Le lundi 21 novembre 2011 à 14h25, le Dr Halimi présentera dans Allo Docteur sur France 5, les résultats de notre enquête sur l’impact des antennes relais sur la santé

Des médecins lancent une enquête sur l’impact des antennes relais sur la santé

Association Santé Environnement France

Lundi, 03 Octobre 2011 15:07 L. Ferrer

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Sur les toits fleurissent de sulfureuses antennes-relais…Alors, quand on en a douze sur son toit et qu’on a des maux de tête, des saignements de nez, des vertiges, on fait vite le rapprochement – qu’il soit fondé ou non. Afin de faire un état des lieux de l’impact de ces antennes relais sur la santé des gens, l’Association Santé Environnement France lance une enquête sanitaire citoyenne sur l’impact des antennes relais sur la santé des « riverains ».

L’enquête sera lancée par l’ASEF le samedi 15 octobre dans une cité HLM d’Aix-en-Provence* – celle-ci a été choisie pour les 12 antennes relais qu’arborent l’un de ses toits. Elaborée avec l’aide de l’association Priartem, le questionnaire que les médecins de l’association vont aller faire remplir aux habitants a pour but de donner des indications sur l’état de santé de ses populations. A combien de mètres se situent les antennes relais de leur logement ? Sont-elles en face ? Sur le côté ? Combien de temps par jour utilisent-ils leur téléphone portable ? Quels symptômes observent-ils ? Maux de tête ? Fatigue ? Nausées ? Sont-ils atteints de maladies spécifiques ? Purpura ? Fausse couche ?

Pourquoi les HLMs ? Pour les opérateurs, les HLMs sont des aubaines : ils n’ont qu’un seul propriétaire à convaincre, et pas des dizaines comme dans le cas des copropriétés… En effet, l’arrêt du 7 avril 2005, décrète qu’une antenne relais ne peut être implantée que si les propriétaires de l’immeuble l’acceptent à l’unanimité. Si l’on est locataire dans un appartement privé ou dans un HLM, on ne nous demande donc pas notre avis…« Ces personnes ont l’impression qu’on se moque d’elles. On ne leur a pas demandé leur avis pour savoir si elles étaient d’accord pour qu’on leur implante des antennes relais sur le toit. Elles ne touchent même pas d’indemnités financières pour ça et pourtant ce sont elles qui prennent et assument le risque…C’est anti-démocratique. Notre objectif est aujourd’hui de recenser les maux et pathologies dont souffrent les riverains d’antennes relais. Car en tant que médecins, nous estimons qu’il n’y a pas ni patient, ni citoyen de seconde zone» affirme le Dr Patrice Halimi, Secrétaire Général de l’ASEF et Chirurgien-Pédiatre à Aix-en-Provence.

Présente au « Grenelle des Ondes » en 2009, l’association a beaucoup travaillé sur la question des ondes électromagnétiques et sur la gestion de la prise de risque collective. Aujourd’hui, en France, la norme oscille entre 41 et 61 volts/mètre alors que l’ensemble de nos voisins européens a adopté des normes comprises entre 3 et 6 volts/mètre. L’Autriche étant même passé à une réglementation de 0.6 volt/mètre ! Récemment le rapport de l’Afsset appelait à la réduction de l’exposition du public aux ondes électromagnétiques. Il préconisait notamment la mise en place du principe ALARA qui consiste à ce que la puissance des antennes soient réduites à la plus basse fréquence possible. En mai dernier, le Conseil de l’Europe a même reconnu que les émissions de la téléphonie mobile étaient une attaque à la santé publique. « Nous avons donc besoin de normes collectives telles qu’il en existe sur l’air ou sur l’eau ! En l’absence d’études figées, demandons-nous à qui doit bénéficier le doute ? Répondons à cette question de façon à ce que demain, nous ne regrettions pas nos actes d’aujourd’hui » complète le Dr Patrice Halimi.

Contact presse: Ludivine Ferrer/Sarah Norest : 04 88 05 36 15 ou ludivine.ferrer@asef-asso.fr Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir. – sarah.norest@asef-asso.fr Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir.

L’Association Santé Environnement France rassemble aujourd’hui près de 2 500 médecins en France. Dégrader notre environnement impacte notre santé. Pour la préserver et entrer dans la voie de la santé durable, les médecins de l’ASEF appellent à agir afin que chacun d’entre nous devienne acteur de sa santé. Elle travaille sur des sujets aussi variés que les PCB, la qualité de l’air intérieur, la téléphonie mobile ou encore le changement climatique et la biodiversité.

Mis à jour ( Lundi, 03 Octobre 2011 16:21 )

Source : http://www.asef-asso.fr/index.php?option=com_content&view=article&id=965:des-medecins-lancent-une-enquete-sur-limpact-des-antennes-relais-sur-la-sante&catid=16:nos-communiques-de-presse&Itemid=121

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Nouvelles antennes Free à Bordeaux : les ondes de la discorde

NOUVELOBS   Modifié le 10-11-2011 à 12h44

LE PLUS. A Bordeaux, l’opérateur Free cherche sa place face à ses concurrents de téléphonie mobile. Tous les coups sont permis, des amis du Ministère à la cage d’escalier des riverains réticents. Marie Bové, Conseillère régionale d’Aquitaine (Europe Ecologie), revient sur des procédés choquants.

