Ondes électromagnétiques : un nouveau scandale sanitaire ?

L’Ehs, qui est concerné ?

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Si nous sommes tous sensibles aux ondes magnétiques, les personnes Ehs, sont des personnes qui ont développé un syndrome d’intolérance aux champs magnétiques. On estime aujourd’hui à 5 % en Europe les personnes qui en sont victimes. 2 malades sur 3 seraient des femmes d’un âge moyen de 47 ans.

Si vous ne recevez pas Viva l’article est la :

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Electrohypersensibilité : vers la fin de l’anonymat

logo-agora-vox2016 est bien là, comme le problème des ondes. Après un temps de réflexion salvateur depuis notre dernier article écrit sous le coup, non pas de la colère, mais de la raison, il est temps de reprendre le clavier.

L’avenir est à un grand mouvement libertaire, agrégeant les actions efficaces, sans récupération politique parasite, c’est-à-dire l’accaparement d’une problématique par un petit nombre, promouvant leurs seuls intérêts. Oubliez donc les illuminés à la Thierry Casasnovas qui viennent s’approprier la question des ondes pour régler – croient-ils ! – leur problème de notoriété. Ils ne proposent rien d’intéressant. Ailleurs, les choses bougent vraiment. Et c’est tant mieux.

La suite de l’article est ICI sur agoravox.fr

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Communiqué de Robin des Toits sur l’électrohypersensibilité !

 

ROBIN DES TOITS
Correspondance : 33 rue d’Amsterdam 75008 Paris

Tél. : 33 1 47 00 96 33

Ondes : une étude établit la causalité pour l’électrohypersensibilité !

Une étude de l’ARTAC (Association pour la Recherche Thérapeutique AntiCancéreuse – www.artac.info) a pu (enfin!) détecter des marqueurs biologiques communs entre électrohypersensibilité et sensibilité chimique multiple pour établir le diagnostic objectif et la caractérisation d’une même pathologie. L’une et l’autre affection ont une origine environnementale, et qu’elles soient liées aux champs électromagnétiques et/ou aux produits chimiques est hautement probable.  
Belpomme D, Campagnac C, Irigaray P. Reliable disease biomarkers characterizing and identifying electrohypersensitivity and Multiple Chemical Sensitivity as two etiopathogenic aspects of a unique pathological disorder. Rev Environ Health. 2015 Dec 1;30(4):251-71

La controverse sur les causes de l’Electrohypersensibilité (EHS) et de la sensibilité aux produits chimiques multiples (MCS) réside dans l’absence de critères diagnostics reconnus en raison du manque de biomarqueurs objectifs. Depuis 2009, l’ARTAC a investigué cliniquement et biologiquement 1216 cas de malades se disant être atteints d’EHS et/ou de MCS.

les données de l’étude révèlent qu’EHS (électrosensibilité) et MCS (chimico -sensibilité) peuvent être objectivement caractérisées et diagnostiquées par des tests simples. Chacune des deux affections implique en effet une hyperhistaminémie et un stress oxydant liés à une inflammation, une réponse auto-immune, une hypoperfusion dans la région capsulotalamique, une ouverture de la BHE (barrière hémato-encéphalique), ainsi qu’un déficit en mélatonine.

L’ensemble de ces éléments démontrent donc que les malades se réclamant d’une électrohypersensibilité et/ou d’une sensibilité multiples aux produits chimiques sont de vrais malades, que leur affection ne relève nullement d’une pathologie psychiatrique ou même psychosomatique.  

En outre ces résultats suggèrent très fortement la possibilité d’un risque augmenté de maladies neurodégénératives chroniques chez ces patients. Ces études se poursuivent dans le cadre de collaborations internationales.

Pour Etienne Cendrier porte-parole de Robin des Toits, « L’étude de l’ARTAC a pu mettre en lumière des biomarqueurs objectifs tant pour l’électrosensibilité que pour la chimico-sensibilité. Ceci est de nature à éteindre cette polémique scientifique artificielle qui ne sert que les intérêts économiques de court-terme des industriels au détriment de la santé publique. J’appelle les pouvoirs publics à mettre en place de toute urgence les politiques publiques d’exposition du public que Robin des Toits préconise depuis trop longtemps. »

Etienne CENDRIER
Porte-Parole national
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Un message sympathique de Marc Khanne avec des liens sur les vidéos du colloque sur les maladies environnementales

Les mauvaises ondes des téléphones portables

Bonjour à toutes et à tous

Ce petit message en forme de bilan concernant la diffusion de notre film “Cherche zone blanche désespérément” cette année 2015.

– Une cinquantaine de soirées ciné-débat, accompagnée soit par les associations, soit par l’équipe du film, en France et cette année en Belgique.

