Peine durcie à 18 ans pour l’ex-propriétaire d’Eternit Suisse

Direct Matin

Créé le  03 juin 2013 à 18:54 | Dernière mise à jour le  03 juin 2013 à 19:08

Peine durcie à 18 ans pour l’ex-propriétaire d’Eternit Suisse

Peine durcie à 18 ans pour l'ex-propriétaire d'Eternit Suisse
Photo
ci-dessus
Un home passe devant des panneaux réclamant « Eternit: Justice » accrochés sur le tribunal de Turin, en décembre 2009

Un entrepreneur suisse a été condamné à 18 ans de prison lundi à Turin pour avoir provoqué la mort de près de 3.000 personnes, ouvriers ou riverains d’usines d’amiante d’Eternit en Italie, dans le plus grand procès au monde et premier au pénal sur la fibre tueuse.

La Cour d’appel de Turin a durci la peine de 16 ans de prison à laquelle Stephan Schmidheiny, ancien propriétaire d’Eternit Suisse et ancien actionnaire important d’Eternit Italie (de 1976 à 1986), avait été condamné en février 2012 en première instance, aux côtés du baron belge Louis de Cartier de Marchienne, ancien actionnaire et administrateur d’Eternit Italie au début des années 70.

M. Schmidheiny a été condamné pour « catastrophe sanitaire et environnementale permanente intentionnelle » et infraction aux règles de la sécurité au travail dans les usines de produits à base d’amiante-ciment (tubes, plaques, etc).

La Cour d’appel a en revanche abandonné les poursuites contre le baron Cartier, décédé le 21 mai à l’âge de 92 ans.

La défense de l’entrepreneur suisse a annoncé immédiatement un pourvoi devant la Cour de Cassation à Rome.

« Je suis indigné. Schmidheiny avait investi énormément dans la sécurité, 75 milliards (de lires, ndlr) à l’époque et n’en avait tiré aucun profit. Qui viendra investir en Italie dans ces conditions », a réagi avec véhémence l’un de ses avocats, Astolfo Di Amato.

A l’inverse, le procureur Raffaele Guariniello, qui avait requis 20 ans en parlant de « carences structurelles résultant de politiques industrielles décidées au niveau mondial », a qualifié le verdict d' »hymne à la vie ». « C’est un rêve qui devient réalité », a-t-il ajouté à propos d’une condamnation qui a couronné cinq ans d’enquête.

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Mauvaises ondes et VRAIES MALADIES

Mauvaises ondes 28/05/2013 à 13h21 

Chez Sophie, électrosensible mais pas dérangée

Sophie Caillat | Journaliste Rue89


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Sophie chez elle, dans l’Essonne, le 23 mai 2013 (Audrey Cerdan/Rue89)

La vie de Sophie a commencé à se rétrécir en septembre 2010, peu après le retour des grandes vacances. Presque chaque nuit, vers 2 heures du matin, elle se réveille en sursaut, puis ne parvient que très péniblement à se rendormir.

Au bout d’un mois d’insomnies, l’ingénieure de 40 ans, en pleine ascension professionnelle, se trouve épuisée, fait de la tachycardie, a des troubles de la mémoire. Sophie consulte son généraliste, qui lui prescrit un bilan sanguin et du magnésium. Rien à signaler. Bonne nature, grosse dormeuse, elle n’a aucune raison particulière d’être stressée et ne voit pas ce qui peut lui arriver.

« Comme si un flux me traversait »

Elle tient malgré tout jusqu’à Noël, avec la trêve des confiseurs elle a « l’impression que [s]on cerveau se remet à fonctionner ». Puis, en janvier, ses troubles repartent de plus belle. Elle remarque que certaines douleurs à la nuque et à la tête sont plus aiguës lorsqu’on téléphone près d’elle.

