Augmentation de 50% des tumeurs du cerveau chez les enfants au Royaume-Uni en 10 ans + 40% au Danemark, en Finlande – explosion du phénomène en France – 30/05/2012

  • Post category:Non classé

ROBIN DES TOITS a publié un long article sur le sujet que nous reprenons en partie ci-dessous

Les alertes concernant les populations de plus en plus jeunes se multiplient. Certes les causes de tumeurs sont plurifactorielles mais celles touchant le tronc cérébral nous interrogent : est-ce un effet direct des ondes sur le cerveau ou l’ouverture de la barrière hémato-encéphalique par les CEM, permettant l’atteinte du cerveau par des toxines qui n’y arrivaient pas avant ?

Nos jeunes sont en danger

Un projet de loi a tenté de les protéger, hélas nos députés ne l’ont pas voté ; le renvoi en commission de ce projet de loi risque de voir des enfants, de plus en plus jeunes se retrouver dans cette situation.

      Combien de morts faudra-t-il ?

      Combien d’électrohypersensibles (EHS) exclus de toute vie sociale ?

     Combien de personnes qui souffrent chez elles ou au travail sans pouvoir identifier les causes de leur souffrance?

Nous voyons grossir tous les jours le nombre de personnes devenant EHS. Nous savons combien il est difficile pour elles de se faire entendre ou simplement écouter. Pourtant ces personnes de tous âges, de toutes classes sociales, de toutes professions se retrouvent dans la même galère, victimes de discriminations. Certaines sont complètement exclues de toute vie en collectivité et se retrouvent  à vivre avec des minimas sociaux alors qu’elles  avaient un travail, une vie sociale et familiale.

 

Augmentation de 50% des tumeurs du cerveau chez les enfants au Royaume-Uni en 10 ans + 40% au Danemark, en Finlande - explosion du phénomène en France - 30/05/2012

Les chiffres qui viennent d’être publiés par le Bureau des statistiques nationales au Royaume-Uni indiquent une augmentation de 50 pour cent des tumeurs des lobes frontaux et temporaux chez les enfants entre 1999 et 2009.

Source : DailyMail UK 30/05/12

Alors que le 31 mai 2011, le Centre international de recherche sur le cancer (Circ) à Lyon, organisme de l’Organisation mondiale de la santé, classait comme « peut-être cancérogène pour l’homme » (2B) les champs électromagnétiques de radiofréquences, autrement dit les ondes émises par les téléphones mobiles, les experts se sont basés sur une étude montrant un risque de gliome accru de 40% chez des « gros » utilisateurs de téléphone portable (30 minutes/ jour en moyenne sur 10 ans).

Evolution des cancers du cerveau au Danemark et en Finlande :
Augmentation de 40% des tumeurs cérébrales au Danemark de 2001 à 2010 – Registre du Cancer Danois – 16/12/2011

En France :

En 2006 INVS  s’interrogeait sur le sujet

En 2012 Le journal de l’institut Curie reprends le sujet

En 2013  Information Hospitalière publie sur le sujet

Allez consulter ces articles sur le site de ROBIN DES TOITS en suivant ce lien :  Ici

Facebooktwitterlinkedinmail

Ondes électromagnétiques : dangers sur le sommeil et le cerveau

  • Post category:Non classé

Le sommeil, la concentration et le comportement alimentaire des mammifères sont perturbés par les champs et ondes électromagnétiques.

La question de l’innocuité des champs électromagnétiques sur l’homme refait surface. A l’heure actuelle aucune étude scientifique n’a pu démontrer les risques certains pour la santé de l’homme d’une exposition aux champs et ondes électromagnétiques des antennes relais des téléphones portables ou encore des ondes wifi. Pour autant, le principe de précaution pourrait conduire à la mise en oeuvre d’une nouvelle politique de santé publique, avec notamment le recours à de nouvelles peintures dans les logements, capables de faire « barrage » aux ondes électromagnétiques.

Si les effets à long terme des ondes électromagnétiques ne sont pas connues, une récente étude de l’Ineris et de l’Université de Picardie, s’est intéressée au rôle possible des radiofréquences émises par les antennes relais dans les troubles du métabolisme et du sommeil.

