Arreau. Un point sur le Wimax

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   PUBLIÉ LE 04/04/2012 08:54 | LA DÉPÊCHE DU MIDI

Jean-Louis Anglade et sa suppléante Marcelle Vidal Puertolas./ Photo G. L.

Jean-Louis Anglade et sa suppléante Marcelle Vidal Puertolas./ Photo G.

Jean-Louis Anglade, conseiller général du canton, dresse un bilan à charge du haut débit/Wimax, avec son franc-parler habituel.

« Malgré de bonnes intentions – permettre à tous de bénéficier du haut débit internet – le manque de clairvoyance et le mépris de l’argent public ont transformé ce projet, qui devait être une chance pour notre département, en un gouffre financier pour 22 ans et un échec technologique doublé d’une couverture du territoire inéquitable en terme de débit proposé ». Selon lui, les 400 km de fibre optique déployés font « pour moitié doublon avec la fibre optique de France Télécom déjà en place depuis plusieurs années ». Avec cette technologie Wimax, selon l’élu, « l’abonné ne pourra disposer que d’un débit descendant maximum de 2 Mb et d’un débit montant de 512KB, ce qui est ridiculement bas. La connexion sur le réseau pourra, en plus, subir des coupures liées aux intempéries ».

Le coût total de ce PPP (Partenariat public privé) est de 153,84 millions d’euros TTC.

En choisissant ce contrat PPP, le conseil général des Hautes-Pyrénées est devenu fournisseur d’accès internet, et a dû créer une régie pour commercialiser ces produits haut débit. « En octobre 2011, sur proposition de la mission Wimax du CG65, relayée par le président du CG65, un poste de directeur de régie a été créé afin d’en assurer la gestion. » Le CG65 a aussi décidé de réaliser une campagne de mesures des champs électromagnétiques, des rencontres entre élus, associations et habitants concernés.


Antennes

Le déploiement radio est achevé à 65 %. Sur les 47 antennes Wimax prévues au contrat, 30 sont en exploitation, 10 sont installées et 7 restent à construire.

Source : http://www.ladepeche.fr/article/2012/04/04/1322953-arreau-un-point-sur-le-wimax.html
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Aussonne. Environnement : les actions en cours

      PUBLIÉ LE 31/03/2012 03:46 | R. C

Le château d'eau et les antennes relais./Photo DDM, R. C.

Le château d’eau et les antennes relais./Photo DDM, R. C.

Lors de la réunion mensuelle, l’association Aussonne Environnement a discuté principalement de trois actions.

Parc des expositions : L’implantation du parc des expositions devrait avoir lieu à proximité du domaine d’Enseigure.

Le bruit aérien : les lettres envoyées à la DSAC et à la CCI concernant l’équilibrage des pistes sont toujours sans réponse.

Les ondes électromagnétiques : De nombreuses actions sur le thème : « Ondes électromagnétiques et santé » (des ondes générées par les lignes EDF aux ondes des radars) sont menées par l’association et notamment par le président de l’association M.Masson spécialiste en hyperfréquences.

Des actions sont en cours concernant les antennes relais situées Route du Château d’eau : L’ANFR (Agence nationale des fréquences) a été contactée et confirme la croissance du niveau ambiant de champ électromagnétique lié aux antennes relais depuis 1994. Cette agence vient de fournir à Monsieur Masson des informations techniques qu’il est en train de consulter.

Une lettre a été envoyée à la CADA (commission d’accès aux documents administratifs) pour obtenir l’accès aux informations des opérateurs.

Plus de cinq cent signatures ont été recueillies suite à une pétition demandant le déplacement des antennes relais sur un site communal éloigné de toutes maisons d’habitations dans un rayon de plus de 500 m. Les riverains ont ainsi pu être informés sur les niveaux limites d’exposition (de 41 à 61 Volt/mètre en France). Cette demande avait été remise au premier adjoint au maire lors de l’assemblée générale de Janvier.

Des rencontres avec la municipalité ont eu lieu, une lettre ouverte a été adressée au préfet demandant la saisie ou la création d’une instance de concertation départementale pour mettre un terme aux risques sanitaires et résoudre les problèmes sécuritaires. Afin de mieux s’informer, des membres de l’association ont assisté à des conférences organisées par le centre de recherche et d’information indépendant sur les rayonnements électromagnétiques non ionisants. L’association prévoit de faire réaliser des mesures par un cabinet accrédité COFRAC. Prochaine réunion le 11 avril à 20 h 30 salle N° 3.

