Total va contester l’abrogation de son permis d’explorer du gaz de schiste

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Le groupe pétrolier prépare un recours contre l’interdiction de prospecter la zone de plus de 4.000 km2 qui lui avait été attribuée dans la Drôme.

Christophe de Margerie a arrêté sa décision. « Nous allons faire un recours contre l’abrogation de notre permis », a déclaré, samedi, le patron de Total lors d’un forum organisé par le journal « Libération » à Lyon, quelques jours après avoir dévoilé cette intention dans une interview accordée à « L’Usine nouvelle ». « Cependant, la forme de ce recours n’est toujours pas arrêtée », a précisé à « La Tribune » un porte-parole. Deux voies s’ouvrent à lui : celle d’un recours devant le tribunal administratif, ou celle d’un recours gracieux auprès des ministères de l’Énergie et de l’Environnement. Jugée moins « belliqueuse », cette dernière aurait les faveurs du groupe pétrolier. À la veille de la date limite du 12 décembre, la colère de Christophe de Margerie n’est pas retombée. « Nous avons respecté la loi. Et nous ne comprenons pas que la loi soit invoquée pour abroger notre permis », a-t-il insisté, devant José Bové, tête de fil des anti-gaz de schiste en France.

Le 3 octobre, le gouvernement a abrogé trois permis d’exploration d’hydrocarbures, après l’adoption de la loi de juillet interdisant en France la technique de la fracturation hydraulique. Le ministère juge que le groupe pétrolier n’a pas explicité les techniques de substitution qu’il envisage à Montélimar. Le permis accordé à Total couvre une zone de 4.327 km2 située au nord de la ville et traversant l’Ardèche, la Drôme et le Gard. Les associations écologistes y dénoncent les effets hautement polluants de cette technique. Sans preuve, assure Jean Ropers, président du Groupement des entreprises parapétrolières et association des techniciens et professionnels du pétrole, dans un entretien accordé à « La Tribune » (cliquez ici).

Juliette Garnier – 28/11/2011, 08:27
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Colomiers. "Non à l’antenne-relais de 37 mètres"

   PUBLIÉ LE 29/11/2011 07:58 | LA DÉPÊCHE DU MIDI

Les membres du collectif samedi matin sur le marché. / Photo DDM, S. B.

Les membres du collectif samedi matin sur le marché. / Photo DDM, S. B

Suite au projet d’antenne-relais de 37 mètres de haut déposé à la mairie de Colomiers le 10 novembre dernier, s’est créé le collectif «Bien vivre à Colomiers». Samedi matin au marché de plein vent les membres de ce collectif et les riverains sont venus dire «Non» à ce projet situé au Nord-Ouest de la ville, zone de Bassac dans la vallée verte de l’Ausonnelle. «Ce type d’antenne est très puissant, nous n’avons pas d’information, donc pas d’accès à ce dossier, alors que nous sommes les riverains, premiers concernés, mais pas concertés. Nous ne sommes pas contre la téléphonie mobile,mais pour une approche écologique de la problématique des antennes, un débat avant le lancement du projet aurait du s’imposer», explique Francis Meysselle, membre du collectif. L’association «Antenne 31» était elle aussi présente et apporte son soutien à tous les collectifs de la Haute-Garonne. «L’organisation mondiale de la santé a classé en mai 2011, les champs électromagnétiques comme potentiellement dangereux, leurs ondes nuisent à notre santé», souligne Isabelle. La mairie a déjà fait savoir qu’elle voterait contre l’installation de cette antenne sur un terrain privé.

http://www.mesopinions.com/Non-%C3%A0-l-antenne-relais-de-colomiers-nord-ouest-petition-petitions-abc134e7d8484636309d2ea138723652.html

SOURCE : http://www.ladepeche.fr/article/2011/11/29/1227030-colomiers-non-a-l-antenne-relais-de-37-metres.html



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PROGRAMME DE RECHERCHE DE L’ARTAC CONCERNANT L’INTOLERANCE AUX CHAMPS ELECTROMAGNETIQUES ET L’ELECTROSENSIBILITE – Année 2011-2012

 

ARTAC1

A. Moyens mis en oeuvre par l’ARTAC

L’ARTAC est un organisme de recherche scientifique à but non lucratif, regroupant des médecins et des chercheurs oeuvrant au nom du Serment d’Hippocrate. Par conséquent, l’ARTAC est à l’écart de toute pression sociale, économique ou politique.