> Par Marie Bové Conseillère régionale Europe

Edité par Gaëlle-Marie Zimmermann  

Juin 2011, tout allait pour le meilleur du monde au 99 rue Amédée Saint Germain, quartier de la gare Saint Jean. La mairie de Bordeaux accordait une autorisation d’implantation d’antennes relais à Free sur un coin de table. Le propriétaire des lieux, ICF (filiale SNCF) délivrait le bail à l’opérateur de téléphonie mobile. Un seul bémol, l’opposition instantanée des résidents.

Recevant une pétition, la mairie noie le poisson en soulignant son effort exemplaire de camouflage des 40 nouvelles antennes dans de fausses cheminées. Du côté du bailleur ICF, on compte ses sous. Free doit être accueilli sans aucune contestation : que chaque locataire paye son loyer et la ferme !

Mesures d’intimidation

Mais une nouvelle antenne relais, c’est la goutte de trop. Ici, on chauffe le ciel par manque d’isolation thermique, les cloisons sont en papier cigarette, l’installation électrique remonte à 1968… Déjà cernés par le vacarme des voies ferrées, les bâtiments industriels en cours de désamiantage, les travaux du périmètre Euratlantique, la prolifération d’une trentaine d’antennes dans un rayon de 300m… L’indignation est partagée ! Il y a six mois, les locataires se disaient à peine bonjour. Aujourd’hui une solidarité se construit. Vivre ensemble dans des conditions acceptables, quoi de plus légitime ?

Les premières pressions surgissent et visent évidemment l’un des leaders du collectif, Stéphane Sanchez. Il raconte : « un employé d’ICF a rencontré mon voisin et sa mère dont l’état de santé est très fragile. Sans ménagement, elle a été incitée à porter plainte contre moi pour vol d’électricité via un branchement illicite. » Peine perdue : le fils de la locataire, Jean-François Rodiguez, dénonce les faits et réclame des excuses auprès de M Bigot, représentant national des locataires de la Confédération Nationale du Logement pour ICF. Cafouillage chez ICF qui prétexte un pseudo-malentendu de voisinage.

Déstabiliser en masse

Sur le Web, il faut déstabiliser en masse. Un nouveau front est ouvert contre les détracteurs des opérateurs, avérés ou supposés : les citoyens et la presse. Sans ménager l’amateurisme, les sbires des ondes font une incursion dans le « service blog » dédié aux internautes sur le site du Nouvel Observateur.

Résultat : un copier-coller du nom du vrai blog du collectif bordelais, mais détourné de son contenu. Au-dessous, des photos de presse taguées, les commentaires mensongers se mêlent aux perles de la bêtise. Exemple : « Que fait donc cette personne qui manifeste contre l’installation d’un relais de radiotéléphonie mobile ? Vous devriez plutôt vous interroger sur la nocivité des ondes de l’armée qui traversent votre pays de part en part depuis plus de 50 ans… »

capture écran copie blog icf Obs

Capture d’écran du blog copiant le blog du collectif ICF

Beaucoup plus navrant, une lettre Jean-Marie Danjou, directeur général de l’Association française des opérateurs mobiles, avait été publiée sur le blog détourné. Dans celle-ci, il dénigrait ouvertement la diffusion d’un « Hors série » de France 3 consacrée aux « Mauvaises ondes ». Selon lui, les journalistes auraient mal fait leur travail, qualifié de « partiel et partial ». Jean-Marie Danjou rêverait-il de journalistes aux ordres des intérêts économiques des opérateurs privés ?

Une chose est certaine, Free joue la carte de la spéculation. Rafler un maximum de forfaits au père Noël et installer un maximum d’antennes pour couvrir le territoire. Un seul mot d’ordre : ne pas s’encombrer des collectivités élaborant des réseaux de téléphonie mobile en vertu du principe de précaution et des recommandations de l’Union européenne.

Petits arrangements entre amis

Heureusement, Eric Besson et Xavier de Lesquen sont là : l’un est chargé de l’économie numérique, le second est son rapporteur public après avoir dirigé le Défi Bouygues Telecom Tansiciel pour la Coupe de l’America. Dans un arrêté du Conseil d’Etat du 27 octobre dernier, les deux compères autorisent la mairie de Bordeaux à faire la politique de l’autruche : « Un Maire ne saurait réglementer par arrêté l’implantation des antennes relais sur le territoire de sa commune (…) ».

Quant à Free, plus besoin de contourner le principe de précaution. L’arrêté précise que la décision bordelaise interdisant l’implantation d’une antenne à moins de 100 mètres d’un espace public accueillant de jeunes enfants, est suspendue.

Des permis d’exploration de gaz de schiste aux permis d’implantation des antennes relais : même ministère, même méthode, même opacité, même petits arrangements entre amis. Le mépris de la santé publique reste tendance, la loi fantôme de NKM aussi.

Pour signer la pétition en ligne, cliquez ici.

source : http://leplus.nouvelobs.com/contribution/212575;nouvelles-antennes-free-a-bordeaux-les-ondes-de-la-discorde.html

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Manifestation à Bruxelles pour la baisse de la pollution électromagnétique – 16/11/2011

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Manifestation à Bruxelles pour la baisse de la pollution électromagnétique - 16/11/2011

Peut-être avez-vous déjà lu qu’un appel de deux minutes avec un téléphone portable altère les fonctions cérébrales de l’enfant pour une heure.

Mais votre téléphone cellulaire n’est pas la seule source de rayonnements électromagnétiques dans notre société. Depuis quelques années nous sommes bombardés en permanence de micro-ondes pulsées issues des antennes relais (GSM, 2G, 3G UMTS, WIMAX… ), téléphones sans fil DECT, babyphones sans fil, Internet sans fil (WiFi/WLAN), etc.