Contact : adea@adeaaussonne.webou.net

SOURCE : http://www.ladepeche.fr/article/2012/03/31/1319767-aussonne-environnement-les-actions-en-cours.html


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Les anti gaz de schiste remontés

  PUBLIÉ LE 01/04/2012 03:46 | GÉRALD CAMIER

Hier dans les rues de Toulouse./Photo DDM, F. C.

Hier dans les rues de Toulouse./Photo DDM, F. C.

« Est-ce qu’il y a des personnes qui n’ont jamais entendu parler du gaz de schiste ? ». Sur près de 300 militants réunis, hier vers 15 heures, devant le Monument aux Morts de Toulouse à l’appel du collectif Aquitaine/Midi-Pyrénées contre le gaz de schiste, une seule main s’est levée. Apparemment, tout le monde, ou presque, est au parfum, mais Marie-Florence Marchand, du collectif 47, en a quand même profité pour faire un petit historique.

Car, loin s’en faut, le dossier qu’on croyait définitivement enterré depuis que la loi de juillet 2011 interdit la fracturation hydraulique pour extraire et explorer le gaz de schiste, refait surface.

Des dizaines de permis déposés par de grandes compagnies pétrolières sont actuellement à l’étude dans plusieurs régions françaises. En Midi-Pyrénées, selon les services de l’État, deux dossiers seront prochainement remis à l’instruction, notamment concernant les territoires de Beaumont-de-Lomagne (Tarn-et-Garonne) et Mirande (Gers), mais rien n’est confirmé. Le bras de fer est désormais engagé entre les associations environnementales, les écologistes et le puissant lobby pétrolier. Pour les anti gaz de schiste, la loi de juillet 2011 est une loi « en trompe-l’œil », « car l’exploration du sous-sol, destinée à mesurer son potentiel énergétique en utilisant des forages profonds, reste toujours possible », comme le souligne Yves Pietrasanta, chimiste et vice-président du conseil régional de Languedoc-Roussillon.

SOURCE : http://www.ladepeche.fr/article/2012/04/01/1320496-les-anti-gaz-de-schiste-remontes.html

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Le collectif « Sans antennes à Villematier»est né

   PUBLIÉ LE 01/04/2012 03:46 | LA DÉPÊCHE DU MIDI

Les participants très attentifs aux informations exposés par les membres d'Antennes 31./DDM RL

Les participants très attentifs aux informations exposés par les membres d’Antennes 31./DDM RL

Suite au projet d’SFR d’implanter 3 antennes relais sur un mât de 30 mètres de haut sur la commune de Villematier la population du village se mobilise.

Mardi 27 mars, devant une assemblée de près de 100 personnes, l’association Antennes 31 a exposé de façon percutante, les risques sanitaires inhérents à la téléphonie mobile et au Wifi, avec documentations à l’appui. Les riverains ont raison de s’inquiéter …. Les progrès technologiques doivent se développer avec précaution et prendre en compte l’environnement, ce qui visiblement, n’est pas toujours le cas.

Cette rencontre a été initiée par le Collectif «Sans Antennes à Villematier», créé il y a tout juste 2 semaines, et avait pour objectif d’informer et de sensibiliser la population. Si vous souhaitez le rejoindre, n’hésitez pas à laisser vos coordonnées sur un registre mis à votre disposition à la Mairie de Villematier ou à envoyer un message à l’adresse suivante: sav31340@gmail.com

SOURCE : http://www.ladepeche.fr/article/2012/04/01/1320255-le-collectif-sans-antennes-a-villematier-est-ne.html

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L’étude Cochin-Choudat sur les EHS : revoilà le négationnisme institutionnel

Puissance Plume  mercredi 29 février 2012, par Frédéric Boutet

Lettre au Pr Dominique Choudat

L’étude dite “Cochin”, dirigée par le Pr Choudat, dont on a appris qu’elle débutait ce mois de février 2012, était, au départ en 2009, censée étudier le lien entre EHS (personnes dites Electro Hyper Sensibles) et l’exposition aux ondes électro-magnétiques. Et bien nous revoici ramenés soixante ans en arrière, lorsque pour l’OMS, des “experts” internationaux dont Maurice Tubiana pour la France, déclaraient que les symptômes constatés de l’exposition aux radiations nucléaires relevaient de la psychiatrie.

