Assises du médicament Les portes claquent

logo que choisir en ligne   18 mars 2011

L’association pour une formation des médecins indépendante des laboratoires, le Formindep, vient de claquer la porte des Assises du médicament, ces rencontres suscitées par la crise du Mediator, en dénonçant une « mascarade ».

Les Assises du médicament ont été lancées par le ministre en charge de la Santé, Xavier Bertrand, suite au rapport de l’Inspection générale des affaires sociales (Igas) sur le Mediator. Rendu public le 15 janvier, ce rapport dénonçait de graves dysfonctionnements dans la chaîne d’autorisation et de diffusion des médicaments, chaîne dont les Assises sont censées esquisser une réforme.

Selon l’association pour une formation des médecins indépendante des laboratoires (Formindep), on n’en prend pas du tout le chemin. Elle a d’ailleurs annoncé son départ le 15 mars. Elle évoque « une mascarade chargée d’étouffer dans un pseudo-consensus le drame du Mediator », et considère que « nulle part la remise en question de la mono-expertise sanitaire actuelle, bonne à tout faire du lobby pharmaceutique, n’est inscrite ne serait-ce qu’en filigrane dans le programme de travail ».

Le Dr Dominique Dupagne, animateur du blog www.atoute.org, a également claqué la porte des Assises, pour les mêmes raisons. Le Dr Irène Frachon, dont le livre a porté sur la place publique le scandale du Mediator, a également manifesté des réserves quant au déroulé des débats.

Un des incidents qui ont provoqué le départ du Formindep est lié à l’enregistrement audio et vidéo des séances des six groupes de travail. Plusieurs participants, dont les représentants de la revue médicale indépendante « Prescrire », avaient demandé à ce qu’il soit possible de filmer et d’enregistrer les discussions, dans un souci de transparence. La requête a été rejetée. Le Dr Philippe Foucras, membre du Formindep, a passé outre en séance, provoquant la colère des représentants de l’industrie. Finalement, suite au départ tonitruant du Formindep, la possibilité de filmer a été rétablie le 16 mars…

Aucun journaliste en dehors de ceux de la revue « Prescrire » n’a été autorisé à assister aux débats. Stéphane Horel, réalisatrice du documentaire « Les Médicamenteurs », diffusé l’an dernier sur Arte, a vu sa demande d’accréditation rejetée.

Le Formindep relève que 150 participants répartis en six groupes de travail étaient initialement prévus (dont des représentants de l’UFC-Que Choisir). Ils sont finalement 250, la centaine d’experts supplémentaires venant à une écrasante majorité des rangs de l’industrie pharmaceutique.

Le rapport des Assises du médicament est attendu pour la fin du mois de mai.

Erwan Seznec

Source :http://www.quechoisir.org/index.php//sante-bien-etre/maladie-medecine/medicament/actualite-assises-du-medicament-les-portes-claquent

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CEM et altération Numération Formule Sanguine

NEXT-UP  

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Les ondes artificielles et naturelles (Champs ÉlectroMagnétiques – CEM) véhiculent une quantité d’énergie par les quantums (la plus petite masse d’énergie en mouvement), c’est la notion centrale de la théorie des quantas, laquelle donnera naissance à la mécanique quantique. En fonction de la fréquence (longueur d’onde) une équation détermine la valeur de l’énergie véhiculée (dans un photon). [Plus avec Wikipedia]
*Demain la médecine sera quantique … et révolutionnera notre quotidien par le Dr Jean-Louis GARILLON] Cette énergie entre en interaction avec tout ce qui est vivant, notre corps inclus  qui  est totalement bioélectromagnétique (exemple d’analyse du potentiel d’action), notamment tous les échanges cellulaires immuables, les potentiels d’actions membranaires des cellules (animation), les récepteurs neurobiologiques cellulaires, bref toutes les transmissions des informations (les neurotransmetteurs) qui sont basées sur des courants endogènes entrent en interaction avec toutes les énergies des CEM exogènes des Hautes ou des Basses Fréquences dites artificielles. Notons que le champ magnétique naturel terrestre qui est une base essentielle à la vie, ne perturbe pas le vivant car il est continu et non alternatif, en conséquence il n’induit rien dans les corps conducteurs.                                                         .
D’autres phénomènes d’interactions délétères plus complexes se greffent à ces interactions, telle que la résonnance qui prend depuis quelques années une dimension majeure dans la génomique avec les travaux du  Professeur Luc Montagnier et al dans l’interaction des signaux électromagnétiques du séquençage d’ADN. [Envoyé Spécial Interview Pr Henry Lai]
Altération Numération Formule Sanguine : une preuve irréfutable

