Mauvaise nouvelle pour les propriétaires d’un compteur Linky

À partir de 2022, les foyers équipés du compteur intelligent vont devoir commencer à le rembourser.

Écrit par Claire Domenech dans CAPITAL Publié le 31/05/2021 à 20h57 Mis à jour le 01/06/2021 à 14h43

Les foyers équipés d’un Linky vont devoir passer à la caisse. En 2011, Éric Besson, alors ministre de l’Industrie et de l’Énergie, assurait que le nouveau compteur intelligent ne coûterait « pas un centime aux particuliers ». Dix ans plus tard, alors que plus de 90% des foyers (32 millions) en sont désormais équipés, la réalité semble tout autre, comme le rappelle Le Parisien lundi 31 mai.

Montant de la facture : 5,7 milliards d’euros, selon la Cour des comptes, soit 130 euros par appareil. Une somme que les particuliers devront commencer à rembourser dès 2022, en raison du mécanisme de « différé tarifaire » mis en place par Enedis, comme Capital l’avait déjà révélé il y a quelques années. Plusieurs centaines de millions d’euros devraient ainsi être prélevés chaque année, ce qui représentera un total de deux milliards d’euros en 2030.

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Linky : Engie et EDF mis en demeure pour leur collecte de données

La CNIL a mis en demeure les deux groupes « en raison du non-respect de certaines des exigences relatives au recueil du consentement ».

Le Monde avec AFP Publié aujourd’hui à 09h58, mis à jour à 10h42

Ils ont trois mois pour mettre en conformité la manière dont ils gèrent la collecte des informations personnelles des consommateurs par les compteurs communicants Linky. La Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL), autorité administrative indépendante chargée notamment de la protection des données, a annoncé mardi 11 février avoir mis en demeure les groupes d’énergie EDF et Engie.

Les deux groupes sont mis en demeure,

« en raison du non-respect de certaines des exigences relatives au recueil du consentement à la collecte des données de consommation issues des compteurs communicants Linky, ainsi que pour une durée de conservation excessive des données de consommation ». Lire la suite dans « Le Monde »

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EHS : l’Age de Faire

Image du sommaire du mensuel l’Age de Faire ( 2€) qui consacre 2 pages à la situation d’Emma et à la question des nouvelles antennes relais de téléphonie mobile.

Vous pouvez le trouver dans certains kiosques, souvent en magasin bio ou le commander https://magasin.lagedefaire-lejournal.fr/ . Journal sans publicité donc indépendant qui traite de questions sociétales à l’ordre du jour et en particulier de façon régulière la question de la pollution électromagnétique.
Bien cordialement

L’équipe Robin des toits Midi-Pyrénées

N’oublions pas qu’il est essentiel que chacun arrive aussi à limiter l’exposition qu’il génère : https://www.robindestoits.org/POLLUTION-ELECTROMAGNETIQUE-LIMITER-SON-EXPOSITION_a2661.html


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Ondes et animaux, une compilation d’articles et d’études.

Cliquez pour lire ce nouvel article traitant le sujet (mise à jour)

Il n’y a pas que les humains qui souffrent des champs électromagnétiques artificiels. Nos amies les bêtes sont aussi impactées et il est plus délicat d’accuser des vaches, des poules, des grenouilles, des lapins etc.. de nous faire des « maladies psychosomatiques » quand elles souffrent et parfois meurent à proximité d’antennes relais ou de lignes à haute tension. Comme pour les humains, les autorités sanitaires ne voient pas de liens de cause à effets. Et qui se préoccupe des paysans impactés? Le document à télécharger

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Orange rappelle un téléphone émettant trop d’ondes

Des dizaines de milliers de consommateurs concernés

Ce sont les contrôles réalisés par l’Agence nationale des fréquences (ANFR) qui ont détecté un dépassement du débit d’absorption spécifique (DAS) autorisé. Le DAS est la mesure utilisée pour quantifier l’énergie des ondes absorbée par l’utilisateur d’un portable. Il est limité à 2 W/kg au niveau de la tête (« DAS tête ») comme au niveau du corps (« DAS tronc »).

Durcissement des normes

Ces normes ont par ailleurs été durcies. Un changement de méthode de mesure, qui s’applique aux smartphones et autres portables mis sur le marché depuis avril 2016, conduit à mesurer les émissions au niveau du tronc à une distance maximale de 0,5 cm du corps.

Auparavant, les fabricants pouvaient effectuer des mesures à 2,5 cm de distance. Ces quelques centimètres changent tout : ils permettaient aux fabricants d’afficher des valeurs bien plus faibles, et donc de respecter plus facilement les normes.

L’article de 60 millions de consommateursFacebooktwitterlinkedinmail