Castelmaurou. Deux pétitions contre les antennes relais

  PUBLIÉ LE 29/11/2012 08:20

Suite à un courrier de l’opérateur SFR, deux pétitions ont été lancées contre le projet d’une antenne relais sur le château d’eau, propriété du Syndicat des Eaux des cantons Centre et Nord de Toulouse. La municipalité n’a plus compétence pour refuser ce type d’installation dont la nuisance pour la santé relève de l’Etat.

La première liste a été initiée par l’association l’Observatoire de Castelmaurou.

La deuxième a été lancée par le collectif «Préservons Santé et Environnement» réactivé début juin et présidé par Viviane Bouquie.

SFR est déjà implanté chemin de Lourmet et route du Clos du loup et la mise en place de ses trois antennes supplémentaires viendront s’ajouter aux trois d’Orange existantes.

Les mesures effectuées avant installation du nouveau relais mettent en évidence une variation de 0.35 à 1.03 V/m alors que le Conseil de l’Europe préconise de tendre vers 0.2V/m.

La Dépêche du Midi

Source : http://www.ladepeche.fr/article/2012/11/29/1501363-castelmaurou-deux-petitions-contre-les-antennes-relais.html

 

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Arbas. Téléphonie et champs magnétiques : premières mesures

   PUBLIÉ LE 13/11/2012 08:35

Les antennes du Mont Aragnouet ()

Les antennes du mont Aragnouet

Depuis le mois de septembre, des questions sont posées dans la vallée de l’Arbas sur le danger que représente pour la santé l’installation par Bouygues d’une nouvelle antenne relais,jouxtant celle de SFR. Dès le premier débat, François Arcangéli s’était engagé à faire prendre des mesures pour évaluer plus précisément les modifications et les risques apportés par un second émetteur.Après une première rencontre au Conseil Régional avec les associations Robin des Toits et Antenne 31, deux représentants de ces associations ont été reçues par la mairie d’Arbas afin de dresser l’étar des lieux de l’ensemble des champs électromagnétiques sur la commune.

Les mesures effectuées au mois d’octobre sont relativement rassurantes puisque sur la place de la mairie, on relève par exemple 0,006 V/m (Par mesure de précaution et le conseil de l’Europe préconise même de tendre vers le 0,2 V/m).En revanche, sur la même place et devant une maison , on a relevé 0,9V/m dûs soit à un Wifi actif, soit à un téléphone fixe sans fil. ( voir http://francois-arcangeli.com)/spip.php?article31)

Ces mesures seront renouvelées après la mise en fonctionnement du relais Bouygues.

Pour François Arcangeli, on peut dire qu’ «à Arbas, dans l’état actuel, et compte tenu du très grand éloignement du relais SFR (1,5 Km du centre du village), les champs électromagnétiques liés à la téléphonie mobile sont très faibles, puisque 100 fois inférieurs aux normes recommandées par les associations. Il restera à vérifier que la nouvelle implantation ne génère pas une augmentation significative lors de sa mise en service, l’impact d’une évolution vers la 4G n’étant pas à écarter».

Ce premier relevé a au moins une valeur pédagogique puisqu’il a mis en lumière la dangerosité des micro-ondes (38V/m)et des téléphones fixes sans fil (43V/m) et permet de réveiller la vigilance face à un danger invisible tel que les ondes électro-magnétiques .En attendant les prochaines mesures, chacun peut poursuivre la recherche dans son environnement et apprendre à limiter les risques dans son propre foyer.

Source : http://www.ladepeche.fr/article/2012/11/13/1487871-arbas-telephonie-et-champs-magnetiques-premieres-mesures.html

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"Une conférence sur les risques sanitaires des ondes des antennes relais de téléphonie a eu lieu hier" – La Montagne – 05/11/2012

Une conférence a eu lieu hier sur « les effets du rayonnement des antennes relais sur la santé » avec l’association Robin des toits.

"Une conférence sur les risques sanitaires des ondes des antennes relais de téléphonie a eu lieu hier" - La Montagne - 05/11/2012

«Téléphoner intensivement provoque le cancer. » Cette affirmation peut résumer le jugement prononcé le 18 octobre par une Cour suprême de cassation européenne, dans le cadre des poursuites entamées par une victime d’un cancer du cerveau suite à l’utilisation intensive du téléphone cellulaire. 

« La justice européenne reconnaît ainsi ce qui est scientifiquement prouvé depuis des années. C’est une véritable catastrophe pour les opérateurs de téléphonie mobile, mais c’est un grand pas pour la santé des citoyens », raconte Marc Cendrier, le chargé scientifique de l’association nationale Robin des toits, qui tenait hier une conférence dans la salle Marie-Laurent, sur invitation de la Société des lettres et du collectif Antennes 19. 

