Paris: étude sur les micro-antennes relais

lefigaro.fr.gif   AFP 06/01/2010 | Mise à jour : 16:19

Bertrand Delanoë a annoncé aujourd’hui, lors de ses voeux au conseil de paris, le lancement d’une étude de faisabilité pour déployer dans la capitale un réseau de micro-antennes relais de proximité, qui pourraient s’avérer moins nocives pour la santé car moins puissantes.

« J’ai demandé à Anne Hidalgo (maire-adjointe à l’urbanisme), Denis Baupin (environnement) et Jean-Louis Missika (recherche et université), d’entreprendre un travail car je veux que nous battissions un projet de micro antennes à très faible intensité », a annoncé le maire PS.

Il a voulu que ce travail soit élaboré « en liaison avec les opérateurs et les associations »: « Il y a des inquiétudes, des peurs, des ignorances, en tout cas il faut des précautions. Je veux la modernité et la protection de la santé des parisiens », a ajouté Bertrand Delanoë.

Selon la mairie de Paris, cette initiative consiste à déployer un réseau de micros antennes relais « à très faible puissance d’émission qui pourrait, avec l’accord des opérateurs, se substituer progressivement aux anciennes antennes relais de plus grande taille et de plus forte puissance ».

Des risques de nocivité « réduits »

Ces nouvelles antennes mesurent environ 30 cm de haut et ont un volume égal à une bouteille de 2 litres. « La plus forte capillarité rendue possible par ce réseau d’antennes permettrait une forte réduction de la puissance d’émission des téléphones portables vers l’antenne, réduisant les risques de nocivité pour les usagers », a ajouté la mairie.

Actuellement, plus de 2.000 antennes sont installées à Paris. Chaque opérateur dispose de son réseau, soit une moyenne de 700 antennes par opérateur. La ville de Paris gère 200 points sur ses bâtiments municipaux.

Fin août 2009, l’opérateur de téléphonie mobile Orange s’était vu interdire par la justice l’installation d’une antenne-relais sur le toit d’un immeuble du XIIIème arrondissement de Paris, à la grande satisfaction des associations qui luttent contre leur prolifération.

Source : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/01/06/01011-20100106FILWWW00640-paris-une-etude-sur-les-micro-antennes.php

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Argelès Les antennes de téléphonie mobile ont été transférées au mas Reig

id-pendant.gif   Edition du 05 01 2010

© L'independant

BANYULS-SUR-MER
Depuis juillet 2005 et après confirmation en juillet 2007 suite à l’assemblée générale des bâtiments A 7 et A 8, la société Bouygues était informée que le contrat de bail pour la station relais de téléphone mobile, installé illégalement en 1999 sur le toit terrasse des Roches blanches, ne serait pas renouvelé fin 2009. Les raisons du non-renouvellement du bail par les copropriétaires des terrasses concernées sont les risques de trouble à la santé à cause de l’exposition au rayonnement des ondes électromagnétiques provoquées par les antennes relais. Une note des résidents

adressée aux candidats lors des dernières élections municipales indiquait « qu’aucune information n’a pu être obtenue de l’opérateur sur le matériel installé, ni sur la puissance du rayonnement ». Aussi, plusieurs actions ont été menées par les résidents. Elles ont finalement abouti à la suppression de ces installations en 2009. Aujourd’hui, les antennes Bouygues ont déménagé du toit terrasse des Roches blanches et ont trouvé un nouveau lieu d’implantation sur les hauteurs du mas Reig. « Après dix ans d’un bail juridiquement illégal, un conflit de cinq ans avec Bouygues Télécom, trois ans avec le syndic, les résidents concernés des Roches blanches ont le plaisir d’informer du déménagement définitif de la station d’émission de téléphonie mobile installée sur leur terrasse, précise un communiqué des résidents . Toutefois le problème de la pollution électromagnétique n’est pas résolu, mais déplacé ». Une recommandation qui s’adresse aux personnes concernées par la nouvelle implantation des stations relais de téléphonie mobile.
R. J.

Source : http://www.lindependant.com/articles/2010-01-05/les-antennes-de-telephonie-mobile-ont-ete-transferees-au-mas-reig-105418.php

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Académique-mac – Le Canard Enchaîné – 23/12/2009

Académique-mac - Le Canard Enchaîné - 23/12/2009robin-copie-1.jpg

Quand les académiciens montent au créneau, ils aiment chausser leurs gros sabots.

Voilà deux mois, l’Afsset (Agence française de sécurité sanitaire de l’environnement et du travail) publie un rapport remarqué de 500 pages sur la téléphonie mobile, dans lequel il est dit, entre autres, que onze études montrant que les radiofréquences ont un effet biologique ont beau être minoritaires (86 autres ne montrent rien), elles sont imparables.
A la suite de ce rapport, l’agence publie un avis recommandant de « réduire les expositions » du public.

