SCIENCE : lien entre pollution électromagnétique, maladie neuro-dégénérative et cancer

Le Dr Jean-Pierre Maschi a fait paraître, à 86 ans, un livre en mai 2014, intitulé “Sclérose en Plaques et Pollution électromagnétique”.
C’est lui qui a inventé le terme “Pollution électromagnétique” en 1965 lorsque l’opinion ne s’intéressait pas encore sérieusement aux soins par les plantes et ne voyait que progrès dans la technique.

Il relate dans son livre son expérience de médecin, radié de l’ordre en 1968 pour avoir soigné des patients atteints de SEP, dès 1967, à l’aide de système de décharges au sol et d’hydrothérapie (douches fraîches). Plus de 500 patients améliorés par sa thérapie souhaitaient témoigner en sa faveur lors de son procès pour exercice illégal de la médecine en 1971.

L’article complet sur le site de Robin National

Facebooktwitterlinkedinmail

Nocivité des téléphones portables : les conditions irréalistes des tests

La revue européenne des médias et du numériqueUn « phonegate », selon l’expression inventée par Pierre Le Hir, journaliste au Monde, pourrait éclater, un nouveau scandale sanitaire dû à une trop forte exposition aux ondes émises par les smartphones.

L’affaire porte sur des tests de téléphones portables effectués, comme chaque année sur environ 80 appareils, à la demande de l’ANFR, par des laboratoires accrédités, afin de contrôler le rayonnement électromagnétique et radio des appareils, mesuré par le DAS – débit d’absorption spécifique – calculé en watts par kilogramme………..  En revanche, la mesure prise de l’exposition aux ondes lorsque l’appareil se trouve au contact du tronc révèle un DAS supérieur à 2 W/kg pour 89 % des téléphones testés en 2015 et même un DAS supérieur à 4 W/kg pour 25 % d’entre eux, allant jusqu’à 7 W/kg pour quelques appareils…..

L’article intégral de la revue des médias et du numérique

 

 

Facebooktwitterlinkedinmail

Danger des ondes de portables : en route vers un “phonegate” ?

MarianneMédecin, Marc Arazi n’a de cesse d’alerter les pouvoirs publics sur les dangers potentiels représentés par les ondes de nos téléphones portables sur la santé publique. Il vient d’écrire en ce sens au nouveau gouvernement.

Facebooktwitterlinkedinmail

La sécurité, et les objets connectés

Il y a un an, était édité chez Harmonia Mundi Livre un ouvrage de Marc Elsberg, traduit de l’allemand par Pierre Malherbet. Le nom de cet ouvrage ? BLACK OUT, sous-titré “Demain il sera trop tard”.

Il s’agit d’un blocage de la presque totalité des réseaux électriques européens par des virus judicieusement inoculés à des nœuds de certains de ces réseaux. De proche en proche et malgré des efforts désespérés, les réseaux tombent, et malgré les réparations ne peuvent pas redémarrer.
S’ensuit une panique généralisée en raison des chauffages en panne, des transports paralysés (il faut des pompes électriques pour les carburants liquides), donc de l’alimentaire réduit à presque rien, mais aussi les hôpitaux,  les industries, les travaux agricoles (dont les serres chauffées).
Ce roman se lit comme une vraie catastrophe réellement arrivée, il est très documenté, et réaliste jusqu’à la fin, que je ne déflorerai pas. Pour ma part, j’ai lu les 470 pages d’une traite (une nuit entière). On y apprend beaucoup sur les risques que le système actuel autorise. En France, tous les garde-fous patiemment construits ont été retirés afin de permettre la plénitude des “compteurs communicants”, les fameux Linky. Dans les transformateurs, désormais un code émis quelque part peut atteindre tous les compteurs individuels, c’est d’ailleurs ce que raconte ce livre.
Souhaitons qu’il ne soit pas prémonitoire, et qu’au contraire il fasse ouvrir les yeux des décideurs. A moins que ceux-ci n’aiment jouer avec le feu.
Facebooktwitterlinkedinmail

Les électrosensibles se rebellent contre le wifi dans les trains

Depuis décembre 2016, 19 rames de TGV proposent la connexion internet sur la ligne Paris-Lyon. Mais cette installation est jugée dangereuse par les personnes électrosensibles. Elles revendiquent « le droit de voyager dans des wagons sans wifi et sans ondes ».

Lire la suite de l’article sur Reporterre

Facebooktwitterlinkedinmail