GEOLOCALISATION. Mon téléphone, cet espion

nouvelObs.com, journal d'actualité en temps réel   Publié le 18-10-11 à 17:24    Modifié le 21-10-11 à 09:31     par Boris Manenti

Via les réseaux téléphoniques ou les puces GPS, les mobiles se transforment facilement en véritable mouchard.

Une écoute téléphonique, dans le film "Le 4ème protocoleé de Michael Caine (AFP)

Une écoute téléphonique, dans le film « Le 4ème protocoleé de Michael Caine (AFP)

3G est-il synonyme de KGB ? En avril dernier, deux chercheurs britanniques ont révélé que l’iPhone, téléphone multifonctions d’Apple, enregistre et conserve en mémoire tous les déplacements de son porteur.

Malgré un correctif, l’opinion publique découvre alors que les smartphones tant vantés sont de formidables mouchards de poche. Suivre à la trace les consommateurs, c’est l’obsession des opérateurs de téléphonie et des réseaux sociaux.

Apple vient d’ailleurs de lancer à grand renfort de publicité la page de son application « Localiser mes amis » sur iTunes. Compatible avec l’appareil iOS 5, elle permet d’envoyer une requête à ses proches pour savoir où ils sont. Apple aussi.

L'application "Localiser mes amis" d'Apple (Capture d'écran)

Géolocalisé en permanence

La marque à la pomme n’est évidemment la seule à vous pister. Tous les mobiles dits de nouvelles générations ont une fonction de localisation embarquée. Elle peut rendre bien des services mais transforment de facto ces produits en mouchard.

Un téléphone peut être en permanence géolocalisé via le réseau téléphonique (par rapprochement avec les 35.000 relais de France) ou via les puces GPS. On connaissait la fameuse « fadette » (pour « Facture détaillée », c’est-à-dire la liste des appels passés et reçus) obtenue par la police sur simple réclamation à l’opérateur, mais le mobile est capable de bien pire. A l’insu de l’utilisateur, il peut enregistrer les conversations, copier les SMS entrants et sortants, voire même écouter en temps réel autour du téléphone et enregistrer la vidéo captée par l’objectif. Surtout, il peut transmettre des données y compris lorsqu’il est éteint.

Des possibilités accessibles aux forces de l’ordre sur commission rogatoire d’un juge ou sur autorisation du Premier ministre, mais aussi aux particuliers qui s’équiperaient de logiciels (illégaux) en vente sur internet. Ils font un carton.

Boris Manenti – Le Nouvel Observateur

Source : http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20111018.OBS2741/geolocalisation-mon-telephone-cet-espion.html

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Montpellier : ANTENNES RELAIS TELEPHONIE MOBILE "Conférence-débat Environnement Droit Santé"

Les Technologies sans fil et notre Santé

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Nous souhaitons vivement votre participation, votre présence est bien sûre indispensable !!!

A diffuser très largement à tous vos contacts

Merci de votre soutien !!!

Coordination Régionale Ondes Santé Robin des Toits Languedoc  Roussillon        
Pour une technologie numérique respectueuse de la santé publique 

Le Délégué régional Robin des Toits Bruno Goupille

Pour tous renseignements vous pouvez nous contacter au 04 67 39 04 91
ou par Mail : cros.robindestoits@laposte.net

24, Impasse Alfred NOBEL 34500 Béziers

Membre de l’association nationale :
Robin des toits http://www.robindestoits.org/

Bien cordialement,
Nathalie OUZOULIAS
Robin des Toits Gard / Lozère
http://www.robindestoits.org/

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Première mondiale scientifique avec les EHS de France: La preuve des encéphaloscans comparatifs.