Et voilà que, ce jeudi 17, des représentants des académie des sciences, des technologies et de médecine convoquent une conférence de presse au cours de laquelle ils passent l’avis de l’Afsset au lance-flammes ; selon eux, le directeur de cet organisme aurait dû insister sur « l’aspect rassurant » du rapport au lieu « d’augmenter l’inquiétude » du populo.
Bref, il aurait mieux fait de passer sous silence les onze études inquiétantes.
Ca, c’est de la vraie science académique !

Le plus drôle est que sur les six experts qui veulent à tout prix nous rassurer, outre José Alain Sahel, un ophtalmologue, Pierre-Etienne Bost, un chercheur qui a travaillé chez Rhodia et Rhône Poulenc, Alim-Louis Benabid, qui travaille à Clinatec, la clinique expérimentale du CEA à Grenoble (sur le traitement de la maladie de Parkinson par implantation d’électrodes dans le cerveau), Raymond Ardaillou, prof de médecine honoraire, on trouve André Aurengo, ancien membre du conseil scientifique de Bouygues Télécom, et Roland Masse, membre actuel du conseil scientifique du même Bouygues Télécom.
Ca, c’est de l’expertise indépendante ! Impartiale ! Et tellement rassurante…

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Aigrefeuille. Catherine Grèze, députée européenne, contre les antennes-relais

LA-D-p-che-copie-1.png   Publié le 04/01/2010 03:47 | LaDepeche.fr

Catherine Grèze, ici avec José Bové, soutient les riverains opposés aux antennes-relais. Photo DDM, archives
Catherine Grèze, ici avec José Bové, soutient les riverains opposés aux antennes-relais. Photo DDM, archives

Catherine Grèze, députée verte européenne, nous communique :

« En tant que députée européenne, je souhaite faire part de mon opposition à l’installation d’antennes-relais de type UMTS sur les communes d’Aigrefeuille et de Drémil-Lafage, par ailleurs déjà couvertes par un réseau performant. En outre, ces deux antennes se trouveraient, après implantation, à environ 500 à 600 m l’une de l’autre, sur le même site. Déjà mobilisée contre ce type de projets dans le passé, notamment contre l’antenne de Bonhoure à Toulouse, je serai aux côtés des riverains dans leur lutte pour le respect de leurs droits, de leur santé.

La manière dont ce projet a été décidé révèle un total manque de transparence notamment à travers la désinformation totale des riverains. De même, on ne peut que regretter le déséquilibre entre les opérateurs, qui ont aujourd’hui tous les droits, et les riverains.

La technologie de la téléphonie mobile a été développée en fonction d’intérêts exclusivement économiques, sans réelle considération des conséquences sanitaires. Or, les experts indépendants démontrent aujourd’hui la nocivité d’une trop forte exposition à des ondes électromagnétiques. Les normes actuellement en vigueur apparaissent alors comme particulièrement laxistes et il est de notre devoir de faire appliquer le principe constitutionnel de précaution.

Au niveau communautaire, le Parlement européen a décidé d’adopter en avril dernier un rapport de la députée Frédérique Ries sur les effets pour la santé des champs électromagnétiques. L’objectif de ce rapport est de limiter dans l’ensemble de l’Europe les champs électriques, le seuil conseillé devant être désormais proche des 3 volts par mètre, une valeur déjà appliquée dans neuf pays membres, dont la Grèce, la Pologne ou encore la Belgique. Les autres pays de l’Union ont une limite actuelle de 40 volts par mètre. À travers ce rapport, le Parlement européen invite donc les pouvoirs publics nationaux à adopter l’approche la plus prudente en ce qui concerne ce type de projets.

Je soutiens donc la mobilisation des riverains d’Aigrefeuille et de Drémil-Lafage ainsi que de l’ensemble des citoyens convaincus de l’inutilité et de la nocivité de ce type d’installation. »

Source : http://www.ladepeche.fr/article/2010/01/04/748157-Aigrefeuille-Catherine-Greze-deputee-europeenne-contre-les-antennes-relais.html

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Les opposants ne resteront pas les bras croisés

LA-D-p-che-copie-1.png   Publié le 04/01/2010 03:48 | Nathalie Dijols

Rignac. Un an après le lancement de la pétition contre l’antenne-relais de téléphonie, la situation n’a pas évolué.

Depuis plusieurs années, une polémique enfle sur les risques et effets de l’implantation de l’antenne-relais de Rignac, qui sert à faire transiter les ondes électromagnétiques des téléphones portables. Celle-ci est située route de Rodez, proche de l’école et des habitations.

