Informations LINKY

NEXT-UP fait un gros travail d’information que nous vous invitons a relayer, complétez votre information en allant sur leur site c’est  ICI

Voici le texte qu’il nous demande de diffuser largement, ne vous privez pas

– Linky Questions – Réponses :

– le Linky est-il obligatoire ?
Non le Linky n’est absolument pas obligatoire, à ce jour 0,97 % des foyers l’ont refusé.
Aucune personne propriétaire n’a eu le Linky si elle s’y était opposée explicitement par une lettre recommandée AR à la SA ERDF.

– Pourquoi le Linky n’est-il pas obligatoire ?
L’obligation d’un objet connecté à un citoyen est anticonstitutionnelle, dans le cadre de la Loi sur la Transition Energétique le mot Linky ou obligation de compteur n’apparait pas, donc le Conseil Constitutionnel n’a pas ni validé, ni étudié cette hypothèse.

Dans tous les cas ce qui lie les deux parties, c’est-à-dire le client consommateur à la SA EDF/ERDF ce sont les termes de son contrat de droit commercial, le reste n’est que de l’enfumage (voir les reportages explicites).

Par contre si le client ne manifeste pas d’opposition à l’installation du système de comptage connecté Linky de facto il accepte tacitement tous les termes du nouveau contrat, dont l’essentiel est celui de la facturation de son nouveau type de contrat non plus sur la base du KWh, mais sur la base du KVA (énergie apparente qui engendre une surfacturation pour plus de 10 millions d’abonnés) et de la fourniture non plus d’une seule fréquence de la marchandise, c’est-à-dire de l’énergie électrique en 50 HZ, mais en bi-fréquences Hz et KHz radiative du Courant Porteur en Ligne (CPL) qui génère la Dirty Electricity qui est une nouvelle pollution en champs proches dans tous les appartements, donc nocive pour la santé en l’absence d’installation conforme.

– Comment refuser le Linky ?

C’est très simple, lorsque vous recevrez ou serez informés de l’installation du Linky, vous envoyez en retour une lettre recommandée AR à l’expéditeur ERDF de la lettre type de refus (faire un copier/coller et compléter : nom, prénom, adresses, références et signer). Les lettres sont ICI

– Que va-t-il se passer suite à mon refus du Linky ?
Pour le moment rien, néanmoins face à la montée en charge des refus du Linky une taxe assimilable à un racket est à l’étude par la Commission de Régulation de l’Énergie (CRE), son montant est de 19 euro HT/mois ceci pour compenser les frais engagés par ERDF pour le relevé “à pied” (manuel) du compteur de ceux qui ont refusé le Linky, c’est-à-dire à ce jour 0,93 % des foyers.
– CRE, sic : « Le maintien d’une relève à pied pour quelques clients isolés représente en effet un coût unitaire beaucoup plus élevé que celui de la relève à pied en masse pratiquée aujourd’hui. La CRE a décidé de l’introduction dans les prestations de GRDF d’une prestation de relève à pied facturée environ 19 € HT / mois, correspondant aux coûts induits par la nécessité de continuer à relever ces consommateurs à pied. ».

 

– Merci de diffuser cette News.

– Linky Questions – Réponses : Prochaines News, l’essentiel sur le Linky est ce que vous ne savez pas encore !

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Robin des Toits suspend sa participation au COPIC (Grenelle des Ondes) – 28/01/2013

Association Robin des Toits


Robin des Toits vient de suspendre sa participation au COPIC (Comité d’expérimentation de l’abaissement de l’exposition du public à 0,6 V/m). 

Robin des Toits à été à l’initiative de cette expérimentation en 2009, lors du Grenelle des Ondes. 

Les travaux du Copic – à ce jour – ont montré qu’il était possible d’abaisser l’exposition du public à 0,6 V/m à Paris 14e à condition de multiplier le nombre d’antennes-relais par trois ; à Grenoble en multipliant les antennes par 1,6 ; en revanche, nul besoin d’en rajouter à Kruth (Alsace) ou l’exposition culmine à 0,3 V/m. 

