Villeneuve Depuis un an, Ana lutte contre les antennes

Midilibre.gif   Édition du dimanche 21 février 2010


Depuis un an, Ana lutte contre les antennes

Petit clin d’oeil, hier midi, l’association A Nous d’Agir (Ana) fêtait son anniversaire avec une quarantaine de personnes, réunies autour d’un apéritif convivial, à deux pas du chantier d’une antenne de téléphonie mobile, dans le quartier du Polygone. Un chantier suspendu, depuis qu’il y a un an Ana entamait son combat contre cette antenne.
Née dans l’émotion, l’association s’est structurée et étoffée, puisqu’elle compte aujourd’hui une centaine d’adhérents, autour de son président Philippe Coisne. Elle multiplie les actions d’information sur les dangers des ondes électromagnétiques et s’est équipée d’une sonde pour effectuer des relevés.
Hier, le cardiologue Pierre Souvet, président de l’association Santé Environnement France (2 500 adhérents), est venu, par sa présence,

soutenir l’action d’Ana. « Je fais partie des médecins qui ont signé l’appel des vingt scientifiques sur les dangers du portable, rappelle-t-il. On a suffisamment de signaux sur la toxicité des ondes électromagnétiques pour appliquer le principe de précaution. Nous militons pour faire baisser la puissance des antennes à 0,6 v / m et pour les implanter au moins à 100 mètres des habitations. » Un combat qu’Ana porte à Villeneuve et au-delà, en sensibilisant les politiques et les citoyens. « Nous avons été sollicités pour effectuer des mesures à Marseille et dans un village du Vaucluse, se félicite Philippe Coisne, ravi de l’impact de l’association. Seules les mesures citoyennes sont crédibles, car les opérateurs de téléphonie ont les moyens de déjouer les contrôles officiels en baissant les puissances de leurs antennes pour ne pas être épinglés », affirme-t-il.
Prochaines étapes pour Ana : exiger, dans le cadre de la prochaine commission extra-municipale sur les antennes-relais, dont elle a suscité la création, la communication des azimuts de toutes les antennes de la commune. Continuer ses actions d’informations dans les écoles. Et, le 4 mars prochain, participer au conseil régional, à une coordination d’associations qui travailleront sur le plan numérique régional.

K. HANIN

Accéder au site de l’association : http://anousdagir.over-blog.com/

Source :   http://www.midilibre.com/articles/2010/02/21/VILLAGES-Depuis-un-an-Ana-lutte-contre-les-antennes-1120662.php5

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Sainte Foy de Peyrolières : des antennes controversées

PRIARTEM-copie-1.jpg   28 janvier 2010par Collectif

Actions menées par le collectif des riverains de Sainte Foy de Peyrolières relatives à ses déboires avec Orange

Annonce du débat public du 12 février 2010

Une centaine de personnes accompagnées de leurs enfants ont brandit leurs pancartes « Non aux antennes relais au cœur du village » à la mairie de Sainte -Foy de- Peyrolières lors de la réunion avec le maire « L’inquiétude et le mécontentement grondent dans la foule, ce qui engendre « un dialogue de sourd », et va même jusqu’au clash. En effet des gens quittent la salle… raconte un porte parole du collectif.

Le débat a été recentré : il ne s’agit pas de s’opposer a l’antenne relais mais à son emplacement au milieu du centre du village sur le château d’eau et à 200 mètres des écoles. L’ensemble des personnes présentes ont insisté sur la nécessité d’informer la population et surtout les élus peu nombreux à cette réunion. » poursuit le collectif qui a remis au maire des dossiers à l’attention de l’ensemble des élus, afin de pouvoir les informer et les alerter sur les risques de santé publique.

Finalement une date de réunion publique spécifique a été établie le 12 février sur le sujet de l’antenne. « Nous espérons par cette forte mobilisation engagée, pouvoir reprendre des négociations.

En effet des propositions ont été émises de la part des participants et ils souhaitent trouver ensemble des solutions mais toujours dans le respect de la population » conclut le collectif.

Nous sommes toujours en contact avec notre députée et avons convié les maires des communes voisines ainsi que tous les collectifs. Daniel Oberhausen, physicien de Priartem, nous a assuré de sa présence.