Comme si cela ne suffisait pas, les gouvernements de toute l’Europe sont en train d’autoriser à l’industrie télécom d’encore augmenter l’exposition aux ondes électromagnétiques par de nouvelles sources telles que le réseau 4G (LTE), les compteurs électriques « intelligents », Galileo-satellites, etc.

Selon des milliers de professeurs, de médecins et de scientifiques Il y a un lien direct entre l’augmentation actuelle des maladies chroniques (Alzheimer, TDAH, fibromyalgie, SFC, insomnie, allergies, etc) et l’augmentation exponentielle de l’électrosmog ces 10 dernières années.

Les politiques sont averti plusieurs fois par les scientifiques que l’exposition actuelle aux rayonnements électromagnétiques est une menace directe pour la santé publique, et qu’ils doivent impérativement établir de nouvelles limites d’exposition biologiquement acceptables.

Les politiques doivent réaliser que la santé publique est primordiale, et qu’ils doivent donc agir d’urgence.

Voilà pourquoi nous devons manifester tous ensemble!

Ce 16 novembre, des citoyens venus de toute l’Europe
viendront manifester à Bruxelles.

Nous demandons de baisser la pollution électromagnétique.

Nous protestons :

– Contre l’absence à la conférence de l’Union Européenne des 16 et 17 novembre, de scientifiques ayant des points de vue divergents de l’actuelle position laxiste européenne. En effet, aucun des scientifiques dont les recherches ont prouvé des effets nocifs des rayonnements électromagnétiques ne sont invités à s’exprimer lors de cette conférence, comme L. Hardell, H. Lai, M. Kundi, F. Adlkofer, G. Oberfeld, O. Johansson, M. Havas, etc. (détails de la conférence sur http://www.onetec.be/EMF2011);

– Contre l’attitude et les législations laxistes des gouvernements, qui ne tiennent pas compte de l’existence d’effets non thermiques toxiques des champs électromagnétiques;

– Contre l’absence de reconnaissance de l’hypersensibilité électromagnétique comme handicap (à part quelque peu en Suède et en Espagne)

– Contre l’ingérence des industriels télécom dans la recherche. Les études sponsorisées par l’industrie télécom concluent neuf fois plus souvent à l’absence d’effets biologiques que les études indépendantes non financées par l’industrie. Pure coincidence?

Nous invitons chacun et chacune d’entre vous à manifester avec nous !

Quand?
Le mercredi 16 novembre 2011 à partir de 16h jusqu’à 18h30.

Où?
A côté de l’entrée du bâtiment « Charlemagne »,
170 Rue de la Loi, 1000 Bruxelles, Belgique
(c’est dans ce bâtiment qu’est organisée la conférence de l’UE sur les ondes et la santé).

Contact?
Si vous voulez rejoindre notre manifestation ou que vous avez des questions,
merci d’envoyer un mail à steven@petition-electrosmog.be

Vous pouvez lire (et signer) le texte de la pétition sur
http://www.Petition-Electrosmog.be

Vous trouverez ce texte ci-joint (pdf) +
plus d’information en anglais (pag. 4-6)

Merci de le transmettre à tous vos contacts, famille, amis, collègues…

En vous remerciant,

Les organisateurs de la manifestation :

StopUMTS.be (Belgique), StralingsArmVlaanderen.org (Belgique),
Collectif Dé-Mobilisation (Belgique), StopUMTS.nl (Pays-Bas),
AMICA (Italie) et RobindesToits.org (France).

Notre manifestation à le soutien de :

– Professeur Olle Johansson (département Neuroscience à l’Institut Karolinska de Stockholm; The Royal Institute of Technology de Stockholm)
– Professeur Dr. Ing. Giancarlo Spadanuda (Univ. de Calabria; Gouv. d’Italie, la Ministère de l’Environnement; détails sur spadanuda.it)
– Professeur émérite Dr. Freddy Decreus (Université de Gand)
– Professeur Els Laenens (Université d’Anvers)
– Dr. med. Gerd Oberfeld (Gouvernement de Salzburg, Dép. de Santé Public)
– Hermes Sanctorum (Membre du Parlement Flamand)
– Teslabel.be (Belgique)
– Robin des Toits (France)

Professeur Olle Johansson:

« Les gouvernements et les agences de protection de la santé en général se cachent derrière des directives officielles dépassées, qui ont été élaborées lorsque l’on croyait que la seule façon que les organismes vivants puissent être lésés par un rayonnement électromagnétique était qu’il soit assez fort pour provoquer une chaleur aigüe. Et avec des poupées en plastique remplies de liquide!

Ceci est totalement faux! Il y a d’innombrables articles dans des revues scientifiques depuis plusieurs décennies qui montrent très clairement qu’il y a des effets non thermiques biologiques (certains d’entre eux extrêmement nocifs) des champs électromagnétiques qui sont bien en dessous des consignes de sécurité officielles. »

manifestation_contre_la_pollution_electromagnetique_le_16_nov__a_bruxelles.pdf MANIFESTATION contre la POLLUTION ELECTROMAGNETIQUE le 16 nov. à Bruxelles.pdf  (370.52 Ko)

SOURCE : http://www.robindestoits.org/Manifestation-a-Bruxelles-pour-la-baisse-de-la-pollution-electromagnetique-16-11-2011_a1364.html

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Antennes relais : l’AMGVF renvoie l’Etat à ses responsabilités (07/11/2011)

Territorial.fr : Le site portail des professionnels territoriaux  

Le Conseil d’Etat a récemment jugé que les communes n’étaient pas compétentes en matière d’implantation des antennes relais de téléphonie mobile, et que seul l’Etat pouvait s’en charger. L’Association des maires des grandes villes de France (AMGVF) demande donc à l’Etat d’en « tirer toutes les conséquences » et formule des propositions en ce sens.