Ces résultats sont embarrassants pour les opérateurs, ils valident ce que nous avons toujours déclaré : sur le plan technique ont peu parfaitement avoir une exposition n’excédant pas 0,6 V/m mais que c’est moins rentable pour les industriels puisqu’il 
faut reconfigurer le réseau d’antennes-relais. 

Or l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences) souhaite ajouter de “nouveaux objectifs” à notre expérimentation. En clair, tout va être fait pour “dégommer” le 0,6 V/m et nous ne souhaitons pas cautionner cette instrumentalisation de nos travaux. 

Par ailleurs la proposition de loi de Laurence Abeille (EELV) vient de passer en commission des affaires économiques où elle a été soumise à une cure d’amaigrissement radicale alors que la ministre de l’Ecologie Delphine Batho, a, de son coté l’intention de proposer un Projet de loi en juin qui pourrait être bien plus favorable aux opérateurs et pas du tout à la santé publique. 

Nous pensons que la ministre va s’appuyer sur les travaux biaisés du COPIC qui seront rendus en juin et qui ont pour objet de gonfler le nombres d’antennes nécessaire à l’application du seuil de 0,6 V/m ; sur le rapport de l’ANSES qui sortira lui aussi en juin (quel timing !) et qui aura très probablement des conclusions beaucoup plus rassurantes que celles du rapport Bioinitiative 2012… 

Tout nous laisse penser que son projet de loi préservera les intérêts des industriels, en “abaissant” l’exposition du public à 5 ou 6 V/m en lien avec les objectifs actuels de l’ANFR. 
6 V/m est le seuil minimum acceptable pour les opérateurs, il permet de conserver le réseau d’antennes en l’état. 

Robin des Toits suspend donc sa participation au COPIC et ce faisant nous “figeons” les résultats actuels qui ont été réalisés de manière fiable. 
Nous ne pouvons cautionner un projet à visée exclusivement économique qui se ferait au détriment de la santé publique. 

Bien à vous, 
Etienne Cendrier porte-parole de Robin des Toits

Source : http://www.robindestoits.org/Robin-des-Toits-suspend-sa-participation-au-COPIC-Grenelle-des-Ondes-28-01-2013_a1901.html

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Alerte de l’Académie américaine de pédiatrie

Une information de PRIARTEM

16 janvier 2013 – Thème : Information scientifique :: La gestion des risques

Nouvelle alerte : l’Académie américaine de pédiatrie plaide en faveur d’une meilleure connaissance des risques de l’exposition aux radiofréquences pour les enfants et à une meilleure information du public sur ces risques

Un membre du Congrès américain, Dennis Kucinich a déposé, en août 2012, une proposition de loi intitulée ’Le téléphone portable, le droit de savoir’, qui propose des étiquettes d’avertissement sur les téléphones portables, de créer un nouveau programme national de recherche sur les téléphones portables et la santé et exige de l’Agence de Protection Environnementale (Environmental Protection Agency) de mettre à jour le taux d’Absorption spécifiques (DAS), aujourd’hui obsolète.

Cette proposition de loi vient de recevoir un soutien de poids, celui de l’Académie américaine de pédiatrie qui regroupe pas moins de 60 000 praticiens. Dans une lettre adressée à Dennis Kucinich, le Président de l’AAP, le Dr Thomas K Mc Inerny, affirme ainsi : “L’Académie Américaine de Pédiatrie (la AAP) plaide en faveur du texte H.R. 6358 et soutient particulièrement l’analyse des effets des radiofréquences (RF) sur les populations les plus vulnérables, incluant les enfants et les femmes enceintes. En outre, nous sommes heureux que le projet de loi exige l’examen de ces effets lors de l’élaboration des normes d’exposition maximale. Les enfants sont touchés de manière disproportionnée par les expositions environnementales, y compris par le rayonnement des téléphones portables. Les différences de densité osseuse et de quantité de liquide dans leur cerveau par rapport à un cerveau d’adulte, pourraient permettre aux enfants d’absorber de plus grandes quantités d’énergie RF, plus profondément dans leur cerveau”,

Dennis Kucinich se félicite de ce soutien et souligne :

“Les effets sur la santé des rayonnements des téléphones cellulaires sont potentiellement dangereux pour tous les utilisateurs, mais les enfants sont parmi les plus vulnérables comme le notent les médecins dans la lettre. Je suis honoré que ces professionnels réputés soutiennent le projet de loi ’Le téléphone portable, le droit de savoir. Notre coalition va en s’agrandissant et s’élargissant”.