Les EHS ont le droit de vivre, mais en France face à la pression des lobbies c’est une absence de toute reconnaissance, ce droit inaliénable ne leur est pas à ce jour octroyé.
Pour survivre ils n’ont pas le choix, il est donc légitime qu’ils prennent leur devenir en main comme d’autres l’ont fait en 1940 face à un gouvernement « légitime » qui était totalement inféodé à un pouvoir illégitime.
L’ignorance sur les notions de bases de l’électromagnétisme est savamment entretenue par les lobbies : C’est l’énergie électromagnétique naturelle qui est à l’origine de la théorie du créationnisme de la vie sur terre, celui-ci se calque en complément de la théorie de l’évolutionnisme de Darwin.
Pour faire simple, nous naissons tous EHS, car l’humain est totalement bioélectromagnétique, tous nos échanges cellulaires sont ÉlectroMagnétiques, nous perdons cet état à notre mort lorsque ces échanges cessent, notre électroencéphalogramme devient plat, problème : La majorité de la population est totalement ignorante de cette réalité, en d’autre terme l’état d’EHS est génétique, son degré de perception (sensibilité) est variable suivant les personnes et l’environnement.
Le principal facteur de perturbation de cet état est la nouvelle pollution électromagnétique artificielle qui n’a jamais existé sur terre jusqu’à présent, la pire de toute étant celle non confinée (sauf dans les fours) des rayonnements des communications mobiles issus du spectre de Hautes Fréquences microondes.
Pour les fréquences électromagnétiques artificielles plus courtes, cette pollution est confinée dans les … réacteurs nucléaires, c’est exactement pareil mais à une autre échelle, qui le sait ? En effet, plus la longueur d’ondes est courte, plus l’énergie dégagée est importante, c’est pour cela qu’il a des zones dites de sécurité pour les antennes relais et les téléphones mobiles [Nokia : manuel utilisateur].
Plus la longueur d’onde diminue (ex. GHz) comme pour les Répéteurs Hertziens de la TM, cela engendre une stricte interdiction de stationner dans les faisceaux d’irradiation, ceci quelque soit la distance de la source, même à des kms : l’irradiation étant létale dans un laps de temps très court.
L’interaction des CEM artificiels avec le métabolisme bioélectromagnétique humain génère des pathologies décrites dans Le Syndrome des Micro-Ondes [Dr C.Monnet  et P. le Ruz avec vidéo].
Dans la littérature scientifique c’est le Dr Richard Gauthier qui a transcrit [dossier scientifique] les mécanismes d’interactions liés à l’exposition aux Champs ÉlectroMagnétiques artificiels des HF micro-ondes dans les protéines de la membrane cellulaire ce qui déclenche des modifications en chaines, notamment les taux de calcium, l’activation d’enzymes et la fabrication des protéines de stress. Les enzymes vont d’abord activer des réactions en chaînes, puis, si le signal persiste, les protéines de stress vont bloquer diverses fabrications au sein même de la cellule dont par exemple les messagers entre les cellules du cerveau appelés neuromédiateurs, ce qui a pour conséquence
une modification de l’activité du cerveau.
Première mondiale scientifique avec les EHS de la forêt de Saoû : Encéphaloscans comparatifs.
Pourquoi avoir choisi la forêt de Saoû ? [Dossier 1 – 2]:
Il existe maintenant  en France très peu de Zones Blanches ou de lieux à faibles rayonnements EM artificiels (EHS Zones Refuges). Ces lieux, bien évidemment ne peuvent qu’être principalement des sourcement, les EHS n’ont que peu de choix de zones foncières de vie.
La forêt de Saoû dans la Drôme est un de ces lieux où les EHS peuvent survivre, néanmoins pour valider cet espace naturel sensible et inhabité une expérience a été réaliseé depuis plusieurs mois in situ C’est une première mondiale qui a demandé beaucoup de courage à Philippe, EHS, membre du collectif « Une terre pour les EHS » qui a servi de cobaye en résidant seul pendant plusieurs mois dans l’environnement particulièrement hostile de l’hiver 2009-2010 à la forêt de Saoû.
Son seul contact étant celui contemplatif des écogardes présents dans la journée à la forêt de Saoû.
La présence de Philippe, « le cobaye ermite » avec son camping-car à la forêt de Saoû n’était pas anodine, en effet il était suivi médicalement par l’ARTAC qui regroupe des scientifiques donc les recherches sont axées sur les cancers et à ce titre un groupe ayant à sa tête le Pr Dominique Belpomme travaille sur l’Électro Hyper-Sensibilité et une cohorte d’EHS.
Un État des lieux des recherches de l’ARTAC sur les CEM a été publié au 18 12 2009.
Philippe a subi divers examens médicaux conservatoires avant son séjour à la forêt de Saoû, dont un encéphaloscan dans les services du Centre d’Exploration de la Fonction Cérébrale du Dr Ph Lebar.
L’encéphaloscan est actuellement le meilleur marqueur (diagnostic) des signes de la « souffrance » cérébrale chez les personnes souffrant d’Électro Hyper-Sensibilité.
C’est une preuve scientifique de l’état d’EHS.
Cet examen donne une image de l’irrigation artérielle des zones des deux hémisphères du cerveau.
Les analyses des résultats des encéphaloscans sont basées par rapport à des écarts types de références.
Sur le diagramme en barres verticales, apparait en couleur rouge et en orange les zones correctement irriguées ; en jaune ou en bleu les zones qui souffrent d’un débit (vascularisation) insuffisant.