Bien que collaborant sur certains points pratiques de santé publique avec des ONGs, l’ARTAC est un organisme de recherche totalement indépendant. Sa priorité est de rendre service aux malades et de les protéger contre toute forme de nuisance environnementale.

Les moyens mis à disposition pour la réalisation de ces études se font au plan international, dans le cadre de collaborations scientifiques. En matière de pollution électromagnétique, ces collaborations ont été établies avec la Suède, l’Allemagne, l’Italie et les Etats-Unis. Au plan national, l’ARTAC effectue ses propres études grâce à la constitution d’une équipe spécialisée regroupant médecins, pharmaciens, biologistes et spécialistes de l’imagerie médicale.

Pour que l’ARTAC puisse oeuvrer en toute indépendance, les financements ne peuvent provenir que des adhérents, de généreux donateurs, de subventions octroyées par l’Etat, par les collectivités territoriales sans bénéfice direct. L’ARTAC bénéficie également de collaborations bénévoles avec se nombreux chercheurs. Afin que l’ARTAC puisse conclure rapidement les travaux en cours, nous appelons tous ceux concernés par les problèmes des champs électromagnétiques à nous soutenir financièrement.

 

B. Premier bilan des sept thématiques de recherche en cours

1. Constitution d’une base de données anonyme concernant des malades se disant être « électrohypersensibles »

Plus de cinq cents malades sont actuellement répertoriés de façon anonyme à la date du 15 octobre 2011, la plupart de ces malades ayant été examinés en consultation de médecine environnementale par le Pr. Belpomme.

2. Analyse clinique d’une cohorte de malades à partir de la base de données susmentionnée A partir de cette base de données, l’équipe de recherche de l’ARTAC a pu réaliser la description symptomatique du syndrome d’intolérance aux champs électromagnétiques ; trois phases cliniques sont individualisées. La confirmation de ces résultats préliminaires est en cours grâce à une enquête nationale.

Celle-ci a été mise en place en 2010 sous la forme d’un questionnaire simplifié. Les premiers résultats ont été analysés dans le cadre d’un master, par une étudiante en pharmacie. Ils devront être confirmés par une étude complémentaire.

3. Mise au point de tests diagnostics objectifs de l’intolérance aux champs électromagnétiques Un examen d’imagerie médicale (echodoppler cérébral pulsé) a été utilisé, appliqué pour le dépistage de lésions cérébrales fonctionnelles liées aux champs électromagnétiques ainsi que plusieurs tests biologiques sanguins et urinaires ont par ailleurs été mis au point. Les résultats de ces examens confirment l’ouverture de la barrière hémato encéphalique.

Plusieurs centaines de malades ont ainsi été explorés avec des résultats objectifs. Ceux-ci permettent de conclure à la réalité clinique et biologique du Syndrome d’intolérance aux champs électromagnétiques (SICEM).

Ces premiers résultats ont donné lieu à plusieurs communications dont une à Berne le 30 avril et une autre en Italie le 14 juin de cette année. Une première publication dans un journal à comité de lecture devrait apparaître courant 2012, concernant les troubles de vascularisation cérébrale mis en évidence à l’echodoppler cérébral pulsé. En outre, plusieurs anomalies biologiques ont été mises en évidence, qui donneront également lieu à plusieurs publications.

4. Etude d’un test de stimulation électromagnétique

Ce test consiste à effectuer des mesures cliniques biologiques, électriques et avant et après mise en présence de champs électromagnétiques calibrés au préalable. Le traitement informatique des données se fait grâce à l’utilisation d’un logiciel spécifique. Quatorze malades ont déjà été testés. L’étude se poursuit en collaboration notamment avec des chercheurs d’Instituts privés. Les premiers résultats sont encourageants. Ils devront être confirmés de façon extensive.

5. Distinction entre syndrome d’intolérance aux champs électromagnétiques (SICEM) et électrohypersensibilité Des facteurs génétiques d’électrohypersensibilité (familiaux) sont possibles, Les facteurs acquis sont actuellement répertoriés. Une collaboration avec des chercheurs suédois est en cours dans ce domaine. D’autres contacts ont par ailleurs été pris pour l’étude des magnétosomes cérébraux et méningés.

6. Recherche thérapeutique : mise au point d’une feuille de route thérapeutique pour le traitement du SICEM Les recherches sus-mentionnées ont permis la mise au point d’un traitement à visée curatrice du SICEM. Le traitement actuel ne peut être mis en oeuvre qu’après la réalisation des tests objectifs.

