L’alternative Téléphonie Mobile Satellitaire TerraStar-1et Opérateurs Présentation et Analyses (AFOM)

NEXT-UP

Avant propos “Qui dit Téléphonie Mobile dit obligatoirement antennes relais” ou “La Téléphonie Mobile a besoin d’antennes relais pour fonctionner”(sous-entendue antennes relais terrestres). Ce genre de propos est asséné en permanence dans les médias, c’est une stratégie de désinformation bien huilée venant notamment de Jean-Marie Danjou Directeur de l’AFOM (Association Française des Opérateurs Mobiles), organisme de propagande et de désinformation qui a la faveur des autorités nationales et quelques fois locales, tout en sachant que cette organisation est exactement l’équivalant du défunt et scandaleux CPA (Comité Permanent Amiante). Jean-Marie Danjou est un spécialiste du déni de vérité issu de la propagande de désinformation de l’AFOM, comme les sempiternels propos du genre “les normes sont 50 fois inférieures aux premiers effets constatés” ou “Aujourd’hui le téléphone mobile concerne 60 millions de Français” (ndlr : savante confusion entre Abonnés et abonnements), etc…

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AVIS A SIGNATAIRES de contrats de location pour l’implantation d’antennes-relais

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A tous les audacieux signataires de contrats de location pour implantation d’antennes-relais ou d’émetteurs de la même famille, et en particulier à Mesdames et Messieurs les Maires, il semble utile de préciser trois points.

Des points d’incapacité.

1– Les opérateurs déclarent, verbalement, que leurs installations ne comportent pas de risques sanitaires, et que les scientifiques, unanimes, le confirment.
C’est vaporiser mentalement plus de 1500 travaux publiés et non contestés qui disent le contraire et traitent des diverses formes de la toxicité.
La prudence apparaît à l’écrit

– Première Incapacité –
Les opérateurs sont incapables de signer une garantie écrite d’innocuité sanitaire, claire et sans ambiguïté, ni en document séparé, ni incluse dans un contrat.
Forte récompense, morale, à qui peut signaler un contrat qui la comporte.

2– Les opérateurs déclarent que la loi en France c’est le décret de Mai 2002 qui autorise de 41 à 61 V/m.
Mais ils savent que la priorité légale est aux documents qui fixent, dans le cadre de la compatibilité électromagnétique, un seuil maximal d’exposition à 3 V/m. Et qu’il peut suffire de dépassements non contestés de cette valeur pour faire déposer des antennes.

– Deuxième Incapacité –
Les opérateurs sont incapables de signer un engagement écrit de respecter le seuil maximal légal d’exposition à 3 V/m.
Rappelons que des intensités au dessus de 3 V/m peuvent être à l’origine d’accidents graves, divers appareils d’assistance médicale dont certains pacemakers n’étant blindés que jusqu’à 3 V/m.

3– Les Compagnies de Réassurance ne couvrent plus la téléphonie mobile et sa famille.

– Troisième Incapacité –
Les opérateurs sont incapables de rendre publiques les listes d’exclusions de leurs polices qui seules définissent l’étendue de la couverture.
Mais les exclusions générales des polices courantes comportent :
– les dommages amiante,
– les dommages plomb,
– les dommages champs et ondes électromagnétiques,
– les dommages OGM.

Audacieux signataires, quand les ennuis vont être là, et ils semblent proches, vous serez fort dépourvus. Mais où sont les recours d’antan ?

Deux repères :

– La téléphonie mobile est compatible avec la santé publique si un seuil maximal de 0,6 V/m est respecté. Solution dont la pleine efficacité est démontrée depuis plus de deux ans à VALENCIA d’Espagne.

– Les motifs de résiliation sont définis par la nature même des incapacités.


Voir également :
Antennes-Relais : ‘réticence dolosive’ et nullité du contrat – 06/06/2008

Le Pack Robin

La TROUSSE DE BASE Robin des Toits / voeux de bonne année ! – 31/12/2009



avis_a_signataires_baux_antennes_relais_2.pdf avis_a_signataires_baux_antennes_relais.pdf  (14.9 Ko)
14_lettretype_signatairecontrat_avril2010.pdf 14.LettreType_SignataireContrat_AVRIL2010.pdf  (134.52 Ko)


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‘Rififi au Grenelle des ondes’ – Le Parisien – 20/04/2010

'Rififi au Grenelle des ondes' - Le Parisien - 20/04/2010   repris par Robin des toits

Après l’échec de la taxe carbone, c’est au tour du Grenelle des ondes de subir des perturbations. Engagé il y a un an, ce vaste débat sur la dangerosité des antennes-relais a mis autour d’une table opérateurs téléphoniques, autorités sanitaires, politiques et associations de défense des riverains. Mais aujourd’hui, une des principales associations, Robin des toits, risque de quitter la table des négociations.