Diagramme 1

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Le diagramme 1 représente l’encéphaloscan de Philippe EHS avant son arrivée à la forêt de Saoû, on constate que rester exposé depuis plusieurs années à la pollution électromagnétique artificielle micro-ondes d’une ville moyenne, il est en état de faiblesse : Sur ce 1er diagramme, les valeurs des débits des diverses zones des deux hémisphères du cerveau sont très altérées.

Diagramme 2
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Le diagramme 2 représente l’encéphaloscan de Philippe EHS après trois mois de séjour dans la forêt de Saoû (zone à très faible rayonnement EM artificiel), on constate une amélioration spectaculaire des débits artériels cérébraux dans les deux hémisphères du cerveau, conséquence physique concrète : Philippe n’était plus en état d’affaiblissement.
(extrait de la feuille d’analyse médicale : L’exemple de la 5ème barre (tranche) correspondant à la zone capsulo-thalamique de l’hémisphère droit où l’on est passé d’un débit d’irrigation anormalement faible à une zone correctement irriguée).
Cette expérience scientifique est une preuve qui devrait ouvrir les yeux des autorités sanitaires sur l’impérieuse nécessité de légiférer immédiatement sur l’abaissement drastiques des seuils d’irradiation EM, la création de Zones Refuges pour les EHS dans chaque département, avec en parallèle l’instauration d’un cadastre Hertzien dans chaque commune afin que les citoyens puissent savoir les taux d’irradiation des zones d’habitat.
Pareillement tous les panneaux d’informations électroniques municipaux de France devraient comporter au même titre que l’affichage de la date ou de la température, une sonde intégrée destinée à l’affichage de la valeur de l’irradiation ambiante, cette information étant cruciale pour les personnes âgées, les femmes enceintes et toutes les personnes en état de faiblesse (malade) se trouvant in situ. 
Dans l’immédiat, les rares zones encore préservées de la pollution électromagnétique artificielle sont plus que précieuses, ce sont les seuls endroits où les EHS peuvent aller pour pouvoir améliorer leur état de santé, voire pour certains EHS cloitrés, souvent en état de faiblesse extrême, les seuls lieux où ils peuvent encore survivre. 

Source : http://www.next-up.org/pdf/EHS_Premiere_mondiale_scientifique_Encephaloscans_comparatifs_23_08_2010.pdf


Ci-dessous 2 Encéphaloscans de membres du collectif Antennes 31 exposés aux champs électromagnétiques, où l’on retrouve les mêmes caractéristiques que ci-dessus. Le second est celui d’une enfant de 11 ans déscolarisée parce qu’elle est électrohypersensible.

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Explication du Syndrome d’Intolérance aux Champs Electromagnétiques (SICEM) par l’ARTAC

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Une antenne relais au Conseil d’Etat

Une antenne relais au Conseil d'Etat - Le Canard Enchaîné - 12/10/2011  Mercredi 12 octobre.