Il comprend :

a) la correction des déficits biologiques mis en évidence par les explorations précédentes,

b) la prescription de tonifiants des cellules nerveuses, en particulier des cellules de la névroglie (astrocytes),

c) la prescription d’antihistaminiques en cas d’hyperhistaminémie,

d) la prescription au long cours d’antioxydants.

Les recherches se poursuivent dans plusieurs directions :

a) La détermination des antihistaminiques et antioxydants les plus actifs ; à cet effet, une étude de faisabilité testant l’efficacité de la papaye fermentée, est en cours avec des résultats apparemment positifs.

b) L’étude de l’effet de certains facteurs de croissance neurologiques, afin d’accélérer les dégâts apoptotiques (la gliose cérébrale) induits par les champs électromagnétiques ;

c) La confirmation de l’effet nocif de la prescription de médicaments psychotropes ;

d) La détoxification des malades en cas d’intoxication associée à certains métaux lourds tels que le mercure.

7. Exploration approfondie des modifications cérébrales induites par les champs électromagnétiques

Des contacts ont été pris auprès du Pr. Chiraz, Hôpital Pitié-Salpêtrière, pour l’exploration d’un nombre limité de malades atteints de SICEM.

 

C. Autres actions

1. Une consultation de médecine environnementale (la première en France) sous la responsabilité du Pr. Belpomme, pour la prise en charge des malades présentant une intolérance à toute forme de pollution, a été ouverte le 1er septembre 2009 à la clinique Alleray-Labrouste – 66 rue Labrouste – 75015 PARIS – France.

2. Un document médicoscientifique visant à informer le corps médical et la sécurité sociale, sur le syndrome d’intolérance aux champs électromagnétiques et sur le syndrome d’hypersensibilité multiple aux produits chimiques qui lui est très proche (dans les deux cas, nous suspectons une atteinte du système limbique) est disponible sur le site de l’ARTAC

3. Compte tenu d’un nombre croissant de malades anglophones venant consulter et se faire soigner en France, les documents sont en cours de traduction. Ils seront également disponibles sur le site très prochaiment.

4. Les premières publications scientifiques concernant les travaux de recherche de l’ARTAC devraient voir le jour début 2012 dans des journaux scientifiques internationaux à comité de lecture.

5. Le document de protection des personnes contre les champs électromagnétiques est en cours d’actualisation. Destiné aux malades, il leur sera remis au moment de la consultation une fois le diagnostic de syndrome d’intolérance aux champs électromagnétiques (SICEM) et d’hypersensibilité aux champs électromagnétiques établi objectivement.

6. Un chapitre entier du prochain livre du Pr. Belpomme sur l’origine des maladies sera consacré à l’intolérance aux champs électromagnétiques.

Source : http://www.artac.info/images/telechargement/SICEM/111102programmerecherchesartacsursicem.pdf

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Colomiers. Une antenne géante qui fait peur

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   PUBLIÉ LE 26/11/2011 09:30 | JEAN-LUC MARTINEZ AVEC SIMONE BEUGIN

Déjà beaucoup d'antennes sont déjà installées sur l'immeuble du Poitou en centre ville qui abrite SA Colomiers habitat./Photo DDM, S. B.

Déjà beaucoup d’antennes sont déjà installées sur l’immeuble du Poitou en centre ville qui abrite SA Colomiers habitat./Photo DDM, S. B.

Alors que tout le monde utilise un téléphone portable et que chacun souhaite la meilleure performance possible pour son ADSL, personne n’a envie qu’une antenne-relais ne vienne lui gâcher le paysage ou au pire n’ait une incidence néfaste sur sa santé. Tout ceci est bien légitime. Le fait que quatre opérateurs de téléphonie mobile viennent de déposer une demande d’installation d’antenne-relais sur un mas de 37 mètres de hauteur vers le cimetière de Bassac provoque un mouvement de contestation. Aujourd’hui à 10h, un collectif se réunira sur le marché pour clamer son opposition au projet. « Je vais me rendre à ce rassemblement car je m’oppose à cette installation prévue près de chez moi », indique Marie.