Voir la suite sur le site de next-up 

Les ondes dans le sang 

http://videos.next-up.org/France3/Numeration_Formule_Sanguine_et_CEM_Antennes_Relais_Sainte_Luce_sur_Loire/20_02_2011.html

La bataille des lucéens contre orange et réseau ferré de France

Source :  http://www.next-up.org/Newsoftheworld/Alteration_Numeration_Formule_Sanguine.php#1

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CEM et altération Numération Formule Sanguine

NEXT-UP

Les ondes artificielles et naturelles (Champs ÉlectroMagnétiques – CEM) véhiculent une quantité d’énergie par les quantums (la plus petite masse d’énergie en mouvement), c’est la notion centrale de la théorie des quantas, laquelle donnera naissance à la mécanique quantique. En fonction de la fréquence (longueur d’onde) une équation détermine la valeur de l’énergie véhiculée (dans un photon). [Plus avec Wikipedia]
*Demain la médecine sera quantique … et révolutionnera notre quotidien par le Dr Jean-Louis GARILLON]

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Source NEXT-UP : http://www.next-up.org/Newsoftheworld/Alteration_Numeration_Formule_Sanguine.php

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WIMAX et/ou WIFI : Lettre ouverte de l’association Robin des Toits à Monsieur Pierre IZARD Président du CONSEIL GENERAL DE LA HAUTE-GARONNE

robin-copie-10.jpg   Paris, le 24 Décembre 2010
Monsieur Pierre IZARD
Président
CONSEIL GENERAL DE LA HAUTE-GARONNE

Monsieur le Président,

Des responsables politiques acceptent l’installation et la mise en
service de réseaux WIMAX et/ou WIFI – WIFI (Internet, jeux et
télécommunications sans fil – faible portée) – WIMAX (équivalent au
WIFI mais rayonnant sur environ 50 km de rayon) – Le WIFI et le WIMAX
ne permettent pas le très haut débit et ne permettent pas d’échanges
de données Internet sécurisés.

Pour expliquer de telles décisions, il y a lieu de supposer que nombre
d’informations leur font défaut.

On passe trop souvent sous silence les risques sanitaires associés à
ces technologies de télécommunications sans fil.
Cette absence de risques n’est d’ailleurs jamais garantie par les
industriels. En revanche, ils sont soulignés par les plus grandes
Compagnies d’assurances et de ré-assurances mondiales qui ne couvrent
pas, ou plus, les risques sanitaires liés aux émissions de champs et
ondes électromagnétiques.

La vraie solution pour réduire la fracture numérique est déjà
développée sur la majeure partie du territoire  (mais il est très
difficile d’en connaître la couverture exacte), et a déjà été financée
par les contribuables. Cette solution est la fibre optique.

Le WIFI comme le WIMAX n’autorisent que des transmissions haut débit
aléatoires et non sécurisées, contrairement à la fibre optique qui
permet le très haut débit sécurisé et qui seule sera à même d’intégrer
toutes les nouvelles applications technologiques. En outre, la fibre
optique ne présente aucun risque sanitaire.

