boyer. Nous avons utilisé des fourreaux d’Orange dans le cœur de bourg, mis en œuvre des techniques de micro-tranchée. Là où la voirie devait être refaite, les câbles ont été posés sur des appuis aériens. Nous profiterons ensuite des travaux programmés par la commune pour enfouir des fourreaux. »

Le coût de l’investissement est estimé à 1 200 euros par prise. Sur les 612 foyers raccordables, 516 ont souscrit à l’offre de raccordement, les frais de raccordement à l’intérieur du logement étant pris en charge par le conseil général et la commune.
A ce jour, une vingtaine d’abonnements ont été souscrits auprès des trois fournisseurs d’accès référencés : Alsatis, Wibox et Bouygues.

Impact économique ? Le département projette d’étendre le réseau FTTH au nord et au sud de la commune d’ici à la fin de l’année pour desservir la zone d’activités économiques et la Maison de la communauté de communes.
« La question est maintenant de savoir si les habitants et les entreprises vont s’approprier ce service, commente Patrick Boyer. Il sera intéressant de voir comment les gens vont utiliser le très haut débit par rapport aux solutions ADSL existantes, et si ce nouvel outil aura un impact économique sur la commune. »

SOURCE :    http://www.lagazettedescommunes.com/67963/aumont-aubrac-lozere-experimente-la-fibre-optique-jusqu%E2%80%99a-l%E2%80%99abonne/

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Interview d’Antennes 31 et sélection de vidéos

  • Post category:Vidéos

Voir ou revoir le documentaire ” Mauvaises ondes “

VIDEO : Montesquieu-les-Albères – Opposition à l’antenne-relais SFR – JT France 3 – 19 et 20/11/2009

Antenne-relais : la mobilisation des “antis” s’amplifie, le bras de fer continue Les convocations à la gendarmerie, les procès-verbaux dressés et la garde à vue prononcée contre l’un des leurs n’ont pas émoussé la détermination des habitants mobilisés contre le projet d’installation d’une antenne de téléphonie mobile près des habitations.


Manifestation à Monts (près de Tours) contre l’implantation d’antennes relais – JT France 3 – 05/12/2009

Les antennes-relais sont-elles nocives pour la santé ? (…)
A Monts, près de Tours, une manifestation était organisée aujourd’hui grâce à la mobilisation des Robins des Toits, un groupe qui milite pour une réduction de puissance de ces antennes de téléphonie mobile (…)

Semaine du 29/11/2009 au 05/12/2009

Voir l’article complet sur le site de Robin des toits

Semaine du 22/11/2009 au 28/11/2009

Documentaire diffusé le 22 juillet 2009 sur ARTE à 22h15 durée 52 minutes. (En 4 parties).

A l’aube du XXIe siècle, le corps humain baigne dans un brouillard électromagnétique de plus en plus dense bien qu’invisible. Des réseaux d’antennes maillent le territoire, trois milliards d’individus communiquent au moyen de téléphones cellulaires, les technologies sans fil se développent… Dès lors une question de santé publique se pose : ces rayonnements artificiels peuvent-ils perturber l’activité métabolique de notre corps. Investigation scientifique dans le monde du bio-électromagnétisme, le film « Sous le feu des ondes » éclairera la dimension électromagnétique du corps humain, puis il évaluera les preuves scientifiques de l’effet des rayonnements électromagnétiques sur le vivant avant d’en pointer les risques sanitaires dans le cadre d’un électrosmog de plus en plus envahissant.


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Semaine du 15/11/2009 au 21/11/2009

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Semaine du 08/11/2009 au 14/11/2009


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par tchels0o
Semaine du 01/11/2009 au 07/11/2009

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Semaine du 19/10/2009 au 31/10/2009

Le rapport de l’AFSSET a été rendu – Voir le JT de France 3 – Soir 3 (23h)

Les antennes-relais et les téléphones portables : dangereux ou pas ?
L’Afsset dit qu’il faut appliquer le principe de précaution car de nombreux éléments scientifiques indiquent un risque potentiel minime.

Robin des Toits trouve que cet avis est plus que timoré et prône toujours :
– l’interdiction du mobile pour les enfants de moins de douze ans
– la non-utilisation du portable non équipé d’une oreillette et l’éloignement du ventre du téléphone portable ou DECT chez les femmes enceintes
– l’utilisation systématique de l’oreillette filaire
– la baisse des puissances des antennes relais à 0,6V/m

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Semaine du 12/10/2009 au 18/10/2009

A Clermont-Ferrand , des scientifiques expliquent comment leurs recherches de rayonnements sur des plants de tomates, publiées dans des revues officielles et sitôt connues des pouvoirs publics, ont abouti à la «dissolution» du labo et l’arrêt des recherches.