Les maires n’ont pas leur à mot à dire sur l’implantation des antennes de téléphonie dans leur commune. C’est Ia thèse audacieuse qu’a défendue, devant le Conseil d’Etat, le « rapporteur public » Xavier de Lesquen. Le 30 septembre, le Conseil d’Etat avait à examiner les pourvois de deux communes, Les Pennes-Mirabeau (Bouches-du-Rhône) et Saint-Denis (Seine-Saint-Denis). Leurs maires avaient chacun pris un arrêté pour restreindre, au nom du principe de précaution, l’implantation des antennes relais de téléphonie mobile. Arrêté annulé, dans les deux cas, par le tribunal administratif et la cour d’appel. Le Conseil d’Etat examinait aussi un pourvoi de SFR, qui contestait la réglementation du maire de Bordeaux sur l’implantation des antennes. 

Chargé de « dire le droit », le rapporteur n’a pas navigué entre deux eaux. Il a recommandé au Conseil d’affirmer qu’en matière d’implantation d’antennes relais « les décisions du maire ne peuvent se substituer à celles du ministère chargé des communications numériques et de l’Agence nationale des fréquences ». Autrement dit, le gouvernement décide et les maires la ferment. « La question. de la protection de la population. contre l’exposition aux ondes étectromagnétiques » n’est pas de leur « ressort », estime le rapporteur. Les opérateurs de téléphonie n’en espéraient pas tant. Pourquoi tant d’amabilités à leur endroit ? Sans doute parce que le rapporteur ne veut plus de vagues et en a assez de les voir ramer localement. 

Enarque et diplômé de l’Ecole navale, le maître des requêtes Xavier de Lesquen du Plessis Casso – ouf ! – est un marin qui sait naviguer. Il est aussi et surtout l’ancien patron du Défi Bouygues Telecom Tansiciel, qui participa, en 2000, à la Coupe de l’America avec un bateau de 60 millions de francs, dont les deux tiers ont été fournis par l’opérateur de téléphonie mobile. Cela crée des liens. 

Du coup, les municipalités craignent un jugement téléphoné… 
Sollicité par « Le Canard le rapporteur n’a pas décroché. 
Le Conseil d’Etat assure, lui, qu’« eu égard à l’ancienneté des faits » le conflit d’intérêts n’existe pas. Un avis d’expert : en janvier, son patron, Jean-Marc Sauvé, avait rendu au président de la République un rapport sur le sujet. Sans intérêt sûrement. 

Jean-Michel Thénard


Voir aussi et surtout : http://www.next-up.org/France/Paris.php


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Antennes-relais : le bras de fer se durcit entre Paris et les opérateurs

ZDNet.fr   Publié le 18 octobre 2011

Réglementation – Suite à la non-reconduction de la Charte parisienne de la téléphonie mobile, la Mairie a décidé de suspendre l’implantation d’antennes-relais sur les toits des bâtiments municipaux. La 4G menacée ?

Le torchon brûle à nouveau entre la Mairie de Paris et les opérateurs de téléphonie mobile. En jeu : le problème des antennes relais et leur émission d’ondes.

Leurs relations s’étaient pourtant normalisées depuis 2003 avec la signature de la Charte de la téléphonie mobile qui permettait à chacun de protéger ses intérêts. Les opérateurs pouvaient continuer à installer des antennes dans la capitale à la condition de ne pas dépasser un certain seuil d’émission (de 2 V/m en moyenne sur 24 heures, vérifiable et régulièrement contrôlé) afin de calmer les multiples associations luttant contre leur prolifération.

Pression 

Mais lors de la renégociation de cette charte, les opérateurs ont visiblement été trop gourmands. « A l’issue de nombreuses réunions de négociations, la Fédération Française des Télécoms (FFT) et les 4 opérateurs ont fait part d’exigences inacceptables : augmentation du seuil à 10 voire 15 V/m (protocole ANFR), caractère consultatif des décisions de la CCTM, retrait des opérations d’intégration paysagère des antennes existantes ou encore non communication de la date d’activation des antennes, renvoyant ainsi la charte parisienne à un simple résumé de la règlementation nationale existante », tonne la Mairie de Paris qui a considéré que la Charte était rompue.

Et de « condamner l’attitude de la Fédération Française des Télécoms qui constitue un recul dans le dialogue que la Ville a toujours tenu à maintenir, sur une question qui préoccupe une grande partie de nos concitoyens ».