Mettre en place le WIFI et/ou le WIMAX, c’est faire payer 2 fois le
contribuable pour un service déficient. C’est en fait concrètement
pérenniser la fracture numérique en instaurant un accès multimédia à 2
vitesses.
Le bon pour les endroits rentables, comme les grandes villes ; celui
de seconde zone à forts risques sanitaires pour les endroits moins
rentables, comme les zones rurales.
Que penser d’une telle conception de l’égalité républicaine et
d’aménagement du territoire ?
Il ne s’agit pas, bien sûr, d’un usage très judicieux de ce qu’on
nomme argent public à des fins essentiellement privées.

Certains décideurs politiques se sont informés et ont déjà pris la
mesure du problème. Le WIMAX est aujourd’hui abandonné dans 1 Région
et 6 Départements. Le tout filaire est décidé dans 1 Région et 2
Départements. Exemple Région PACA qui a abandonné la dorsale WIMAX
bien que celle-ci ait déjà été votée (voir pièce jointe : La Trousse).

Par ailleurs, un nombre croissant de nos concitoyens est touché par
l’électrohypersensibilité (EHS), ou encore SICEM (Syndrome
d’Intolérance aux Champs Electromagnétiques).
La mise en place du WIFI et/ou WIMAX leur rend la vie insupportable,
et nombre d’entre eux sont contraints d’abandonner leur lieu de vie,
voire leur travail et leur famille.  Ils deviennent des « réfugiés
environnementaux » réduits au nomadisme et à des conditions de vie
terriblement précaires.

Aucune politique, aucun développement économique ne peuvent excuser
cela. D’autant que des solutions réellement pérennes et sans danger
existent et sont, pour la majeure partie, opérationnelles.

Nous restons à votre disposition pour toute information
supplémentaire, ainsi que pour toute initiative que vous souhaiteriez
prendre pour assurer une réelle disparition de la fracture numérique,
tout en évitant des conséquences sanitaires lourdes aux plus
vulnérables de vos concitoyens dont vous avez la responsabilité.

Veuillez recevoir, Monsieur le Président, l’expression de notre
parfaite considération.

Etienne CENDRIER
Porte-Parole National

P.J. :
Synthèse de l’information générale actuelle intitulée La Trousse 2010

ROBIN DES TOITS
Correspondance : 12 rue Lucien Sampaix  75010 Paris
Tél. : 33 1 43 55 96 08
E-mail : contact@robindestoits.org
http://www.robindestoits.org

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WIMAX et/ou WIFI : Lettre ouverte de l’association Robin des Toits à Monsieur Martin MALVY Président du CONSEIL REGIONAL DE MIDI-PYRENEES

robin-copie-10.jpg   Paris, le 24 Décembre 2010

Monsieur Martin MALVY
Président
CONSEIL REGIONAL MIDI-PYRENEES

Monsieur le Président,

Des responsables politiques acceptent l’installation et la mise en
service de réseaux WIMAX et/ou WIFI – WIFI (Internet, jeux et
télécommunications sans fil – faible portée) – WIMAX (équivalent au
WIFI mais rayonnant sur environ 50 km de rayon) – Le WIFI et le WIMAX
ne permettent pas le très haut débit et ne permettent pas d’échanges
de données Internet sécurisés.

Pour expliquer de telles décisions, il y a lieu de supposer que nombre
d’informations leur font défaut.

On passe trop souvent sous silence les risques sanitaires associés à
ces technologies de télécommunications sans fil.
Cette absence de risques n’est d’ailleurs jamais garantie par les
industriels. En revanche, ils sont soulignés par les plus grandes
Compagnies d’assurances et de ré-assurances mondiales qui ne couvrent
pas, ou plus, les risques sanitaires liés aux émissions de champs et
ondes électromagnétiques.

La vraie solution pour réduire la fracture numérique est déjà
développée sur la majeure partie du territoire  (mais il est très
difficile d’en connaître la couverture exacte), et a déjà été financée
par les contribuables. Cette solution est la fibre optique.