Pour soutenir son texte, il s’appuie sur la classification des radiofréquences comme “peut-être cancérogène pour l’homme” par l’OMS, au même titre que le plomb et le mercure, sur les données d’Interphone et sur les recherches qui montrent, notamment les effets sur la fertilité masculine.

Il constate que la Commission Fédérale des Communications (Federal Communications Commission) a publié les valeurs limites de ces rayonnements, appelé Débit d’Absorption Spécifique (DAS). « D’après la Commission Fédérale des Communications, écrit-il, le Débit d’Absorption Spécifique est “la quantité d’énergie RF absorbée par le corps lors de l’utilisation d’un téléphone portable”. La limite actuelle du DAS d’un téléphone portable est de 1,6 watts par kilogramme. Cependant, le DAS actuel est obsolète. Il ne tient pas compte de l’usage actuel du téléphone portable et il ne tient pas compte, non plus des populations vulnérables comme les enfants ou les femmes enceintes. Il suppose que a seule’exposition d’une personne est celle de son téléphone en communication, mais avec le WiFi, les “smart phones” et les technologies Bluetooth, l’exposition à un seul périphérique sans fil est plus rare. En outre, le corps des enfants est en développement et leur crâne est plus “souple” que chez l’adulte. Cela signifie que le cerveau des enfants absorbe plus de rayonnement que ceux des adultes, ceux-là même qui ont été étudiés pour déterminer le DAS. »

“Avec environ 300 millions abonnés au téléphone portable aux Etats-Unis et suffisamment de preuves scientifiques pour montrer le lien entre les téléphones portables et les effets sur la santé comme les tumeurs du cerveau ou les effets sur les spermatozoïdes, les consommateurs ont le droit de savoir ce que leurs téléphones émettent. Nous devons l’exiger” , déclare Dennis Kucinich.

Source: http://www.priartem.fr/Alerte-de-l-Academie-americaine-de.html

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Antennes: les médecins de l’ASEF répondent à l’Académie de Médecine

logo asef web

    Écrit par L. Ferrer Créé le jeudi 10 janvier 2013 16:32

Le Dr Patrice Halimi, Secrétaire Général de l'ASEF, et les députés, Jean-David Ciot et François-Michel Lambert, lors de la présentation de la proposition de loi Ciot à la cité HLM de La Pinette à Aix-en-Provence le 22 octobre dernier.

Le Dr Patrice Halimi, Secrétaire Général de l’ASEF, et les députés, Jean-David Ciot et François-Michel Lambert, lors de la présentation de la proposition de loi Ciot à la cité HLM de La Pinette à Aix-en-Provence le 22 octobre dernier.

Hier, l’Académie de médecine réaffirmait l’absence de risque des antennes relais. Une affirmation pour le moins remise en cause par les médecins de l’ASEF, qui ne décolèrent pas de voir les études se multiplier et l’Académie s’embourber dans le déni… Explications.

 

Combler le vide juridique. Dans un communiqué daté d’hier, l’Académie réagit à la proposition de loi sur la réglementation des antennes relais, faite par le député PS d’Aix-en-Provence, Jean-David Ciot. Cette proposition de loi, basée sur les recommandations de l’Association Santé Environnement France, a pour but de garantir l’égalité de chaque citoyen face au risque que représente les antennes relais. « Nous sommes d’accord sur un point avec l’Académie, la nocivité des antennes relais n’a pas encore été confirmée. Mais, il ne s’agit pas pour nous de trancher la question scientifique, ni d’interdire les antennes relais. Cependant, comme elles présentent un risque, il faut qu’il y ait une véritable égalité face à celui-ci. Or, la loi est la seule à pouvoir garantir cette égalité. A la cité HLM de La Pinette à Aix-en-Provence, nous comptons encore et toujours 14 antennes relais sur le même toit ! A Aubagne, 17 ! Peut-on se permettre d’imposer cela à une population en lui expliquant que nous en saurons plus dans 20 ans lorsque la science aura tranché?» explique le Dr Patrice Halimi, Secrétaire Général de l’ASEF, à l’origine d’un appel pour une loi sur l’implantation des antennes relais envoyé à tous les sénateurs et députés de la République. Son appel en septembre dernier avait d’ailleurs été soutenu par 3 000 citoyens.