Selon l’expérimentation menée sur des jeunes rats, exposés à un champ électromagnétique d’une fréquence de 900 MHz et d’une intensité de 1 V/m (soit inférieure à la limite européenne autorisée), il apparaît que ce groupe de mammifère a présenté des comportements différents du groupe témoin qui a évolué dans un environnement neutre.
Une faible exposition (0,1 à 0,3 milliwatts/kg) suffirait donc à modifier les comportements physiologiques des cobayes, notamment lors de la phase de sommeil. Les mammifères exposés aux ondes ont également connu une modification de leur comportement alimentaire.

Les effets néfastes des ondes électromagnétiques sur l’homme pourraient être similaires. Aussi, les chercheurs devraient rapidement mener de nouvelles expériences pour consolider et approfondir les résultats obtenus, notamment pour savoir si la différence de comportement alimentaire pourrait conduire à une augmentation de la masse corporelle.

Rappelons que des précédentes études scientifiques, menées depuis près de 10 ans, relatives aux effets éventuels des fréquences radioélectriques sur la santé des personnes, faisaient état de troubles du sommeil et de la concentration, d’acouphènes, et de stress chez les personnes hypersensibles.

Cette nouvelle étude devrait relancer l’intérêt de l’adoption de la proposition de loi de la députée Laurence Abeille, examinée fin janvier 2013 à l’Assemblée nationale, qui recommande de mieux définir les seuils de protection sanitaire de la population, notamment les jeunes enfants, et de les réduire le plus possible.

© 2013 Net-iris

http://www.net-iris.fr

Facebooktwitterlinkedinmail

Ondes électromagnétiques : nouveaux soupçons sur les antennes-relais

Une étude française montre que des rats exposés à un champ équivalent à celui des antennes-relais de téléphonie mobile ont un sommeil perturbé. Il est trop tôt pour extrapoler à l’homme.

Auteur: 
Sylvie Dellus

Publié le 04.04.2013

Des chercheurs de l’Ineris (Institut national de l’environnement industriel et des risques) ont exposé pendant six semaines de jeunes rats à un champ électromagnétique équivalent à celui que nous recevons dans la rue, sous le faisceau des antennes-relais de téléphonie mobile. Ils les ont comparés à un groupe de rats qui n’étaient pas exposés.

Leurs résultats montrent que les animaux soumis aux ondes électromagnétiques réagissent comme à une sensation de froid. Leur organisme se met en mode “économie d’énergie”, ce qui augmente leurs besoins énergétiques. Les rats se mettent à manger plus. Mais l’étude ne s’est pas poursuivie suffisamment longtemps pour en déduire un risque de surpoids et d’obésité.

Des différences au niveau du sommeil paradoxal

Mais surtout, les chercheurs de l’équipe Peritox (Péritanatalité et risques toxiques) ont pu observer des différences importantes dans la fréquence des épisodes de sommeil paradoxal : « Dans le groupe contrôle (les rats non exposés), le nombre d’épisode était de quatre par heure. Il était de cinq par heure chez les rats exposés », explique René de Sèze, l’un des responsables de cette étude. Les chercheurs ne parlent pas, pour autant, de véritables troubles du sommeil. Mais cette fragmentation du sommeil paradoxal laisse supposer, à long terme, des difficultés de mémorisation et des troubles de l’humeur.

Elément troublant : les personnes électrosensibles se plaignent, entre autres, de troubles du sommeil avec des difficultés d’endormissement et une durée de sommeil raccourcie.

A ce stade, il est impossible d’extrapoler à l’homme les résultats de cette étude. Le mécanisme en jeu chez le rat n’est peut-être pas présent chez l’humain, ou s’il existe, il est peut-être différent. Pour le savoir, il va falloir poursuivre les recherches.

« Une chose est sûre, l’organisme de ces rats est bousculé. Il perçoit un environnement délétère. C’est le signe qu’il se passe quelque chose. Où ? C’est difficile à dire », remarque Jean-Pierre Libert, l’un des membres de l’équipe. Pour René de Sèze, l’une des pistes les plus intéressantes à explorer serait celle du système nerveux central.