Le WIFI comme le WIMAX n’autorisent que des transmissions haut débit
aléatoires et non sécurisées, contrairement à la fibre optique qui
permet le très haut débit sécurisé et qui seule sera à même d’intégrer
toutes les nouvelles applications technologiques. En outre, la fibre
optique ne présente aucun risque sanitaire.

Mettre en place le WIFI et/ou le WIMAX, c’est faire payer 2 fois le
contribuable pour un service déficient. C’est en fait concrètement
pérenniser la fracture numérique en instaurant un accès multimédia à 2
vitesses.
Le bon pour les endroits rentables, comme les grandes villes ; celui
de seconde zone à forts risques sanitaires pour les endroits moins
rentables, comme les zones rurales.
Que penser d’une telle conception de l’égalité républicaine et
d’aménagement du territoire ?
Il ne s’agit pas, bien sûr, d’un usage très judicieux de ce qu’on
nomme argent public à des fins essentiellement privées.

Certains décideurs politiques se sont informés et ont déjà pris la
mesure du problème. Le WIMAX est aujourd’hui abandonné dans 1 Région
et 6 Départements. Le tout filaire est décidé dans 1 Région et 2
Départements. Exemple Région PACA qui a abandonné la dorsale WIMAX
bien que celle-ci ait déjà été votée (voir pièce jointe : La Trousse).

Par ailleurs, un nombre croissant de nos concitoyens est touché par
l’électrohypersensibilité (EHS), ou encore SICEM (Syndrome
d’Intolérance aux Champs Electromagnétiques).
La mise en place du WIFI et/ou WIMAX leur rend la vie insupportable,
et nombre d’entre eux sont contraints d’abandonner leur lieu de vie,
voire leur travail et leur famille.  Ils deviennent des « réfugiés
environnementaux » réduits au nomadisme et à des conditions de vie
terriblement précaires.

Aucune politique, aucun développement économique ne peuvent excuser
cela. D’autant que des solutions réellement pérennes et sans danger
existent et sont, pour la majeure partie, opérationnelles.

Nous restons à votre disposition pour toute information
supplémentaire, ainsi que pour toute initiative que vous souhaiteriez
prendre pour assurer une réelle disparition de la fracture numérique,
tout en évitant des conséquences sanitaires lourdes aux plus
vulnérables de vos concitoyens dont vous avez la responsabilité.

Veuillez recevoir, Monsieur le Président, l’expression de notre
parfaite considération.

Etienne CENDRIER
Porte-Parole National

P.J. :
Synthèse de l’information générale actuelle intitulée La Trousse 2010

ROBIN DES TOITS
Correspondance : 12 rue Lucien Sampaix  75010 Paris
Tél. : 33 1 43 55 96 08
E-mail : contact@robindestoits.org
http://www.robindestoits.org

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‘Campagne « portables et santé » : Principe de précaution ou de Précuisson ?’ – Communiqué de Presse Robin des Toits – 23/12/2010

robin-copie-10.jpg   Communiqué Paris, le 23 Décembre 2010

Campagne « portables et santé » : Principe de précaution ou de
Précuisson ?

L’association nationale Robin des Toits s’élève contre la campagne lancée par l’INPES en décembre 2010 sur le thème « téléphone mobile et santé ».

Le contenu des « vignettes » composant la campagne proprement dite est gravement insuffisant, surtout pour une campagne qui s’intitule présomptueusement « tout savoir sur les bons usages du téléphone mobile » :

– Aucun conseil n’est donné aux femmes enceintes,
– S’agissant des enfants, on ne trouve qu’une vignette montrant un père éloignant le téléphone portable actif de la tête d’un bébé qu’il tient dans les bras.

Rien sur les enfants proprement dits ou sur les préadolescents et ados.
Le Gouvernement a oublié que l’article L5231-3 du code de la santé publique, issu de la loi Grenelle 2 (12 juillet 2010) prohibe la commercialisation de téléphones portables pour les moins de six ans et la publicité en faveur de l’usage des téléphones mobiles pour les moins de 14 ans.