Un soir, elle roupille sur le canapé, pendant que son mari essaie son tout nouveau mobile. Il fait un mouvement, et là, elle sursaute :

« Je me suis sentie comme irradiée, comme si un flux me traversait. C’est compliqué à expliquer. »

Circonspect à l’idée que ce puisse être une réaction aux ondes, son mari propose un grand tour en voiture. Il lui fait mettre un bonnet sur les yeux et observe ses réactions pendant une heure. Verdict :

« Dès que je ne me sentais pas bien, mon mari a constaté que c’était à proximité d’une antenne ou d’un transformateur électrique. »

En regardant les symptômes de l’électrosensibilité sur Internet, Sophie se dit : « Pourvu que ce ne soit pas ça. »

Dans l’attente d’une « vraie » étude clinique

Elle nous a reçues dans le pavillon en meulière où elle est installée avec son mari, au cœur d’un petit village tranquille de l’Essonne. Seuls quelques aménagements intérieurs laissent voir que sa vie est ponctuée par ce handicap.

Dans la chambre de Sophie, un rideau agrémenté d’aluminium, pour limiter l’entrée des ondes (Audey Cerdan/Rue89)

Pour beaucoup, l’hypersensibilité aux ondes, ce sont ces gens qui se réfugient dans des grottes, s’enferment dans des cages de Faraday, semblant rejeter la civilisation dans sa globalité. Une phobie de quelques dérangés qui n’arrivent pas à mettre un nom sur leur dépression, en somme.

Reconnaissance

L’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) a lancé une expertise de long terme sur les effets des radiofréquences et conclut pour l’instant à l’« incertitude » quand à la relation de cause à effet entre l’exposition aux champs électromagnétiques d’extrêmement basses fréquences et les leucémies infantiles. Elle se penchera sur l’hypersensibilité l’an prochain.

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a jugé [PDF] en 2011 que les ondes étaient peut-être cancérigènes.

« Je n’y crois pas », me répond-on régulièrement quand je dis enquêter sur le sujet… Les malades, eux, aimeraient bien que ce ne soit pas une affaire de croyance mais de science dure, que les médecins connaissent les symptômes et sachent diagnostiquer.

C’est pour faire comprendre que sa maladie n’est pas psychologique que Sophie a accepté de prêter son visage et de nous faire entrer dans sa maison. Elle attend une vraie recherche clinique permettant de mesurer la sensibilité aux ondes, et pas ce qu’est en train de faire le professeur Choudat à l’hôpital Cochin, à Paris. Son collègue du collectif des électrosensibles, Manuel, explique pourquoi il ne faut rien en attendre :

« Les patients qu’il suit tiennent un journal de bord, indiquent comment ils se sentent, et ensuite on regarde le dosimètre qui leur a été confié pour voir quand ils ont été exposés.

Mais comme on leur a confié un dosimètre qui ne mesure que certaines gammes de fréquences et n’est pas adapté aux émissions de faibles niveaux ou de courte durée qui impactent les électrosensibles, on conclura que leur mal est psychologique. Ce que pense le professeur Choudat depuis le départ. »

« Mon cerveau était en danger »

Les symptômes se développent et deviennent de plus en plus clairs : des douleurs aiguës dans la poitrine et la nuque apparaissent lorsqu’on téléphone près d’elle ou qu’elle passe à côté d’une antenne.

Elle pensait que 40 ans était « l’âge où la vie commence » et elle va devoir enchaîner les arrêts de travail, jusqu’à la reconnaissance de son handicap. Ses trois premières semaines d’arrêt maladie, elle les passe à dormir et récupère lentement. « Par moments, j’avais 80 ans et comme un début d’Alzheimer », résume-t-elle.

Voir le document

(Fichier PDF)

Grâce à des séances chez l’ostéopathe, elle parvient à reprendre le contrôle de son rythme cardiaque. Son entourage l’épaule et son généraliste l’oriente vers le professeur Dominique Belpomme, président de l’Association pour la recherche thérapeutique anticancéreuse (Artac), l’un des rares à reconnaître les électrosensibles [voir le document ci-contre].

L’encéphalo-scan montre que le débit sanguin dans certaines zones du cerveau est insuffisant. Sur ses analyses sanguines et urinaires, le médecin observe un effondrement de la vitamine D et d’une protéine S100b, marqueur de souffrances cérébrales.

Sophie tente de retravailler, alternant arrêts maladie, télétravail, congés. Mais au retour des grandes vacances 2011, en à peine une semaine au bureau, les troubles repartent de plus belle.

« Comme on refusait d’aménager mon poste pour que je sois moins exposée, j’ai décidé d’arrêter les frais, mon cerveau était en danger. »

Sophie montre l’un de ses électroencéphalogrammes (Audrey Cerdan/Rue89)

Au bout de trois mois d’arrêt maladie, son traitement de fonctionnaire est divisé par deux, et elle touche actuellement le tiers de son salaire.

