Villeneuve-de-la Raho : Antennes relais et Cancers infantiles Manifestation Préfecture Perpignan

Interview de Nathalie Ouzoulias de Robin des Toits :
“Maintenant avec la déclaration de l’OMS les Élus doivent décider s’ils sont du coté des opérateurs ou de la population, la situation n’est plus tenable, continuer à dire que  tout va bien c’est du déni”.

Voir la vidéo sur le site de next-up

UMPLO_Villeneuve_de_la_Raho_Manifestation_antennes_relais_Perpignan_08_06_2011

Facebooktwitterlinkedinmail

VIDEO : OMS – les téléphones portables sont "peut-être cancérogènes" – C à dire – France 5 – 03/06/2011

robin-copie-10.jpg  

Des experts internationaux rassemblés à Lyon sous l’égide du Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC), une agence de l’OMS, ont statué, mardi 31 mai 2011, sur le risque éventuel de l’usage du téléphone portable, un appareil que possèdent et utilisent, en majorité quotidiennement, plus de 60 millions de Français. Classées désormais en catégorie 2B, les ondes électromagnétiques émises notamment par ces mobiles sont, selon eux, “possiblement cancérigènes”.

Avec cette décision, indique Etienne Cendrier, porte-parole de l’association Les Robins des toits, “l’OMS prend un peu ses distances avec le lobby de la téléphonie mobile, parce que l’on avait, un peu comme dans l’histoire du tabac ou de l’amiante, des scientifiques qui disaient : ’Pas de soucis’, mais qui étaient payés ou étaient en lien direct avec l’industrie. Donc là, l’OMS commence à reconnaître le risque lié au portable et aux technologies sans fil. Parce que c’est les radiofréquences qui ont été mises dans la catégorie 2B”.

Aujourd’hui, poursuit-il, “il y a beaucoup de gens dans le corps médical qui disent qu’il y a effectivement une augmentation” des cancers. “Moi, je ne suis pas médecin, je ne peux pas faire le lien, mais il faut quinze à vingt ans pour que les cancers se développent. Le corps médical nous dit : de plus en plus de gens sont atteints. Ils parlent d’épidémie de cancers du cerveau. Est-ce que c’est lié à cela ou pas ? Je ne le sais pas.” Mais, nous, avec Les Robins des toits, “nous sommes là pour le principe de précaution. Je parlais précédemment du tabac ou de l’amiante. Dans l’histoire de l’amiante, il y a un élément impartial qui arrive assez vite. En 1919, les compagnies d’assurances britanniques et américaines ont cessé de couvrir les risques sanitaires liés à l’amiante. Depuis 2000, les principales compagnies d’assurances mondiales refusent de couvrir les risques liés aux émissions d’ondes électromagnétiques et très récemment, en octobre dernier, la Lloyd’s, qui est une de ces très grandes compagnies, a sorti un rapport où elle compare le dossier de l’amiante à celui de la téléphonie mobile. Et on ne peut pas dire que c’est des gens partiaux”, dit-il.

Chez Les Robins des toits, “nous ne prônons pas l’interdiction du portable, sauf pour deux catégories de personnes : les femmes enceintes – qui devraient ne pas l’utiliser tout le temps de la gestation – et les enfants – qui ne devraient pas en avoir, même en kit mains-libres. Pour nous, la technologie est arrivée il y a une quinzaine d’années dans nos vies, mais les enfants de maintenant sont exposés in utero et dès qu’ils naissent. Or”, souligne notre invité, “ce que donnera plus tard ce type d’expositions, on n’en sait rien. Donc, il faut prendre le principe de précaution.”

Par ailleurs, il est conseillé aux hommes de ne pas mettre leur téléphone portable dans leurs poches de pantalon, car “il y a des risques qui sont mis en avant par certains scientifiques sur la fertilité. Il vaut mieux également avoir le bon vieux réveil que le portable, à côté de soi lorsque l’on dort, car en fait, le téléphone portable quand il est en veille, tire toutes les six minutes vers une antenne-relais pour que l’on puisse vous repérer, donc il faut éviter ce ’flash d‘ondes’, on va dire”.

Enfin, l’OMS préconise de limiter à “pas plus de trois minutes” les conversations avec un téléphone portable et de faire une pause de “deux heures” entre chaque appel. “Cela, personne ne le fait. Il faut donc changer son mode de fonctionnement” et que “les gens soient conscients que le danger commence à être connu”, déclare Etienne Cendrier.