« Les représentants de l’État, et notamment des ARS, sont aujourd’hui les grands absents des réunions publiques consacrées à l’implantation des antennes relais. A chaque réunion, les élus se retrouvent pris entre les revendications des associations de riverains – qui ne veulent pas d’antennes à proximité de leur lieu de vie – et les opérateurs de téléphonie mobile – qui font valoir leurs obligations de couverture » explique un communiqué de l’association, qui parle d’une situation devenue « ingérable » avec l’arrivée du quatrième opérateur de téléphonie mobile. 

L’AMGVF énumère quatre préconisations : 
– « la présidence par un représentant de l’Etat des réunions publiques de concertation », 
– « la fourniture systématique par les opérateurs de simulations informatiques décrivant l’exposition supplémentaire des riverains induite par toute nouvelle installation de téléphonie mobile »,  
– «l’aboutissement au plus vite des travaux engagés […]en matière de réduction des niveaux d’exposition aux champs radioélectriques »
– « Une nouvelle réglementation pour obliger les opérateurs à mutualiser les antennes existantes, revoir les seuils d’exposition pour mettre en œuvre le principe de « sobriété » des antennes prôné par le rapport de François Brottes et définir clairement les responsabilités des maires et de l’Etat en matière d’implantation des antennes-relais ».

SOURCE : http://www.territorial.fr/PAR_TPL_IDENTIFIANT/7656/TPL_CODE/TPL_HYPERBREVE_FICHE/PAG_TITLE/Antennes+relais+%3A+l’AMGVF+renvoie+l’Etat+%E0+ses+responsabilit%E9s/803-actualite.htm

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Sciences-Tech. Cuisinières à induction: mise en garde du SECO

tsrinfo.ch  08 novembre 2011 11:11

Les cuisinières à induction émettent des champs magnétiques pouvant provoquer des irritations aiguës des cellules sensorielles, nerveuses et musculaires. [Joel Damase - Photononstop/AFP]

Les cuisinières à induction émettent des champs magnétiques pouvant provoquer des irritations aiguës des cellules sensorielles, nerveuses et musculaires. [Joel Damase – Photononstop/AFP]

Les cuisinières à induction pourraient être dangereuses pour les professionnels, surtout pour les femmes enceintes. L’exposition aux champs magnétiques dépasse dans certains cas les valeurs limites. Une étude appelle la branche – fabricants et restauration – à prendre des mesures.

Les cuisinières à induction ont de nombreux avantages: démarrage rapide, cuisson précise, économies d’énergie. Elles n’en émettent pas moins des champs magnétiques pouvant provoquer des irritations aiguës des cellules sensorielles, nerveuses et musculaires, indiquent lundi le Secrétariat d’Etat à l’économie et l’Office fédéral de la santé publique dans un communiqué.

Dans le cas des personnes se trouvant au bord de la cuisinière, la valeur limite est dépassée dans 25% des cas simulés par l’étude. Si elles se penchent sur le plan et que leur ventre s’approche de quelques centimètres du champ de cuisson, l’exposition augmente. Suivant le sexe et le poids, la valeur limite est dépassée pour un tiers, voire pour la moitié des cuisinières.

Les femmes enceintes particulièrement concernées

Les femmes enceintes sont plus particulièrement concernées. A partir du septième mois de grossesse, la valeur limite est en partie franchie par tous les appareils, certaines fois massivement. Un foetus de sept mois est trop fortement exposé par la moitié des appareils. A neuf mois, la valeur limite est dépassée par la majorité des cuisinières.

L’étude n’exclut en outre pas un risque d’interférence avec certains implants médicaux comme les stimulateurs cardiaques et les défibrillateurs, notamment en position inclinée sur la cuisinière ou courbée vers le sol. Si une personne se tient à 30 cm du plan de cuisson, la valeur limite n’est toutefois atteinte dans aucune des situations.

Les auteurs de l’étude appellent donc les fabricants à améliorer sur le plan technique leurs appareils, les champs magnétiques pouvant être réduits facilement grâce à des matériaux de protection appropriés. Parallèlement, une adaptation des dispositions légales pour la protection de la maternité est à l’étude.

La branche et les fabricants sont invités à prendre des mesures de prévention et à les faire connaître dans les écoles professionnelles et les cantines. Tous les milieux concernés devraient par ailleurs s’entendre pour fixer des valeurs limites communes.

Enfin, il serait souhaitable de ne pas seulement mesurer les champs magnétiques à l’endroit « habituel » où se tient le personnel de service. Il faudrait aussi tenir compte du pire scénario possible: casseroles chauffées au niveau maximal et non centrées sur les plaques, personnel de cuisine penché sur les cuisinières.

ats/hof

SOURCE : http://www.tsr.ch/info/sciences-tech/3571182-cuisinieres-a-induction-mise-en-garde-du-seco.html

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Médiator, histoire d’une dérive MARDI 8 novembre 2011 à 20:40 sur ARTE

Mediator, Histoire d’une dérive ?

LE 8 NOVEMBRE À 20H40

Réalisateurs : Bernard Nicolas, Kader Bengriba
Producteur : IMPACT PRESSE

Une enquête rigoureuse sur le scandale des laboratoires Servier et les conflits d’intérêt qu’il a révélés au cœur de notre système de santé.

