Le pylône s’étoffe à Rignac

LA-D-p-che-copie-1.png   PUBLIÉ LE 28/10/2010 08:19 | PROPOS RECUEILLIS PAR ANAÏS ARNAL

L'antenne relais, située le long de la route de Rodez, est voisine d'un supermarché et des établissements scolaires du village. Une proximité que dénonce le collectif, au nom du principe de précaution./Photo DDM, archives.

L’antenne relais, située le long de la route de Rodez, est voisine d’un supermarché et des établissements scolaires du village. Une proximité que dénonce le collectif, au nom du principe de précaution./Photo DDM, archives.

L’association Antenne relais santé publique Rignac organisait son assemblée générale mardi soir. L’occasion de faire le point et d’envisager les actions prochaines.

Michel Mirabel, président de l’association Antenne relais santé publique Rignac (ARSPR), dressait hier un bilan de l’année écoulée. Son combat mené contre l’antenne relais n’est pas gagné.

Votre assemblée générale a-t-elle attiré du monde ?

Il y avait près de 70 personnes. Certaines ayant déjà connaissance du problème et d’autres venues s’informer sur les risques des champs électromagnétiques et sur la situation locale. Nous avions aussi invité les élus mais aucun d’eux n’est venu.

Pouvez-vous rappeler pourquoi l’ARSPR a été créée ?

Depuis 2009, nous demandons que le pylône, situé route de Rodez, qui porte les antennes relais des opérateurs de téléphonies mobiles soit déplacé à au moins 400 mètres des habitations et ce, dans le cadre du principe de précaution, pour protéger la santé publique. Les antennes émettent aujourd’hui à moins de 40 m de la première maison et à 125 m de l’école et du collège. Le jour où nous aurons gain de cause, notre association sera dissolue.

Retracez-nous la chronologie des événements ?

Le site a été créé lors de la scission des Postes et des Télécoms. France Télécom l’a racheté et, en 1985, a obtenu un permis de construire pour édifier un pylône de 27 m. En 1997, ce pylône a été rallongé de 27 à 36 m de haut. Orange a installé quatre antennes en 2006. Après avoir constaté que certains riverains ressentaient des troubles, nous avons alerté les élus, organisé des réunions publiques, une conférence avec un scientifique et fait circuler une pétition qui a recueilli 850 signatures. La puissance de ces antennes a été augmentée cet été, lors du passage du GSM à l’UMTS, de 900 à 2 100 MHz. Du 18 au 21 octobre dernier, SFR est venu poser trois antennes. Les élus avaient été prévenus par lettre recommandée le 7 septembre et ils ont laissé faire.

Où en êtes-vous ?

Nous avons rencontré Sylvie Tabaczynsky, la principale du collège, la semaine dernière. Elle a été très réceptive à nos propos et on doit se revoir après les vacances. Pour ce qui est des projets de l’association, ils sont au nombre de trois. On va recenser tous les troubles de santé identifiés chez les riverains. Compte tenu du conflit entre élus et administrés, on compte également saisir le médiateur de la République. Enfin, UFC Que choisir nous a indiqué que chaque habitant pouvait faire une demande de dégrèvement de 50 % de la taxe d’habitation auprès de la mairie.

J.-M. Calvet : «Porter plainte»
Le maire de Rignac, Jean-Marc Calvet, détaille les démarches entreprises : « J’ai essayé de pousser Orange à déplacer le pylône et quand SFR m’a indiqué qu’ils allaient installer trois antennes j’ai refusé mais ils m’ont répondu qu’ils n’avaient pas besoin de mon autorisation, que c’était juste soumis à déclaration », raconte le maire qui dit avoir « conscience que les gens sont anxieux » et se sentir « inefficace » et « désemparé ». « Le seul moyen pour l’association d’avoir gain de cause c’est qu’un ou plusieurs riverains portent plainte contre les opérateurs ».

Source : http://www.ladepeche.fr/article/2010/10/28/936594-Le-pylone-s-etoffe-a-Rignac.html

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«Coordination Antennes 66» et « Robin des Toits 66 » tirent le bilan de la manifestation de samedi dernier au congrès des Maires de Villeneuve de la Raho.

Cette manifestation était l’occasion pour tous les collectifs de riverains d’antennes du département, rassemblés au sein de la Coordination (UMPLO, Céret, Montesquieu, Millas, Perpignan, Saint André, Cabestany etc…) de demander à nos élus de prendre conscience du problème de santé publique lié à l’implantation non concertée de ces antennes et d’appliquer à ces dernières le principe de précaution, comme le recommande d’ailleurs depuis juillet le Conseil d’Etat. Rappel : un seuil maximal d’émission de 0,6V/m permet aux antennes de fonctionner normalement tout en respectant la santé publique, seuil qui n’est malheureusement pas appliqué aujourd’hui.

