Les Massatois contre l’antenne SFR

LA-D-p-che-copie-1.png   Publié le 04/04/2010 11:14 | J.M.

Les manifestants ont fait la fête sur la place du village avant de se rendre sur le site où devrait être implanté la future antenne SFR / Photo DDM

Manifestation hier à Massat : les habitants ne veulent pas d’une antenne de téléphonie mobile près du village ; ils disent qu’il y en a déjà suffisamment.

Hier après-midi, une centaine de personnes ont manifesté à Massat contre la future implantation d’une antenne relais SFR de téléphonie mobile, à proximité du village. Un collectif nommé « Opidom » (opposants à la prolifération incontrôlée des ondes électromagnétiques), avec le soutien du maire, Léon-Pierre Galy-Gasparrou, a déjà recueilli 500 signatures contre ce projet ; un recours a été également déposé à la sous-préfecture de Saint-Girons qui n’y voit rien d’illégal. La préfecture a délivré le permis de construire, contre l’avis du maire et du conseil municipal. Les opposants reprochent aux antennes d’envahir le paysage et la vallée de Massat serait déjà suffisamment couverte (pylônes à Biert et Boussenac). Ils préconisent que les opérateurs SFR et Orange, mutualisent leurs moyens pour éviter la prolifération, génératrice de pollution visuelle. Enfin, l’argument choc, c’est que le principe de précaution s’impose alors qu’un débat fait rage en ce moment sur les effets des ondes électromagnétiques sur la santé. Ils remarquent que la nouvelle antenne serait trop proche du village (moins de 50 mètres des maisons, et moins de 300 mètres de l’école selon, leurs estimations). Le maire trouve particulièrement singulier que l’architecte des bâtiments de France et le Syndicat départemental des collectivités électrifiées aient pu donner un avis favorable à ce projet avant même qu’il soit déposé en mairie. « C’est aussi le rôle des élus que de donner leur avis. La population avait attiré mon attention sur la problématique de l’antenne et, pour la première fois à Massat, les autochtones comme les néoruraux sont du même avis ; pas de clivage. Des procédures sont lancées et j’aimerais que le conseil municipal puisse être écouté par le préfet. » En tout cas le maire serait en mesure, d’après « Opidom », de bloquer le passage de la ligne électrique du pylône.

Source :  http://www.ladepeche.fr/article/2010/04/04/810370-Les-Massatois-contre-SFR.html

Facebooktwitterlinkedinmail

Le Sénat bannit les biberons au bisphénol A

  • Post category:Information

Biberons au Bisphénol A: vote du Sénat

logo_france2.png  Publié le 25/03/2010 | 10:25

Bisphénol A : alerte aux biberons plastiques

Bisphénol A : alerte aux biberons plastiques

Le Sénat a adopté mercredi un texte de loi suspendant la commercialisation des biberons au Bisphénol A

Le texte, proposé par le groupe RDSE à majorité radicaux de gauche, a été adopté à l’unanimité par les sénateurs après amendement.

A l’origine, il proposait l’interdiction de la molécule de Bisphénol A dans tous les plastiques alimentaires. Mais un amendement UMP l’a limité à la seule suspension de commercialisation des biberons au Bisphénol A.

Le mois dernier, l’Afssa (Agence de sécurité sanitaire des aliments) avait reconnu pour la première fois qu’il y avait dans les dernières études des « signaux d’alerte », tandis que l’agence américaine de sécurité des aliments et des médicaments (FDA) soutenait l’initiative des industriels américains de ne plus utiliser de Bisphénol A dans les récipients contenant des aliments pour bébés.

De nombreuses communes ont déjà suspendu l’utilisation de biberons au bisphénol A dans leurs crèches, notamment à Paris et Besançon.

Cette proposition de loi doit encore être inscrite à l’ordre du jour de l’Assemblée nationale pour pouvoir poursuivre son parcours parlementaire.