DISPONIBLE EN DVD à la DEMANDE

Le 30 novembre 2009, le Mediator, élaboré par le groupe Servier, prescrit dans le traitement du diabète mais aussi vendu comme coupe-faim, est discrètement retiré du marché après trente-trois ans. Douze ans plus tôt, l’Isoméride, un produit très voisin du même laboratoire, avait pourtant été interdit en raison des risques pulmonaires et cardiaques induits pour le patient. Comment Servier, aujourd’hui inculpé d’homicide involontaire et de « tromperie », a-t-il pu commercialiser aussi longtemps le Mediator, causant de 500 à 2 000 morts et infligeant de graves séquelles à des milliers de patients ?

Comme le démontre cette enquête, sur la base de témoignages et de documents en partie inédits, ce médicament n’aurait jamais dû être autorisé, le laboratoire ayant dès 1976 ignoré une étude niant son efficacité. Mais ce dernier n’est pas l’unique responsable. Alors que les signes de danger se multipliaient dans les années 1990, l’Afssaps (Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé) n’en a tenu aucun compte. Remboursé par la Sécurité sociale à 65 %, pour un prix de 5 euros, le « coupe-faim du pauvre » a continué d’empoisonner des milliers de personnes. Il sévirait encore sans la franc-tireuse Irène Frachon, la pneumologue du CHU de Brest qui a accumulé les preuves médicales à son encontre, puis fait éclater le scandale pour réclamer l’indemnisation des victimes.

L’arbre et la forêt
Méthodiquement, Kader Bengriba et Bernard Nicolas (France Telecom, malade à en mourir, diffusé en 2010 par ARTE) explorent le long règne du Mediator, symbole d’une industrie pharmaceutique en mal d’éthique. S’il a donné lieu à une réforme censée assainir notre système de pharmacovigilance, la « démocratie sanitaire », comme le rappelle Irène Frachon, n’est pas encore advenue. Combien d’autres victimes cache l’arbre Mediator, alors que les « accidents » médicaux se chiffrent à plusieurs milliers de morts par an ?
sOURCE : http://www.artevod.com/mediator_histoire_derive

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Santé : la justice ordonne les premiers remplacements des nouveaux compteurs électriques par des analogiques (USA)

NEXT-UP.ORG Le 5 novembre 2011

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Next-up organisation 5 novembre 2011
Maintenant avec les retours d’informations nous pouvons affirmer que tous les programmes mondiaux des
compteurs communicants types Smart Meters ou Linky sont des impostures des sociétés gestionnaires
d’électricité, il est constaté que les factures augmentent, voire pour certains s’envolent, la consommation
électrique ne diminue pas, mais le plus grave étant qu’ils sont nocifs pour la santé.
Dans ces conditions ce qui devait arriver est arrivée : au USA et notamment en Californie, PG & E (équivalent
à ERDF) qui entrait dans la phase finale pour la généralisation de l’installation des nouveaux compteurs
Smart Meters (France = Linky) commence une nouvelle phase qui n’était pas prévue, une marche arrière,
celle du démontage des nouveaux compteurs pour les remplacer par les anciens !
« Il y a des centaines de milliers sinon des millions de personnes qui souffrent dans leurs maisons par rapport
aux radiations imposées par ces nouveaux compteurs communicants, c’est inacceptable » a déclaré Joshua
Hart, directeur de l’association Stop Smart Meters.
Pour les Californiens mécontents de leurs nouveaux compteurs communicants qui exigent le retour à leurs
compteurs analogiques sans frais, le changement s’effectue en moins d’une minute ! .
[Reportage vidéo : Pour la première fois, par une procédure supervisée par le Juge administratif de la
Commission des Services publics de Californie, le distributeur PG & E remplace le 28 octobre 2011 un
nouveau compteur électrique communiquant par un compteur analogique].
Comment en est-on arrivé à ce revirement et comment « la masse critique » citoyenne a été atteinte ? 
Le distributeur PG & E était pourtant, comme en France, largement soutenu par le Ministère de l’Énergie et
l’administration d’Obama, mais c’était sans compter sur la pression des manifestations, des dizaines de
groupes de consommateurs, des politiques, des autorités de Santé des États et des actions en justice.
Pour la première fois aux USA nous avons assisté à la désobéissance civile de citoyens ordinaires au nom
d’une conception et l’application des droits fondamentaux face à un système anti-démocratique (oligarchie) :
ils ont dit non et ont participé à des actions de blocages de centres administratifs et de véhicules de PG & E,
ils ont été arrêtés et retenus pour quelques heures, cela a eu un impact ravageur et sensibilisateur.
[PDF – Criminalisation de l’irradiation issue des nouveaux compteurs]
En effet, même si les promesses de factures et des consommations inférieures n’ont pas été tenues et
l’atteinte à la vie privée avérée, c’est l’impact sanitaire qui a fait basculer le devenir des Smart Meters.
L’évidence a été constatée et rapportée par de nombreux citoyens dans les médias et par devant les
tribunaux lors des enquêtes et expertises sanitaires : Maux de tête, nausées, bourdonnements d’oreille,
problèmes cardiaque et dermatologiques, démangeaisons, etc … ont été officiellement associés aux
irradiations artificielles micro-ondes des Hautes Fréquences 2,44 GHz générées par les nouveaux compteurs.
Le passage en force de l’installation des nouveaux compteurs est apparu et perçu au fil des mois dans
l’opinion publique comme une agression anti-démocratique et inconstitutionnelle qui de surcroît portait
atteinte à la santé des personnes dans leurs propres maisons.
Dans un second temps notamment en Californie se sont plus de 47 villes et Comtés qui ont exigé et obtenu
l’arrêt des installations et une dizaine de Gouvernements locaux ont adopté des lois interdisant le
déploiement de cette technologie controversée.
Maintenant le revirement spectaculaire Californien se répand à travers le pays et dans le monde entier
incitant certains Gouvernements à mettre en attente le déploiement souhaité par les industriels. L’état du
Nevada vient de demander des enquêtes sanitaires et d’autres sur les problèmes des ces compteurs.
Le basculement en faveur des citoyens consommateurs s’est réalisé lors de tests qui ont mis en évidence
qu’en présence des nouveaux compteurs les personnes présentent des symptômes biologiques et sanitaires
qui disparaissent dès le changement du compteur par l’ancien en analogique.
PG & E face à la contestation avait dans un premier temps changé les nouveaux compteurs communicants
par des compteurs qui communiquent par un signal CPL (comme le Linky en France), mais cette option a été
vite abandonnée car le courant électrique devenu sale qui irradie toute la maison par les câbles électriques
avait les mêmes effets sur la santé en l’absence de câbles blindés anti-radiations.
PG & E (équivalent à ERDF) va peut être boire la coupe jusqu’à la lie, car Peevey Michael, le président de la
California Public Utilities Commission (CPUC) vient de déclarer qu’il « ordonnera pour ceux qui le souhaitent
de pouvoir revenir aux compteurs analogiques si c’est leurs choix ».  Il faut savoir que la CPUC était depuis le
début de la contestation farouchement contre les milliers de demandes de citoyens opposés aux compteurs
communicants par rapport aux effets sur la santé, ce revirement est salutaire.
Les enquêtes ont aussi révélé, comme celle réalisée par Next-up organisation sur les nouveaux compteurs
d’eau à relevés par Radiofréquences en France, que ce n’était pas quelques impulsions Hautes Fréquences
micro-ondes que générait chaque jour l’émetteur d’un nouveau compteur comme le faisait croire les
distributeurs, mais plus de 10 000 pulsations d’impulsions, ce qui engendre dans les appartements une
augmentation phénoménale de l’Electrosmog !