La maison départementale des personnes handicapés de l’Essonne où elle a déposé un dossier médical lui a reconnu fin 2012 le statut de travailleur handicapé, mais sans allocation.

Sophie demande à reprendre son emploi, à condition d’avoir un mi-temps thérapeutique, de pouvoir faire du télétravail, et de changer de bureau. Elle espère surtout que la justice admettra le statut de « maladie professionnelle ».

Des milliers d’euros de dépenses

Depuis deux ans, Sophie a aménagé sa vie en fonction de son électrosensibilité :

« Je vais mieux car je fais attention à moduler les périodes où je suis exposée avec des périodes de repos. »

Elle évite de se rendre plus de deux fois par semaine à Paris. Quand elle y va, par exemple pour chercher son extrait de papaye fermentée (un antioxydant) au meilleur prix, elle peine à monter les escaliers, a des rougeurs et mal à la poitrine.

Fini les concerts toutes les semaines et la vie à 100%, désormais son but quotidien est, dit-elle, de se « maintenir au-dessus de la ligne de flottaison ». Quand elle parle de son état, c’est comme s’il oscillait, à l’instar des ondes, entre des moments de bien-être, et d’autres où ça ne va pas du tout. Tout cela ne l’a pas rendue dépressive, mais un peu philosophe :

« La bonne nouvelle c’est qu’on peut aller mieux et devenir moins sensible en faisant attention, surtout si on se prend en charge dès le début. La mauvaise nouvelle c’est que l’organisme semble conserver une mémoire de ce à quoi il réagit et qu’il est prêt à repartir en vrille à la moindre occasion. »

Elle a dépensé quelques milliers d’euros dans l’aménagement de sa maison. Les huit premiers mois, elle a bricolé un baldaquin avec des couvertures de survie (dont la fine couche de métal atténue les ondes venues de l’extérieur) au-dessus du canapé-lit du salon.

A gauche, l’une des fenêtres de Sophie agrémentée d’un voilage métallique, pour limiter la pénétration des ondes ; à droite, Sophie montre un foulard tissé à base de fils métalliques, créé pour arrêter les ondes électromagnétiques (Audrey Cerdan/Rue89)

Puis, elle a fait installer un isolant spécifique dans la toiture, recouvert ses fenêtres de grillage type moustiquaire, remplacé les lampes fluo-compactes par des ampoules incandescentes, mis de l’aluminium sur le compteur électrique et la fenêtre près du lit…

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Les ondes des mobiles fatales pour les abeilles

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Sur le site de EHS actions le site des électrohypersensibles

Les ondes des mobiles fatales pour les abeilles

 La pollution électromagnétique serait l’une des causes de l’effondrement de la population d’abeilles dans le monde, c’est ce que vient de confirmer une nouvelle étude réalisée par le biologiste Daniel Favre, en Lausanne (Suisse).

On le sait depuis longtemps, le maintien des colonies d’abeilles domestiques a des implications importantes sur notre écosystème.
Dans son étude, le scientifique a analysé les effets des ondes électromagnétiques provenant des téléphones mobiles sur le comportement des abeilles.Les téléphones mobiles ont été placés à proximité immédiate des abeilles et les sons produits par les abeilles ont été enregistrés et analysés. Les recherches ont montré que le signal des téléphones cellulaires trouble le comportement des abeilles. Plus de 83 expériences près des ruches ont donné les mêmes effets !

Les résultats obtenus, sous la forme d’audiogrammes et des spectrogrammes de ces différents sons, ont révélé que les radiations des téléphones mobiles ont un impact considérable sur le comportement des abeilles, notamment en induisant des signaux d’alarme émis par les abeilles ouvrières. Ces sons de l’abeille ouvrière annoncent soit la préparation à l’essaimage, soit sont le reflet de grandes perturbations d’une colonie d’abeilles.

Les ondes de nos téléphones "fatales" pour nos abeilles

En fait, le bruit produit par les abeilles augmente plus de 10 fois, à chaque fois qu’un téléphone émet ou reçoit un appel. A l’inverse, le bruit diminue et revient à un niveau normal dès lors que le téléphone est éteint ou demeure en veille.