Un seuil de toxicité scientifiquement établit 

Il a commencé par présenter différents rapports établissant formellement des preuves scientifiques des risques liés à la surexposition aux ondes électromagnétiques émises par la téléphonie mobile. « Pour qu’une antenne relais communique avec différents téléphones, elle pulse ses ondes vers chaque téléphone à tour de rôle, très rapidement », a-t-il ensuite expliqué. « C’est principalement cette pulsation saccadée qui créé des dommages sur tous les organismes vivants. Car les ondes électromagnétiques sont naturellement présentes partout et régissent la physiologie des êtres vivants, mais toujours sous la forme d’ondes continues. C’est la surexposition à cette pulsation très rapide de paquets d’ondes qui est toxique. » 

Une toxicité qui s’exprime sur le corps à différents niveaux : La paroi filtrante entre le sang et cerveau est détruite, laissant ainsi passer des molécules toxiques pour le cerveau. La production de mélatonine est perturbée, cette hormone régissant les rythmes fondamentaux du corps humains et notamment celui du sommeil. Des dysfonctionnements apparaissent au niveau des parois cellulaires, modifiant les équilibres moléculaires dans tout le corps. Et enfin, et non des moindres, l’ADN présent dans les cellules est dégradé, entraînant des modifications génétiques qui perdurent lors de la reproduction cellulaire. 

« A haute dose, ces perturbations peuvent entraîner de nombreuses pathologies : maux de têtes, nausées, troubles de l’appétit et du sommeil, dépression, vertiges, chutes, pertes de concentration, maladies de peau… Mais aussi des pathologies plus lourdes, telles que les cancers du cerveau, de la thyroïde, et du pancréas, ainsi que des leucémies, lymphomes, diabète, épilepsie, interruptions de grossesses et malformations prénatales. Il a également été établi statistiquement que le taux de suicide à proximité des antennes relais est 3 à 4 fois supérieur à la normale ! » 

Une nouvelle maladie est aussi apparue : l’EHS, pour électro-hyper-sensibilté, qui après avoir été officiellement niée pendant des années a désormais obtenu un véritable statut médical. Elle toucherait près de 10 % de la population, et 1 à 2 % à un niveau aigu. 

Vers une limitation légale 

Pour limiter ces risques sanitaires, l’association Robin des toits préconise non pas de jeter tous les téléphones sans fils, mais simplement la limitation des intensités des antennes relais à 0,6Vm, un seuil de toxicité déterminé par diverses études scientifiques. « Dans le cas de l’amiante, il a fallu 90 ans après la découverte de sa toxicité pour que la justice l’emporte face aux lobbies. Pour la téléphonie mobile, la catastrophe sanitaire en cours continuera tant que le puissant lobby des opérateurs arrivera à faire taire ce qui est prouvé depuis longtemps… » 

En attendant, l’association soutien de nombreuses actions en justice, ayant permis de condamner les opérateurs sur plus d’une quinzaine de cas d’antenne relais en France au motif de « violation de du principe de précaution », les opérateurs ne pouvant pas garantir l’innocuité de leurs installations. 

Pratique. Collectif Antennes 19 : Mme Plas-Debecker, 05.55.20.11.86 

Joachim Chanliaud 

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Source : http://www.lamontagne.fr/limousin/actualite/departement/correze/tulle/2012/11/05/une-conference-sur-les-risques-sanitaires-des-ondes-des-antennes-relais-de-telephonie-a-eu-lieu-hier-1321678.html

Voir sur le site de Robin des toits :
http://www.robindestoits.org/Une-conference-sur-les-risques-sanitaires-des-ondes-des-antennes-relais-de-telephonie-a-eu-lieu-hier-La-Montagne-05-11_a1824.html

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Le documentaire inédit "OGM : vers une alerte mondiale" sera diffusé sur France 5 mardi 16 octobre.

Le nouvel Observateur    Créé le 19-09-2012 à 12h45 – Mis à jour à 13h15

ls doutaient de la fiabilité des études officielles. Leurs conclusions sont sans appel. Le Professeur Gilles-Eric Séralini et son équipe mènent depuis 2009 une étude indépendante sur l’éventuelle toxicité du mais OGM NK603 sur la santé des mammifères.

Publiés ce mercredi 19 septembre, les résultats de ces recherches, alarmants, pourraient bien agiter l’industrie agroalimentaire française. Car les tests sont sans équivoque : les rats ayant consommé des OGM présentent deux à trois fois plus de tumeurs que les rats « non OGM ». 

Chez les femelles, cela se manifeste par des explosions en chaine de tumeurs mammaires qui atteignent parfois jusqu’à 25% de leur poids. Chez les mâles, ce sont les organes dépurateurs, le foie et les reins, qui sont atteints d’anomalies marquées ou sévères. Avec une fréquence deux à cinq fois plus importante que pour les rongeurs nourris au maïs sans OGM.

« A ce niveau, il n’y a même plus besoin de statistiques, en biologie ou en médecine. » affirme le Professeur Séralini.

Pour plus d’informations sur les OGM cliquez ici
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ONDES ELECTROMAGNETIQUES : DIAGNOSTIC REM…

Effectuer un diagnostic immobilier en France : Pole Diagnostic

Les Français, veulent de plus en plus résider et respirer dans un milieu équilibré, où ils se sentent en sécurité. Cette constatation a bien été prise en compte par les professionnels de l’habitat, qui développent de plus en plus le nombre de diagnostics immobiliers disponibles, comme le diagnostic REM, qui est produit pour restreindre l’effet des ondes électromagnétiques sur les résidents d’un logement.

