La Salvetat-Saint-Gilles. Antenne relais, les ballons de la colère
PUBLIÉ LE 09/05/2012 10:31 | L. B.
Une colonne de ballons matérialise l’emplacement de l’antenne prévue./Photo DDM.
Les Salvetains des quartiers de l’Apouticayre et des Paradets ne décolèrent pas contre le projet d’antenne-relais de téléphonie mobile prévue au cœur de ces quartiers résidentiels, non loin du collège et de la microcrèche.
La mobilisation est de plus en plus forte : pour preuve, les panneaux de protestation et la colonne de ballons de 30 m de haut installés sur le site d’implantation de la future antenne, colonne visible de loin dans les quartiers.
Les membres du collectif opposé à cette implantation communiquent : « Cette colonne matérialise ce projet, beaucoup de riverains ne sont pas encore au courant », parmi ces riverains, Olivier ajoute : « Quand les gens l’apprennent, c’est la colère, l’incompréhension et l’inquiétude qui prédominent : aucune information de l’opérateur, et le permis de construire est à peine visible ».
Interpellés par la colonne de ballons, les joggers et autres promeneurs de la coulée verte se disent très inquiets pour la santé de leurs enfants ou la valeur de leur maison.
Jean, lui, se dit « désespéré » ; il s’est installé ici il y a un an et s’est endetté sur 20 ans en prenant soin de choisir une maison loin d’une antenne relais dont il avait souffert des effets dans la région lyonnaise.
Les membres du collectif présents sur le site, pendant que d’autres faisaient du porte à porte pour faire grossir la pétition (près de 650 signatures à ce jour), disent avoir rencontré les agences immobilières de La Salvetat et contacté les promoteurs qui louent les immeubles à proximité du site : tous confirment qu’il y aura bien une moins value et une difficulté à vendre ou à louer maisons ou appartements.
Une rencontre est prévue ce mercredi 9 mai à 18 heures entre le collectif et Philippe Dauvel, maire de La Salvetat-Saint-Gilles. L’antenne étant située sur un terrain communal, une solution sera peut-être trouvée pour satisfaire les besoins de couverture du réseau Orange sans porter atteinte à la santé et au patrimoine des riverains.
On ne peut que supposer, si un accord est trouvé, que le problème serait alors déplacé ailleurs pour à nouveau soulever l’inquiétude d’autres habitants avec le traditionnel : « On en veut bien mais pas chez nous !».
Arreau. Un point sur le Wimax
PUBLIÉ LE 04/04/2012 08:54 | LA DÉPÊCHE DU MIDI
Jean-Louis Anglade et sa suppléante Marcelle Vidal Puertolas./ Photo G.
Jean-Louis Anglade, conseiller général du canton, dresse un bilan à charge du haut débit/Wimax, avec son franc-parler habituel.
« Malgré de bonnes intentions – permettre à tous de bénéficier du haut débit internet – le manque de clairvoyance et le mépris de l’argent public ont transformé ce projet, qui devait être une chance pour notre département, en un gouffre financier pour 22 ans et un échec technologique doublé d’une couverture du territoire inéquitable en terme de débit proposé ». Selon lui, les 400 km de fibre optique déployés font « pour moitié doublon avec la fibre optique de France Télécom déjà en place depuis plusieurs années ». Avec cette technologie Wimax, selon l’élu, « l’abonné ne pourra disposer que d’un débit descendant maximum de 2 Mb et d’un débit montant de 512KB, ce qui est ridiculement bas. La connexion sur le réseau pourra, en plus, subir des coupures liées aux intempéries ».
Le coût total de ce PPP (Partenariat public privé) est de 153,84 millions d’euros TTC.
En choisissant ce contrat PPP, le conseil général des Hautes-Pyrénées est devenu fournisseur d’accès internet, et a dû créer une régie pour commercialiser ces produits haut débit. « En octobre 2011, sur proposition de la mission Wimax du CG65, relayée par le président du CG65, un poste de directeur de régie a été créé afin d’en assurer la gestion. » Le CG65 a aussi décidé de réaliser une campagne de mesures des champs électromagnétiques, des rencontres entre élus, associations et habitants concernés.