Si les opérateurs se disent « surpris » de ces déclarations, la Mairie de Paris a décidé d’augmenter encore la pression afin de parvenir à un accord. Elle vient en effet de suspendre l’implantation d’antennes-relais sur les toits des bâtiments municipaux.

Une interdiction qui tombe au plus mal. Les opérateurs doivent en effet déployer de nouvelles antennes pour la 4G dont les licences viennent d’être attribuées. Quant à Free, ses déploiements en cours dans la capitale pourraient être freinés par cette décision.

Le FAI doit également s’appuyer sur des bâtiments municipaux pour tenir ses engagements de couverture. Rappelons néanmoins que l’opérateur n’appartient pas à la FFT.

Par ailleurs, la Mairie va lancer une étude juridique sur la situation des installations actuelles et travailler sur la proposition d’une charte unilatérale qui serait proposée aux opérateurs. 

Bref, la Mairie de Paris est dans une position de force. Les opérateurs ont besoin d’autorisations nouvelles pour leurs réseaux et cette suspension pourrait s’avérer très pénalisante. Il faudra donc repasser par la case négociations et accepter de réduire leurs ambitions quant à une augmentation des émissions.

Reste que les opérateurs se sont trouvés un allié de poids en la personne d’Eric Besson, ministre chargé de l’Economie numérique. Ce dernier explique que « suspendre le déploiement des réseaux mobiles dans la capitale à l’issue de cette première réunion est une décision précipitée et disproportionnée ». 

« Alors que le Gouvernement s’apprête à délivrer les premières licences 4G pour le très haut débit mobile, il est regrettable que la Mairie de Paris décide unilatéralement de bloquer le déploiement des réseaux numériques mobiles. J’invite la Mairie de Paris à reprendre rapidement la discussion avec les opérateurs, afin que les parisiens ne soient pas privés des avantages du très haut débit mobile », ajoute le ministre.

Une réaction qui a ulcéré le maire de Paris : « Eric Besson, ministre chargé de l’Industrie, de l’Énergie et de l’Économie Numérique s’est cru ce mardi dans l’obligation de s’ingérer dans les relations entre la Ville de Paris et les opérateurs de téléphonie mobile. Bien mal informé, Eric Besson déforme la réalité ».

Et de poursuivre : « La réaction intempestive d’Éric Besson est en réalité une tentative de masquer l’immobilisme du gouvernement, qui n’a pris aucune décision deux mois après les conclusions du comité opérationnel sur l’exposition aux ondes radios (COMOP) et trois ans après le Grenelle des Ondes. Les citoyens doivent se contenter d’un communiqué de presse et de la création du COPIC (Comité Opérationnel Issu du Comop) ».

Source : http://www.businessmobile.fr/actualites/antennes-relais-le-bras-de-fer-se-durcit-entre-paris-et-les-operateurs-39764913.htm


Voir aussi : http://www.next-up.org/France/Paris.php

http://www.robindestoits.org/Rupture-d-une-charte-parisienne-de-la-telephonie-mobile-qui-reduisait-les-ondes-AFP-13-10-2011_a1337.html

http://www.priartem.fr/Charte-parisienne-sur-les-antennes,929.html

http://www.robindestoits.org/Antennes-relais-les-operateurs-affichent-leur-irresponsabilite-la-Ville-doit-geler-l-occupation-des-sites-municipaux_a1336.html

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Mondonville. Le projet d’antenne relais inquiète les riverains

  Mardi 18 Oct – 13:18 – Saint Luc

Le collectif contre l'installation de l'antenne relais a exposé ses arguments samedi sur le marché./ photo DDM, G. D.

Le collectif contre l’installation de l’antenne relais a exposé ses arguments samedi sur le marché./ photo DDM, G. D.

Le projet d’installation d’une antenne relais pour la téléphonie mobile sur la zone Monge-Gazan trouble la quiétude des habitants de la zone concernée. Le projet a été dévoilé le 17 juin dernier par un panneau de déclaration de travaux en bordure de la piste cyclable. Aucune réunion d’information n’ayant été tenue, les habitants du quartier ont réagi, tourmentés par l’annonce. Ce samedi sur le marché, ils étaient nombreux à exposer leurs préoccupations. C’est en se basant sur des études scientifiques suggérant un danger pour la santé humaine qu’ils ont développé leur campagne d’information.