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Labastide-Marnhac. Pas d’antenne relais SFR

   Publié le 27/03/2012 08:02 | La Dépêche du Midi

La mobilisation de l'association a porté ses fruits./Photo DDM.

La mobilisation de l’association a porté ses fruits./Photo DDM.

Non à l’antenne relais de téléphonie mobile ! La mobilisation n’a pas tardé à Labastide-Marnhac, lorsque les habitants du hameau de Cailles ont appris par une lettre de SFR, qu’ils pouvaient consulter sur un site internet le projet d’antenne relais.

Un projet quasiment bouclé puisque les riverains découvraient que toutes les formalités d’urbanisme avaient été réglées et le terrain était en passe d’être acquis. Immédiatement, les riverains se constituaient en association « Stopondes46 » pour agir tant auprès de la mairie que du propriétaire du terrain. Avec le ferme refus de voir s’ériger une antenne de 30 m de haut, devant émettre à forte puissance, à moins de 160 m d’une habitation. L’association a également tenu, le 14 mars, une réunion publique d’information à destination des habitants de Labastide-Marnhac, du Montat et de l’Hospitalet (zone de recherche de l’implantation).

« L’exposé a permis de clarifier la situation et de rappeler que les riverains potentiels de l’antenne et l’association Stopondes46 ne s’opposent ni à la téléphonie mobile ni même aux antennes mais qu’ils combattent les émissions supérieures à 0,6 volt par mètre, seuil déclaré sans danger par l’ensemble des experts. Il existe des solutions alternatives aux antennes démesurées, évidemment plus coûteuses à court terme mais qui préservent la santé et l’avenir de nos enfants », explique l’association.

De son côté, Daniel Jarry, maire, indique que la réglementation ne donne pas de marge de manœuvre aux collectivités pour s’opposer aux opérateurs ; mais que la mairie avait toutefois initialement émis un avis défavorable sur le projet ; qu’elle a contribué à convaincre le propriétaire à ne pas vendre son terrain, et qu’elle s’associe à la vigilance de l’association.

Pour sa part, la société SPIE qui prospectait pour le compte de SFR indique que faute de terrain, le projet d’antenne relais à Labastide-Marnhac est abandonné.

Source : http://www.ladepeche.fr/article/2012/03/27/1315615-pas-d-antenne-relais-sfr.html

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Gaz de schiste : l’embrouille !

   PUBLIÉ LE 28/03/2012 09:04 | GILLES-R. SOUILLÉS

Pour José Bové « la manœuvre du gouvernement est inacceptable ». Il attends l'abrogation pure et simple de la loi./Photo DDM, Cédric Méravilles

Pour José Bové « la manœuvre du gouvernement est inacceptable ». Il attends l’abrogation pure et simple de la loi./Photo DDM, Cédric Méravilles

En catimini, un rapport a été remis au gouvernement le 22 mars. Il préconise la mise en œuvre d’expérimentations. Les opposants mobilisent samedi à Toulouse.

Officiellement, après une grosse polémique et l’annulation de trois permis de recherches fin 2011, l’exploitation du gaz de schiste en France selon la technique de la fracturation hydraulique était quasiment abandonnée. Mais voilà, à un mois de l’élection présidentielle, le rapport final de la mission d’inspection (PDF) sur les hydrocarbures de roche-mère, remis en toute discrétion jeudi dernier, au ministère de l’Environnement, remet de l’huile sur le feu.

Si la loi du 13 juillet 2011 interdit globalement la fracturation hydraulique (seule technique disponible à l’heure actuelle pour explorer ces hydrocarbures non conventionnels), elle évoque aussi la mise en œuvre « d’expérimentations réalisées à seules fins de recherche scientifique sous contrôle public ». C’est ce point très précis que les auteurs du rapport ont exhumé pour préconiser des essais sur un « nombre limité de puits ». Inutile de préciser que les opposants à l’exploitation, mis au parfum, voient rouge, en considérant qu’une nouvelle brèche est ouverte dans le principe d’interdiction de la fracturation hydraulique. Le collectif régional n’a d’ailleurs pas perdu de temps et a déjà convoqué une manifestation samedi, à 15 heures devant le Monument aux Morts de Toulouse.

Les opposants mobilisés

« L’annonce du déblocage des permis de recherche qui étaient en attente d’instruction et leur dépôt à la Préfecture de Haute-Garonne, est un scandale explique le collectif. Des dizaines de nouveaux permis sont remis à l’instruction dans plusieurs régions de France, dont en Midi-Pyrénées, le permis de Beaumont de Lomagne et le permis de Mirande, alors que l’on sait que cette technique occasionne des dégâts environnementaux et sanitaires irréversibles ». Du côté de la préfecture et de s services de la direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement (Dreal), on ne faisait, hier, aucuns commentaires.