Antennes
Le déploiement radio est achevé à 65 %. Sur les 47 antennes Wimax prévues au contrat, 30 sont en exploitation, 10 sont installées et 7 restent à construire.
Colomiers. Une antenne géante qui fait peur
PUBLIÉ LE 26/11/2011 09:30 | JEAN-LUC MARTINEZ AVEC SIMONE BEUGIN
Déjà beaucoup d’antennes sont déjà installées sur l’immeuble du Poitou en centre ville qui abrite SA Colomiers habitat./Photo DDM, S. B.
Alors que tout le monde utilise un téléphone portable et que chacun souhaite la meilleure performance possible pour son ADSL, personne n’a envie qu’une antenne-relais ne vienne lui gâcher le paysage ou au pire n’ait une incidence néfaste sur sa santé. Tout ceci est bien légitime. Le fait que quatre opérateurs de téléphonie mobile viennent de déposer une demande d’installation d’antenne-relais sur un mas de 37 mètres de hauteur vers le cimetière de Bassac provoque un mouvement de contestation. Aujourd’hui à 10h, un collectif se réunira sur le marché pour clamer son opposition au projet. « Je vais me rendre à ce rassemblement car je m’oppose à cette installation prévue près de chez moi », indique Marie.
Le refus de la mairie
« Quatre opérateurs des groupes Bouygues, Orange, SFR et Free sont venus nous voir en mairie en octobre pour nous informer de leur intention de demander une autorisation de travaux pour implanter un pylône en zone naturelle », indique Karine Traval-Michelet, adjointe au maire déléguée au développement urbain. « Le dépôt officiel de demande de travaux a eu lieu le 10 novembre dernier. Bien que le propriétaire du terrain M. de Rodez ait donné son accord pour cette installation, nous lui avons adressé un courrier pour lui faire part de notre avis défavorable. Maintenant, la mairie va opérer un refus à cette demande. Nous comprenons l’inquiétude des riverains et nous sommes à leurs côtés comme nous l’avons toujours été lors des précédentes mobilisations même si à deux reprises le tribunal administratif a rejeté nos interdictions municipales. J’étais avec les manifestants pour les Marots et nous avons évité dernièrement une installation supplémentaire place de la Bascule. Nous ne sommes pas favorables a davantage d’antennes-relais tant que les opérateurs ne feront pas en sorte que les ondes diffusées soient plus basses que les fréquences actuelles ».
Ouverture d’un débat
Ce sujet sensible environnemental n’a pas manqué d’interpeller le conseiller général écologiste Patrick Jimena qui demande l’ouverture d’un débat sur la ville. « Au-delà de ce projet, il est bon de rappeler que sur la ville de Colomiers nous avons déjà des dizaines d’antennes-relais installées sur le haut des immeubles », constate l’élu du canton. « Il faut aller vers une revendication majeure des scientifiques et des associations de défense qui préconisent l’abaissement de la puissance des antennes-relais à 0,6 volts mètres, seuil de précaution sanitaire. Je souhaite la création d’un débat public contradictoire sur la ville de Colomiers ».
Source : http://www.ladepeche.fr/article/2011/11/26/1224863-mobilisation-contre-les-antennes-relais.html
Appel du collectif nouveau-né : BIEN VIVRE A COLOMIERS
Une manifestation a lieu ce matin à partir de 9 heures au marché de Colomiers (place du Languedoc).
Une pétition en ligne est disponible à l’adresse suivante:
WIMAX : Les opposants ne lâchent pas l’affaire
PUBLIÉ LE 15/10/2011 03:49 | AR. P.
Les opposants au wimax réunis autour de Jean Adoue et Daniel Jannel pour affirmer leur détermination./Photo Laurent Dard.