 

Peut-être cancérigène…. Dans son communiqué, l’Académie évoque le fait que seuls les portables et non les antennes relais seraient reconnus comme des “cancérogènes possibles” par le Centre International de recherche sur le cancer (CIRC). Mais l’Académie n’a pas dû mettre ses fichiers à jour, puisqu’un rapport du CIRC a classé le 31 mai 2011 les champs électromagnétiques de radiofréquences comme «peut être cancérigènes» (http://www.iarc.fr/fr/media-centre/pr/2011/pdfs/pr208_F.pdf). «En début de semaine le rapport Bionitiative, basé sur 1 800 nouvelles études scientifiques, montrait que les ondes électromagnétiques pouvaient altérer la santé des utilisateurs de téléphones portables, des futurs parents, des jeunes enfants ou encore des femmes enceintes. Risque de tumeur maligne du cerveau, risque pour les spermatozoïdes des hommes, risque d’autisme pour les enfants à naître, risque pour le développement cérébral du fœtus : la liste est longue et inquiétante» affirme le Dr Pierre Souvet, Président de l’ASEF.

 

La déni Académie. « Faire comme si les problèmes n’existaient pas ne contribue pas à les résoudre, ni à les faire oublier de la population qui les vit et les subit au quotidien… L’Académie a eu beau affirmer en 1996, que l’amiante n’était pas vraiment problématique si on l’utilisait avec précaution…. Le produit, déjà classé cancérigène depuis 20 ans, a tout de même été interdit en France l’année suivante ….» conclut le Dr Patrice Halimi, qui se bat au quotidien pour que le doute légitime en cas de débat scientifique profite aux patients.

 

Contact presse: Ludivine Ferrer ( ludivine.ferrer@asef-asso.fr) 04 88 05 36 15

source : http://www.asef-asso.fr/presse/1603-antennes-les-medecins-de-l-asef-repondent-a-l-academie-de-medecine

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VIDEO : "Téléphoner tue ?" – France 3 – 05/12/2012

Association Robin des Toits

Voir l’interview de l’eurodéputée EELV Michèle RIVASI sur la réalité du danger de la téléphonie mobile et du Wi-fi et sur la nécessité d’avertir les utilisateurs de ce dernier, par l’étiquetage des appareils et l’interdiction de l’utilisation par les enfants.


Voir la vidéo sur le site de Robin des toits : http://www.robindestoits.org/VIDEO-Telephoner-tue-France-3-05-12-2012_a1850.html

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Les divers courriers envoyés par Robin des Toits aux ministres et responsables gouvernementaux.

Lettre à Cécile DUFLOT : "Politique du logement et dangers sanitaires d'origine électromagnétique" - Robin des Toits - 25/10/2012

Compteurs LINKY : lettre ouverte à Madame Delphine BATHO – Ministre de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie – 16/11/2012

Copie à Madame Cécile DUFLOT, Ministre de l’égalité des territoires et du logement

Madame la Ministre, 

L’association nationale Robin des Toits pour la sécurité sanitaire dans les technologies sans fil a appris, à la lecture du « Moniteur » du 11 octobre dernier, que vous alliez « reprendre le projet » du déploiement du compteur intelligent dit « Linky » et qu’un groupe de travail allait être mis en place à cet effet. 

Nous espérons que cette reprise d’une opération lancée d’une manière extrêmement critiquable par le gouvernement précédent sera l’occasion d’une amélioration substantielle du projet qui, en l’état actuel, ne laisse pas de nous inquiéter. 

