4G : Orange et l’ANFR testent un réseau mobile composé de « petites antennes »

Ce qui vous attend et c’est pour bientôt !!

Sur le site de NEXTINPACT

4G : Orange et l’ANFR testent un réseau mobile composé de « petites antennes »

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Pour compléter les réseaux mobiles traditionnels, l’ANFR et Orange testent l’implantation locale de « petites antennes » 4G avec une portée réduite. Les enjeux sont nombreux : amélioration de la couverture et des débits, mais aussi préparation de l’arrivée de la 5G.

En France, le déploiement des réseaux de téléphonie mobile relève parfois du parcours du combattant pour les opérateurs. Ils déploient de front plusieurs technologies en parallèle (2G, 3G et 4G), avec des obligations de couverture différentes à chaque fois. Alors que les derniers centres-bourgs en zone blanche se battent pour avoir au moins de la 2G, l’ANFR lance une expérimentation afin de « favoriser l’accès au très haut débit mobile pour tous ».

Une portée de quelques dizaines ou centaines de mètres

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DAS : les constructeurs nous mentent sur les ondes de smartphones !

Commentaire de Robin des Toits Midi-Pyrénées : cet article est extrait du blog PHONANDROID dédié aux smartphones, un article dénonçant la manipulation des fabricants de téléphones qui impactent notre sécurité et que l’on ne s’attendait pas à lire dans ce genre de publication, c’est tout à leur honneur.

Bonne lecture. JCH.


Vous souvenez-vous du Dieselgate de Volkswagen ? Nous pourrions avoir aussi droit à notre scandale dans la téléphonie mobile. En effet, selon une enquête de certaines organisations et d’experts, les tests effectués par les constructeurs pour déterminer le DAS ne sont pas fiables. L’exposition réelle aux ondes de smartphones serait bien plus importante que celle annoncée par les marques.

das constructeurs mentent

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IMPORTANT : la commune reste propriétaire des compteurs d’électricité

Stéphane LHOMME  : la commune reste propriétaire des compteurs d’électricité et peut refuser les Linky même lorsqu’elle a délégué sa compétence à un syndicat départemental d’énergie Depuis des mois, les communes reçoivent des missives d’Enedis et de différentes « autorités » (Préfets, Syndicats départementaux d’énergie,  Associations départementales de maires, etc) qui prétendent qu’il est impossible de s’opposer au déploiement des compteurs communicants.
Le principal argument avancé est que la commune, lorsqu’elle a transféré sa compétence AOD (autorité  organisatrice de la distribution d’électricité) à un Syndicat départemental d’énergie (SDE), ne peut plus intervenir.
Il est même prétendu que la commune n’est alors plus propriétaire des compteurs et, d’ailleurs, certains SDE écrivent dans leurs statuts qu’ils ont cette propriété. Heureusement, comme nous allons le voir, il ne suffit pas d’écrire une phrase dans les statuts pour pouvoir littéralement voler les compteurs aux communes, qui ne
peuvent se voir priver ainsi d’une partie de leur patrimoine.

Télécharger le communiqué pour diffuser

Le site de Stéphane Lhomme

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Portable : la mise en garde de l’Académie américaine de pédiatrie

En mai dernier, le U.S. National Toxicology Program (NTP) publiait les résultats préliminaires d’une étude démontrant que l’exposition aux micro-ondes émises par un téléphone portable augmente significativement la prévalence de rares cancers très malins du cerveau et des nerfs cardiaques chez des rats.
Cette étude a révélé hors de tout doute que ces radiofréquences (RF) causent les mêmes types de tumeurs chez les rats que celles dont l’incidence est plus élevée chez les humains qui téléphonent trente minutes par jour en moyenne pendant au moins dix ans. Fait significatif, les risques augmentent en fonction de la dose d’exposition.
Depuis, à Berkeley, en Californie, les vendeurs de téléphones portables doivent aviser leurs clients que s’ils portent sur leur corps un appareil allumé et connecté à un réseau sans fil, ils risquent de dépasser les lignes directrices fédérales d’exposition aux rayonnements de radiofréquences. L’industrie combat férocement le règlement de Berkeley devant les tribunaux.
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Un film à voir prochainement : Thank you for calling

CThank you for callinge documentaire, fruit de nombreuses années d’investigation, que le réalisateur Klaus Scheidsteger a souhaité construire comme un thriller, pour mieux nous faire partager cette vaste enquête qui relate le combat du Docteur George L. Carlo.
Ce scientifique américain avait été missionné dans les années 90 par l’industrie du mobile pour diriger une étude devant évaluer la dangerosité des ondes électromagnétiques. Mais, quand au terme de plusieurs années de recherches il rend ses conclusions montrant que l’usage des téléphones portables peut entraîner des tumeurs au cerveau, les industriels du mobile coupent les crédits et le Docteur Carlo commence une longue traversée du désert. Il revient finalement pour mener un combat contre ses anciens employeurs, en s’alliant à de grands cabinets d’avocats et à des associations de consommateurs.
En nous faisant vivre la lutte du docteur Carlo, enrichi des témoignages de chercheurs autrichiens, grecs ou encore russes, unis autour de cette même cause pour faire émerger leur vérité, ce film fait le point sur l’état des recherches scientifiques, qui ont encore du mal à se faire entendre face à la formidable puissance des industriels du mobile.
Un documentaire résolument engagé, humain et émouvant, à découvrir et à faire partager.

Voir la bande annonce

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Loi sur les ondes : imbroglio royal sur la publication des décrets – nextimpact.com

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Promulguée il y a quasiment deux ans, la loi sur les ondes électromagnétiques attend encore plusieurs de ses décrets d’application. La ministre de l’Environnement vient toutefois d’annoncer que l’ensemble de ces textes devrait être publié d’ici l’automne. Ségolène Royal semble néanmoins ignorer que certains sont déjà parus au Journal officiel…

Destinée à limiter l’exposition de la population aux ondes émises par les antennes relais, les téléphones portables, etc. – le tout au nom du principe de précaution – la « loi Abeille » du 9 février 2015 a surtout fait parler d’elle en ce qu’elle interdit d’installer des équipements terminaux disposant d’un accès sans fil à Internet « dans les espaces dédiés à l’accueil, au repos et aux activités des enfants de moins de trois ans » au sein des crèches, des garderies ou de tout autre établissement d’accueil des enfants de moins de six ans. Dans les classes des écoles primaires, les accès au Wi-Fi sont également censés être désactivés « lorsqu’ils ne sont pas utilisés pour les activités numériques pédagogiques ».

En juillet dernier, voyant que plusieurs autres mesures prévues par ce texte n’étaient toujours pas entrées en vigueur, faute de décret d’application, la députée Dominique Nachury (LR) avait fini par demander à la ministre de l’Environnement de préciser le calendrier du gouvernement en la matière.

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