Ils ne lâcheront pas le morceau. C’est, en substance, le message que les opposants au wimax, cette technologie d’internet haut débit sans fil, ont voulu faire passer au cours d’une conférence de presse une semaine avant la présentation du rapport de la mission d’information créée par le conseil général, après le changement de présidence. Fédérant 16 associations locales, le front du refus campe sur ses positions. Ses tenants pointent le risque sanitaire que fait peser, selon eux, le wimax sur les populations vivant à proximité des antennes. Ils contestent également le montage juridique du partenariat public-privé pour porter le déploiement du plan haut débit. à ce jour, « les 30 pylônes en exploitation desservent environ 60 abonnés (NDLR : 68 à ce jour) ! Les contribuables des Hautes-Pyrénées vont apprécier », constate Jean Adoue, l’un des porte-parole du collectif d’associations qui juge « positive » la suspension, jusqu’au 31 octobre, de l’implantation de 17 nouvelles antennes depuis le changement de présidence au conseil général. Il est également satisfait de la création de la mission d’information. « Nous avons été les premiers reçus. Nous avons pu développer nos arguments pendant deux heures et avons eu une bonne écoute, détaille-t-il. Nous espérons avoir été entendus et qu’on arrêtera le déploiement du wimax. Le contrat que nous avons eu beaucoup de mal à obtenir le prévoit : « En cas d’opposition systématique des habitants et/ou des élus et sur demande du département, une couverture terrestre sera effectuée aux frais et risques du titulaire
Villeneuve-de-la-Rhao : De mystérieux cas de cancer dans une école près d’antennes-relais
Le Point.fr – Publié le 01/06/2011 à 17:55 – Modifié le 01/06/2011 à 18:44
Dans cette localité de quelque 4 000 habitants, il y a trois cas avérés de cancer à l’école primaire, selon la présidente d’une association.
Les antennes-relais sont soupçonnées de favoriser l’apparition de cancers. © Jean-Pierre Muller / AFP
Cancérogène ou non, le portable ? L’existence de trois cas de cancer dans une école primaire des Pyrénées-Orientales conduit une association à réclamer le démontage des 25 antennes-relais qui la surplombent.
Les antennes ont été installées il y a une dizaine d’années pour le compte de Bouygues, d’Orange et de SFR au sommet du château d’eau de Villeneuve-de-la-Raho, au milieu des habitations et à 200 mètres de l’école primaire Alfred-Sauvy. Sont-elles responsables d’un taux apparemment hors norme de cancers et de maladies graves dans les parages ? Personne ne va jusque-là, mais la question est posée.
« Il y a une pollution électromagnétique. Provoque-t-elle des cancers ? Nous ne sommes pas en mesure de le prouver », répond Maryse Batlle, présidente de l’association Un mât pour les ondes (UMPLO). Mais dans cette localité d’environ 4 000 habitants, « on a trois cas avérés de cancer à l’école primaire et un nombre anormal, au moins une trentaine, de cas de cancer, d’accidents cardiovasculaires ou de maladies d’Alzheimer dans les environs immédiats ».
L’agence régionale de santé pas au courant
Mardi, des experts internationaux, réunis à l’initiative de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), ont statué que l’usage des téléphones portables pouvait être cancérogène. Mais, selon Maryse Batlle, il règne à Villeneuve une « omerta épouvantable », car « les enjeux financiers sont énormes ». Au nom du principe de précaution, les antennes doivent être démontées et réimplantées à l’extérieur de cette commune proche de Perpignan, qui, en vingt ans, a vu sa population quadrupler, dit l’UMPLO. Ou bien les contrats avec les opérateurs de téléphonie mobile ne doivent pas être renouvelés quand ils expireront dans les semaines à venir.
« On va étudier le pour et le contre, démantèlement ou maintien des antennes, tous les cas de figure sont possibles », dit, au nom de la mairie, le conseiller municipal Yves Renard. Il souligne qu’un des écoliers atteints de cancer était déjà malade quand il a été scolarisé dans la commune. L’inspection académique reconnaît trois cas de cancer chez les 220 écoliers d’Alfred-Sauvy et « un problème au niveau d’une antenne-relais », sans établir de lien de cause à effet. L’agence régionale de santé (ARS) dit, elle, ne pas être au courant.