Source : http://www.next-up.org/p

df/Sante_la_justice_ordonne_les_premiers_remplacements_des_nouveaux_compteurs_electriques_par_des_analogiques_aux_USA_05_11_2011.pdf

Voir aussi : http://stopsmartmeters.org/2011/11/01/pge-begins-removing-smart-meters-due-to-health-effects/

http://translate.google.fr/translate?u=http%3A%2F%2Fstopsmartmeters.org%2F2011%2F11%2F01%2Fpge-begins-removing-smart-meters-due-to-health-effects%2F&sl=en&tl=fr&hl=&ie=UTF-8

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Antennes Relais, le Conseil d’état sous influence ?

AgoraVox le média citoyen  

Dans ce domaine les institutions françaises sont incapables d’exprimer un avis sans se faire tenir la main par un proche des opérateurs ça en devient grotesque. Après les avis de l’académie de médecine de 2009 impliquant d’ex-conseiller de Bouygues selon le Canard Enchaîné c’est cette fois un ancien responsable du défi Bouygues Télécom Xavier de Lesquen qui est rapporteur de cette affaire.

Nous remercions le volatile pour sa sagacité, lui ne nous trompe jamais.

Venons-en aux faits : le dernier arrêt du conseil d’état limitant les pouvoir des maires, goutte d’eau faisant déborder le vase des dissimulations.

Il est étonnant de constater que cet arrêt prétend justifier des modalités de respect de la loi avec moult articles du code des postes et communications électroniques comme les articles L32-1ou l’article L34-9-1 (faisant référence au décret 2002-775 sur certains risques), sans jamais faire mention des principales exigences de la loi en matière de risques a faire respecter qui se trouvent au 12° de l’article L32 de ce même code transposition de l’article 3 de la directive 1999/5/CE qui seules permettent de justifier ou non la pertinence des moyens de les respecter qu’impose le conseil d’état aux maires.

Réparons cet oubli fâcheux, les principales exigences de la loi en matière de risque sont celles-ci : 

« On entend par exigences essentielles les exigences nécessaires pour garantir dans l’intérêt général la santé et la sécurité des personnes, la compatibilité électromagnétique entre les équipements et installations de communications électroniques … »

Générer un risque pour la santé en n’assurant pas la compatibilité électromagnétique est une double violation de la loi.

Ces principales exigences sont par une extraordinaire coïncidence « oubliées » de manière systématiques par l’ANFR, l’ARCEP, les opérateurs les ministères de l’industrie de la santé et de l’environnement que le conseil d’état estime seuls habilités a donner leur avis ! (faites une recherche sur leurs site internet c’est édifiant) 

On vous ment puisque ces principales exigences de la loi obligent à traiter un risque : la compatibilité électromagnétique (pour éviter le dysfonctionnement d’appareils électroniques dans le milieu ou ils sont prévus pour être utilisés) dont le seul moyen connu de prévention est de limiter la pollution électromagnétique a un niveau inférieur a celui auquel sont testés les appareils électroniques soit 3V/m pour 95% des appareils médicaux utilises a domicile et qu’ aucun appareil électronique vendu dans le monde pour être utilisé ou vivent des être humains n’est prévu pour fonctionner avec une niveau de pollutions de 41 à 61V/m digne d’une poubelle électromagnétique, ce qui est confirmé par la lecture de le doc des thermomètres tensiomètres lecteurs de glycémie etc… exemple d’un thermomètre

« compliance level 3V/m »

on lit concernant les antennes relais : »Field strengths from fixed RF transmitters,as determined by an electromagnetic site survey,a should be less than thecompliance level in each frequency range. »

le constructeur ecrit cela pour décorer sa documentation ou parce qu’il y a risque ?

ceci est dissimulé systématiquement par les organismes cités par le conseil d’état.  