Pour les auteurs du rapport, il s’agit en substance de ne pas gâcher le potentiel des richesses du sous-sol français, tout en prenant, assurent-ils, « le maximum de précautions » techniques. De la surveillance de la cimentation des puits, à celle des nappes phréatiques, ou de la qualité de l’air… Un discours qui ne trompe pas José Bové. « Ce sont des pseudos recherches scientifiques. Le gouvernement a voulu laisser la possibilité aux industriels de changer de procédé. On veut en quelque sorte blanchir la technique d’exploitation pour nous dire, circulez y’rien à voir, explique le leader écologiste. C’est inacceptable et c’est pour cela qu’on s’est battu au printemps dernier, parce qu’on savait très bien ce qu’il en était de la loi ». Lui, mise sur un changement de majorité à la présidentielle. « Cette loi doit être abrogée par le prochain gouvernement, martèle-t-il, de même que les 61 permis d’exploitations en cours. Sinon, ce sera la porte ouverte aux industries pétrolières ».

Pour l’heure, un calendrier a déjà été prévu par le gouvernement. Une commission nationale d’orientation, de suivi et d’évaluation des techniques d’exploration et d’exploitation va être créée pour procéder à des recueils de données par des carottages classiques. Des expérimentations seraient réalisées ensuite dans le Bassin parisien où des permis ont été accordés pour des huiles de schistes, avant avis de la commission pour un vote au Parlement au second semestre 2013.Mais d’ici là, il se sera passé beaucoup de choses.

SOURCE : http://www.ladepeche.fr/article/2012/03/28/1317062-gaz-de-schiste-l-embrouille.html


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Déodorants antitranspirants : alerte sur l’aluminium

Rue8960 millions de consommateurs

Un homme en partie recouvert de papier d’aluminium (Josh Pesavento/Flickr/CC)

Sur quatorze déodorants antitranspirants testés par 60 Millions de consommateurs dans son numéro d’avril 2012, six contiennent de l’aluminium à des teneurs préoccupantes.

Parmi eux figurent des produits de très grandes marques, tels qu’Axe Dry, pour les hommes, ou Rexona Girl et Bourjois antitraces jaunes, pour les femmes. Des produits qui, selon nous, ne devraient plus être commercialisés si leur formule demeure inchangée.

L’aluminium, potentiellement toxique

Utilisé pour resserrer les pores et réduire la transpiration, l’aluminium est en effet potentiellement toxique pour le système nerveux et les os ; il est également susceptible de provoquer des anémies.

C’est pourquoi l’Afssaps a recommandé, dans un récent avis sur la question, de ne pas dépasser le taux de 0,6% d’aluminium pur dans un produit cosmétique.

Encore cette recommandation ne vaut-elle que sur une peau saine.

Ne pas transpirer ou s’épiler, il faut choisir

Sur une peau « lésée, irritée, rasée ou épilée », les responsables de l’agence de sécurité sanitaire sont encore plus restrictifs : ils conseillent purement et simplement « de ne pas utiliser de déodorant à base d’aluminium, car l’absorption est plus importante que dans le cas d’une peau normale et, par là même, la sécurité sanitaire pour le consommateur n’est pas assurée ».

Autrement dit, il faut choisir. Accepter la transpiration, ou s’abstenir de s’épiler. Car, aujourd’hui, l’aluminium reste le principe actif de tous les antitranspirants. Les autres déodorants se contentent de masquer les odeurs, mais n’agissent pas sur la sudation.

Et la pierre d’alun de synthèse ?

Quant aux produits à la pierre d’alun, ils sont loin de représenter une réelle solution, si ce n’est dans les publicités :

  • soit il s’agit de pierre d’alun de synthèse (ammonium alum), qui pose les mêmes problèmes que l’aluminium lui-même ;
  • soit il s’agit de pierre d’alun naturelle (potassium alum), dont l’innocuité est elle aussi controversée.

Et dont l’efficacité antitranspirante est bien médiocre, comme le montrent les tests réalisés par 60 Millions.

SOURCE : http://www.rue89.com/2012/03/27/deodorants-antitranspirants-halte-aux-exces-daluminium-230591


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