Une pétition circule

Une représentante du collectif explique : « Nous ne sommes pas opposés à la technologie mais nous pensons à notre santé et à celle de nos enfants et nous demandons que le seuil d’émission d’ondes électromagnétiques de 0,6 voltmètre soit respecté, selon la directive européenne, comme dans la plupart des pays européens ». Selon elle « l’antenne envisagée émettrait , sur un périmètre de 7oo mètres considéré comme sensible pour la santé, c’est bien au-delà de l’acceptable alors que la couverture de Mondonville est déjà assurée ». Elle ajoute : « les maisons vont perdre de la valeur, de plus, l’antenne ne sera pas esthétique et le paysage gâché ». Une pétition circule pour demander la suppression de l’autorisation de déclaration de travaux au nom du principe de précaution. Le domaine d’Ariane, situé à proximité, accueille des enfants et des adolescents pour des séjours éducatifs. Un recours gracieux a été déposé le 16 août dernier.

SOURCE : http://www.ladepeche.fr/article/2011/10/11/1189037-mondonville-le-projet-d-antenne-relais-inquiete-les-riverains.html


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Gaz de schiste en Pennsylvanie, « leurs constats sont inquiétants »

Québec • Un groupe d’élus municipaux et de 55 citoyens québécois sont revenus de Pennsylvanie. Ils ont constaté l’enfer auquel s’attend le Québec dans 15 ans si les gazières foraient les 20 000 puits prévus dans leur plan d’exploitation du gaz de schiste.

Les participants et participantes tiennent à partager leurs commentaires et impressions1 au retour de ce périple. Plusieurs ont été surpris de la gravité de la situation, particulièrement dans les régions rurales de la Pennsylvanie, qui ont de nombreuses similitudes avec la vallée du Saint-Laurent.

Ils ont constaté que les infrastructures des régions rurales ne sont pas adaptées à un tel changement de vocation, créant des embouteillages, un trafic routier accru, des bris de routes et de ponts et l’abandon de fermes.

Les problèmes sociaux habituellement retrouvés dans les milieux urbains surgissent maintenant dans ces milieux ruraux qui ne sont pas préparés à y faire face.

Sur le plan de l’économie locale, leurs craintes quant à la diminution radicale de la valeur des propriétés lorsque l’industrie des gaz de schiste s’installe ont été confirmées.

L’augmentation du coût de la vie est présente dans le quotidien, une réalité dont ils ont été témoins. Cette situation peut certainement mener une partie de la population à un seuil critique de pauvreté.

Leurs pires craintes ont été confirmées concernant les dommages environnementaux sur l’approvisionnement en eau potable et sur la qualité de l’air.

Ils ont reçu à plusieurs reprises des mises en garde de scientifiques et de citoyens concernés. Ils se sont adressés aux Québécois afin que ceux-ci évitent de se lancer dans le développement de cette énergie fossile non conventionnelle et tournent plutôt le regard vers les énergies renouvelables. Comme leur a dit monsieur Calvin Tillman, ex-maire de Dish au Texas, « lorsqu’on sait, on ne peut plus ignorer ».

Le Parti libéral du Québec sait aussi tout ça, mais il l’ignore. En fait, le PLQ vous ignore nonchalamment. Le Parti québécois lui réclame un moratoire complet sur l’exploration et l’exploitation des gaz de schiste. « Avec tout ce qu’on apprend depuis un an, il faut, nous aussi, comme en France, interdire la fracturation hydraulique. Le gouvernement Charest doit, d’ici l’ajournement des travaux parlementaires en décembre, présenter un projet de loi en ce sens », a déclaré Martine Ouellet.

L’Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique (AQLPA) appuie les citoyens qui répètent au gouvernement la non-réceptivité du projet par la population. L’AQLPA est l’organisme à l’origine du soulèvement populaire actuel contre le gaz de schiste. Elle dénonce depuis deux ans cette filière et la façon dont elle a été mise en place.