Outre son soutien sans faille à tous les collectifs l’association «Coordination Antennes 66» affirmait aussi massivement son opposition au wifi régional imposé d’office à certaines communes dans «Languedoc-Roussillon Haut Débit» et réclamait la couverture de tout le département des P.O. en filaire (fibre et/ou cuivre).

Le wifi est en effet tout aussi nocif pour la santé que les antennes relais et de plus ses capacités techniques en matière de débit sont plus que limitées (1 mégabit/seconde grand maximum).

La présidente de la Coordination et déléguée Robin des Toits PO a d’ailleurs interpellé M. Bourquin à ce sujet.

Le président du Conseil Général et Vice Président de la Région s’est engagé à recevoir la Coordination pour aborder ce sujet du haut débit et aussi celui des personnes électro-hyper-sensibles (malades des ondes).

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Les opposants aux antennes-relais du Roussillon craignent aussi le wifi

La Clau   Vendredi 22.10.2010. 18:00h

Christian Bourquin et la coordination « Antennes 66 », au Congrès des maires des Pyrénées-Orientales, samedi 16 octobre 2010 © Jean-Robert GatonasChristian Bourquin et la coordination « Antennes 66 », au Congrès des maires des Pyrénées-Orientales, samedi 16 octobre 2010 © Jean-Robert Gatonas


Le président du Conseil Général catalan, C. Bourquin, promet de prendre les choses en main.


La crainte face aux antennes-relais, qui se généralise en Roussillon, s’est exprimée samedi dernier lors du Congrès des maires des Pyrénées-Orientales, à Villeneuve de la raho. Ce vendredi, la coordination Antennes 66 et l’association Robin des Toits 66, qui fédèrent les opposants aux antennes de téléphonie mobile situées à proximité des lieux de vie, assure avoir reçu ce jour-là le soutien de Christian Bourquin. Le président du Conseil Général des Pyrénées-Orientales, interpellé directement par Anne-Laure Mager, porte-parole du mouvement, a promis de recevoir la coordination pour évoquer le problème des antennes et des personnes électro-hyper-sensibles, ou « malades des ondes ». Habitante du quartier Saint-Assiscle de Perpignan, Mme Mager entend réunir les inquiétudes ressenties à Cabestany, Montesquieu, Céret, Millas, Saint-André et Perpignan, en demandant aux élus de « prendre conscience du problème de santé publique lié à l’implantation non concertée de ces antennes ». Mais la lutte engagée concerne aussi le l’Internet wifi, qui fait l’objet d’un plan « Languedoc-Roussillon Haut Débit » financé par la Région dans les communes de montagne. Ce projet en cours, « tout aussi nocif pour la santé » que les antennes, sera débattu avec M. Bourquin, en sa qualité de vice-président de l’institution régionale.

Source : http://www.la-clau.net/info/5313/les-opposants-aux-antennes-relais-du-roussillon-craignent-aussi-le-wifi-5313

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Orange perd une antenne-relais à cause d’un défaut de permis de construire

  • Post category:Justice

Les Mobiles Orange

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Le Tribunal administratif de Dijon a annulé l’installation d’une antenne-relais d’Orange à Magny-Cours. L’opérateur n’aurait pas demandé de permis de construire.

 

La loi française prévoit un permis de construire lorsque l’installation dépasse 20 m2, sinon c’est une simple déclaration de travaux. Orange explique qu’il construit son installation technique sur 19 m2 à côté de l’antenne et que cela ne néces

nal admisite pas un permis de construire.

Le Tribunal administratif de Dijon estime que la construction d’une antenne-relais « reposant sur une surface de 3,8 m de côté » et « d’une dalle bétonnée devant accueillir les installations techniques d’une surface de 19 m2 » sont « deux éléments indissociables », dépassant les 20 m2.

Cette décision va compliquer les installations d’antennes-relais des opérateurs. Habituellement, les anti-antennes utilisent les arguments sanitaires mais, dans ce cas, il s’agit d’un point de droit inédit.

Source : http://www.echosdunet.net/dossiers/dossier_6126_orange+perd+antenne-relais+cause+defaut+permis+construire.html

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Une mesurette pour prévenir les dangers des ondes électromagnétiques

   Publié le 19/10/2010 à 20:17  Par Pauline de Saint Rémy

Une mesurette pour prévenir les dangers des ondes électromagnétiques

Les vendeurs de téléphones mobiles seront obligés à partir d’avril 2011 d’afficher le niveau d’exposition aux ondes des appareils sur les points de vente et dans les publicités © Sipa