Le refus de la mairie

« Quatre opérateurs des groupes Bouygues, Orange, SFR et Free sont venus nous voir en mairie en octobre pour nous informer de leur intention de demander une autorisation de travaux pour implanter un pylône en zone naturelle », indique Karine Traval-Michelet, adjointe au maire déléguée au développement urbain. « Le dépôt officiel de demande de travaux a eu lieu le 10 novembre dernier. Bien que le propriétaire du terrain M. de Rodez ait donné son accord pour cette installation, nous lui avons adressé un courrier pour lui faire part de notre avis défavorable. Maintenant, la mairie va opérer un refus à cette demande. Nous comprenons l’inquiétude des riverains et nous sommes à leurs côtés comme nous l’avons toujours été lors des précédentes mobilisations même si à deux reprises le tribunal administratif a rejeté nos interdictions municipales. J’étais avec les manifestants pour les Marots et nous avons évité dernièrement une installation supplémentaire place de la Bascule. Nous ne sommes pas favorables a davantage d’antennes-relais tant que les opérateurs ne feront pas en sorte que les ondes diffusées soient plus basses que les fréquences actuelles ».

Ouverture d’un débat

Ce sujet sensible environnemental n’a pas manqué d’interpeller le conseiller général écologiste Patrick Jimena qui demande l’ouverture d’un débat sur la ville. « Au-delà de ce projet, il est bon de rappeler que sur la ville de Colomiers nous avons déjà des dizaines d’antennes-relais installées sur le haut des immeubles », constate l’élu du canton. « Il faut aller vers une revendication majeure des scientifiques et des associations de défense qui préconisent l’abaissement de la puissance des antennes-relais à 0,6 volts mètres, seuil de précaution sanitaire. Je souhaite la création d’un débat public contradictoire sur la ville de Colomiers ».

Source : http://www.ladepeche.fr/article/2011/11/26/1224863-mobilisation-contre-les-antennes-relais.html


Appel du collectif nouveau-né : BIEN VIVRE A COLOMIERS

Une manifestation a lieu ce matin à partir de 9 heures au marché de Colomiers (place du Languedoc).

Une pétition en ligne est disponible à l’adresse suivante:

 

http://www.mesopinions.com/Non-a-l-antenne-relais-de-colomiers-nord-ouest-petition-petitions-abc134e7d8484636309d2ea138723652.htm

Un compte facebook : http://www.facebook.com/groups/324038150944389/

Accéder au tract au format PDF
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Contrôle du médicament: l’Assemblée refuse les changements votés par le Sénat

ROMANDIE NEWS

PARIS – L’Assemblée nationale a refusé mercredi la quasi-totalité des changements apportés au projet de loi sur le contrôle du médicament par le Sénat, en particulier la possibilité d’actions de groupe des victimes de produits nocifs.

Ce texte, visant à empêcher la répétition de scandales comme celui du Mediator, réglemente les liens d’intérêt entre professionnels de santé et industrie pharmaceutique, et renforce la pharmacovigilance.

Après l’Assemblée début octobre, le Sénat, à majorité de gauche, avait voté ce projet de loi le 27 octobre, mais en le modifiant fortement. La majorité de droite et du centre de l’Assemblée a adopté mercredi un texte gommant pratiquement toutes les modifications sénatoriales. La gauche a voté contre, alors que le PS s’était abstenu en première lecture.

Le Sénat avait adopté un amendement autorisant les associations de victimes d’un médicament nocif à mener en justice une action de groupe, dont pourraient bénéficier ensuite tous les patients touchés. L’action de groupe, class action aux Etats-Unis où elle est courante, n’existe actuellement pas dans le droit français.

Le rapporteur du texte devant l’Assemblée, le député UMP Arnaud Robinet, comme le gouvernement, a jugé peu opportun d’adopter, au détour d’un amendement sur un projet de loi relatif au médicament, une mesure ayant une telle incidence sur notre système juridique.

L’action de groupe, selon lui, ferait utilement l’objet d’un texte spécifique, au champ plus large, incluant d’autres domaines que celui de la santé.

Vous allez désespérer les associations de victimes, lui a lancé en séance le député PS Gérard Bapt, après avoir regretté vivement mardi, par avance, l’abandon de l’action de groupe, dans un communiqué co-signé avec le Dr Irène Frachon, qui avait révélé le scandale du Mediator.

L’Assemblée a supprimé une disposition votée par les sénateurs, qui assouplissait l’obligation pour un patient de faire la preuve d’un effet indésirable d’un médicament. Sur le fond, c’est intéressant, mais l’article ne fixe aucun critère précis pour juger de la présomption de causalité, a estimé M. Robinet. Le doute profitera à la firme, a regretté M. Bapt.

Les députés ont voté, comme ils l’avaient fait en première lecture, l’obligation, pour les responsables et experts d’autorités sanitaires de déposer, et d’actualiser, une déclaration publique d’intérêts, notant leurs liens avec l’industrie pharmaceutique dans les cinq dernières années.

