Attention à propos des mesures dans Toulouse

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logo-ant0033.jpeg              Antennes 31 communique :

J’ai assisté vendredi 26/04 dans le quartier Saint-Michel à des mesures officielles à Toulouse ; après la mesure globale , incluant donc les émissions de toutes les sources environnantes , j’ai bien compris qu’il n’y aurait pas d’analyse spectrale.
Après que l’expert – qui n’y est pour rien – m’ait dit que cela ne faisait pas partie de la commande, la chargée de mission “Antennes” ,  vu mon insistance, a fini par me dire que les opérateurs ne voulaient pas payer le ” cas B” donc l’analyse spectrale .

Or, p 6 du protocole de mesures  de l’ANFR il est mentionné :

“• Lorsqu’une demande d’évaluation détaillée de l’exposition est formulée, c’est-à-dire une investigation pour chaque contribution de sources RF en utilisant une analyse sélective en fréquence, alors le Cas B est obligatoire. Il est recommandé de faire précéder systématiquement le cas B d’une évaluation globale (mesure large bande).”

Nous allons bien évidemment faire remonter cela au Maire de Toulouse, mais dans l’urgence, il faut éviter, à notre avis,  de se prêter à cette mascarade en refusant les mesures sans le Cas B ; car il est clair que si, enfin, les autorités se décident à convenir de la dangerosité à 0,6V/m, les personnes souffrantes s’entendront répondre que rien ne prouve que ce soient les antennes qui les ont rendues malades.

Pour voir le protocole c’est ICI

Pour Antennes31
MF Hébrard

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Un député socialiste veut réguler l’implantation des antennes relais

 

 

Fraichement enterrée par la majorité, la proposition de loi des écologistes sur la régulation des antennes relais n’est pas totalement morte. Ainsi, Jean-David Ciot aimerait lui aussi encadrer les procédures d’information, d’autorisation et de contrôle pour l’implantation de ces dispositifs. Très impliqué sur ce thème, ce député PS vient de redéposer une proposition de loi en ce sens.

député ciot

Le député Jean-David Ciot l’estime et le regrette : « l’installation, sur le territoire national, des 157 000 antennes-relais GSM ou UMTS actuellement recensées, s’est effectuée en dehors de toute politique de régulation orientée par l’État. Ce dernier a, en effet, jugé préférable de laisser les opérateurs négocier au cas par cas avec les propriétaires immobiliers. »

Selon lui, le principe de précaution ou de sobriété commande à démultiplier les mesures de prudence comme il l’avait déjà exposé en janvier dernier lors des discussions de la proposition écologiste (vidéo). Les expertises sont certes contradictoires, mais l’Organisation mondiale de la santé (O.M.S.) a pour sa part « été amenée à conclure, en 2011, que les téléphones portables sont « peut-être cancérigènes pour l’homme », au même titre que la laine de verre ou les vapeurs d’essence » rappelle-t-il dans l’exposé de ses motifs.

Spécialement, le député socialiste considère qu’il est « indispensable d’assurer l’égalité de tous devant les risques technologiques ». Selon lui, en effet « les pratiques en usage [privilégient] la concentration d’antennes sur les toits des Habitations à Loyer Modéré ». Pourquoi ? Car négocier avec un bailleur social permet aux opérateurs de décrocher des autorisations sur des grandes surfaces immobilières. « Cependant, il en résulte le fait que ce sont les populations à faibles revenus qui sont prioritairement exposées aux émissions électromagnétiques. »

Pour limiter ces risques, le député socialiste d’Aix-en-Provence propose plusieurs mesures inspirées de la récente proposition de loi des écologistes enterrée par la majorité.

ALARA et information des populations

D’abord, inscrire dans la loi le principe « ALARA » (As low as reasonnably achievable) « afin de tendre vers les plus faibles volumes d’émission possible, sans que cela n’altère la qualité de la couverture ». Pour renforcer la protection des plus jeunes, le texte compte interdire les antennes-relais à proximité des établissements qui accueillent les jeunes enfants. Et comme dans la proposition des Verts, le député demande à ce que dans ces établissements, « l’accès sans fil à internet [soit] désactivé au profit des connexions filaires. »