L’emplacement choisi est « une aberration » (président du Centre de recherche et d’information indépendant sur les rayonnements électromagnétiques)
L’emplacement choisi pour les 25 antennes est une « aberration » et ne respecte pas la législation de la Direction générale de la santé, dit Pierre Le Ruz, président du Centre de recherche et d’information indépendant sur les rayonnements électromagnétiques (Criirem). « Les gens qui sont proches de ces antennes se plaignant de troubles neuro-endocrino-immunitaires, ils présentent les symptômes habituels des hyperfréquences. On voit bien qu’il y a un problème », estime Pierre Le Ruz, également expert en rayonnement au Conseil de l’Europe. « Si j’étais le maire, je ne prendrais pas le risque d’une recrudescence de pathologies cancéreuses. (…) Il ne faut pas attendre qu’on établisse une relation de cause à effet, il faut démonter par précaution », prône-t-il.
Il cite en exemple le démontage en 2003 des antennes-relais installées sur le toit d’une école de Saint-Cyr-L’École (Yvelines) au nom du principe de précaution. « Malheureusement, ce n’est pas une nouveauté. On a relevé un certain nombre de cas où on a référencé un nombre important de cas de leucémie. Seul le ministère de la Santé est en capacité d’établir un lien de cause à effet, mais il refuse de lancer des études. On tourne en rond », regrette le président de l’association Agir pour l’environnement, Stephen Kerchkave.
Voir aussi : http://www.midilibre.fr/2011/06/01/mysterieux-cas-de-cancer-dans-une-ecole-pres-d-antenne-relais,328193.php
Portable : le Ministère de la Santé aux abonnés absents
mercredi, 01 juin 2011
L’alerte des experts de l’OMS réunis à Lyon sur les risques potentiels de cancer provoqués par les portables ne devrait pas surprendre le public français. Dés 2007, l’Afsset (Agence française de sécurité sanitaire de l’environnement et du travail) aujourd’hui intégrée à l’Anses, soulignait que si les preuves épidémiologiques n’étaient pas établies, il convenait de continuer et de parfaire les recherches mais aussi de mettre en œuvre le principe de précaution.
A commencer par les enfants : « Une partie de la population nourrit des craintes quant aux effets des champs électromagnétiques radiofréquences sur la santé des foetus, des enfants et des adolescents. Ces craintes sont justifiées par l’utilisation de plus en plus précoce des techniques de communication sans fil, par la durée bien plus longue de l’exposition à laquelle ces enfants seront soumis et par la vulnérabilité supposée plus grande de leurs tissus. ».
Le cœur de ce raisonnement , repris en 2009, repose sur l’idée suivante : sur le temps court de l’exposition aux ondes électro magnétiques ( portables, antennes relais, WIFI) le risque est très improbable, mais en revanche, sur le temps long, et plus encore avec un usage intensif, « on ne peut formellement montrer l’inexistence d’un risque ».
Autrement dit : les enfants qui commencent à se visser un portable sur l’oreille dés douze ans et qui le garderont sans doute jusqu’à la fin de leur existence, sont des cobayes. On ne vérifiera les effets ou l’innocuité que longtemps après la première exposition. ( Voir sur ce Blog)
En 2009, le rapport de l’Afsset mettait en évidence l’existence d’effets des radiofréquences dits « non thermiques » sur des « fonctions cellulaires, rapportés par une dizaine d’études expérimentales considérées comme incontestables ». Encore une fois l’Afsset ne concluait pas à des effets cancérigènes démontrés mais évoquait des « signaux indéniables »
La préconisation pour les enfants était donc réaffirmée : « réduire l’exposition des enfants en incitant à un usage modéré du téléphone portable. » Et pour les autres, fournir aux utilisateurs d’équipements personnels émetteurs de radiofréquences des mesures simples pour leur permettre de réduire leur exposition, s’ils le souhaitent ».