En effet, si, comme de nombreux citoyens et associations, nous nous inquiétons de la richesse et de la finesse des données personnelles collectées par le compteur, si, comme beaucoup, nous trouvons suspectes et obscures les conditions dans lesquelles ce prototype a été choisi, si, comme une partie des observateurs, nous nous demandons si ce compteur va vraiment générer des économies pour les abonnés, notre principal sujet de préoccupation, en lien avec notre objet social, est le surcroît de pollution électromagnétique à laquelle ce nouveau compteur « intelligent » exposera les abonnés, au sein même de leur habitation. 

En effet, en l’état, les informations entre les appareils électriques et le compteur seront transmises par CPL (courant porteur en ligne), c’est-à-dire un signal que le circuit électrique « normal », non blindé, n’est pas fait pour transporter. Il en résulte un rayonnement constant, au moins près des murs, et une pollution de l’ensemble du circuit électrique de l’habitat. 

Arrivé au concentrateur, pour relayer l’information jusqu’à ERDF, nous passons en GSM, soit une technologie sans fil source de champs électromagnétiques importants. 

Voilà donc les citoyens exposés, du seul fait qu’ils utilisent de l’électricité, à une importante pollution électromagnétique qui vient s’ajouter à tout ce dans quoi ils baignent déjà (téléphones portables, antennes relais, DECT, WIFI, WiMAX…), dont l’effet cocktail n’est jamais étudié. 

Cette exposition serait particulièrement néfaste par son caractère subi (l’abonné est obligé d’en posséder un alors qu’il peut choisir de désactiver le WIFI voire de ne pas avoir de téléphone portable), proche (contrairement à une antenne relais qui se trouve sur le toit) et continu (contrairement, par exemple, à un téléphone portable que l’on peut éteindre). 

Or, des recherches indépendantes de plus en plus nombreuses montrent que l’exposition aux champs électromagnétiques peut favoriser cancers, maladies neuro-dégénératives, aggravation de maladies existantes comme le diabète, et chez les enfants, hyperactivité, autismes et troubles de l’attention et du développement. 

Un compteur intelligent c’est bien, que les enfants qui grandissent dans la maison aient une chance de le devenir, c’est encore mieux !! 

En mai 2011, l’OMS, pourtant peu soupçonnable de dureté excessive envers l’industrie, a classé les radiofréquences parmi le groupe des substances « cancérogènes possibles pour l’homme » (catégorie 2B). 

Partant, l’application du principe de précaution devrait conduire à éviter ces procédés partout où ils ne sont pas nécessaires. Or, les installations électriques, comme les compteurs, sont fixes : nul besoin pour eux d’utiliser des radiofréquences !! Des liaisons fixes, solides, comme la fibre optique, pourraient utilement transporter l’information pertinente, sans gaspillage énergétique et sans risque pour la santé. Nous vous remercions par avance de ne pas nous renvoyer, sur ce sujet, à l’ANSES. 

Son dernier rapport sur les radiofréquences date de 2009 et s’appuie sur des travaux beaucoup plus anciens, ce qui fait vraiment très loin vu la vitesse du développement technologique. 

La nouvelle classification de l’OMS rend obsolète tout ce qui s’est fait avant et crée un contexte radicalement nouveau. Un gouvernement n’a pas besoin d’experts pour prendre ses responsabilités et appliquer le principe, constitutionnel, de précaution. 

Les exemples américains et canadiens sont édifiants : dans ces deux pays, les compagnies de gaz, d’eau et d’électricité ont commencé à déployer des compteurs « intelligents ». 

Aux Etats-Unis, elles ont dû faire machine arrière, proposer une solution « d’opting out » aux abonnés, parfois réinstaller les anciens compteurs analogiques. Au Canada, les plaintes se multiplient, notamment à cause de problèmes de santé vécus par des personnes qui n’étaient, à l’origine, pas particulièrement « anti-ondes »… 

Dans notre univers mondialisé, ces exemples doivent être médités pour mettre en place, dans notre pays, des solutions sûres et incontestables. 

Tous les arguments de Robin des Toits contre le nouveau compteur « Linky » sont repris dans le recours que nous avons déposé le 25 Novembre 2011 contre la décision de généralisation en date du 28 Septembre dernier. Vous trouverez ce recours, toujours en cours d’examen devant le Conseil d‘Etat, joint au présent courrier. 