De plus ces documentations donnent des distances a respecter en fonction de la distance et la puissance de la source de champ électromagnétique (qui peut dépasser 4000 w en cas d’exposition au lobe principal d’antennes relais tri bande )et entraînant une distance de sécurité à respecter de plus de 100 mètres. puisqu’a antibes on trouve 12V/m a 30 metres d’une antennes relais sur le site cartoradio

 Ce qui est également dissimulé par les organismes cités par le conseil d’état.

parmi les articles que mentionne le conseil d’état le seul qui concerne des attributions en matière de risque pour la santé est le 12° bis de l’article L32-1 qui cite comme obligation doit être assuré « un niveau élevé de protection de l’environnement et de la santé de la population,  conjointement avec les ministres chargés de la santé et de l’environnement   »

On peut considérer que le minimum du minimum du travail de l’ARCEP de l’ANFR et des ministères est de faire respecter les principales exigences de la loi or ils sont totalement défaillants puisque dissimulant des effets, risques pour la santé et moyens de s’en protéger en violation manifeste du code de la consommation. (tromperie) ils violent la loi au lieu de la faire appliquer !!

Malheureusement le conseil d’état ne reconnaît comme légitimes que des organisme qui pour « maintenir un niveau élevé de protection .. »..(sic) comme le demande la loi ont choisi délibérément de tromper la population en dissimulant des effets risques et la limite normative de 3V/m (table 5 de la norme IEC60601-1-2) seul moyen connu permettant de les prévenir tous en prétendant mensongèrement que les limites thermique (41 a 61V/m ) 20 fois plus élevée protégerait de ce risque.

on lit dans le résumé de la norme IEC60601-1-2 s’appliquant aux appareils médicaux

« Bien plus important encore, l’existence des normes d’IMMUNITE ELECTROMAGNETIQUE est essentielle pour assurer la sécurité des APPAREILS et des SYSTEMES ELECTROMEDICAUX. »

 « La responsabilité du fabriquant d’un APPAREIL ou d’un SYSTEME ELECTROMEDICAL est de le concevoir et de le fabriquer pour qu’il satisfasse aux exigences de cette norme collatérale et de diffuser des informations à L’ORGANISME RESPONSABLE et à L’OPERATEUR de sorte qu’un ENVIRONNEMENT ELECTROMAGNETIQUE compatible puisse être maintenu, afin que l’APPAREIL ou le SYSTEME ELECTROMEDICAL fonctionne comme prévu. »

Les opérateurs et les autorités sont donc clairement responsables de devoir maintenir un envirommement electromagnétique normal, toutes les notices leur indiquent que 3V/m ne doit pas etre dépassé on a donc affaire a une véritable mascarade quand des faussaires prétendent pouvoir imposer jusqu’a 61V/m qui protégerait de tous risques connus.

Ces dissimulations de risques et d’obligations de la loi dans un arrêt du conseil d’état favorable aux opérateurs sont-elles un accident ?

L’arrêt 248443 du 11/06/2004 rejete un recours contre le décret 2002-775 au motif que :

« il n’apparaît pas que les ondes électromagnétiques auraient des effets dits « non thermiques » dangereux pour la santé publique et, d’autre part, que les limites d’exposition imposées par le décret attaqué, qui correspondent à celles préconisées par la recommandation du Conseil de l’Union européenne, tiennentcompte de marges de sécurité destinées à protéger le public contre tout effet, y compris à long terme, de l’exposition aux ondes électromagnétiques émises par les équipements utilisés dans les réseaux de télécommunication ou par les installations radioélectriques, dans l’ensemble des gammes de fréquence  »

Or ceci est totalement faux , il est facile de le démontrer avec les 3 éléments de preuve suivant.

élément N°1

Il suffit pour cela de lire la recommandation 1999/519/ce du 12 juillet 1999 sur lequel s’appuie le conseil d’état

Contrairement à ce qu’écrit le conseil d’état , elle ne mentionne que certains risques biologiques avéré principalement l’effet thermique profond pour lesquels elle utilise une marge de sécurité en recommandant d’utiliser une limite de 41 a 61V/m pour les fréquences de la téléphonie mobile et ne prétend jamais protéger de tous risque connus en particulier concernant des risques mentionnées aux principales exigences de la loi liés a la compatibilité électromagnétique, ce texte ne se substitue pas aux principales exigences de la loi, il est est un simple complément pour les risques qu’il traite .

Le conseil d’état confond risque sanitaire biologique avec tous risques sanitaires connus, car la non compatibilité électromagnétique entraîne des risques pour la santé qui ne sont pas biologique ce sont leur conséquences qui peuvent tuer. (exemple le gamin tombé dans une piscine qui se noie car l’alarme a ete neutralisée par la pollution electromagnetique) a moins que mourir d’un risque sanitaire mais non biologique soit bon pour la santé ?

 élément N°2

Pour anéantir définitivement ce qu’écrit le conseil d’état, il suffit de remonter au guide d’établissement de limites de l’ICNIRP que la recommandation européenne reconnaît comme étant la source de son texte , disponible en deux parties

http://www.icnirp.de/documents/emfgdlfr1.pdf

http://www.icnirp.de/documents/emfgdlfr2.pdf

Ce qu’on y lit est accablant pour l’interprétation qu’en fait le conseil d’état dans son arrêt :

« Le respect du présent guide ne permet pas ipso facto d’éviter toute perturbation des dispositifs médicaux tels que prothèses métalliques, stimulateurs ou défibrillateurs cardiaques, implants cochléaires. Les stimulateurs cardiaques peuvent être perturbés par des champs n’atteignant pas les niveaux de référence.