Le Bisphénol A est un produit chimique utilisé dans la fabrication d’un plastique dur transparent, le polycarbonate, employé notamment pour la fabrication des biberons ou les bonbonnes d’eau. Il est présent aussi dans les résines époxy qui tapissent l’intérieur des boîtes de conserve et des cannettes.

Les réserves de la ministre
Tout en se déclarant « plutôt favorable » à l’amendement, la ministre de la Santé, Roselyne Bachelot a cependant émis deux réserves, à savoir « un risque réel de contentieux européen » et le fait que l’innocuité des substituts au Bisphénol A n’a pas été suffisamment étudiée.

Lors de la discussion générale avant l’examen des amendements, Mme Bachelot  avait demandé aux sénateurs de « réfléchir à deux fois avant d’interdire » le bisphénol A dans les plastiques alimentaires.

« Aucun pays au monde n’a pris de mesure d’interdiction », avait-elle lancé. Elle a toutefois indiqué que son ministère étudiait « la possibilité de modifier par voie réglementaire la limite autorisée de migration du bisphénol A dans les aliments, actuellement fixée à 0,6 mg/kg d’aliment ».

« Une avancée » pour le groupe RDSE 
L’auteur de la proposition de loi, le président du groupe RDSE, Yvon Collin, a souligné que « loin d’être rassurantes, les études scientifiques se suivent et  n’en sont que plus alarmantes ». Son groupe, en regrettant que le texte ait été considérablement réduit, a voté l’amendement de la commission des Lois le qualifiant « d’avancée ».

« Nous n’avons pas le temps d’attendre les résultats de quelconques études  supplémentaires, celles-ci sont déjà assez nombreuses pour appliquer le principe  de précaution », a renchéri Patricia Schillinger (PS).

Source :

______________________________________________________________________

   France Info – 24 mars 2010

ABISPHenol.jpg

Philippe LERIDON – Fotolia.com

A l’unanimité, les sénateurs ont adopté une proposition de loi qui vise à suspendre la commercialisation de ces biberons – déjà interdits dans les crèches de plusieurs villes, dont Paris.

Cancers, diabète, dysfonctionnements thyroïdiens… Le bisphénol A est frappé de tous les maux. A tel point que son interdiction est de plus en plus dans l’air du temps… Ce sont des sénateurs qui se sont emparés du dossier – et qui ont obtenu, partiellement, gain de cause.

Ce soir, le Sénat a voté, à l’unanimité, la suspension de la commercialisation des biberons produits à base de bisphénol A.
La victoire n’est qu’incomplète : à l’origine, la proposition de loi voulait interdire la molécule dans tous les plastiques alimentaires.

Après avoir longtemps tergiversé, l’Afssa, l’Agence de sécurité sanitaire des aliments, avait fini par reconnaître qu’il y avait dans ses études des « signaux d’alerte ».
De son côté, Roselyne Bachelot, la ministre de la Santé, qui s’était déclarée « plutôt favorable » au texte de loi, avait émis deux réserves : un risque de contentieux européen – « aucun pays au monde n’a pris de mesure d’interdiction », a-t-elle déclaré -, et le manque d’études sur les substituts au bisphénol

L’histoire n’est pas encore terminée, loin de là : la proposition de loi doit maintenant poursuivre sa navette parlementaire, et être inscrite à l’ordre du jour de l’Assemblée nationale.

 

Source : 

http://www.france-info.com/france-politique-2010-03-24-le-senat-bannit-les-biberons-au-bisphenol-a-421843-9-10.html

Facebooktwitterlinkedinmail

Antennes relais : les opérateurs sont aux abois (Avocat)

  • Post category:Justice

  Marc Fauvelle – 08:27

France Info -

© FOTOLIA

Bouygues Télécom, qui avait été condamné en 2009 à démonter une antenne relais dans le Rhône, pour cause d’incertitude sur l’impact sanitaire sur les riverains, renonce à se pourvoir en cassation.
Pour Richard Forget, avocat spécialiste des antennes relais, c’est un « aveu de faiblesse » de la part de l’opérateur.