Comptant sur vous pour la prise en compte de ces observations dans l’intérêt de l’ensemble des citoyens, Et nous tenant naturellement à votre disposition pour tout complément d’information, Nous vous prions d’agréer, Madame la Ministre, l’expression de nos sentiments respectueux et dévoués. 

Porte-Parole national 
Etienne CENDRIER 

Source : http://www.robindestoits.org/Compteurs-LINKY-lettre-ouverte-a-Madame-Delphine-BATHO-Ministre-de-l-Ecologie-du-Developpement-durable-et-de-l-Energie_a1830.html


Lettre à Cécile DUFLOT : “Politique du logement et dangers sanitaires d’origine électromagnétique” – Robin des Toits – 25/10/2012

A l’attention de Madame Cécile DUFLOT 
Ministre de l’Egalité des Territoires et du Logement 

Objet : Politique du logement et dangers sanitaires d’origine électromagnétique 

Madame la Ministre, 

L’association nationale Robin des Toits souhaite vous alerter sur le fait qu’en matière de logement le développement continuel des pollutions d’origines électromagnétiques entraîne des dangers et effets nocifs croissants sur la sécurité et la santé[1] des français,compte tenu de l’obsolescence et de l’inadéquation grandissantes des normes en vigueur qui ne garantissent absolument pas l’innocuité. 

Or chaque jour qui passe, les sources de pollution extérieure s’intensifient avec la multiplication des antennes-relais et la 4G (multiplication par un facteur 50 du rayonnement) qui se prépare, n’augurant rien de bon, sinon une nouvelle catastrophe sanitaire, sans équivalent. Pourtant, dans le même temps, les preuves scientifiques s’accumulent au sujet du caractère pathogène ou létal des Champs Electro-Magnétiques (CEM) : cancers, leucémies, AVC, maladies auto-immunes ou neuro-dégénératives, dépressions, suicides, électro-hypersensibilité (EHS) et chimico-sensibilité (MCS), etc.

Or il semble que rien ne vienne arrêter ni même limiter cette fuite en avant technologique et électromagnétique pourtant incompatible avec la biologie de tout le vivant.

Lire la suite sur le site de Robin des toits 


Courrier au directeur des rédactions du Monde Magazine – Robin des Toits – 08/11/2012

A l’attention de Monsieur Erik IZRAELEWICZ – Directeur des rédactions 

Monsieur le Directeur de la rédaction, 

Vous avez fait paraître, dans votre édition du « Monde Magazine » datée du 28 octobre 2012, un article intitulé « la tablette, nouveau doudou numérique ». Cet article, tout en restant ouvert aux innovations technologiques actuelles, est remarquable par son caractère nuancé et non sottement technophile. Il souligne notamment l’absence de recul quant à l’utilisation des tablettes par les enfants et le défaut total de contrôle des applications prétendument pédagogiques. Sur ces points, ce « papier » est véritablement digne d’éloges. 

L’association nationale Robin des Toits, pour la sécurité sanitaire dans les technologies sans fil, souhaite appeler votre attention sur le fait que ces développements omettent cependant un point particulièrement important, de nature à peser sur la décision des parents qui, en cette période d’approche de Noël, songent à offrir, ou à s’offrir, une tablette susceptible d’être utilisée par leurs enfants. Il s’agit de l’exposition aux champs électromagnétiques résultant de l’utilisation d’une tablette.

Lire la suite sur le site de Robin des Toits

Source : http://www.robindestoits.org/SUPER-Wi-fi-lettre-de-Robin-des-Toits-a-Madame-Marisol-TOURAINE-Ministre-des-Affaires-sociales-et-de-la-Sante-18-11_a1832.html


SUPER Wi-fi : lettre de Robin des Toits à Madame Marisol TOURAINE, Ministre des Affaires sociales et de la Santé – 18/11/2012

Madame la Ministre, 

Le lancement de l’expérimentation du Super Wifi a été annoncé récemment. Ce système a pour but de fournir un accès au Haut Débit à des utilisateurs situés dans des zones rurales. L’autorisation a été donnée pour la Seine-Maritime, pour tester la fiabilité technique du système et son absence d’interférence avec la TNT. Ces antennes devraient avoir une portée de 100 km, au moins. 