Ensuite, renforcer l’information des populations. « Jusqu’à présent, aucune publicité n’est donnée aux choix d’installation des antennes-relais, et de nombreux citoyens ignorent vivre à proximité de l’une d’entre elles ». Selon la proposition, les projets d’implantation d’une antenne-relais feraient ainsi l’objet « d’un affichage clair et visible en mairie, ainsi que dans le périmètre du local d’habitation concerné. »

                                                                    Lire la suite sur PCINpac

Journaliste, rédacteur en chef

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Protestations en série dans les mairies, face aux installations d’antennes relais 4G


Mairie du 18e, salle des mariages. Nous sommes le mercredi 10 avril, il est 19 h. Une petite vingtaine de personnes attend de pied ferme le début des hostilités. Car ce soir, la mairie d’arrondissement organise une réunion d’information sur l’installation d’antennes relais 4G dans neuf endroits de la division administrative. Pascal Julien, adjoint au maire chargé des espaces verts et de l’environnement, entre et s’installe derrière les micros, suivi peu de temps après par deux cadres de France Telecom-Orange.

L’élu salue la salle et précise d’emblée : « Une antenne relais, c’est d’abord un contrat de droit privé. C’est un bailleur qui accepte d’offrir en location son toit ou sa façade à un locataire pour une somme comprise généralement entre 10 et 20 000
euros par an. La municipalité n’a aucun droit de l’interdire. » Un bruit de mécontentement parcourt les rangs clairsemés de la salle. « Et qu’en est-il des risques de santé liés aux ondes alors ? Et à quoi servent finalement ces réunions ?», lance une femme, visiblement au taquet.

Les débats sont stériles

Pascal Julien, adjoint au maire du 18e, et deux cadres de France Telecom

Actuellement, ce type de spectacle se répète toutes les semaines à la mairie du 18e. L’organisation d’une réunion d’information sur l’installation d’antennes relais revient à la municipalité, qui pourrait très bien ne rien faire. La mairie du 18e a décidé de jouer le jeu jusqu’au bout, et les opérateurs sont obligés d’y participer, conformément à la nouvelle charte qu’ils ont signée avec la Ville de Paris en octobre 2012. Mais, soyons honnêtes, l’intérêt de ces réunions est limité et les débats sont stériles.
Pour lire la suite : CLIQUEZ ICI
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Cancer de la thyroïde lié aux rayonnements gsm

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cancer de la thyroïde lié aux rayonnements gsm Imprimer Envoyer
Écrit par Eric   
Mardi, 09 Avril 2013 22:13
(09/04/13) Des scientifiques israéliens ont fait état de conclusions préliminaires sur un lien possible entre le rayonnement des téléphones portables et le cancer de la thyroïde. Il y a eu une forte hausse des taux de cancer de la thyroïde ces dernières années dans les pays occidentaux.

L’incidence de cancers de la thyroïde est en augmentation en Israël depuis plus d’une décennie, ce qui correspond à l’augmentation de l’utilisation des téléphones portables. 

La recherche israélienne, menée par l’équipe du Pr. Feinmesser à l’hôpital Beilinson de Petah Tikva et à l’Université de Tel Aviv, a identifié pour la première fois une évidence de la connexion possible entre l’augmentation des cancers de la thyroïde et l’augmentation de l’exposition aux rayonnements émis par les téléphones portables.

Dans une expérience, les cellules thyroïdiennes humaines recueillies auprès de patients sains ont été soumises au rayonnement d’un appareil, conçu pour l’étude, qui simule le rayonnement électromagnétique émis par les téléphones portables. Les cellules de la thyroïde irradiées ont proliféré à un taux bien plus élevé et statistiquement significatif que les cellules non irradiées du groupe témoin.

  

Haaretz 6 mars 2013

http://www.haaretz.com/news/national/israeli-scientists-find-possible-link-between-cellphone-use-thyroid-cancer.premium-1.507552

MERCREDI 17 à 20h30 SALLE DU SENECHAL

 LES CHAMPS ÉLECTROMAGNÉTIQUES,

QUESTION DE SANTÉ PUBLIQUE AU TRAVAIL COMME AILLEURS

 Prévenir les risques et se protéger

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Augmentation de 50% des tumeurs du cerveau chez les enfants au Royaume-Uni en 10 ans + 40% au Danemark, en Finlande – explosion du phénomène en France – 30/05/2012

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ROBIN DES TOITS a publié un long article sur le sujet que nous reprenons en partie ci-dessous

Les alertes concernant les populations de plus en plus jeunes se multiplient. Certes les causes de tumeurs sont plurifactorielles mais celles touchant le tronc cérébral nous interrogent : est-ce un effet direct des ondes sur le cerveau ou l’ouverture de la barrière hémato-encéphalique par les CEM, permettant l’atteinte du cerveau par des toxines qui n’y arrivaient pas avant ?