L’arrêt contre Bouygues télécom date de février 2009. La cour d’appel de Versailles avait exigé le démontage d’une antenne-relais à Tassin-la-Demi-Lune dans le Rhône. Elle avait invoqué l’incertitude concernant un éventuel impact sur la santé des riverains. D’ailleurs, l’opérateur était censé aussi verser 7.000 euros de dommages et intérêts à trois couples de voisins. C’était une première en France !

Aujourd’hui, l’avocat des parties civiles, Maître Richard Forget estime qu’en renonçant à se pourvoir en cassation, Bouygues Télécom ne veut pas risquer un avis défavorable. Selon lui, l’opérateur manque d’arguments valables.

Source :  http://www.france-info.com/chroniques-au-fil-de-l-actu-2010-04-02-antennes-relais-les-operateurs-sont-aux-abois-avocat-425188-81-346.html

Facebooktwitterlinkedinmail

Après Orange, Bouygues Telecom se désiste en procédure de Cassation, c’est La fin d’un long combat pour le collectif des Riverains du Gouttet de Tassin-la-demi-Lune.

  • Post category:Justice

Dossier NEXT-UP

Après Orange, Bouygues Telecom se désiste en procédure de Cassation, c’est La fin d’un long combat pour le collectif des Riverains du Gouttet de Tassin-la-demi-Lune.
2 Avril 2010 : Après l’opérateur Orange SA qui s’est désisté en procédure par devant la Cour d’Appel de Versailles concernant la surmortalité due aux antennes relais, c’est au tour de Bouygues Telecom de jeter l’éponge (désistement) dans la procédure en Cassation que l’opérateur avait initié concernant les antennes relais de Tassin-la-demi-Lune. Dans les deux cas, il ne fait aucun doute qu’après analyse par leurs stratèges et avocats spécialisés, les décisions de désistements de procédures d’Orange ou de Bouygues Telecom ont été prises face à un risque de jugements défavorables par l’absence d’arguments valables.
Bouygues Telecom qui avait été condamnée le 18 septembre 2008 en première Instance par le TGI de Nanterre au démantèlement de sa macro-station de base d’antennes relais au nom du principe de précaution, avait interjeté une procédure d’appel du jugement par devant la Cour d’Appel de Versailles qui avait confirmé le 4 février 2009 en deuxième instance le jugement du TGI de Nanterre.
Afin de se pourvoir en Cassation, Bouygues Telecom avait démantelé ses antennes relais de Tassin-la-demi-Lune le 6 mars 2009 [dossier démantèlement], mais après plus d’un an d‘instruction du dossier en Cassation, Bouygues Telecom a préféré jeter l’éponge en se désistant de la procédure de Cassation. Pour Me Richard Forget l’avocat des Riverains du Collectif du Gouttet c’est « un aveux de faiblesse », qui confirme définitivement donc les attendus des autres jugements, notamment en matière de dédommagements dus aux riverains.