Ce ne sont pas forcément de grandes audiences, mais ce sont toujours des soirées très utiles pour des spectateurs très concernés.

– La sélection dans 8 festivals internationaux ( Belgique, Espagne, Portugal, Colombie, France)

– Des demandes de DVD sous-titrés en anglais (avec une mention spéciale pour l’Australie !)

– De nombreuses diffusions TV : 20 diffusions dans les réseaux de télévision locales,

+ 16 diffusions sur la chaine parlementaire ( LCP – Public Sénat)

+ 4 diffusions sur France 5.

Ces diffusions ont été accompagnées d’une couverture presse intéressante sur la problématique des EHS.

Un grand merci pour vos messages, commandes ou soutiens qui nous permettent de nous continuer à suivre l’actualité et à réaliser de nouveaux clips. (voir ci-dessous)

“Cherche zone blanche désespérément” reste toujours disponible en format cinéma (pour les salles de cinéma) ou DVD ( pour les vidéos-projections).

Pour les projections publiques du film, les droits sont toujours de 1€20 TTC par spectateur. La diffusion des bonus lors de conférences reste gratuite.

Et j’accompagne avec plaisir les projections quand cela est possible !

Nous continuons en 2016 à vous proposer les DVD au prix militant de : 20 € les 2 ( + port)  soit un DVD à offrir pour tout DVD acheté, la priorité étant de faire connaître ce problème au plus grand nombre. Nous nous réjouissons aussi de la présence de Marine Richard dans le film, qui a gagné auprès de la MDPH d’Ariège la reconnaissance de son handicap, cet été.

En vous souhaitant de passer les meilleurs fêtes possibles.

Bien cordialement

Marc Khanne, réalisateur

Patrice Forget, producteur

 

Site du film : www.electrosensible-zone-blanche-ehs-film.com (avec de nombreux témoignages)

Vidéos Colloque maladies environementales paris 2015

Vidéos sur l’électo-hypersensibilité

Idées cadeaux :

P.S 1 : J’avais réalisé avec Patrice Forget un film sur le reboisement d’une forêt : “Aigoual, la forêt retrouvée”. Infos et DVD sur le site : www.reboisement-foret-aigoual-film.com / Ce film continue d’être projeté en festival, et donne un peu de baume au c½ur à tous ceux qui se battent pour des combats longs et patients  : 2 héros, 68 millions d’arbres plantés !

P.S 2 : Marine Richard a écrit un roman qui met en scène l’électro-hypersensibilité : “Sans Mobile” : http://www.babelio.com/livres/Richard-Sans-mobile/719479

 

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Hypersensibilité aux ondes: la justice a tranché sur le cas de Marine Richard, «réfugiée environnementale» dans les Pyrénées ariégeoises – Ariègenews – 28/08/2015

C’est une première.

La justice française a reconnu l’existence d’un handicap grave dû à l’hypersensibilité aux ondes électromagnétiques.

Une avancée considérable pour tous ceux, et ils seraient des milliers à en souffrir en France, qui comme Marine Richard, sont hypersensibles aux ondes magnétiques, celles des antennes relais, des téléphones portables ou des connexions internet sans fil.

(…)

 

Aujourd’hui comment voit-elle son avenir, peut-elle imaginer un jour aller vivre ailleurs ?

Marine est catégorique : «A ma connaissance, personne ne guérit véritablement de ces troubles. Il y a plusieurs types de symptômes. Les premiers sont des douleurs intracrâniennes extrêmement violentes qui peuvent aller de la sensation d’avoir une perceuse qui vous transperce le cerveau ou une sensation d’étau qui vous écrase la tête.

Ce sont des douleurs insoutenables qui descendent aussi le long de la colonne vertébrale. Vous avez l’impression que votre tête va exploser. Viennent d’autres problèmes, cardiaques et neurologiques, qui affectent la concentration. Ce n’est pas une maladie à proprement parler, c’est une réaction, c’est une pathologie environnementale.

Si on supprime la cause, la source (c’est-à-dire les ondes) on n’est plus malade. Mon corps n’est pas malade en lui-même, il est malade en réaction à l’environnement donc je peux améliorer mon état de santé en me mettant à l’abri, en dormant dans une cage de Faraday ou dans des zones blanches, des lieux protégés des ondes.

Concernant ma propre santé, en ce qui me concerne je vis beaucoup mieux qu’il y a cinq ans, car ici je suis protégée, mais je suis toujours en sursis… en tout cas pas à l’abri de l’installation d’une nouvelle antenne par exemple. Il faudra à ce moment-là que je quitte mon refuge»

Un très bel article de Laurence Cabrol à retrouver en entier sur ariegenews.com.

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