Nos jeunes sont en danger

Un projet de loi a tenté de les protéger, hélas nos députés ne l’ont pas voté ; le renvoi en commission de ce projet de loi risque de voir des enfants, de plus en plus jeunes se retrouver dans cette situation.

      Combien de morts faudra-t-il ?

      Combien d’électrohypersensibles (EHS) exclus de toute vie sociale ?

     Combien de personnes qui souffrent chez elles ou au travail sans pouvoir identifier les causes de leur souffrance?

Nous voyons grossir tous les jours le nombre de personnes devenant EHS. Nous savons combien il est difficile pour elles de se faire entendre ou simplement écouter. Pourtant ces personnes de tous âges, de toutes classes sociales, de toutes professions se retrouvent dans la même galère, victimes de discriminations. Certaines sont complètement exclues de toute vie en collectivité et se retrouvent  à vivre avec des minimas sociaux alors qu’elles  avaient un travail, une vie sociale et familiale.

 

Augmentation de 50% des tumeurs du cerveau chez les enfants au Royaume-Uni en 10 ans + 40% au Danemark, en Finlande - explosion du phénomène en France - 30/05/2012

Les chiffres qui viennent d’être publiés par le Bureau des statistiques nationales au Royaume-Uni indiquent une augmentation de 50 pour cent des tumeurs des lobes frontaux et temporaux chez les enfants entre 1999 et 2009.

Source : DailyMail UK 30/05/12

Alors que le 31 mai 2011, le Centre international de recherche sur le cancer (Circ) à Lyon, organisme de l’Organisation mondiale de la santé, classait comme “peut-être cancérogène pour l’homme” (2B) les champs électromagnétiques de radiofréquences, autrement dit les ondes émises par les téléphones mobiles, les experts se sont basés sur une étude montrant un risque de gliome accru de 40% chez des “gros” utilisateurs de téléphone portable (30 minutes/ jour en moyenne sur 10 ans).

Evolution des cancers du cerveau au Danemark et en Finlande :
Augmentation de 40% des tumeurs cérébrales au Danemark de 2001 à 2010 – Registre du Cancer Danois – 16/12/2011

En France :

En 2006 INVS  s’interrogeait sur le sujet

En 2012 Le journal de l’institut Curie reprends le sujet

En 2013  Information Hospitalière publie sur le sujet

Allez consulter ces articles sur le site de ROBIN DES TOITS en suivant ce lien :  Ici

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Ondes électromagnétiques : dangers sur le sommeil et le cerveau

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Le sommeil, la concentration et le comportement alimentaire des mammifères sont perturbés par les champs et ondes électromagnétiques.

La question de l’innocuité des champs électromagnétiques sur l’homme refait surface. A l’heure actuelle aucune étude scientifique n’a pu démontrer les risques certains pour la santé de l’homme d’une exposition aux champs et ondes électromagnétiques des antennes relais des téléphones portables ou encore des ondes wifi. Pour autant, le principe de précaution pourrait conduire à la mise en oeuvre d’une nouvelle politique de santé publique, avec notamment le recours à de nouvelles peintures dans les logements, capables de faire “barrage” aux ondes électromagnétiques.

Si les effets à long terme des ondes électromagnétiques ne sont pas connues, une récente étude de l’Ineris et de l’Université de Picardie, s’est intéressée au rôle possible des radiofréquences émises par les antennes relais dans les troubles du métabolisme et du sommeil.

Selon l’expérimentation menée sur des jeunes rats, exposés à un champ électromagnétique d’une fréquence de 900 MHz et d’une intensité de 1 V/m (soit inférieure à la limite européenne autorisée), il apparaît que ce groupe de mammifère a présenté des comportements différents du groupe témoin qui a évolué dans un environnement neutre.
Une faible exposition (0,1 à 0,3 milliwatts/kg) suffirait donc à modifier les comportements physiologiques des cobayes, notamment lors de la phase de sommeil. Les mammifères exposés aux ondes ont également connu une modification de leur comportement alimentaire.