Des désaccords

« Nous consultons nos adhérents et nos sympathisants, et nous déciderons demain (NDLR : aujourd’hui) si nous partons. A priori oui, car les deux tiers des réponses le réclament », nous confiait hier Etienne Cendrier, président de Robin des toits. La raison de cette brouille : l’expérimentation prévue à l’automne dans dix-sept communes dont Courbevoie, les XIVe et XVe arrondissements de Paris, certains quartiers de Strasbourg, Cannes et Grenoble. Le but : mesurer l’impact des ondes et voir si en diminuant l’intensité jusqu’à 0,6 V/m, la qualité des communications reste correcte. Or, Robin des toits voulait également faire ses propres mesures. « Jeudi, on nous a dit qu’on pourrait les faire mais qu’il n’y aurait rien d’écrit dans le protocole, s’insurge Etienne Cendrier. Si rien n’est écrit, les opérateurs pourront contester nos chiffres. »
François Brottes, le député PS qui pilote le comité opérationnel, tente de calmer le jeu : « S’il n’y a plus l’ensemble des acteurs, ça n’a plus de sens. Je vais essayer de trouver un point de sortie. En tout cas, les mesures seront faites en toute transparence. » Il y a un an, deux autres associations avaient claqué la porte, Priartém et Agir pour l’environnement. « Puis on est retournés aux réunions », note Janine Le Calvez. La présidente de Priartém positive : « Nos efforts ont permis que l’Afsset reconnaisse qu’il y a des signaux indéniables d’effets des ondes sur nos organismes. » Mais l’avancée de ce Grenelle est également troublée par les désaccords entre Priartém et Robin des toits.

Le Parisien


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Villes pilotes : appel à avis aux adhérents et sympathisants de Robin des toits – 16/04/2010

Villes pilotes : appel à avis aux adhérents et sympathisants de Robin des toits - 16/04/2010

Source :  http://antennes31.over-blog.com/ext/http://www.robindestoits.org/

Hier Robin des toits s’est vu contraint de suspendre sa participation au COMOP (expérimentation sur la baisse des seuils d’exposition dans les Villes Pilotes).

Nous vous consultons aujourd’hui pour savoir si nous sortons ou pas du COMOP.

Robin des toits est à l’origine de la proposition de Villes Pilotes ou serait testé l’abaissement de l’exposition aux champs électromagnétiques des antennes relais. Depuis un an, nous avons participé et négocié pour que ce processus soit valide, transparent et incontestable.

Voici les décisions prises hier par le COMOP :
Les mesures “officielles” seront toutes réalisées sous l’égide de René de Sèze de l’INERIS et avec des bureaux de contrôle qui travaillent en permanence pour les opérateurs.

Le COMOP nous avait accordé de pouvoir faire des mesures de vérifications lors de ces expérimentations. Hier, ce droit nous a été retiré : nous pourrions toujours faire des mesures mais elles n’auraient plus aucun statut et de fait, cela nous empêcherait de vérifier officiellement que tout se passe correctement.

Les négociateurs de Robin des toits ne reconnaissent plus leur “bébé” et considèrent que le processus, n’étant plus officiellement contradictoire, il n’est plus scientifique ni crédible.

Nous ne pouvons donc plus garantir les résultats et nous ne souhaitons pas, par une présence purement décorative, apporter un crédit à un système sous contrôle des opérateurs sans contre pouvoir des associations.

Question : êtes vous d’accord avec cette position?

Répondez jusqu’à Lundi 19 Avril par

– OUI (Robin des Toits se retire du COMOP) ou par

– NON (Robin des Toits reste au COMOP).

par E-mail : contact@robindestoits.org

Nous vous ferons part des résultats de cette consultation.

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Sainte-Foy-de-Peyrolières. Antennes -relais : décision aujourd’hui

LA-D-p-che-copie-1.png   Publié le 06/04/2010 15:25 | LaDepeche.fr

Comme dans d'autres communes de la région, les riverains craignent une antenne-relais sur le château d'eau. / Photoillustration, archivesDDM.