Cette polémique a atteint son apogée, il y a tout juste un an avec la création d’une association baptisée Antenne-relais, santé publique de Rignac. Les membres de l’association ont alors lancé une pétition demandant aux élus locaux de tout mettre en œuvre pour obtenir le déplacement de ce pylône de téléphonie mobile à plus de 400 mètres de toute habitation, école et maison de retraite. Cette pétition a recueilli pas moins de 850 signatures. Malgré cette adhésion massive et le soutien semble-t-il des élus locaux dans cet épineux dossier, la situation n’a guère évolué à l’heure d’aujourd’hui. En outre, les membres de l’association demandent qu’une réglementation communale de ces installations soit effectuée avec consultation de la population avant toute décision finale.

Remise en question du permis de construire

De l’avis du maire de Rignac, Jean-Marc Calvet, la patience est de mise. « Nous avons contacté à maintes reprises France Télécom-Orange afin de les contraindre à décaler l’antenne. Mais ils refusent catégoriquement d’assouvir notre souhait et nous répondent qu’ils sont dans les clous et que cette implantation est parfaitement légale », indique-t-il. Cette réponse est loin de satisfaire les membres de l’association qui aspirent à une reconsidération du permis de construire et de l’arrêté municipal. France Télécom-Orange a été, selon eux, très persuasif pour obtenir en 1985 le permis de construire, 9 jours après son dépôt en mairie. Qui plus est, un arrêté municipal a été pris en 1997, par l’adjoint délégué, autorisant le remplacement du pylône par un de 36 mètres de haut.

Malgré la souplesse de la législation actuelle et un certain laxisme des hautes autorités, les signataires de la pétition comptent bien faire valoir le principe de précaution dans cette affaire. De leur point de vue, l’une des principales préoccupations des élus devrait être la santé de leurs concitoyens et ils ont la ferme intention de ne pas rester les bras croisés et de passer à l’offensive si rien n’est proposé.

Source :

http://www.ladepeche.fr/article/2010/01/04/748203-Les-opposants-ne-resteront-pas-les-bras-croises.html

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Saint-Gaudens. Les antennes relais en place sur le château

LA-D-p-che-copie-1.png  Publié le 30/12/2009 03:49 | Jal

Environnement. En juin dernier, le projet avait suscité l’émoi des riverains du quartier des Caussades.

Trois de ces modules cernent le château d'eau. Photo DDM, Jal
Trois de ces modules cernent le château d’eau. Photo DDM, Jal

Au beau milieu du quartier des Caussades, le château d’eau se dresse, comme à l’habitude. Pas l’ombre d’un pylône porteur d’antenne, ni à son sommet, ni sur les côtés. Pourtant, à y regarder de plus près, on distingue nettement trois modules qui cernent le haut du bâtiment. Des antennes relais de téléphonie mobile ? Apparemment, car selon les habitants de la résidence des Caussades toute proche, les travaux n’ont pas cessé durant la semaine dernière. « Même quand il y avait la neige, des gens y travaillaient » confie encore ce résident dont la maison se situe juste en face du château d’eau. « Et aux jumelles, c’est bien des antennes. »

Pourtant, les riverains constitués en collectifs de défense avaient manifesté leurs craintes de voir s ‘ériger des antennes de téléphonie mobile à proximité de deux écoles du quartier. Ils s’étaient d’ailleurs rassemblés sur le terrain, le 22 juin, quelques jours après que le maire de Saint-Gaudens, Jean-Raymond Lépinay, eut adressé à l’ensemble des opérateurs un moratoire demandant l’arrêt momentané de toute nouvelle installation. Le 2 juillet, un arrêté municipal était promulgué, interdisant tous travaux, arrêté suspendu par le tribunal administratif de Toulouse suite à une demande en référé de la société Orange.

Hier matin, le maire a envoyé un courrier au directeur de cette société dans laquelle il réitère l’intention de la commune de respecter la loi et l’informe de la poursuite de l’action en justice devant le juge de fond. Mais il demande surtout que lui soit communiqué dans les meilleurs délais « aux fins de vérification et constatations par un organisme agréé », le dossier technique de l’installation en question, établissant que l’ensemble de la réglementation (distance requise entre l’antenne et l’école, seuil d’exposition de 0,6 volt/mètres) est strictement respecté.

source : http://www.ladepeche.fr/article/2009/12/30/745923-Saint-Gaudens-Les-antennes-relais-en-place-sur-le-chateau.html

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Puylaurens. Pétition et mobilisation contre deux antennes-relais

robin-copie-1.jpg   Publié le 30/12/2009 03:50 | Sylvie Ferré


Les riverains de « Dretchenc » se mobilisent contre l'implantation d'antennes-relais. Photo T.A.