Cette étude a été entièrement financée par des fonds du ministère de l’Ecologie et du Développement durable. Elle a été publiée dans la revue Environnemental science and pollution research.

http://www.santemagazine.fr/

Facebooktwitterlinkedinmail

Le Parlement adopte une loi protégeant les "lanceurs d’alerte"

Le docteur Irène Frachon, pneumologue qui a révélé le scandale du Mediator, le 14 mai 2012 à Nanterre (Hauts-de-Seine).

Ceux qui dénoncent des scandales sanitaires ou environnementaux sont désormais protégés par la loi. Le Parlement a adopté, mercredi 3 avril, une proposition de loi visant notamment à protéger « les lanceurs d’alerte », ces scientifiques ou ces citoyens qui attirent l’attention sur les risques sanitaires ou environnementaux. Il s’agit au passage de la première loi présentée par des élus écologistes à être adoptée au Parlement français.

http://www.francetvinfo.fr/

Pour lire la suite : link

Facebooktwitterlinkedinmail

Les champs électromagnétiques : une question de santé publique au travail….. comme ailleurs.

  • Post category:Non classé

Antennes 31 et les Amis de la Terre vous invitent à une conférence-débat :
le mercredi 17 avril à 20h30
Salle du Sénéchal, rue de Rémusat, Toulouse

Par ordre d’intervention:

 Dr Patrick LAVASSO  médecin : Impact des ondes sur le vivant

 Marc KHANNE  réalisateur : Témoignage après deux ans d’enquête auprès de personnes électrohypersensibles

 Claude CANCEL  préventeur : Code du travail et prévention des risques professionnels

 Dr Jean-Frédérick DELBART : médecin du travail

Une large place sera laissée au débat

 

 

Pour voir l’affiche :   link

 

Facebooktwitterlinkedinmail

Gaz de schiste : désormais, on ne fracture plus la roche, on la « masse »

Rue89    Rue89

Rodolphe Baron | Rue89

Imprimer

Les pétroliers sont-ils les nouveaux « masseurs » de la roche ? Le 30 juin 2011, le parlement français interdit l’utilisation de la technique de fracturation hydraulique pour explorer et exploiter les gisements de gaz et de pétrole en France. Pour autant, les défenseurs de l’environnement ne désarment pas, car les industriels n’ont pas abandonné l’idée de fracturer la roche. Plus discrètement, avec d’autres mots.

Des dizaines de permis de recherche ont été délivrés avant la loi de juillet 2011 et bien d’autres sont encore dans les tuyaux de l’administration. Même s’il est toujours possible d’explorer les sols à la recherche des huiles et gaz de schistes, il n’est pas possible de les exploiter via la fracturation…

Les pétroliers poursuivent leur cartographie du sous-sol français. Dans un soucis de transparence, tout ou presque est consultable sur le site du ministère de l’Ecologie (ici, le Bassin parisien).

« Massage » : « une idée », dit le PDG de Total

Les professionnels préparent la communication de demain. Car tout l’enjeu est là, il s’agit de reprendre la main sur la bataille des mots, et les industriels parlent désormais non plus de fracturer la roche mais de la « stimuler ».

Un caillou heureux (MountainRoamer/Flickr/CC)

 

Début janvier, Christophe de Margerie, PDG de Total, indiquait au journal Le Monde qu’il ne fallait peut-être pas totalement laisser tomber la fracturation hydraulique mais repenser surtout sa dénomination :

« Il est quand même paradoxal d’entendre un membre du gouvernement annoncer que la France va faire des tests de fracturation hydraulique en Algérie [Laurent Fabius, ndlr] […] pour rapatrier la technique en France si elle est finalement jugée acceptable pour l’environnement.

Je suis fasciné par la manière dont le terme de “fracturation” a cristallisé les clivages. Aux Etats-Unis, on parle de “massaging” de la roche. C’est peut-être une idée ? »

« Du foutage de gueule »

Rue89 a contacté Séverin Pistre, hydrogéologue et professeur à l’université Montpellier-II. Il est formel sur ces nouvelles dénominations :

La suite sur ce lien : link

Facebooktwitterlinkedinmail

Centrale nucléaire du Bugey : EDF mise en demeure de faire des travaux

  • Post category:Nucléaire
Le Dauphiné Libéré
Les prescriptions qui font l’objet d’une mise en demeure avaient été faites à la suite de la visite décennale du réacteur n° 2 de la centrale de Bugey. Photo DR

