Dans les quartiers toulousains, les habitants continuent à s’inquiéter de la multiplication des antennes de téléphonie mobile. Exemple de la mobilisation avenue Jean-Rieux.
«Non aux trois antennes. Danger : deux antennes, ça suffit. 3 + 2 = 5, c’est trop.» Depuis quelques semaines, les banderoles ont refait leur apparition avenue Jean-Rieux, autour du n°213, à l’angle de l’avenue de Savoie. Là, sur un petit immeuble, deux antennes-relais de l’opérateur SFR ont été installées en 2010, occultées dans une fausse cheminée. «À l’époque, on avait déjà manifesté», rappelle Géraldine Castex, une mère de famille et riveraine, porte-parole du Collectif enfants sans antennes
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