Lors du « Grenelle des ondes » ( Voir sur ce Blog : le Grenelle de l’Oreillette ) , rapidement expédié, tout cela avait été évoqué (recours à des téléphones mobiles de faible DAS, abaissement des niveaux d’exposition dans les zones présentant les intensités les plus fortes, usage modéré des technologies sans fil)- et Chantal Jouanno avait même mis su la table l’idée somme toute raisonnable d’un portable pour collégien dont l’oreillette ne pouvait être désolidarisée du mobile.
Sans suite.
Et si les opérateurs notent bien aujourd’hui le niveau d’émission de chaque modèle, ils n’en font nullement un critère d’achat discriminant Quant aux conseils de modération d’usage stipulé dans les modes d’emploi , il sont anéantis par le rouleau compresseur marketing vantant la modernité des appareils les plus récents. A commencer par les smartphones.
La vérité c’est que c’est le Ministère de la Santé qui n’a pas fait son job. Vous avez déjà vu une campagne de sensibilisation sur l’usage modéré des portables chez les jeunes ? Ou à destination des adultes ? Vous avez déjà entendu des recommandations sur l’utilisation de l’oreillette ? Rien ou pratiquement rien.
Certes, la loi interdit dorénavant aux écoliers les portables à l’école primaire et aux opérateurs de faire de la pub pour les moins de douze ans. C’est mieux que rien mais la vente est toujours légale à ces âges là . Du coup, entre 9 et 10 ans, 63% des enfants sont équipés. Et entre douze ans et quatorze ans, c’est 74%…
Interdire n’est sans doute pas la solution idéale. Mais informer et sensibiliser aux risques est un devoir sanitaire. Seulement voilà, à force de canarder « le politiquement correct » du « principe de précaution », y compris à l’Académie des sciences, on préfère laisser faire et ricaner sur les fatwas des ayatollahs anti progrès. C’est faciel, ça ne coûte rien et ça rapporte beaucoup. A bien y regarder, ce laisser faire ne concerne d’ailleurs pas seulement les ondes electro magnétiques. La consommation du tabac est de nouveau en hausse chez les jeunes. Pareil pour l’alcool. Ce gouvernement qui s’embrouille aujourd’hui dans les radars pédagogiques, a manifestement un problème avec la prévention.
Guillaume Malaurie
Le Conseil de l’Europe préconise l’abandon du WiFi dans les écoles
Rédaction – 30/05/2011 | eitb.com
Le danger viendrait des champs électromagnétiques liés aux appareils électriques comme les téléphones portables, les réseaux informatiques sans fil et les lignes électriques.
WiFi dans les écoles. Photo : EITB
Sur la base d’un rapport évaluant les risques sanitaires liés aux champs électromagnétiques, le Conseil de l’Europe propose d’interdire les téléphones mobiles et les systèmes wifi dans les établissements scolaires. Le danger viendrait des champs électromagnétiques liés aux appareils électriques comme les téléphones portables, les réseaux informatiques sans fil et les lignes électriques.
Pour le Conseil de l’Europe, il existe aujourd’hui suffisamment d’études qui apportent « des preuves suffisantes d’effets potentiellement nocifs des champs électromagnétiques sur la faune, la flore et la santé humaine pour réagir et se prémunir contre des risques potentiellement graves pour l’environnement et la santé ».
Mais le Conseil n’oublie pas la prévention. Il propose de lancer des campagnes de sensibilisation aux dangers des ondes électromagnétiques et leurs risques nocifs, à long terme, pour la santé. Les adolescents et les jeunes adultes en âge d’avoir des enfants seraient particulièrement visés.
La recherche sur de nouveaux types d’antennes, téléphones mobiles et autres dispositifs de communication sans fil, basés sur d’autres technologies, serait également encouragée.
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