« Lorsque le téléphone sonne, le bruit des abeilles augmente considérablement et cela donne le signal du départ de la ruche » a expliqué le Dr. Favre. « Souvent, elles sont si confuses qu’elles volent vers  »leur mort » … la technologie de la téléphonie mobile pourrait s’avérer fatale pour les abeilles … l’étude le prouve…« .

Il est écrit dans le document de référence (1) : « Récemment, une étude a suggéré que les téléphones cellulaires et les tours de téléphonie mobile implantées à proximité des ruches d’abeilles interféraient dans leur orientation. Il a été constaté dans une expérience, que lorsque que le téléphone mobile était maintenu à proximité d’une ruche, cela avait entraîné l’effondrement de la colonie dans les 5 à 10 jours, avec des ouvrières incapables de rentrer chez elles, laissant seules les ruches avec des reines, des oeufs et des abeilles encore immatures (Sahib Pattazhy 2009 ). »

Aussi, pour minimiser les dommages causés aux abeilles, il a été décidé dans la présente expérience de limiter leur exposition aux communications de téléphone mobile à un maximum de 20 heures.

Les ondes de nos téléphones "fatales" pour nos abeilles

Cette étude peut grandement contribuer à élucider les causes des mystérieuses disparitions des colonies d’abeilles dans le monde. En effet, mis à part les varroas (acariens), les virus, les bactéries (qui sont des causes biologiques), ou encore les pesticides (reflétant les causes anthropiques), il reste que plus de la moitié des causes de disparition d’abeilles dans l’hémisphère nord ne sont pas élucidées à ce jour. En effet, il a été observé que dans plus de 60% des cas, les abeilles quittent la ruche durant l’hiver, à un moment où elles n’ont aucune chance de survivre dans la nature.

[MAJ – 12/05/2011 – 20h20 ]

(1) Le détail de l’expérience est disponible >>>> ici (en anglais)

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DES ABEILLES, DES OISEAUX ET DES HOMMES

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DES ABEILLES, DES OISEAUX ET DES HOMMES
La destruction de la nature par l’« électrosmog »
Ulrich Warnke
Les effets de la téléphonie mobile et des techniques
de communication sans fil
Une publication de Kompetenzinitiative zum Schutz
von Mensch, Umwelt und Demokratie (Initiative Compétence pour la
protection de l’homme, de l’environnement et de la démocratie)

40 pages ou tout est expliqué

Pour voir la brochure c’est lCI

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La nocivité des ondes wifi remise en question par des étudiantes Danoises

Il ne faut pas désespérer de la jeunesse, la preuve. C’est peut-être une expérience a reproduire, chez soi ou en cours de science.

Le 23/05/2013 à 18:05

Un groupe de 5 jeunes lycéennes Danoises de l’école de Hjallerup ont mené une expérience sur des graines de cresson. Ces étudiantes avaient pour objectif de déterminer si oui ou non, les ondes wifi influençaient le développement de certains végétaux. Les résultats sont effarants.

Pendant 12 jours, les étudiantes Danoises ont étudiés deux semences de cresson. La première exposée aux ondes wifi, la deuxième isolée de toute radiation. Résultat : les graines exposées n’ont presque pas germé et quelques-unes ont même muté, alors que celles situées dans la chambre sans radiation ce sont développées sans problème (comme le montrent les deux photos ci-dessous).

Les jeunes scientifiques avaient sérieusement préparé leur expérience en répartissant leurs graines sur 12 assiettes, pour ensuite les déposer dans deux chambres distinctes, la première a été exposée aux ondes d’un routeur wifi de la norme IEEE 802.11g, la seconde non. Les mêmes conditions d’éclairage et d’arrosage ont été orchestrées sur les différentes semences.