Semaine
du 05/10/2009 au 11/102009

L’ARTAC est une association indépendante de médecins et de chercheurs spécialisée dans l’étude biologique, thérapeutique et clinique des cancers.

→ Au cœur des priorités de l’ARTAC : la guérison des malades et la protection des femmes enceintes et des enfants.
→ C’est la seule association française de lutte contre le cancer à promouvoir une prévention environnementale.

Aller sur le site de l’ARTAC : http://www.artac.info

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Semaine du 14/09/2009 au 20/09/2009


Les maternelles sur France 5 du 06/01/2009

Le reportage traite du danger des ondes élèctro-magnétiques émises par les télèphones portables, les antennes relais, le Wifi, le Wimax …etc. il traite également des problèmes d’élèctro-hypersensibilité chez les personnes soumises à ces champs.

Semaine du 21/09/2009 au 27/09/2009

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par papachou95

Semaine du 28/09/2009 au 04/10/2009

 

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Semaine du 24/08/2009 au 30/08/2009


‘Téléphonie mobile, sommes-nous tous des cobayes ?’

– Documentaire indépendant de Joaquina Ferreira (2005), (Durée 52 mn).

Il s’agit d’un documentaire indépendant qui dénonce les effets de la téléphonie mobile. Il analyse les enjeux : d’un coté l’industrie du portable, de l’autre la santé des citoyens.
La téléphonie mobile serait-elle trop rentable pour être nocive ?
C’est la question que pose le film “Téléphonie mobile, sommes-nous tous des cobayes ?”.

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semaine du 27/07/2009 au 02/08/2009.

L’histoire du Dr. Georges Carlo aux USA.

Documentaire diffusé sur Planète le 18/05/2006 et sur France 2 le 08/11/2007.

Le combat d’un scientifique contre l’industrie du mobile’

Dr Georges Carlo :”… l’industrie manipule la science et elle livre au public les études qui lui donnent l’impression d’une totale sécurité. C’est de la fraude scientifique.”

Le téléphone nuit-il à la santé ? Dans les années 90 aux Etats-Unis, l’industrie du mobile octroie 28 millions de dollars au docteur George L. Carlo pour diriger une étude devant évaluer la dangerosité des ondes électromagnétiques.
Au terme de plusieurs années de recherches, le verdict tombe : leur usage peut entraîner des tumeurs au cerveau. Les industriels du mobile coupent alors les crédits et le docteur Carlo commence une longue traversée du désert. Il revient finalement pour mener un combat contre ses anciens employeurs, en s’alliant à de grands cabinets d’avocats et à des associations de consommateurs.
En suivant la lutte du docteur Carlo, ce film fait le point sur l’état des recherches scientifiques, qui ont encore du mal à se faire entendre face à la formidable puissance des industriels du mobile.

Production : Hikari Productions
Réalisation : Klaus Scheidsteger
Année : 2006 Durée : 52 mn


Portables (1sur4) en accusation
par gaune_692Semaine 03/08/2009 au 09/08/2009

Portables (2sur4) en accusation
par gaune_692

Semaine 10/08/2009 au 16/08/2009

Semaine 17/08/2009 au 23/08/2009

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Quinzaine du 12/07/2009 AU 26/07/2009

L’AFSSE dénoncée sur France 2

Journal télévisé de France 2 de 20 h du 13 juillet 2006

Reportage : le scandale de l’AFSSE. On apprend que les experts sur la téléphonie mobile de l’AFSSE étaient payés par les opérateurs.

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Semaine du 05/07/2009 AU 11/07/2009

France 2 ‘C’est au programme’ le 09/12/2005

Le Portable Menace t-il Votre Santé?


Le Portable Menace t-il Votre Santé?
par Nicolaz____________________________________________________________________

Semaine du 26/06/2009 AU 04/07/2009

‘Eteignez votre portable dans le train …’ – JT France 2 (13h) – 25/06/2009

 

« Dans le train, ayez le réflexe avion : éteignez votre portable avant de rentrer dans un wagon (…) Passer un coup de fil dans un train en marche, un geste qu’il faut éviter (…) Dans un TGV à 300km/h, la puissance d’émission est trois fois plus intense, le mobile cherche en permanence de nouveaux relais (…) »


danger_portable_jt_france2_20090625_13h.wmv
par papachou95

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Semaine du 18 AU 25/06/2009

Les ampoules à basse consommation sont-elles cancerogènes?

Une éxperience menée par une journaliste scientifique inspire l’inquiétude!

La petite éxperience montre que les ampoules à basse consommation émettent des ondes magnétiques à effet cancerogène.

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Semaine du 11 au 18/06/2009

Toulouse : Tous Unis contre l’antenne-relais – Toulouse – les riverains sont en colère, une antenne relais téléphonique devait être construite prés de chez eux sans mêmes qu’ils aient été concertés.