Les antennes relais de BT à Tassin-la-demi-Lune
C’est aussi la fin d’un long combat et d’une saga judiciaire pour l’opiniâtre collectif des Riverains du Gouttet dont la détermination a été affichée dans cette affaire depuis le début, c’est-à-dire depuis . . . 2004 !. Même si le jugement de la Cour d’Appel de Versailles va faire évidemment jurisprudence, paradoxalement, force est de constater que depuis quelques mois les jugements de premières instances ou de procédures d’appels, voir ceux des Tribunaux Administratifs concernant les antennes relais sont défavorables aux plaignants, ceci notamment par une inexpérience des avocats qui ne s’entourent pas assez de conseils spécialisés concernant la problématique très spécifique de la Téléphonie Mobile.
Le dossier complet avec l’historique. Reportages photos, vidéos et jugements depuis la première extériorisation du collectif le 17 juin 2004 [click]
Il n’en reste pas moins que la décision de Bouygues Telecom de se désister d’une procédure en cours d’instruction en Cassation est un signe fort et encourageant pour tous ceux qui luttent contre cette nouvelle pollution environnementale, ses effets délétères sur la santé et pour un abaissement des seuils d’irradiation conformément aux conclusions du consortium scientifique BioInitiative (0,6V/m).
Néanmoins par expérience, Next-up organisation n’attend pas grand chose de positif du Grenelle totalement pris en main de façon très subtile par les lobbies au travers de responsables politiques afin de faire perdurer tant se peut le système actuel. Pour que la téléphonie mobile soit compatible avec la santé humaine, il y a nécessité d’une volonté politique qui n’est pas du tout affichée aujourd’hui, suivie d’actes concrets avec en parallèles des avancées technologiques salutaires : c’est la seule et unique issue aux conflits engendrés par les antennes relais dont les industriels sont totalement responsables. L’abaissement général des seuils de toutes les sources d’immixtion à 0,6V/m en extérieur et 0,2 V/m à l’intérieur des zones de vie (rapport BioInitiative) en est la première mesure phare majeure et fondamentale (modification décret 2002-775) suivi par un démantèlement progressif des antennes relais terrestres avec en premier les macro-stations situées en zone urbaine et leurs remplacements par une téléphonie mobile satellitaire. Les antennes relais de Bouygues Telecom Compilation de reportages vidéo [click]
Parallèlement le passage au stade industriel et la commercialisation d’une Téléphonie Mobile écologique, c’est-à-dire propre avec des terminaux (mobiles) et antennes relais photoniques est le but final à atteindre. En tout état de cause, la génération mobile actuelle est une génération perdue, si les politiques en portent une grande part de responsabilité, les parents de part leur insouciance en sont co-responsables, l’avenir proche ne fait aucun doute
sur ce qui va arriver, la journaliste Annie Lobé l’a très bien analysée. Florence, une de Riveraine plaignante contre Bouygues Telecom c’est exprimée en ces termes

Source : http://www.next-up.org/pdf/Bouygues_Telecom_antennes_relais_desistement_procedure_Cassation_02_04_2010.pdf

Facebooktwitterlinkedinmail

Sainte Foy de Peyrolières : Le conseil municipal doit se prononcer le 6 avril sur le projet d’antennes de téléphonie mobile sur le château d’eau.

Collectif de Sainte Foy de Peyrolières

 

OUI au principe de précaution et à la prudence pour nos enfants!

NON aux antennes au coeur du village, près des écoles et habitations!

 

Le conseil municipal doit se prononcer le 6 avril sur le projet d’antennes de téléphonie mobile sur le château d’eau. Le syndicat des eaux, propriétaire du lieu, s’est engagé à suivre cette décision.


Lors de la réunion publique du 12 février, M. Oberhausen, physicien, a confirmé que les émissions des antennes-relais n’étaient pas sans risques sur le long terme, surtout pour les enfants (stress, insomnies, migraines, tumeurs, leucémies, …).
L’opérateur s’abrite derrière les textes officiels indiquant l’absence de danger en l’état actuel des connaissances. L’agence officielle AFSSET recommande pourtant de limiter l’exposition du public !
Rappelez-vous, les textes officiels niaient le danger de l’amiante ou bien affirmaient que le nuage de Tchernobyl s’était arrêté aux frontières…


– La simulation de couverture présentée par l’opérateur montre qu’une partie du Parayré et certains hameaux ne seront toujours pas couverts ! Le but premier d’Orange n’est pas de couvrir Ste Foy mais de profiter du point haut existant pour «arroser » à moindre coût la plaine du sud-ouest Toulousain. Où est l’intérêt de la commune ?


– Des solutions alternatives plus prudentes peuvent exister mais l’opérateur ne les étudiera que si ce projet sur le château d’eau est refusé.


– Où est la cohérence avec les projets d’aménagement du village : crèche, agrandissement école et maison de retraite, commerces, … ??