Réagissez aux propos de l’invité

Rappel des faits

Le 31 mai 2011, l’OMS annonçait avoir classé comme “cancérogènes possibles” les rayonnements électromagnétiques des téléphones portables.

Sur le plateau de “C à dire ?!”, Etienne Cendrier, porte-parole et fondateur de l’association Robin des toits, commente les conséquences politiques et comportementales que cette décision pourrait induire.

Facebooktwitterlinkedinmail

Le CIRC classe les radiofréquences comme potentiellement cancérigènes

PRIARTEM-copie-1.jpg   31 mai 2011 – par Priartem – Thème : La gestion des risques

Priartem, premières réactions
Il s’agit d’une étape extrêmement importante dans le dossier « téléphonie mobile et santé ».

Pour la première fois, la reconnaissance de la cancéroginicité potentielle est reconnue et ceci au niveau le plus élevé des agences de santé puisqu’il s’agit de l’OMS. Une fois le risque reconnu, le problème devient essentiellement politique.

Des mesures doivent être prises immédiatement tant au niveau international qu’au niveau des Etats pour le réduire. Pour cela, il est nécessaire :
– de réduire les niveaux expositions tant pour les utilisateurs de portables que pour les riverains d’antennes ;
– il faut réduire les sources d’exposition, en rappelant que les connexions filaires doivent être privilégiées chaque fois que cela est possible (utilisation du téléphone filaire à la maison ou sur les lieux de travail, connexion internet filaire avec facilité de désactivation du WiFi sur les box… ) ;
– il faut informer largement sur les risques et tout particulièrement sur les risques pour les enfants ; il faut interdire les produits spécifiquement destinés aux enfants.

A partir d’aujourd’hui, plus personne ne pourra dire « le risque n’existe pas » et chacun à son niveau – politiques, opérateurs, employeurs, utilisateurs, parents,… – devra en tenir compte

SOURCE : http://www.priartem.fr/Le-CIRC-classe-les-radiofrequences.html


Voir aussi :  http://www.lemonde.fr/planete/article/2011/05/31/pour-l-oms-le-telephone-portable-peut-etre-cancerogene_1530238_3244.html

http://www.next-up.org/pdf/CIRC_Les_rayonnements_des_telephones_mobiles_classes_potentiellement_cancerigenes_par_l_OMS_31_05_2011.pdf

Facebooktwitterlinkedinmail

"Radiofréquences : Faudra t-il attendre un nouveau scandale sanitaire ?" – Communiqué de Presse – 27/05/2011

"Radiofréquences : Faudra t-il attendre un nouveau scandale sanitaire ?" - Communiqué de Presse - 27/05/2011

Il y a deux ans s’ouvrait le « Grenelle des ondes ». Transparence et concertation devaient être les maîtres mots de nos travaux.
Le reportage « mauvaises ondes » diffusé par France 3 le 18 mai dernier met en exergue la réalité de la controverse. Lorsque les études financées et/ou dirigées par les opérateurs concluent en « l’absence de risque compte tenu des connaissances actuelles », de nombreuses expertises indépendantes appellent à la vigilance.
L’avis rendu par l’AFSSET (Agence Française de Sécurité Sanitaire de l’Environnement et du Travail) en 2009 démontre ces contradictions et invite les utilisateurs de mobile à la mesure. Les enfants devant être particulièrement préservés.

Concernant le rayonnement des antennes relais, le COMOP (comité opérationnel) avait la mission d’expérimenter un abaissement des seuils d’émission. La feuille de route a évolué. Les efforts se concentrent sur les PPE : Points Particulièrement Exposés. Nos associations réitèrent leur inquiétude de voir le mandat initial détourné. Une expérimentation généralisée doit être maintenue. Les lieux dits « sensibles » (écoles, crèches…) qui focalisent un certain nombre d’inquiétudes légitimes pour les parents ne sont même pas appréhendés.

Toujours dans le cadre du COMOP, était annoncée une expérimentation en matière de concertation, celle-ci étant pour nous nécessaire au rétablissement d’une démocratie citoyenne locale minimale. L’opération s’oriente là aussi vers la définition d’un « corpus minimum » qui n’a plus rien à voir avec de la concertation puisqu’il se limite à la transmission au maire d’une fiche de l’état qui fait problème (voir plus loin) et au dossier élaboré par les opérateurs.