C’est aujourd’hui 6 avril que le conseil municipal doit décider de l’implantation ou du rejet des antennes relais sur le château d’eau. Un collectif de parents d’élèves et de citoyens s’y oppose. Leur porte- parole répond à nos questions.

Ou en êtes vous de votre mobilisation contre les antennes?

Nous restons mobilisés par la distribution de tracts Nous sommes contre le lieu d’installation mais pas contre les antennes en général. Nous avons d’ailleurs proposé à la mairie et au représentant Orange des sites alternatifs lors de la réunion publique du 12 février. Nous sommes pour une installation avec un minimum de bon sens (antennes à plus de 300m de toute habitation, écoles et future crêche). Nous avons demandé au maire de cesser de nous opposer aux personnes connaissant des problèmes de couverture avec Orange (le village est couvert en partie par Orange et totalement par SFR et Bouygues).»

Qu’attendez vous des élus municipaux ?

«Que le conseil municipal prenne à cœur ses responsabilités et prenne en compte les inquiétudes légitimes des administrés. Nous attendons de leur part un minimum de prudence pour le futur car un oui à ce projet engagera tout le monde pour plusieurs années d’expositions inévitables et ouvrira la porte à de nouvelles installations des autres opérateurs sur le même site.

Les élus de Sainte-Foy ont la chance d’avoir le pouvoir de décision, ce qui est rare dans ce genre de dossier. Le syndicat des eaux (propriétaire du château d’eau) s’est engagé, par la voix de son président, à suivre cette décision dans la poursuite ou non de ses négociations commerciales avec Orange.

Dans ce projet le but premier d’Orange n’est pas de couvrir Sainte-Foy mais de profiter du point haut existant afin «d’arroser» à moindre coût la plaine du Sud-Ouest Toulousain. Orange n’étudiera pas de solutions alternatives (proposées lors de la réunion publique du 12/02/2010) tant que les élus n’auront pas rejeté ce projet sur le château d’eau.

Nous attendons des élus qu’ils rattrapent le manque de transparence depuis le début de ce projet .

Si la décision vous est défavorable que comptez vous faire?

Premièrement , nous avons déposé une procédure au tribunal administratif pour contester la validité de l’arrêté de non opposition délivré par la mairie le 3 septembre 2009. Deuxièmement, nous renforcerons notre mobilisation dans le village et au-delà avec l’aide d’association comme antenne31 et Priartem.


deux mois de débats

Lors de la réunion publique du 12 février, chacun a pu exprimer son point de vue, son expérience et illustrer par des exemples ses propos. Les échanges ont été divers, nombreux et parfois houleux. «Ils ont permis de démontrer toute la difficulté pour traiter ce type de projet» avait souliigné, à l’époque François Vives, le maire. Jean Ayçaguer a vait affirmé qu’il ne signerait aucune convention tant que le conseil municipal n’aurait pas délibéré. Ce qui devrait être fait ce jour.

Source :   http://www.ladepeche.fr/article/2010/04/06/811517-Sainte-Foy-de-Peyrolieres-Antennes-relais-decision-aujourd-hui.html

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Sainte Foy de Peyrolières : Le conseil municipal doit se prononcer le 6 avril sur le projet d’antennes de téléphonie mobile sur le château d’eau.

Collectif de Sainte Foy de Peyrolières

 

OUI au principe de précaution et à la prudence pour nos enfants!

NON aux antennes au coeur du village, près des écoles et habitations!

 

Le conseil municipal doit se prononcer le 6 avril sur le projet d’antennes de téléphonie mobile sur le château d’eau. Le syndicat des eaux, propriétaire du lieu, s’est engagé à suivre cette décision.


Lors de la réunion publique du 12 février, M. Oberhausen, physicien, a confirmé que les émissions des antennes-relais n’étaient pas sans risques sur le long terme, surtout pour les enfants (stress, insomnies, migraines, tumeurs, leucémies, …).
L’opérateur s’abrite derrière les textes officiels indiquant l’absence de danger en l’état actuel des connaissances. L’agence officielle AFSSET recommande pourtant de limiter l’exposition du public !
Rappelez-vous, les textes officiels niaient le danger de l’amiante ou bien affirmaient que le nuage de Tchernobyl s’était arrêté aux frontières…


– La simulation de couverture présentée par l’opérateur montre qu’une partie du Parayré et certains hameaux ne seront toujours pas couverts ! Le but premier d’Orange n’est pas de couvrir Ste Foy mais de profiter du point haut existant pour «arroser » à moindre coût la plaine du sud-ouest Toulousain. Où est l’intérêt de la commune ?