   
     

Les riverains de « Dretchenc » se mobilisent contre l’implantation d’antennes-relais. Photo T.A.

La colère gronde du côté du lieu dit « Le Dretchenc », près du château d’eau, où une vingtaine de familles puylaurentaises refusent de voir l’implantation de deux antennes-relais de téléphonie mobile. Rassemblées au sein du collectif Puylauren’tenne, elles ont l’impression que le projet s’est fait en catimini. « Nous n’avons pas trouvé cette démarche très cool de la part de la municipalité, déclarent Franck Guy et son épouse, porte-paroles du collectif. Nous avons été informés du projet en septembre, par hasard, lorsqu’un panneau de permis de construire a été posé, assorti d’un arrêté municipal pris le 7 septembre. Et quelques jours plus tard, le 12, le maire n’a même pas évoqué le sujet lors d’une réunion de quartier. »

au-dessus des normes de sécurité sanitaire

Le collectif s’est alors rapproché des membres de Robin des toits, association nationale pour la sécurité sanitaire dans les technologies sans fil, qui sensibilise aux dangers du téléphone portable et des antennes-relais entre autres. « Ils sont venus faire des mesures d’ondes, qui s’avèrent assez importantes, indiquent les porte-paroles. Ils ont pris des mesures dans tous les points sensibles de la commune. Pour exemple, ils ont relevé 1,9 volts à la crèche, largement au-dessus des normes de sécurité sanitaire qui sont de 0,6 volts par mètre. »

S’appuyant sur ce constat et soutenu par une pétition de 534 signatures, le collectif a adressé un courrier à la municipalité de Puylaurens, sollicitant un recours gracieux pour annuler ce projet. Le 5 novembre dernier, une réponse parvenait au collectif. « Il ne s’agit pas d’un refus de la municipalité mais comme dans tout dossier d’urbanisme, quand on signe une déclaration préalable, il n’est plus possible ensuite de revenir sur cette déclaration, si ce n’est un recours gracieux auprès du tribunal administratif », assure Jacques Maury, maire adjoint délégué à l’urbanisme.

Dès lors, le collectif Puylauren’tenne envisage de franchir une nouvelle étape dans ses actions : organiser des réunions pour informer la population. « Il en va de la santé publique ! Effectivement, dans ce dossier, le code de l’urbanisme est respecté, mais il est dommage que la municipalité ne se soucie pas davantage de la sécurité de ses habitants. »

Source : http://www.ladepeche.fr/article/2009/12/30/745750-Puylaurens-Petition-et-mobilisation-contre-deux-antennes-relais.html

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Montastruc-la-Conseillère. Le relais de téléphonie mobile fait débat

LA-D-p-che-copie-1.png   Publié le 16/12/2009 03:50 | LaDepeche.fr

Le château d'eau ne supportera plus le relais de téléphonie mobile .Photo DDM,
Le château d'eau ne supportera plus le relais de téléphonie mobile .Photo DDM,

Les parents d’élèves et les riverains sont inquiets: les antennes de réseau téléphonique sont-elles dangereuses ?

Actuellement, ces antennes sont situées sur le château d’eau, près des établissements scolaires.

Afin d’effectuer d’importants travaux sur le château d’eau, le syndicat des eaux envisage de déplacer définitivement les antennes, obligeant les opérateurs, Bouygues en état le chef de file, à construire un pylône qui recevra les antennes. Il sera légèrement plus éloigné des établissements scolaires qu’actuellement.

Parallèlement, SFR dépose une demande pour installer une nouvelle antenne sur un terrain communal prés du centre du village. La municipalité opposé un refus catégorique à cette nouvelle implantation.

Afin d’avoir une connaissance des champs émis par les antennes, des mesures sont demandées auprès de Bouygues . Les résultats de ces contrôles effectués par la société « A Expertise », apparaissent très rassurants, les mesures se situant la plupart du temps en dessous du seuil de précaution que préconisent les écologistes et l’association Robin des toits ..

De leur côté, les parents d’élève mandatent Robin des toits pour effectuer le contrôle : des résultats un peu différents, supérieurs aux normes les plus strictes mais conformes aux normes réglementaires.

Bouygues annonce le report d’un an pour le déménagement des antennes, en raison du retard pris par la construction du pylône : la municipalité va mettre ce temps à profit pour effectuer de nouvelles mesures, réalisées par des organismes indépendants, garants de l’impartialité des résultats.

Négocier avec les opérateurs afin que la couverture en téléphonie mobile n’expose pas la population à des risques liés à de trop fortes expositions , signer avec eux une convention de bonne conduite : la municipalité suit de très près ce dossier et informera régulièrement les citoyens .

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