Il serait donc cohérent de recommander de s’abstenir d’offrir un portable à un jeune en deçà de cet âge limite… mais de cela, silence radio.
A la veille de Noël, faut-il voir une coïncidence dans cet oubli, alors que les enfants et adolescents constituent une cible privilégiée pour les opérateurs à l’occasion des fêtes ?

– Aucun conseil ne vise enfin à la modération de l’usage, alors que la récente étude Interphone montre une surincidence des cancers du cerveau (+40%) dès 30 minutes d’utilisation par jour.
– Quant à la pollution électromagnétique intérieure, pas un mot alors que l’agence allemande de sécurité sanitaire déconseille depuis 2007 l’utilisation du WiFi pour la connexion Internet au domicile.

On pourrait au moins s’attendre à une recommandation visant à le débrancher la nuit. Cette discrétion est frappante au moment où les opérateurs s’apprêtent à intégrer les FemToCells (des antennes 3G individuelles) dans les boîtes d’accès Internet.

Là encore, coïncidence ?
– Il serait pourtant facile de recommander de conserver une ligne fixe et de la privilégier pour les appels passés du domicile.

Le contenu des deux vidéos conçues pour inciter les internautes à consulter le site de l’INPES tente de dénigrer Robin des Toits en laissant entendre que certaines associations diffusent des affirmations inutilement alarmistes. Une sévérité qui contraste de façon saisissante avec l’indulgence montrée pour le site de l’AFOM (Association Française des Opérateurs Mobiles) ou ceux même des opérateurs qui martèlent que l’utilisation du téléphone portable ne comporte aucun risque.

Pourquoi une telle asymétrie ? On se le demande…
Faut-il comprendre cette campagne de l’INPES comme une campagne de publicité supplémentaire au secours d’opérateurs nécessiteux ?

Le site de Robin des Toits, sur ces sujets, ne présente que les résultats d’études scientifiques indépendantes incontestables établissant les dangers sanitaires des technologies sans fil.

Contact Presse :
Etienne CENDRIER
Tél. : 01 40 18 02 81

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Gaillac. Un collectif face aux antennes de téléphonie mobile

LA-D-p-che-copie-1.png   PUBLIÉ LE 18/12/2010 03:54 | LADEPECHE.FR

Le maire de Rivières a été mis devant le fait accompli et ET n'a pu s'opposer à l'installation de l'antenne./Photo DDM.

Le maire de Rivières a été mis devant le fait accompli et ET n’a pu s’opposer à l’installation de l’antenne./Photo DDM.

Les habitants de Rivièress’attendent à la construction d’une antenne relais de téléphonie mobile d’une hauteur de 30 m. Elle doit être érigée entre le village de Rivières et la base d’Aiguelèze. Le début des travaux est imminent. Une part significative de la population ( la moitié des inscrits sur la liste électorale) avait signé une pétition contre cette implantation décidée par l’opérateur SFR sans aucune concertation avec la population, ni même avec la mairie.

Création d’un collectif Antennes 81
Un groupe de Riviérois a décidé de poursuivre la lutte en se coordonnant avec d’autres groupes tarnais qui ont les mêmes préoccupations de faire respecter la norme de 0,6V/m pour tout lieu de vie. « Cette puissance est retenue par les scientifiques indépendants comme une limite permettant de prévenir les dangers liés à l’exposition aux ondes électromagnétiques », indique le collectif Antenne 81 qui s’est créé. Il est épaulé dans son combat par le Collectif Antennes 31. Le collectif tarnais regroupe notamment des associations de Carmaux (CEGAÏA), de Rabastens (SEPRA), de Couffouleux, de Castres (CRAC), ainsi que Robin des Toits Tarn. L’objectif désormais est de sensibiliser la population et les élus. Des citoyens ont tout de même tenté des recours gracieux auprès de SFR mais qui sont restés, pour l’heure, lettre morte.

Source :  http://www.ladepeche.fr/article/2010/12/18/972785-Gaillac-Un-collectif-face-aux-antennes-de-telephonie-mobile.html

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