Après l’échec de la campagne d’information menée par l’INPES (dont personne n’a entendu parler), après l’annonce de « l’impossibilité de mise en œuvre » de la loi grenelle 2 qui prévoyait notamment :
– l’interdiction de promouvoir l’utilisation d’un téléphone mobile par des enfants de moins de 14 ans,
– l’interdiction de commercialisation d’objet contenant un équipement radioélectrique pour des enfants de moins de 6 ans
– l’interdiction d’utiliser un mobile dans les écoles

Nos associations lancent une alerte. L’information portée par le ministère de la Santé gomme la réalité de la controverse scientifique sur les risques en matière de santé et développe la thèse du déni de risque qui apparaît pourtant en contradiction avec l’avis de l’AFSSET. Il ne reste même plus la nécessaire protection des enfants.

Pendant ce temps, les opérateurs se prémunissent de toute responsabilité juridique éventuelle. Ils rappellent par différents canaux les usages de précaution : sites internet, magazines, notices d’utilisation et même guides spécifiques destinés à informer les utilisateurs. L’information existe mais elle est noyée. Si un scandale sanitaire venait à être révélé, les opérateurs ne pourraient être mis en cause, c’est l’utilisateur qui n’aura pas su utiliser son matériel.

Nous ne cautionnerons pas un message qui aurait pour seule vocation de rassurer les populations ni un débat qui se limiterait à une stratégie de temporisation.
Nous voulons que l’ensemble de la population qu’il s’agisse des utilisateurs de portables ou des riverains d’antennes bénéficie de conditions d’exposition garantes de la santé.
Des messages clairs sur les risques doivent ainsi inciter les utilisateurs de portables à la mesure et à l’utilisation systématique d’oreillettes, conformément aux préconisations des opérateurs eux-mêmes. Les enfants doivent être préservés en priorité ainsi que les femmes enceintes.

Nos associations appellent les Pouvoirs Publics à faire le nécessaire avant que l’irréversible ne se produise.

Contacts presse :

Agir pour l’environnement : Stéphen Kerckhove : 01 40 31 02 99
CSF : Elsa Cohen : 01 44 89 86 80
Familles Rurales : Amélie Bachelet : 01 44 91 88 88
Priartem : Janine Le Calvez : 01 42 47 81 54
Robin des toits : Etienne Cendrier : 01 40 18 02 81

cp_radiofrequences.pdf CP Radiofréquences.pdf  (180.65 Ko)

Source :  http://www.robindestoits.org/Radiofrequences-Faudra-t-il-attendre-un-nouveau-scandale-sanitaire-Communique-de-Presse-27-05-2011_a1245.html

Facebooktwitterlinkedinmail

Pourquoi le débat a été annulé sur France 3, le 18 mai 2011 à 20h35 : Documentaire "Les mauvaises ondes"

robin-copie-10.jpg

Jean-Marie DANJOU, Directeur Général Délégué au Collège Mobile (anciennement AFOM), écrit le 12/05/2011 à Monsieur Samuel Etienne, présentateur de l’émission “Hors Série”, pour annoncer qu’il envisage de ne pas débattre à l’issue de la diffusion du documentaire et met en cause directement Etienne CENDRIER de Robin des Toits :

Lire la suite sur le site de Robin des Toits

Facebooktwitterlinkedinmail

France 3, documentaire "Mauvaises ondes" : débat annulé !

PRIARTEM-copie-1.jpg   18 mai 2011 – par Priartem – Thème : Information scientifique

Communique de presse du 18 mai 2011

« Mauvaises ondes » : où se situe la mauvaise foi ?

 

Mercredi 18 mai, France 3 diffuse en prime time un documentaire de 90 minutes de Sophie le Gall intitulé « Mauvaises ondes ». Un documentaire aussi long et diffusé à une heure de grande écoute est suffisamment rare, dans notre dossier « téléphonie mobile et santé » pour constituer un évènement. Si l’on ajoute à cela les articles de presse qui annoncent le film, il semble vraiment que ce documentaire marque une étape importante dans la diffusion publique de notre combat pour une juste prise en compte de l’état actuel des connaissances scientifiques dans les politiques de santé publique.