– Des solutions alternatives plus prudentes peuvent exister mais l’opérateur ne les étudiera que si ce projet sur le château d’eau est refusé.


– Où est la cohérence avec les projets d’aménagement du village : crèche, agrandissement école et maison de retraite, commerces, … ??


– La proximité d’antennes-relais entraîne des nuisances et une crainte justifiée et ainsi une dévaluation du patrimoine immobilier (20 à 30% ; exemple de la décision du 20/09/2005 de la cour d’appel de Bordeaux) !

NON! la mission de nos élus n’est pas de satisfaire les intérêts des actionnaires d’Orange mais de défendre ceux de leurs administrés!

Nous comptons sur leur bon sens et leur prudence!

RDV le 6 avril pour assister à la décision.

Voir le tract au format PDF :  //http://www.fichier-pdf.fr/2010/04/01/7hokdv3/TRACT_27032010.pdf

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‘Les ondes sont-elles dangereuses pour la santé ?’ – Radio Notre Dame – 25/03/2010

'Les ondes sont-elles dangereuses pour la santé ?' - Radio Notre Dame - 25/03/2010

Les ondes sont elles dangereuses pour la santé ?

* Etienne Cendrier, Association Robin des Toits
* Maitre Richard Forget, avocat, auteur de “Portable et antennes, les mauvaises ondes” (Ed Sang de la terre)

Par téléphone :

* André Cicolella, Scientifique, chercheur français en santé environnementale
* Alain Gest, député UMP de la Somme et Président des Voies Navigables de France

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Ales. Antennes-relaisLes Robin des Toits de plus en plus écoutés

accueil midilibre.com   Édition du vendredi 5 mars 2010

Les Robin des Toits de plus en plus écoutés
Photo A. BETHUNE
La coordination Robin des Toits Cévennes s’oppose à l’installation des antennes-relais au nom du principe de précaution, conforté de plus en plus par des décisions judiciaires ; elle se défend pourtant d’être anti-technologique. C’est même le contraire que ses représentants ont plaidé hier matin lors d’une table ronde à Montpellier.
A l’heure où France Télécom déploie Internet haut débit en Languedoc-Roussillon, Nathalie Ouzoulias, porte-parole de la coordination, déplore que le Pays des Cévennes, tout comme la communauté d’agglomération de Nîmes, ne se soient pas engagés, dès son origine, en 2007, dans ce dispositif régional privilégiant la technologie avancée du filaire. « Plutôt qu’une technologie obsolète, dangereuse en Cévennes exclusivement hertzienne, tout cela pour une couverture

seulement partielle. » Dire oui à la wi-fi, selon l’association, c’est s’exposer à « une fracture numérique encore plus grande pour demain ». Ces arguments, relayés aujourd’hui par une quinzaine de collectifs des Robin des Toits, ont convaincu Saint-Christol-lez-Alès et Saint-Etienne-de-l’Olm, qui se sont opposés à l’installation d’antennes-relais sur leurs communes ; d’autres, comme Monteils et Saint-Julien-des-Points, s’interrogent. L’intérêt général, affirme la coordination, est de mettre sur la même longueur d’ondes d’autres maires, et en sourdine les fréquences d’émissions, « A Alès, on est déjà à O,8 volt par mètre, au-dessus de la norme européenne fixée à 0,6 le seuil limite. » « Ailleurs, ajoute Nathalie Ouzoulias, Drôme, Ardèche, Paca, Bourgogne, on est revenu au filaire. En nous imposant le système hertzien, l’opérateur Meshnet et le Pays des Cévennes nous conduisent à abandonner de fait le réseau historique du téléphone, l’égalité des tarifs et l’accès aux moyens de communication pour tous. » Elections obligent, les Robin des Toits Cévennes ont été « écoutés » par les services de la Région. Un nouveau rendez-vous en avril prochain dira s’ils ont été entendus. En attendant, ils font remarquer que trois plaintes contre X, dont une à Alès, suivent leur cours.
René DIEZ

Source :  http://www.midilibre.com/articles/2010/03/05/ALES-Les-Robin-des-Toits-de-plus-en-plus-ecoutes-1135357.php5

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