Le point de vue du maire

François Vives le maire précise : « en réponses aux interrogations des riverains, le maire est revenu sur les courriers obtenus auprès de la DASS ainsi que de l’Agence Technique Départementale. Ces réponses ont été transmises au collectif et aux délégués de parents d’élèves. Les documents sont aussi consultables à la mairie. Depuis le gel du projet demandé par le maire auprès du propriétaire du château d’eau (Syndicat Intercommunal des Eaux des Coteaux du Touch), plusieurs réunions ont eu lieu dans le but de fournir à la population comme aux élus toutes les informations concernant ce type de projet. Pour finir de renseigner la population, il a été décidé de tenir une réunion publique le 12 février. Une fois les dernières informations obtenues, le conseil municipal se prononcera sur le devenir de ce projet . »

Les membres du collectif face à François Vives.

 

Source :  http://www.priartem.fr/Sainte-Foy-de-Peyrolieres-des.html

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Strasbourg, ville pilote pour l’abaissement des seuils d’exposition – 11/02/2010

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L’Association Nationale Robin des Toits a été invitée par la Ville de STRASBOURG à une réunion consacrée à la mise en oeuvre de l’abaissement des expositions électromagnétiques. Robin des Toits remercie la Ville de son invitation.

Les représentants de la Ville, en l’absence du Maire, exposent leur projet. Il consiste en des réunions. Avec un objectif double :

– informer la population.

Rappelons que le déploiement commercial de la téléphonie mobile date de plus de 10 ans.

– parvenir à un consensus entre les participants. Ce ne sera pas simple. Du fait que les positions de la population et des opérateurs sont intégralement opposées. Du fait que la population a précédé l’initiative de la Ville dans l’accès à l’information réelle.

Après cet exposé, Robin des Toits rappelle qu’il est à l’origine de la proposition d’organiser des tests d’abaissement des expositions électromagnétiques. Puis, du fait de sa participation à toutes les réunions du Comité Opérationnel sur le sujet, il informe les présents de l’état des décisions au niveau national. Sous la Présidence de Monsieur BROTTES, Député PS de l’Isère, le Comité Opérationnel, dont Robin des Toits est membre, exerce la fonction de décideur politique dans le cadre du Grenelle des Ondes. Il définit les modalités de mise en oeuvre de l’expérimentation. De façon complète et détaillée.

Sans attendre le début de l’expérimentation, la Ville a la possibilité de rendre claire l’importance qu’elle attache à la Santé Publique par la prise de quelques décisions :

1- Informer publiquement la population que la Ville dispose de textes précisant l’état présent des connaissances sur l’ElectroHyperSensibilité. Notamment par le document qui lui a été remis le 04/02/2010 par Robin des Toits. Signaler qu’elle est également informée du fait que divers Etats ont procédé à la reconnaissance officielle. Informer qu’en conséquence la Ville ouvre un Service destiné à l’accueil des personnes qui se déclarent électrosensibles. Afin de pouvoir organiser un suivi médical pendant la durée des tests.

2- Procéder au niveau de la Communauté Urbaine à un recensement des zones d’intensité faible et prévoir d’y organiser des résidences avec dispositifs de protection.

3- Informer publiquement la population que la Ville dispose de documents concernant les émissions WIFI et WIMAX et qui établissent les faits suivants :

• elles sont très inférieures techniquement aux connexions filaires.
• ceux mêmes qui les installent confirment qu’elles seront abandonnées au plus tard en 2012, après quoi seule la fibre optique sera opérationnelle. Y investir est donc un gaspillage de l’argent public.
• les enquêtes sanitaires de proximité confirment qu’elles attaquent la Santé. Signaler que la Ville prendra contact avec les responsables politiques qui ont déjà procédé à des suppressions massives de WIFI. Notamment la commune de COURBEVOIE, et celle d’HEROUVILLE-SAINT-CLAIR.

4-Appliquer les recommandations officielles en interdisant la vente de portables aux mineurs de moins de 14 ans.

De tels actes exprimeraient la volonté de la clarté ainsi que le souci de la protection. La Ville confirmerait ainsi la nécessité de la compétence et de la responsabilité.



strasbourg_2010_02_11.pdf STRASBOURG_2010_02_11.pdf  (120.2 Ko)

Source : http://www.robindestoits.org/Strasbourg,-ville-pilote-pour-l-abaissement-des-seuils-d-exposition-11-02-2010_a1061.html

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A propos du discrédit public de l’OMS – JT France 3 et Magazine de la Santé – France 5 – 29/01/2010

robin-copie-1.jpg    France 5 – 29/01/2010

A propos du discrédit public de l’OMS : France 5 revient sur le scandale de l’article du Lancet établissant que les faits scientifiques à l’origine des recommandations de l’OMS sont fréquemment absents.
France 3 évoque les liens entre les scientifiques auditionnés pour la grippe A et les fabricants de vaccin…

Souvenez-vous, en 2007 le magazine scientifique The Lancet avait publié une étude signée par les Dr OXMAN/Dr FRETHEIM/Dr LAVIS au sujet de l’expertise de l’OMS.