Face aux angoisses provoquées par l’impact du téléphone mobile sur la santé – objet récurrent de débats et d’actions en justice – les ministères de la Santé et de l’Environnement font ce qu’ils peuvent pour rassurer les consommateurs. C’est à dire peu. Mais la recherche sur la nocivité des ondes des téléphones portables n’en étant qu’à ses débuts, la marge de manoeuvre du gouvernement est plutôt limitée. Pour preuve ce décret du 12 octobre qui, à partir d’avril 2011, obligera les vendeurs de mobiles à afficher le niveau de rayonnement électromagnétique – ou débit d’absorption spécifique (DAS), de son nom scientifique – des appareils, sur les lieux de vente mais aussi dans toutes les publicités. La mesure résulte, parmi d’autres, du très discret « Grenelle des ondes », tenu en avril 2009 par la ministre de la Santé Roselyne Bachelot, entourée des secrétaires d’État à l’économie numérique et à l’écologie, Nathalie Kosciusko-Morizet et Chantal Jouanno.

Une « obligation » à laquelle les opérateurs comme les vendeurs de téléphonie mobile devraient se soumettre bien volontiers… pour la simple raison qu’un certain nombre d’entre eux le font déjà, dans les boutiques comme sur les publicités, de leur propre initiative. « Ça ne changera rien chez nous en tout cas, nous le faisions déjà volontairement », explique-t-on par exemple chez Phone House. « Nous distribuons aussi les prospectus d’information du ministère de la Santé. » Chez Phone House comme à l’Association française des opérateurs mobiles (AFOM), on ne semble donc pas inquiet des retombées de la mesure en termes d’image. « Quand on en parle aux clients, ils semblent plutôt au courant de la question, mais cela n’entre pas encore dans leurs critères d’achat principaux qui sont le prix, la fonctionnalité et le design » explique Phone House.

« Le DAS ne reflète pas le niveau moyen d’exposition aux ondes » (association)

En réalité, pour beaucoup de consommateurs, le DAS, autrement dit la quantité d’énergie absorbée par le cerveau d’un utilisateur de téléphone, n’évoque rien. Pourtant il existe depuis 2003 un niveau maximal de sécurité en Europe, fixé à 2W/kg. En théorie, plus il est faible, plus l’exposition aux ondes électromagnétiques est réduite. Mais pour Édouard Barreiro, de l’UFC-Que Choisir, les choses sont plus compliquées : « Je suis dubitatif. C’est bien d’informer, mais je ne suis pas sûr de la pertinence de cette information-là… Non seulement en général les consommateurs ne savent pas ce qu’est le DAS, mais en plus il correspond à un niveau maximum d’exposition. Or ce qui compte c’est le niveau d’exposition lors d’une utilisation moyenne. »

Le DAS mesure en effet le niveau d’exposition aux ondes avec un téléphone utilisé à pleine puissance. Or le niveau moyen, lui, est beaucoup plus difficile à calculer. « Un téléphone peut très bien avoir un taux maximum d’exposition élevé alors que le taux moyen est bas, et inversement », précise Édouard Barreiro. L’AFOM prend elle aussi ses précautions sur ce dispositif : « La quantité d’énergie dépend en réalité de plein de paramètres, notamment la distance de l’antenne-relais ou la qualité de la réception, ou encore la façon dont vous tenez votre téléphone. Le DAS donne une indication mais il ne faut pas lui prêter plus de sens que cela. Il faut surtout rappeler que cette mesure n’invalide pas les autres mesures de précautions, et notamment la plus simple : l’utilisation d’un kit oreillette », conclut l’AFOM. La mesure gouvernementale aura eu au moins le mérite d’attirer l’attention du consommateur sur la question. En attendant que la recherche apporte ses réponses définitives.

Source : http://www.lepoint.fr/economie/une-mesurette-pour-prevenir-les-dangers-des-ondes-electromagnetiques-19-10-2010-1251641_28.php

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Les PCB, nocifs pour l’homme, contaminent encore les cours d’eau

nouvelObs.com, journal d’actualite en temps reel    LEe 17/10:2010 à 14:46 

« On va vers une catastrophe sanitaire lente », estime le président de l’association Robin des bois.

"Il faut un traitement beaucoup plus énergique pour dépolluer les sites terrestres", et ainsi freiner le transfert des PCB vers les cours d'eau, selon Jacky Bonnemains. (AFP)


Interdits, les PCB ne cessent pourtant de contaminer les cours d’eau en France, et désormais « tous les bassins sont plus ou moins touchés » par des arrêtés réglementant la consommation de poissons, a déclaré samedi 16 octobre le président de l’association écologiste Robin des Bois.

Les PCB, plus connus sous le nom de pyralènes, entraînent chez l’homme, s’ils sont ingérés régulièrement sur une longue durée, des problèmes de fertilité, de croissance ou des cancers.

« On va vers une catastrophe sanitaire lente et la réponse des autorités à cet empoisonnement n’est pas à la hauteur », a estimé Jacky Bonnemains dont l’association vient de publier la 5e édition de son atlas des sites pollués aux polychlorobiphényles (PCB).