« La prévention de ces problèmes n’entre pas dans le domaine d’application du présent guide mais est traitée dans d’autres documents »

« Il est donc indispensable d’établir et de mettre en application des règles permettant de prévenir les interférences avec des dispositifs ou équipements électroniques médicaux »

l’ICNIRP écrit noir sur blanc que les limites du décret 2002-775 protégeant du seul risque thermique ne permettent pas de protéger de tous risques connu démentant formellement les affirmations du conseil d’état dans cet arrêt .

 le conseil d’etat n’est meme pas capable de lire les documents auquels il se réfère qui le contredisent totalement (ca ne demande pourtant pas de compétence scientifiques)

Element n°3

On peut également consulter l’épreuve TIPE d’accès aux grande écoles de 2005

on y trouve encore une preuve des mensonges sur lequel s’appuie le conseil d’état

« Le développement durable nécessite de limiter les pollutions de toutes natures. Les pollutions électromagnétiques, si elles n’ont pas d’existence matérielle, ont cependant de nombreux effets. »

« la contamination de notre environnement avec l’énergie électromagnétique est en augmentation constante. Les êtres humains n’ayant pas d’organe de perception pour une telle contamination, ils ne peuvent s’en rendre compte. Ceux qui en pâtissent, ce sont les systèmes électroniques développés par l’homme »

« Les effets de la pollution électromagnétique vont de désagréments bénins, comme des crachements lors de la réception de la radio, jusqu’à des accidents mortels dans le cas de perturbations de systèmes automatiques critiques pour la sécurité »

ceci démontre la totale incompréhension du conseil d’état des enjeux et risques technologiques et pour la santé en matière de pollution électromagnétique .

autre arrêt du conseil d’état N° 310548 du 3/07/2007 donant raison a SFR contre la ville de Créteil

on y lit « Considérant, en second lieu, qu’en l’état de l’instruction, les moyens tirés de ce que l’absence de risques graves et avérés pour la santé publique résultant des ondes électromagnétiques émises par les stations antennes-relais de téléphonie mobile ne permettait au maire de Créteil ni de faire usage des pouvoirs de police général qu’il tient du code général des collectivités territoriales ni d’invoquer le principe de précaution, sont de nature à faire naître un doute sérieux quant à la légalité de la décision attaquée »

ce qui est totalement faux comme on l’a vu plus haut par trois fois et puisque les opérateurs ne s’engage qu’a respecter une limite de 61V/m , que les antennes relais peuvent générer des champs de 3V/m a plus de 100 mètres et que le dysfonctionnement d’un lecteur de glycémie peu entraîner un mauvais dosage d’insuline et un coma hypoglycémique et la mort , que la neutralisation d’un détecteur de chute dans les piscines peut entraîner la mort du gamin qui y est tombé ou le dysfonctionnement d’un thermomètre premier outil de diagnostic qui entraîne ou non une consultation et donc avoir de graves conséquence en particuliers chez les enfants incapables de s’exprimer clairement .

relisons la doc d’appareils médical par exemple

ce tensiomètre page FR81

ce thermomètre page FR75

« niveau de conformité 3V/m »

« Les forces de champs d’émetteurs RF fixes, telles que déterminées par une étude électromagnétique du site,a doivent être inférieures au niveau de conformité dans chaque bande de fréquences »

« champs d’émetteurs fixes, tels que stations de base pour radiotéléphones (cellulaires/sans fil) ….. »

ces documentations mentionnent explicitement les antennes relais comme source de risque et écrivent que 3V/m de doit pas être dépassé dans les lieux ou sont utilises les appareils

Peut être que pour le conseil d’état et ses sources « d’information » les appareils électroniques médicaux ne servent a rien et peuvent être perturbé sans aucun risques pour la santé mais il faut avoir le courage de l’écrire au lieu de procéder par des dissimulations

Les faits sont accablants, les arrêts du conseil d’état favorables aux opérateurs et essayant de limitant les pouvoirs des maires reposent régulièrement sur des mensonges indiscutables en matière de risques constitués essentiellement par la dissimulation d’effets des ondes électromagnétiques des risques en découlant , des précautions a prendre et des principales exigences de la loi ce qui est incompatible avec les articles L213-1 et L213-2 du code de la consommation qui s’applique à « quiconque » donc aux conseil d’état et a ses sources de désinformation.

Que valent des arrêts du conseil d’état motivés en partie ou en totalité sur des mensonges violant le code de la consommation , comment cela a t il pu se produire ? Le plus probable est qu’il est totalement influencé et instrumentalisé lui même par les organismes qu’il prétend imposer aux maires comme ayant seul le droit a la parole qui sont habitués a pratiquer dans tous leurs documents les mensonges qu’il a repris par exemple sur le site du gouvernement dissimulant les même risques 

Comme pour l’amiante ou pour les medicaments , Il y a de très graves dysfonctionnement dans tous les services de l’état et institutions officielles s’étant prononcés sur les risques en matière d’ondes électromagnétiques ; il serait temps de sanctionner ces actes, véritables capitulations des autorités devant des intérêts financiers à court terme ; que font l’IGAS et la DGCCRF  ?

Source : http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/antennes-relais-le-conseil-d-etat-103541

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