Mais ils ont refusé de suivre les sénateurs qui voulaient interdire tout lien d’intérêts au dirigeant de l’agence chargée de contrôler les médicaments, ainsi qu’à ceux de la Haute autorité de santé, de l’Institut de la recherche médicale (Inserm) et de l’Institut national du cancer.

L’Assemblée a aussi décidé, comme le souhaitait le ministre de la Santé Xavier Bertrand, d’appeler Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (Ansm) l’organisme remplaçant l’Afssaps (Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé), très critiquée pour sa passivité dans le scandale du Mediator. Les sénateurs préféraient l’appeler Agence française de sécurité des produits de santé (Afseps).

Les clivages politiques ont été bousculés sur l’obligation faite aux visiteurs médicaux à l’hôpital de présenter les nouveaux médicaments lors de réunions de médecins et non en face-à-face. Contre l’avis du gouvernement et du Sénat, les députés ont exclu certains médicaments de cette disposition.

Le texte va maintenant repartir au Sénat, mais, ensuite, le dernier mot reviendra aux députés.

(©AFP / 23 novembre 2011 21h38)

source :  http://www.romandie.com/news/n/_Controle_du_medicament_l_Assemblee_refuse_les_changements_votes_par_le_Senat231120112111.asp


Une ex-experte de Servier promue au sein de l’agence du médicament : des pratiques « choquantes » (Pr Irène Frachon)

LE MERCREDI 23 NOVEMBRE 2011 À 22:49

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Les antennes-relais provoquent des acouphènes et des troubles du sommeil

   Mardi 22 Nov – 23:54 – Sainte Cécile

Antennes relais - DDM

Antennes relais – DDM DDM

L’association Santé Environnement de France (Asef), qui regroupe près de 2 500 médecins, vient de publier les résultats d’une étude concernant les effets sur la santé des antennes-relais. Le bilan de cette enquête est une nouvelle fois accablant : les antennes-relais provoqueraient plusieurs troubles sanitaires dont des acouphènes.

43 locataires de HLM d’Aix-en-Provence et d’Aubagne, choisis pour la particularité de leur habitation dont le toit abrite entre 12 et 14 antennes, ont été suivis dans le cadre d’une étude de l’Asef. Le résultat est sans appel : les effets indésirables de la présence d’antennes-relais dans l’environnement de ces personnes sont nettement plus élevés que la moyenne nationale. 43% des personnes interrogées se plaignent d’acouphènes (contre 15% des Français), 55% de troubles du sommeil et 27% de troubles de la concentration.

Créer des normes collectives

Le docteur Patrice Halimi, secrétaire général de l’Asef et chirurgien-pédiatre à Aix-en-Provence, explique : « Les résultats de cette enquête vont dans le sens de l’étude Bortkiewicz publiée en Pologne en 2004 ou encore de l’étude Abdel-Rassoul menée en Egypte en 2007, qui faisaient toutes deux le lien entre les troubles du sommeil et de la concentration et la proximité des antennes-relais. On peut également évoquer l’étude Hutter, réalisée par une équipe de chercheurs autrichiens en 2010, qui a démontré le lien entre antennes-relais et acouphènes. » Il insiste sur la nécessité de créer des normes collectives pour éviter la surexposition de certains bâtiments, comme c’est souvent le cas des habitats sociaux.

Ces différents troubles ne seraient que temporaires chez les personnes étudiées qui avouent que les effets indésirables disparaissent dès qu’elles s’éloignent de leur domicile.

SOURCE : http://www.ladepeche.fr/article/2011/11/22/1221720-les-antennes-relais-provoquent-des-acouphenes-et-des-troubles-du-sommeil.html

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Conférence internationale sur les CEM et la santé : « Dans quel monde vivons-nous ? » Le discours d’ouverture de Michèle Rivasi

TESTLABEL COORDINATION 

Ecrit par JLG Vendredi 18 novembre 2011 à 09:17

(18/11/11) L’europarlementaire Michèle Rivasi secoue le panel monolithique de cette conférence dont ont été écartés tous les scientifiques pourfendeurs de la pensée unique du R.A.S. – R.C.N.(rien à signaler – des recherches complémentaires sont nécessaires).

Voici l’intégralité de son discours au format PDF SUR LE SITE DE TESTLABEL


(VIDEO) Ondes électromagnétiques : vers une harmonisation européenne des normes ?

source :  http://www.teslabel.be/sante-publique/209-conference-internationale-sur-les-cem-et-la-sante-l-dans-quel-monde-vivons-nous-r-le-discours-douverture-de-michele-rivasi

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