Cette pollution « insidieuse » par cette molécule particulièrement résistante n’a pas « l’impact psychologique d’une catastrophe soudaine comme le déversement massif de boue rouge ou la rupture d’un barrage », explique-t-il.

 Interdits à la vente depuis 1987

Selon le président de Robin de Bois, le constat « le plus inquiétant » de cette nouvelle édition est « l’extension des arrêtés préfectoraux d’interdiction ou de restriction de la consommation des poissons ». « Maintenant, tous les bassins sont plus ou moins touchés », indique-t-il, s’inquiétant particulièrement de la situation de la Seine et de la Somme.

La 5e édition de cet atlas fait état de 416 sites contaminés terrestres. Ils étaient 361 lors du premier inventaire en mai 2008. Il s’agit de bâtis, sols ou sous-sols industriels, ou d’autres milieux qui, après dépôts, infiltrations…, sont devenus le réceptacle de substances contaminées aux PCB.

Bien que complètement interdits à la vente depuis 1987, les PCB continuent d’être dispersés. Un phénomène en partie attribuable aux inondations, mais aussi au « mauvais repérage des appareils contenant des PCB et qui continuent à fonctionner, fuir ».

Traitement plus énergique

« Il y aussi beaucoup d’usines qui ferment et sont abandonnées avec des transformateurs électrique au PCB à l’intérieur. Ces sites sont très souvent vandalisés et le liquide répandu dans les sols », explique Jacky Bonnemains.

De manière générale, « il faut un traitement beaucoup plus énergique pour dépolluer les sites terrestres », et ainsi freiner le transfert des PCB vers les cours d’eau, selon Jacky Bonnemains.

(Nouvelobs.com avec AFP)

Source : http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/planete/20101017.OBS1399/les-pcb-nocifs-pour-l-homme-contaminent-encore-les-cours-d-eau.html

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Les télécoms bientôt taxés pour financer la recherche sur les méfaits des ondes?

   Le 15/10/2010

Le gouvernement envisage d’imposer une nouvelle taxe aux opérateurs pour payer la recherche et les mesures d’exposition aux radiofréquences. Elle rapporterait 10 millions d’euros.

Les opérateurs télécoms ne sont peut-être pas au bout de leur « overdose fiscale ». Un amendement au projet de loi de finances 2011, qui devrait être déposé avant l’examen en séance publique début novembre, prévoit ainsi de les assujettir à une nouvelle « taxe pour financer la recherche et la mesure des champs électromagnétiques. »

S’ils sont d’accord pour contribuer au financement d’un fonds public, les opérateurs s’opposent en revanche à la création d’une nouvelle taxe « dont le produit annuel serait disproportionné », explique l’un d’eux. Le dispositif envisagé leur coûterait 10 millions d’euros par an au total.

Selon le texte, que « La Tribune » a pu consulter, inséré après l’article 70 au chapitre « écologie, développement et aménagement durables » de la loi, cette « taxe additionnelle », égale à 10 % du montant de l’imposition forfaitaire sur les entreprises de réseau (Ifer) créée l’an dernier pour remplacer la taxe professionnelle à raison de 1.530 euros par antenne-relais, serait affectée à l’État, et non aux collectivités locales comme l’Ifer.

Nommée « taxe Jouanno »

Plus précisément, 2 millions d’euros par an iraient à l’ANSES, (la nouvelle Agence nationale de sécurité sanitaire), qui a succédé à l’Afsset et absorbé la Fondation Santé et Radiofréquences qui finançait la recherche sur le sujet. Le reliquat irait à l’Agence de services et de paiement, l’ASP, « pour le financement des mesures d’exposition du public aux radiofréquences », que tout citoyen peut demander.

Les opérateurs fourbissent en amont leurs armes contre cette « taxe Jouanno », comme on la surnomme déjà dans le secteur, en référence à la secrétaire d’État à l’Écologie, Chantal Jouanno. L’un d’eux plaide que « cette taxe coûterait 5 à 10 fois plus que le montant actuel de la contribution des opérateurs », au titre du financement de la recherche (500.000 euros par an environ à la Fondation Santé et Radiofréquences) et de celui des mesures (de l’ordre de 1 million d’euros). L’assiette de la taxe pose aussi problème, puisque le parc d’antennes est amené à augmenter, donc la contribution aussi.

Toutefois, ce texte n’est qu’un projet d’amendement et « les discussions ne sont pas closes », en particulier au sein du groupe de travail constitué après le « Grenelle des ondes » sur le financement de la recherche.

Delphine Cuny – 15/10/2010, 17:27

Source : http://www.latribune.fr/technos-medias/telecoms/20101015trib000563190/les-telecoms-bientot-taxes-pour-financer-la-recherche-sur-les-mefaits-des-ondes.html

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