Vous n’ignorez pas que toutes les technologies sans fil qui sont déployées à grande vitesse depuis quelques années posent question quant à leur innocuité pour les personnes. Dans tous les pays, et dans le nôtre, dans toutes les régions, des voix se font entendre pour dénoncer les effets délétères du bain électromagnétique dans lequel toute la population tend à être immergée. 

Les témoignages de personnes atteintes se multiplient. Elles sont dites électrohypersensibles (EHS). La question est en fait plus complexe et les scientifiques qui y travaillent tendent à dire que le déclenchement d’une EHS est dû à un syndrome d’intolérance aux champs électromagnétiques (SICEM) qui dégénère en EHS pour une catégorie de population dite « susceptible ». L’absence de susceptibilité n’est donc pas une garantie contre la possibilité d’être atteint de SICEM. Car ce risque existe pour toute exposition trop longue ou trop forte à des CEM. Et donc pour une part de la population qui est et sera croissante si la politique actuelle n’est pas revue. Vous savez que les radiofréquences ont été classifiées potentiellement cancérogènes par l’OMS le 31 Mai 2011. Tout ceci est suffisamment alarmant pour que ce gouvernement ne se contente pas d’attendre les résultats de la consultation mise en place par ses prédécesseurs. Son orientation vers une explication psychologique des troubles vécus est très contestable (à Paris, menée par le professeur Choudat).

Lire la suite sur le site de Robin des Toits

Source : 

http://www.robindestoits.org/SUPER-Wi-fi-lettre-de-Robin-des-Toits-a-Madame-Marisol-TOURAINE-Ministre-des-Affaires-sociales-et-de-la-Sante-18-11_a1832.html


SAISIE DU PREFET DE LA REGION DES PAYS DE LA LOIRE – PREFET DE LOIRE ATLANTIQUE – Robin des Toits – 06/11/2012

au sujet du trouble à l’ordre public 
constitué par des émissions électromagnétiques clandestines.

Les émissions électromagnétiques du type LTE 4G ont été lancées à Nantes dans les conditions d’une double absence : 
– absence de toute enquête sanitaire préalable à la mise en service. 
Alors qu’à leur niveau le plus haut en Europe les autorités judiciaires viennent de confirmer que les émissions du groupe téléphonie mobile sont cause de cancer. 
– absence de toute information publique de la population. 

L’association nationale Robin des Toits a demandé à ce sujet une audience au Préfet de la Région des Pays de la Loire, également Préfet de Loire Atlantique. 
S’agissant d’un trouble à l’ordre public, l’autorité à saisir était évidemment celle qui a la charge d’y veiller. 

Au cours de cette audience, tenue dans les locaux de la Préfecture le 30 Octobre 2012, l’association nationale Robin des Toits a présenté au Préfet deux informations sur l’état présent des reconnaissances officielles de l’attaque de la Santé par ce groupe d’émissions. 
Dans les domaines politique, judiciaire et scientifique. 
En précisant que dans la situation actuelle, la responsabilité des autorités en charge des réglementations est pleinement engagée. 
Et que le risque encouru se nomme mise en danger d’autrui. 
L’association a de plus présenté au Préfet trois propositions d’action. 

Pour information, nous vous joignons copie du dossier remis au Préfet. 

Robin des Toits a déclaré qu’il était disponible pour toute coordination d’information et d’action avec les Services Publics. 

Nous vous tiendrons informés des suites données par le Préfet 

— 
Marc CENDRIER 
Chargé de l’Information Scientifique 

Brigitte BOUTEILLER 
Déléguée Régionale 

saisieprefetregionpaysdelaloire_2012_10_31.pdf SaisiePrefetRegionPaysDeLaLoire_2012_10_31.pdf  (134.4 Ko)

Source : http://www.robindestoits.org/SAISIE-DU-PREFET-DE-LA-REGION-DES-PAYS-DE-LA-LOIRE-PREFET-DE-LOIRE-ATLANTIQUE-Robin-des-Toits-06-11-2012_a1823.html



 

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