Le documentaire devait être suivi d’un débat qui serait aujourd’hui annulé. Priartem devait être représentée à ce débat par sa présidente, Janine le Calvez. L’association Priartem a été informée des difficultés que rencontrait la chaine pour constituer son plateau. Les premiers à se désister furent les représentants des autorités en charge de la santé et, au premier chef, les responsables de la DGS ( Direction Générale de la Santé). Puis ce fut au tour des opérateurs et de leurs acolytes de choisir la politique de la chaise vide en justifiant leur capitulation par une attaque en règle contre un objet qu’ils n’ont pas encore vu mais auquel ils attribuent déjà tous les défauts : « capture de l’audimat avec des messages alarmistes », émission qui veut « donner le frisson aux amateurs de sensations et de complots », « véritable imposture »…. Chacun appréciera la violence des attaques.

Ces défections successives ont mis en cause la tenue du débat, la chaîne exigeant un débat contradictoire. Pour les opérateurs, la politique de la chaise vide se transforme ainsi purement et simplement en une nouvelle forme de censure, censure par le vide. On ne veut pas que soient évoquées des questions de santé publique sérieuse, et bien il suffit de ne pas venir et l’on prive les autres acteurs du dossier de la parole.

Ceci est inacceptable et nous demandons aux chaînes non seulement de maintenir les débats même si certains des acteurs n’ont pas le courage de venir défendre publiquement et dans un cadre contradictoire leurs positions mais également de rappeler les défections et leur motif.


PDF - 57 ko
Lettre ouverte d’A. Aurango et A. Perrin adressée à la presse

 

source : http://www.priartem.fr/France-3-documentaire-Mauvaises.html

Facebooktwitterlinkedinmail

Nouveau protocole de mesure : Janine Le Calvez rappelle l’opposition de Priartem à l’abandon du principe de valeur maximale d’exposition.

PRIARTEM-copie-1.jpg  29 mars 2011 – par Priartem

Suite à la promulgation d’une norme européenne visant à uniformiser les protocoles de mesure européens, la France s’apprête à abandonner son protocole et à opter pour la version la plus restrictive de cette nouvelle norme. Voici l’analyse que Janine Le Calvez transmet à l’ANFR sur le projet qui lui a été transmis.
Lettre à l’attention de Monsieur Arnaud Miquel, ANFR

Cher Monsieur,

Vous avez bien voulu nous demander de réagir sur le projet de protocole tel qu’il se définit aujourd’hui avant les ultimes arbitrages.

Je tiens donc ici à rappeler l’opposition de Priartem au projet tel qu’il nous est présenté. Nous contestons fondamentalement l’abandon des mesures spectrales avec extrapolation dans toutes les situations. Nous considérons qu’il s’agit là d’un recul par rapport à l’existant qui remet en cause le concept de valeur maximale d’exposition. Lorsque l’on regarde les rapports de mesure, dans la quasi totalité des cas, les valeurs calculées à la sonde à large bande sont inférieures à celles mesurées à l’analyseur de spectre et extrapolées. Si l’objectif est de donner une représentation minimisée par rapport à ce qui se fait aujourd’hui des expositions, on voit bien à qui cela peut profiter. Certainement pas aux riverains.

Dans ce contexte, nous notons que ce qui est proposé correspond à l’orientation la plus éloignée de ce qui se fait justement. Ce nouveau protocole se réfère à une norme européenne, laquelle prévoit deux types de mesures : un cas, dit A, qui correspond à la mesure à la sonde à large bande, mesure de l’existant donc au moment de la mesure et englobant toutes les fréquences, hormis les basses fréquences ; un cas, dit B, qui correspond à l’analyse spectrale avec extrapolation, soit ce qui se fait aujourd’hui, amélioré par la prise en compte de fréquences beaucoup plus élevées qui n’étaient, jusqu’à ce jour, pas mesurées. Cette même norme fixe le déclenchement systématique du cas B à une valeur pouvant aller, selon les choix des Etats, de 1,4 V/m à 6 V/m, la recommandation étant une valeur de 2 V/m. Au lieu de faire au mieux en se fixant sur la valeur la plus basse de 1,4 V/m, le choix qui a été retenu a repris la valeur maximale de 6 V/m. Une fois de plus nous allons nous trouver dans le peloton des mauvais élèves de l’Europe.

Quant à l’argument selon lequel, les riverains pourront, dans tous les cas, demander que soit appliqué le protocole dit cas B, nous considérons qu’il remet en cause l’équité entre les citoyens, séparant ceux qui sont informés et qui pourront opter pour la solution la plus riche d’enseignements sur la réalité de leur exposition et les autres qui se contenteront d’une information sur leur exposition à un moment T.