– La proximité d’antennes-relais entraîne des nuisances et une crainte justifiée et ainsi une dévaluation du patrimoine immobilier (20 à 30% ; exemple de la décision du 20/09/2005 de la cour d’appel de Bordeaux) !

NON! la mission de nos élus n’est pas de satisfaire les intérêts des actionnaires d’Orange mais de défendre ceux de leurs administrés!

Nous comptons sur leur bon sens et leur prudence!

RDV le 6 avril pour assister à la décision.

Voir le tract au format PDF :  //http://www.fichier-pdf.fr/2010/04/01/7hokdv3/TRACT_27032010.pdf

Facebooktwitterlinkedinmail

Tassin-la-Demi-Lune (Rhône). Antennes relais : Bouygues renonce à la cassation

  • Post category:Justice

  Clubic   Publiée par  Olivier Robillart le Jeudi 1er Avril 2010

© fotocontakt Fotolia.com LOGO relais antenne Copie

L’opérateur Bouygues met fin au suspens sur le démantèlement de certaines antennes-relais. Pour autant la polémique n’est pas éteinte. Bouygues vient de décider de renoncer à se pourvoir en cassation dans l’affaire des antennes de Tassin-la-Demi-Lune (Rhône). En effet, l’opérateur semblait en mauvaise posture après sa condamnation par la cour d’appel de Versailles.

Contacté, Etienne Cendrier, porte-parole de l’association Robin des Toits, a confirmé la décision du géant des télécoms en expliquant que cette décision était « définitive. Cela démontre l’état de faiblesse des opérateurs puisque d’autres procédures sont en cours. Il poursuit, si les risques sanitaires se vérifient, nos sommes en face d’une véritable crise sanitaire ».

La décision pourrait faire boule de neige si cette jurisprudence parvient à être confirmée. Dans leur attendu, les juges avaient considéré qu’ « aucun élément ne permet d’écarter péremptoirement l’impact sur la santé publique de l’exposition de personnes à des ondes ou des champs électromagnétiques ». Le principe de précaution pourrait même être appliqué aux différents procès entre opérateurs à Pertuis, Château-Thierry, Gerson…

Du coup, Bouygues doit démonter des antennes de Tassin-la-Demi-Lune (Rhône) sous astreinte de 500 euros par jour de retard. Il doit aussi verser 7.000 euros de dommages et intérêts à chacun des trois couples qui estimaient avoir été exposés à un risque.

Source :   http://www.clubic.com/actualite-333318-bouygues-renonce-cassation-demontage-antennes-relais.html

Facebooktwitterlinkedinmail

Après l’Iphone et l’Ipad voici maintenant l’Iphone Bio compatible LTE (Long Terme Evolution) ou 4G.

  • Post category:Humour

Tout d’abord en ce jour anniversaire de la création de notre blog Antennes 31 tient à remercier les 630 000 visiteurs uniques qui l’ont parcouru, notamment les nombreux opérateurs en espérant qu’ils y ont trouvé les informations recherchées. Nous espérons vous y voir toujours plus nombreux afin de faire progresser notre cause.


Steve Jobs et Apple n’ont pas de limite, ils viennent de le prouver en lançant un pavé dans la marre des opérateurs pro-ondes  en inventant un téléphone entièrement Bio et dénué de toutes traces électromagnétiques. On peut donc penser que la fronde des opérateurs face à Apple a de beaux jours devant elle, comme cela a été fait au World Congress  de Barcelone où il n’était pas présent d’ailleurs. Les associations se félicitent de cette invention qui apporte un réel espoir.


Antennes 31 a le plaisir de vous dévoiler en avant première ce merveilleux téléphone Bio où  les ondes sont absentes comme en témoigne la sonde isotropique.

C’était notre poisson d’avril 2010.

 

Pour  voir ce bijou de technologie cliquer ici.

Facebooktwitterlinkedinmail