Sujet global : les faits scientifiques à l’origine d’une recommandation OMS sont fréquemment absents.
Autrement dit, il est fréquent que l’OMS navigue au sentiment. Confirmé par le Dr PANG de l’OMS.
Le Dr HORTON, rédacteur en chef du LANCET, qualifie l’étude de séisme et déclare que si l’OMS perd sa crédibilité internationale, son existence même doit être remise en question.

– Au cours d’une audition parlementaire, Mike REPACHOLI (département Champs électromagnétiques à l’OMS) dit :
« Dans le domaine des micro-ondes, le niveau a fini par être négocié. Cela n’a pas été basé sur la science. Mais négocié avec les industriels ».

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Pour une téléphonie mobile respectueuse de la santé publique à Béziers

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Haut débit Drôme Ardèche 100% fibre optique pour toute la population

Next-up organisation

 “Nous faisons un pari sur l’avenir, à travers un projet dont l’ambition est sans équivalent en France”, a déclaré Didier Guillaume président du Conseil Général de la Drôme en présence de Jean-Jack Queyranne président de la région Rhône-Alpes le 11 juin lors du premier soudage (raccordement) d’une tête du réseau ADN (Ardèche Drôme Numérique) à haut et très haut débit. Le président du Conseil général de l’Ardèche Pascal Terrasse concluant : “Nos collectivités ne peuvent laisser l’aménagement numérique du territoire aux seules mains des opérateurs et faire confiance à la seule dynamique du marché. Ne rien faire reviendrait à concentrer les services innovants en zones denses, à laisser des zones du territoire sous-équipées et avec des niveaux de service moindres” Le Syndicat mixte ADN qui est un établissement public créé à part
Didier Guillaume prt CG de la Drôme
égale par les Conseils généraux de l’Ardèche et de la Drôme et la Région Rhône-Alpes porte le projet ambitieux d’aménagement en cours. Il bénéficie du soutien de l’Union Européenne. La société ADTIM, filiale du groupement Axione / Eiffage / ETDE / ETDE Investissement, s’est vue confier par le Syndicat mixte ADN l’établissement et l’exploitation du réseau ADN dans le cadre d’une délégation de service public avec un contrat de concession signé pour une durée de 25 ans. Le coût total du projet s’élève à 123M€, dont 73 M€ à la charge d’ADTIM, la participation publique est portée par le Conseil Général de l’Ardèche et le Conseil Général de la Drôme (10 M€ chacun), par la Région Rhône-Alpes (20 M€) et par l’Union Européenne via le FEDER (10 M€).
La fibre optique permet du Très Haut Débit (100 Mbps) sans affaiblissement du à la distance. Objectif : A l’échéance juillet 2010, la fibre optique ADN permettra d’atteindre par les réseaux téléphoniques classiques 360 000 foyers dégroupés à partir des 213 centraux téléphoniques fibrés soit 96 % de la population disposera de l’offre “triple play” Haut ou Très Haut Débit (Internet, téléphonie et télévision). Pour les foyers particulièrement isolés il est prévu au cas par cas une desserte satellitaire, mais aussi malheureusement coté négatif, des connexions WiFi pour 12 000 foyers non éligibles à l’ADSL. Le réseau Ardèche Drôme Numérique en chiffres : – “Un squelette” de plus de 2000 km de réseau de fibre optique à construire ou a déployer sur des structures existantes, 1100 km de génie civil (micro-tranchées mécanisées) sont en cours de réalisation pour poser les fourreaux (gaines en PVC ou PE), 708 communes couvertes en Haut ou Très haut débit sur plus de 12 000 km², 212 zones d’activités et quartiers d’affaires desservis, 213 centraux téléphoniques dégroupés (NRA : Noeud de raccordement abonné), 500 sites publics raccordés (enseignement, santé, collectivités…), 2000 bâtiments d’entreprises en FTTB, 11 000 logements desservis en prises FTTH (Fiber To The Home – raccordement direct de chaque usager)
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