 

Pour accéder au collectif du quartier de l’Hers cliquer ici:

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Toulouse : Quartier de Lardenne, Ondes négatives autour du pylône

   PUBLIÉ LE 18/06/2011 07:58 | B. DV.

Les riverains de Lardenne mobilisés contre l'implantation d'une antenne relais./ Photo DDM

Les riverains de Lardenne mobilisés contre l’implantation d’une antenne relais./ Photo DDM

L’opérateur de téléphonie Bouygues Télécom souhaite implanter une nouvelle antenne relais dans le quartier de Lardenne. L’élue en charge du dossier a pour le moment émis un avis défavorable.

Une nouvelle antenne relais de téléphonie mobile surplombera-t-elle bientôt du haut de ses 15 mètres le terrain de l’entreprise Amouroux au 159 chemin du Ramelet Moundi dans le quartier de Lardenne ? Rien n’est encore décidé. Du côté de Bouygues Télécom qui a prévenu le Capitole de sa volonté de « densifier son réseau » dans ce quartier, comme du côté des riverains qui s’organisent en collectif et qui remettront lundi en mairie une pétition portant quelque 200 signatures les grandes manœuvres sont engagées. Mais au Capitole comme chez l’opérateur la prudence reste de mise autour de ce projet lancé voici trois mois. Sans dévoiler le montant du loyer qu’il consentirait à payer pour planter son pylône, Bouygues Télécom, confirme via son service de presse que « des discussions sont engagées avec la société Amouroux ». Contacté à plusieurs reprises par téléphone le responsable de cette société spécialisée dans la sécurité et l’automatisme n’a pas souhaité s’exprimer. À la mairie en revanche l’éventuelle installation d’une nouvelle antenne relais dans l’ouest toulousain vient de recevoir un premier accueil plutôt froid. Consulté par le service de l’écologie urbaine, Élisabeth Belaubre l’adjointe Vert en charge de l’environnement et de la santé a rappelé à l’opérateur que lorsqu’il s’agit de modifier le paysage électromagnétique au-dessus de la ville. Il faut d’abord commencer par organiser la concertation avec les riverains. Ce qui n’a pas encore eu lieu, « dans l’état actuel du dossier j’ai donc émis un avis défavorable », précise l’élue. Un avis qui n’a toutefois qu’une valeur consultative. Mais s’il veut pousser son projet plus avant Bouygues Télécom devra désormais se plier aux procédures toulousaines. Le service écologie et urbanisme a d’ailleurs consulté l’opérateur pour organiser cette rencontre avec les riverains. Ce n’est qu’à l’issue de cette concertation que Bouygues Télécom déposera en mairie la déclaration préalable qui lancera les travaux proprement dits. « Le dépôt de cette déclaration devrait avoir lieu dans les mois à venir », déclarait hier le service de communication de l’opérateur sans apporter plus de précision. Dans un tract distribué dans le quartier les riverains font d’ores et déjà valoir que : « les résidences Monné- Decroix, Languedocienne et autres collectifs et maisons individuelles se trouvent dans un rayon de 300m ». La bataille promet d’être musclée. Reste désormais à savoir combien l’opérateur consentirait à payer à un propriétaire privé pour implanter son pylône contre l’avis des habitants.

Source : http://www.ladepeche.fr/article/2011/06/18/1109668-ondes-negatives-autour-du-pylone.html

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VIDEO : C dans l’air "Portables, wifi… la guerre des ondes " – 15/06/2011

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  VIDEO : C dans l'air "Portables, wifi... la guerre des ondes " - 15/06/2011 par  robin.jpg

D’après l’Organisation mondiale de la santé, l’utilisation des téléphones portables doit être considérée comme “possiblement cancérigène” pour l’homme. Une conclusion qui fait débat et relance, en France, la question de la dangerosité des ondes électromagnétiques.

C’est une nouvelle étape dans le débat concernant l`impact du téléphone mobile sur la santé, un appareil que possèdent et utilisent 5 milliards de personnes à travers le monde, dont plus de 60 millions de Français. Pour la première fois, le Centre International de Recherche contre le Cancer (CIRC) – qui fait partie de l’Organisation Mondiale de la Santé – a estimé, le 31 mai 2011, que l’usage des téléphones mobiles devait être considéré comme “peut-être cancérogène pour l’homme”.

Cette annonce est tombée au terme de huit jours de réunions sous l’égide du CIRC, à Lyon. Des experts de quatorze pays étaient chargés de passer en revue les centaines d’études menées, à ce jour, sur les risques de cancers induits par l’exposition aux ondes des portables.

 Voir la suite et la vidéo sur le site de Robin des Toits

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