La proposition qui est faite comporte un autre handicap : la mesure à large bande ne permet pas d’isoler les fréquences de la téléphonie mobile, ce qui permet toujours à l’opérateur de dire qu’il n’est pas forcément le plus fort contributeur. Vous avez essayé de corriger ce problème en proposant une mesure qualifiés d’ « informative ». Ce serait là un moindre mal mais, pour avoir entendu les premières réactions des opérateurs, lors du dernier comité de suivi du 23 mars, je crains que cette proposition ne fasse long feu. Enfin, sur le texte proposé, je reviendrai simplement sur une phrase dont j’ose espérer qu’elle manque simplement de clarté. Dans l’introduction, au 5ème paragraphe, la seconde phrase dit que : « Pour certaines catégories de réseaux, une extrapolation peut être calculée sous réserve que la mesure effectuée le permette. » J’ose donc espérer qu’elle doit se lire ainsi : « Pour certaines catégories de réseau, des extrapolations seront effectuées pour toutes mesures réalisées à l’analyseur de spectre. » Si ma lecture n’est pas la bonne, je vous remercie de me le faire savoir car ceci signifierait que le recul est encore plus important que je ne l’ai analysé jusqu’ici.

Merci de bien vouloir relayer mes remarques lors de la réunion du groupe de travail.

Cordialement

Janine Le Calvez, Présidente de Priartem

Source : http://antennes31.over-blog.com/ext/http://www.priartem.fr/

Facebooktwitterlinkedinmail

VICTOIRE A AIX EN PROVENCE – LES ANTENNES RELAIS DE SFR ET FREE n’élirons pas domicile, sur les toits de la cité Beauregard

Lors de l’assemblée générale, la copropriété à voter
NON  AUX RESOLUTIONS CONCERNANTS LES ANTENNES aucun des 150 copropriètaires présents, n’a acceptés les arguments de la régie qui proposait le vote de l’acceptation des antennes relais à l’article 25, ainsi que le droit de parole de monsieur Rinaldi après le vote.
 
Le travail en amont du collectif en place, par une distribution de tracs,une conférence  du docteur Halimi,et une mèdiatisation presse, ajouté aux arguments de monsieur Rinaldi exigée par l’assemblée avant le vote à fait gagner le principe de précaution, surtout que cette implantation aurait été proche d’une école maternelle, à moins de 100 m, et ou des mesures de 2 v/m à 8 v/m existent avec l’implantation d’autres antennes à 50 m voir 200 m des appartements;
Merci à Monsieur Lefèvre, Merci à Richard, Merci à Martine , Françoise,Maryse et  nous en  oublions, Merci aussi au président de la copropriété ,qui après avoir été bien informé, a reconsidéré son vote et a déclaré en début de séance qu’il voterait non aux antennes,et surtout un trés grand merci à cette assemblée et à ceux qui ont donnés leurs pouvoirs pour cette décision, ils ont données la preuve que c’est encore le peuple qui décident de son environnement,ce n’est pas le cas partout!!

 Il faut savoir que les Maires ne peuvent s’opposer face à des implantations quand celles ci se situent sur des lieux privés

LES RÉGIES appliquent,soit disant ce que leurs imposent les comités ou syndicats de copropriétaires , ceci concernant l’article retenu pour l’ordre du jour à l’assemblée ordinaire , qui doit doit décider entre autre de l’implantation ou non d’antennes relais sur les toits d’immeubles, ils ont le choix entre le vote à l’unanimité, l’article 25 , ou le 26.

Mais certains poussés par les opérateurs appliquent l’article 25 favorable aux opérateurs, puisqu’ils brandissent à qui veut le voir

l’arrêt du 3 février 2010

Force est de constater qu’il n’y a aucun texte réglementaire (ni dans la Loi de juillet 1965, ni dans le Décret de mars 1967, ni dans la Loi SRU de décembre 2000) répondant à cette question.

– Par arrêt du 7 avril 2005, la 23ème Chambre de la Cour d’Appel de Paris a imposé l’unanimité ; cet arrêt n’a pas été infirmé par la Cour de Cassation et peut donc être considéré comme définitif,- Par arrêt du 3 février 2010, la même 23ème Chambre de la Cour d’Appel de Paris a déclaré que le vote pouvait être soumis à la majorité de l’article 25 de la Loi du 10 juillet 1965 (soit la  majorité des copropriétaires).

Lire la suite sur le site de CCARRA

Facebooktwitterlinkedinmail