Les prescriptions qui font l’objet d’une mise en demeure avaient été faites à la suite de la visite décennale du réacteur n° 2 de la centrale de Bugey. Photo DR

Des prescriptions contre les inondations n’avaient pas été suivies…

C’est un des cauchemars des antinucléaires. Et si la centrale de Bugey venait à être inondée ? Aussi, la découverte par Bernard Laponche, physicien nucléaire et membre d’Europe Écologie les Verts, que la centrale nucléaire de Bugey était sous le coup d’une mise en demeure de la part de l’Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN) depuis le 19 février, a fait monter le parti écologique dans les tours. Le parti écologique a saisi l’incident pour dénoncer « la communication hallucinante d’EDF et le silence de l’ASN ».

Que s’est-il passé ?

EDF est mise en demeure de réaliser d’ici avant le 15 mai, les travaux permettant de protéger le bâtiment combustible du réacteur n° 5 et le local diesel du réacteur n° 3 de la centrale, vis-à-vis du risque d’inondation externe induit par un séisme, en conformité avec les dispositions de la prescription fixée par la décision de l’Autorité de sûreté nucléaire du 4 décembre 2012. Cette prescription faisait suite au 3 e réexamen du réacteur n° 2 de la centrale de Bugey, qui a reçu en juillet 2012 un avis favorable de l’ASN. Cet avis indique que malgré le vieillissement, le réacteur est apte à poursuivre son activité, mais sous conditions, parmi lesquelles les fameux travaux d’amélioration de sûreté au niveau du risque d’infiltration d’eau. « EDF avait jusqu’au 31 décembre pour les effectuer. Mais, en janvier 2013, les travaux n’avaient pas été réalisés » déclare Grégoire Deyirmendjian, chef de la division régionale Rhône-Alpes de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN). Le gendarme du nucléaire a donc mis en demeure EDF. « C’est un moyen coercitif que nous avons utilisé sans aucune hésitation » ajoute Grégoire Deyirmendjian.

Et maintenant ?À la centrale on se défend d’avoir eu « une interprétation inappropriée de la prescription de l’ASN ». Sitôt connu, l’événement a été déclaré à l’ASN et une information publiée sur le site internet en février. Pour ces travaux, un dossier formel a été déposé à l’ASN car il y aura modification de l’installation. Les travaux n’ont pas encore démarré. Il faut maintenant le feu vert de l’ASN. La centrale assure être dans les temps.

Du côté d’EELV, Olivier Bertrand, conseiller général de l’Isère chargé de la coordination des élus écologistes dans les commissions locales d’information (Cli) auprès des centrales nucléaires, dénonce le manque d’information : « Cet incident devrait entraîner une réunion exceptionnelle de la Cli de Bugey. » EELV estime que « La discrétion sur une information de cette importance montre une fois de plus la volonté d’EDF de tenir le public à l’écart des réels risques liés au nucléaire. »

« C’est la première fois qu’une échéance de prescription n’est pas respectée, indique Grégoire Deyirmendjian. Au lendemain du 15 mai, l’ASN sera sur place pour vérifier la réalisation des travaux. L’élu d’EELV le promet également.

par Myriam KARSENTY le 23/03/2013

Facebooktwitterlinkedinmail

Châteaulin. Antennes-relais à la gare : la Justice annule l’autorisation

Châteaulin. Antennes-relais à la gare : la Justice annule l’autorisation

Santé jeudi 21 mars 2013

Le tribunal administratif de Rennes vient d’annuler l’arrêté autorisant l’installation d’antennes de téléphonie mobile dans le quartier de la gare. Elles sont en service depuis juin 2011.

Les Robins des toits châteaulinois ont gagné une bataille. Le tribunal administratif de Rennes vient d’annuler l’arrêté par lequel le maire de Châteaulin autorisait l’installation de trois antennes de téléphonie mobile dans le quartier de la gare. La conséquence d’un recours déposé par le collectif, opposé à l’opérateur de téléphonie Orange depuis 2010.

Une surprise pour les Robin des Toits qui, depuis, n’espérait plus beaucoup. « Nous ne savions pas si le recours avait des chances d’aboutir », reconnaît la porte-parole du collectif.

Facebooktwitterlinkedinmail