L’idée de cette expérience leur est venue des difficultés rencontrées à se concentrer pendant les cours. L’une d’elles raconte : « nous pensions que les problèmes de concentration à l’école et parfois d’insomnie venaient du fait que nous dormions avec nos téléphones portables à côté de notre tête ». De ce constat, elles ont imaginé une expérience facilement réalisable montrant l’effet des ondes. Elle ajoute : « c’est vraiment effrayant d’observer un effet aussi flagrant et nous avons été vraiment frappées par de tels résultats. »

Cette expérience simple et ingénieuse a tout de suite attiré l’attention des spécialistes en ondes électromagnétiques. De très sérieux chercheurs du Royaume-Uni, de Suède et des Pays-Bas ont montré un intérêt pour le projet. Certains ont décidé de reproduire l’expérience dans leurs laboratoires scientifiques. Le professeur Olle Johansson de l’Institut Karolinska de Stockholm commente : « dans les limites de leurs compétences, les filles ont mis sur pied et documenté un travail d’une grande élégance. La richesse de détails et de précisions est exemplaire, le choix du cresson est très intelligent, et je pourrais continuer mes éloges. »

Au final, les étudiantes ont reçu le prix du concours « Jeunes Chercheurs ». Fort des conclusions tirées de leur expérience, elles ont décidé de poser leurs téléphones à l’extérieur de leurs chambres et d’éteindre leurs ordinateurs systématiquement avant de se coucher.

Pendant ce temps-là, un peu partout dans le monde le wifi se démocratise en devenant de plus en plus commun, puissant et rapide. Dernièrement, le Coréen Samsung vient de battre un record de vitesse pour un réseau wifi en obtenant une liaison avec un débit de 40 Go/s. Une telle vitesse équivaut à une bande passante capable de transférer 10 films HD en une seconde. De tels débits pourraient arriver dans quelques années avec la norme 5G.

Rédaction : Mathieu Doutreligne

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Vous voulez voir les Antennes SFR

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Liste des antennes relais SFR implantées dans le département « Haute-garonne »

542 antennes relais sont actuellement repertoriees chez l’opérateur SFR

S i vous voulez les voir suivez ce lien en cliquant  ICI

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Elles continuent à arriver en Haute-Garonne !

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Les antennes FREE se déploient dans le 31 voici les dernières annoncées.

 

  • 1033973 – Accord donné le 13/05/2013 – À: 3 PL DES CARMES, 31000 TOULOUSE
  • 1034426 – Accord donné le 13/05/2013 – À: VC 2, LAS MARGALIDES, 31600 LABASTIDETTE
  • 1035481 – Accord donné le 17/05/2013 – À: 110 BOULEVARD SILVIO TRENTIN, 31000 TOULOUSE
  • 1036637 – Accord donné le 17/05/2013 – À: 59 RUE DE MAURYS, 31150 GRATENTOUR

INFO: Désormais 23,2% du réseau Fre e Mobile est activé pour la 4G !


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Que savez-vous de la biologie de synthèse ?

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La révolte des chimpanzés du futur

10′ d’une vidéo pour vous informer un peu de ce qui se prépare en coulisse, édifiant !

Un film de Camille Ludd, qui retrace l’intervention des Chimpanzés du futur au pseudo-forum de la Biologie de synthèse, à Paris le 25 avril 2013.

Avec, par ordre d’apparition :

– Pierre-Benoit Joly (directeur de l’Institut francilien Recherche Innovation Société),
– François Képès (chercheur à l’Institut de biologie systémique et synthétique),
– Jean Weissenbach (directeur du Genoscope – CEA),
– Jacques Haiech (chercheur en biotechnologies, vice-président du conseil scientifique des Entreprises du médicament),
– Jean Gayon (directeur de l’Institut d’histoire et de philosophie des sciences et techniques),
– José Cambou (secrétaire nationale de France Nature Environnement),
– Ali Saib (coordinateur de l’Observatoire de la biologie de synthèse),
– Louis Laurent (représentant de l’Anses, ex-physicien au CEA),
– Marie-Angèle Hermitte (juriste, CNRS),
– Alexei Grinbaum (philosophe au CEA),
– Didier Hoffschir (haut fonctionnaire au ministère de la Recherche),
– Une horde de chimpanzés du futur,
– Des lycéens de Paris et Montrouge amenés par l’association d’Ali Saib, « L’Arbre des connaissances ».

Ce film a été entièrement tourné en décors naturels, sans un sou du Centre national du cinéma, ni de personne.

 Musique : Jean Wiener.
 Montage : Camille Ludd.

Allez-y et emmenez vos amis !

Merci de faire circuler,
Pièces et main d’oeuvre

***

Pour ceux qui ont manqué les épisodes précédents, voir le site de PMO (
Pièces et main d’oeuvre)

Allez voir cette vidéo en cliquant lCI

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