Les effets néfastes des ondes électromagnétiques sur l’homme pourraient être similaires. Aussi, les chercheurs devraient rapidement mener de nouvelles expériences pour consolider et approfondir les résultats obtenus, notamment pour savoir si la différence de comportement alimentaire pourrait conduire à une augmentation de la masse corporelle.

Rappelons que des précédentes études scientifiques, menées depuis près de 10 ans, relatives aux effets éventuels des fréquences radioélectriques sur la santé des personnes, faisaient état de troubles du sommeil et de la concentration, d’acouphènes, et de stress chez les personnes hypersensibles.

Cette nouvelle étude devrait relancer l’intérêt de l’adoption de la proposition de loi de la députée Laurence Abeille, examinée fin janvier 2013 à l’Assemblée nationale, qui recommande de mieux définir les seuils de protection sanitaire de la population, notamment les jeunes enfants, et de les réduire le plus possible.

© 2013 Net-iris

http://www.net-iris.fr

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Ondes électromagnétiques : nouveaux soupçons sur les antennes-relais

Une étude française montre que des rats exposés à un champ équivalent à celui des antennes-relais de téléphonie mobile ont un sommeil perturbé. Il est trop tôt pour extrapoler à l’homme.

Auteur: 
Sylvie Dellus

Publié le 04.04.2013

Des chercheurs de l’Ineris (Institut national de l’environnement industriel et des risques) ont exposé pendant six semaines de jeunes rats à un champ électromagnétique équivalent à celui que nous recevons dans la rue, sous le faisceau des antennes-relais de téléphonie mobile. Ils les ont comparés à un groupe de rats qui n’étaient pas exposés.

Leurs résultats montrent que les animaux soumis aux ondes électromagnétiques réagissent comme à une sensation de froid. Leur organisme se met en mode “économie d’énergie”, ce qui augmente leurs besoins énergétiques. Les rats se mettent à manger plus. Mais l’étude ne s’est pas poursuivie suffisamment longtemps pour en déduire un risque de surpoids et d’obésité.

Des différences au niveau du sommeil paradoxal

Mais surtout, les chercheurs de l’équipe Peritox (Péritanatalité et risques toxiques) ont pu observer des différences importantes dans la fréquence des épisodes de sommeil paradoxal : « Dans le groupe contrôle (les rats non exposés), le nombre d’épisode était de quatre par heure. Il était de cinq par heure chez les rats exposés », explique René de Sèze, l’un des responsables de cette étude. Les chercheurs ne parlent pas, pour autant, de véritables troubles du sommeil. Mais cette fragmentation du sommeil paradoxal laisse supposer, à long terme, des difficultés de mémorisation et des troubles de l’humeur.

Elément troublant : les personnes électrosensibles se plaignent, entre autres, de troubles du sommeil avec des difficultés d’endormissement et une durée de sommeil raccourcie.

A ce stade, il est impossible d’extrapoler à l’homme les résultats de cette étude. Le mécanisme en jeu chez le rat n’est peut-être pas présent chez l’humain, ou s’il existe, il est peut-être différent. Pour le savoir, il va falloir poursuivre les recherches.

« Une chose est sûre, l’organisme de ces rats est bousculé. Il perçoit un environnement délétère. C’est le signe qu’il se passe quelque chose. Où ? C’est difficile à dire », remarque Jean-Pierre Libert, l’un des membres de l’équipe. Pour René de Sèze, l’une des pistes les plus intéressantes à explorer serait celle du système nerveux central.

Cette étude a été entièrement financée par des fonds du ministère de l’Ecologie et du Développement durable. Elle a été publiée dans la revue Environnemental science and pollution research.

http://www.santemagazine.fr/

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Les champs électromagnétiques : une question de santé publique au travail….. comme ailleurs.

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Antennes 31 et les Amis de la Terre vous invitent à une conférence-débat :
le mercredi 17 avril à 20h30
Salle du Sénéchal, rue de Rémusat, Toulouse

Par ordre d’intervention:

 Dr Patrick LAVASSO  médecin : Impact des ondes sur le vivant

 Marc KHANNE  réalisateur : Témoignage après deux ans d’enquête auprès de personnes électrohypersensibles

 Claude CANCEL  préventeur : Code du travail et prévention des risques professionnels

 Dr Jean-Frédérick DELBART : médecin du travail

Une large place sera laissée au débat

 

 

Pour voir l’affiche :   link

 

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