 

Les diagnostics immobiliers obligatoires, sont toujours au nombre de 9 et ne progressent pas, par contre les investigations secondaires continuent leur progression. Optionnelles, ces vérifications ne sont absolument pas indispensables pour sécuriser les occupants d’un logement, mais peuvent parfois sérieusement corriger leur vie de tous les jours.

 

Après la qualité de l’air et les performances numériques, les diagnostiqueurs, abordent maintenant le problème des ondes électromagnétiques, en suggérant la possibilité d’effectuer un diagnostic REM, en rapport avec l’accroissement des sources de rayonnement, comme le portable, la Wi-Fi, les antennes relais ou encore les fours micro-ondes. Tous ces paramètres peuvent avoir une inflexion, sur notre organisme, il y a un nombre accru de personnes sensibles et que l’on nomme électro-hypersensibles. Même si les études actuelles ne confirment rien pour le moment, les professionnels de l’habitat, profitent de la brèche en constituant un diagnostic immobilier adapté.

 

Actuellement le REM est optionnel, mais certains diagnostiqueurs le suggèrent. Il peut néanmoins aider à déterminer et à doser les radiations éventuellement présentes dans l’habitation, et le diagnostiqueur peut fournir des explications afin de faire diminuer la force des radiations, pour le bien être des occupants du lieu.  

10/10/2012

Source : http://www.pole-diagnostic.com/actualite/101012-174-ondes-electromagnetiques-diagnostic-rem

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Perpignan : Les policiers en ont "par-dessus la tête des antennes-relais"

   Le 4/10/2012 à 11h24 par Laure Moysset | Mis à jour à 11h30

Dans la lignée des associations, des divers collectifs et des particuliers, ce sont les fonctionnaires de la police aux frontières (PAF) de Perpignan relayés par Unité SGP-FO police, qui reprennent le flambeau de la lutte contre ces antennes-relais « suspendues au-dessus de leur tête ». Huit émetteurs hérissent actuellement le toit du bâtiment abritant la PAF mais aussi à proximité immédiate des services d’information générale, du renseignement intérieur et de la police judiciaire, au numéro 19 de la route de Prades. Et hérissent aussi le poil des policiers. « C’est une violation délibérée du principe de précaution, pour les collègues, le voisinage et surtout les enfants de l’école Condorcet située à 100 mètres. C’est inacceptable », dénonce Marc Bianchini, secrétaire-départemental adjoint du syndicat.

« 15 malades pour 100 personnels »
Le sujet a été abordé en mars, lors d’un CHSCT (comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail) et a rapidement brouillé le dialogue. Les délégués syndicaux ont réclamé que des mesures soient effectuées concernant l’exposition des personnels aux ondes électromagnétiques. Et ce, par un organisme indépendant, le CRIIREM, composé d’experts.
Le préfet a donné son accord pour ces relevés. Or, le SGAP (secrétariat général pour l’administration de la police) a mandaté deux expertises, l’une menée par la COFRAC, unique instance nationale publique d’accréditation, et une seconde par le biais de SFR qui a désigné une autre entreprise. « En fait, on a demandé à SFR de choisir la société pour s’auto-contrôler ! Utilise-t-on ces méthodes pour contrôler les routiers, les restaurateurs, les agriculteurs ou les déclarations d’impôts ? Et puis pourquoi ne pas utiliser des moyens moins dangereux comme la fibre optique ? Sur 100 personnels de la PAF, une quinzaine est atteinte de pathologies qui peuvent être dues à une exposition trop importante à ces ondes électromagnétiques. Cancers, problèmes d’oreille interne, d’irrigation du cerveau…». 

«Appliquer le principe de précaution »
En 2011, le conseil de l’Europe avait préconisé l’application du principe de précaution et avait ramené la limite d’exposition à 0,6 volt/mètre qui devrait être abaissée à 0, 2 volt/mètre dans le futur. Sachant que la même année, l’OMS (organisation mondiale de la santé) et le centre international de la recherche contre le cancer ont classé les radiofréquences en catégorie 2B, autrement dit potentiellement cancérigène.
« Or, on est largement au-dessus de cette limite. A Nancy, les représentants du personnel SGP-FO police ont obtenu du CHSCT l’annulation d’un projet d’implantation d’antennes-relais sur les toits du commissariat central. Pourquoi pas faire de même à Perpignan ? Surtout que Free a fait une demande pour implanter trois antennes de plus sur notre toit (lire ci-contre) ? Pourquoi des enfants, et des policiers, feraient-ils les frais de spéculations financières ? Parce que les locaux loués par l’administration appartiennent à une société privée  ? Nous demandons à l’ensemble des élus et des représentants de l’administration que cette situation soit réellement prise en compte et que le principe constitutionnel de précaution passe avant toute autre considération ».
Laure Moysset

SOURCE : http://www.lindependant.fr/2012/10/04/les-policiens-en-ont-par-dessus-la-tete-des-antennes-relais,169506.php

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