 

Compte-rendu sur le voyage du groupe de citoyens au pays des gaz de schiste en Pennsylvanie

Source : http://depeches.ameriquebec.net/2011/10/18-gaz-de-schiste-en-pennsylvanie-leurs-constats-sont-inquietants.qc


Mardi 18 Oct     – 10:30     – Saint Luc

Caraman. Conférence sur les dangers du gaz de schiste

Caraman. Conférence sur les dangers du gaz de schiste

Le 4 octobre, le gouvernement a annoncé, avec fracas, l’abrogation des permis d’exploration du gaz de schiste. En fait, il ne s’agit que des 3 permis autour de la zone de visite du Président de la République. 61 autres permis sont toujours en vigueur dont plusieurs en Midi-Pyrénées et l’Assemblée Nationale vient de refuser un projet de loi interdisant l’exploration et l’exploitation du Gaz de schiste. Pour comprendre les enjeux et les risques de l’exploitation du gaz de schiste, en particulier pour les terres agricoles, Europe Ecologie-Les verts Lauragais organise un débat public autour de la projection du film « Gasland ».

Aujourd’hui mardi 18 octobre à 20 h 30, -Halle centrale de Caraman. Entrée gratuite.

Source :  http://www.ladepeche.fr/article/2011/10/18/1194959-caraman-conference-sur-les-dangers-du-gaz-de-schiste.html


Voir aussi : http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/gaz-de-schiste-le-permis-dexploration-de-chateau-thierry-maintenu

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WIMAX : Les opposants ne lâchent pas l’affaire

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   PUBLIÉ LE 15/10/2011 03:49 | AR. P.

Les opposants au wimax réunis autour de Jean Adoue et Daniel Jannel pour affirmer leur détermination./Photo Laurent Dard.

Les opposants au wimax réunis autour de Jean Adoue et Daniel Jannel pour affirmer leur détermination./Photo Laurent Dard.

Ils ne lâcheront pas le morceau. C’est, en substance, le message que les opposants au wimax, cette technologie d’internet haut débit sans fil, ont voulu faire passer au cours d’une conférence de presse une semaine avant la présentation du rapport de la mission d’information créée par le conseil général, après le changement de présidence. Fédérant 16 associations locales, le front du refus campe sur ses positions. Ses tenants pointent le risque sanitaire que fait peser, selon eux, le wimax sur les populations vivant à proximité des antennes. Ils contestent également le montage juridique du partenariat public-privé pour porter le déploiement du plan haut débit. à ce jour, « les 30 pylônes en exploitation desservent environ 60 abonnés (NDLR : 68 à ce jour) ! Les contribuables des Hautes-Pyrénées vont apprécier », constate Jean Adoue, l’un des porte-parole du collectif d’associations qui juge « positive » la suspension, jusqu’au 31 octobre, de l’implantation de 17 nouvelles antennes depuis le changement de présidence au conseil général. Il est également satisfait de la création de la mission d’information. « Nous avons été les premiers reçus. Nous avons pu développer nos arguments pendant deux heures et avons eu une bonne écoute, détaille-t-il. Nous espérons avoir été entendus et qu’on arrêtera le déploiement du wimax. Le contrat que nous avons eu beaucoup de mal à obtenir le prévoit : « En cas d’opposition systématique des habitants et/ou des élus et sur demande du département, une couverture terrestre sera effectuée aux frais et risques du titulaire

[…] », peut-on lire dans l’article IV.13 », ajoute Jean Adoue. « J’espère que cette mission n’a pas été créée juste histoire de gagner du temps pour permettre la fin du déploiement », lance Jean-Luc Laplagne. « Nous serons très attentifs aux recommandations de la mission », avance Daniel Jannel. « Que va-t-il se passer après le 31 octobre ? Nous avons demandé audience au président Pélieu pour le savoir », explique Jean Adoue qui réaffirme la détermination des opposants : « Si le déploiement du wimax se poursuit, nous contesterons la forme juridique du PPP, demanderons pourquoi le haut débit coûte 5 à 6 fois plus cher qu’une DSP dans la Nièvre, le Maine-et-Loire, la Charente-Maritime ou le Limousin. On utilisera tous les moyens légaux pour en sortir ».

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