Toulouse : Orange assigné en référé par 31 riverains

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FR3 Toulouse édition locale du 25/10/2011


   PUBLIÉ LE 08/10/2011 08:08 | B. DV.

Certains riverains de la rue d'Alembert vivent à une quinzaine de mètres de la nouvelle antenne relais d'Orange/Photo DDM

Certains riverains de la rue d’Alembert vivent à une quinzaine de mètres de la nouvelle antenne relais d’Orange/Photo DDM

Surpris par l’installation sans réelle information en amont d’une antenne relais en plein cœur de leur quartier, trente et un Toulousains viennent d’assigner la société Orange devant le juge des référés du TGI de Toulouse.

Jeudi 20 octobre à 9 h 30, la société de téléphonie Orange, filiale de France Télécom, est assignée à comparaître devant le juge des référés du tribunal de grande instance de Toulouse. Cette procédure engagée au nom de trente et un habitants du quartier de Lardenne par Me Judith Amalric Zermati vise à obtenir la démolition d’une antenne relais de téléphonie mobile implantée par l’opérateur sur un terrain qu’elle sous-loue à la société Ancrage située 8 bis rue Jean-d’Alembert.

Au cours de l’été 2009, Orange a informé les habitants de sa volonté d’installer une antenne relais sur un mat déjà existant préalablement implanté par la société Ancrage. Mais un an plus tard l’ancien pylône a été entièrement détruit et remplacé par un mât de 12 m flambant neuf sans plus d’information.

Pour le conseil des trente et un riverains, l’implantation du pylône à 15 et 20 mètres des deux maisons les plus proches et dans un périmètre de 80 mètres autour de maisons individuelles, mais également d’un terrain de sport et d’établissements accueillant de jeunes enfants fait courir un risque à la santé des riverains. Risque encore aggravé par l’état de santé déjà fragile de plusieurs d’entre eux. L’assignation qui s’appuie sur une abondante jurisprudence, précise par ailleurs que les risques inhérents à l’émission d’ondes électromagnétiques par les antennes de téléphonie mobile, même s’ils ne sont pas formellement avérés, ont suscité suffisamment de mises en garde de la part d’organismes tels que l’OMS (organisation mondiale de la santé), ou du conseil de l’Union Européenne pour justifier la mise en œuvre du principe de précaution. Principe qui justifie aux yeux des riverains de cesser d’émettre à partir du pylône de la rue d’Alembert tant que l’innocuité totale des émissions n’est pas établie.

Le 2 août, la mairie de Toulouse a fait procéder à des mesures d’intensité du champ électromagnétique dans l’environnement de l’antenne. Mesures dont les résultats seront transmis dans les jours à venir aux riverains concernés.


Principe de précaution

Contacté par téléphone, le responsable territorial chargé de parler au nom d’Orange précise avoir « tenu une réunion publique pour expliquer le projet aux riverains ». Quant à l’application du principe de précaution, elle n’apparaît pas nécessaire aux yeux de l’opérateur car : « Si on applique le principe de précaution, on va être très ennuyé dans notre vie de tous les jours car on peut l’appliquer à plein d’autres choses. »

Source : http://www.ladepeche.fr/article/2011/10/08/1187458-orange-assigne-en-refere-par-31-riverains.html

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Elles se réfugient dans une grotte pour fuir les antennes relais

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Deux femmes souffrant d’électro-hypersensibilité s’apprêtent à passer l’hiver sans chauffage ni électricité, dans une grotte reculée des Hautes-Alpes, afin d’échapper aux ondes des téléphones portables et d’internet. ( © AFP Jean-Pierre Clatot)

SAINT-JULIEN-EN-BEAUCHÊNE (Hautes-Alpes) (AFP) – Deux femmes souffrant d’électro-hypersensibilité s’apprêtent à passer l’hiver sans chauffage ni électricité, dans une grotte reculée des Hautes-Alpes, afin d’échapper aux ondes des téléphones portables et d’internet.

Au fond de la cavité à laquelle on n’accède que par une échelle, Anne Cautain et Bernadette Touloumond ont installé sur un parquet de fortune deux lits, une petite table sur laquelle ont été déposées des bougies rapidement consumées et un réveil mécanique, pour « ne pas se laisser aller ».

« Cela fera bientôt mon troisième hiver ici, pourtant croyez-moi, je préférerais être dans une maison au coin du feu », affirme dépitée Anne Cautain, blottie sous plusieurs couches de pulls, alors que la température dans la grotte ne dépasse guère les 10°C.

Souffrant de « brûlures dans le crâne et sur la peau », cette femme de 55 ans explique avec détails comment un jour de janvier 2009, alors qu’elle était agent technique dans une université de Nice, sa vie s’est transformée en celle d’un « animal traqué ».

Tout était bon pour tenter de se protéger des radiofréquences, sources de « maux de tête insupportables », qui la conduisent à dormir dans le coffre d’une voiture, une cave de restaurant, en passant par des parkings souterrains et les champs de la campagne bourguignonne.

L’association Robin des Toits, qui milite pour la reconnaissance de la maladie, estime à quelques dizaines les cas extrêmes « d’intolérance » dont souffrent les deux femmes, mais affirme qu’environ 3% de la population française souffrirait d’électro-hypersensibilité (EHS).

« Aucune preuve scientifique d’une relation de causalité entre l’exposition aux radiofréquences et l’hypersensibilité électromagnétique n’a pu être apportée », objecte l’Agence nationale de sécurité sanitaire dans un rapport de 2009, qui ne conteste cependant pas « la réalité du vécu de ces personnes ».

Professeur en cancérologie à l’université Paris-Descartes, Dominique Belpomme assure au contraire que des études cliniques ont prouvé les effets des champs électromagnétiques sur la santé. Il regrette toutefois l’attitude « marginale » adoptée par Anne Cautain et Bernadette Touloumond.

« Je ne doute pas de leur souffrance, mais il existe des traitements comme les antihistaminiques pour les soulager. Encore faudrait-il qu’elles viennent me consulter », déclare le médecin.

« Je me suis déjà rendue à Paris, mais je ne m’en suis jamais remise à cause des innombrables antennes relais qui jalonnaient le parcours », avance Anne Cautain, préférant aujourd’hui se soigner avec des méthodes naturelles.

Entreposées dans des cagettes soigneusement rangées à l’entrée de la grotte, les courges, pommes et poires issues de la culture biologique sont « érigées comme une thérapie destinée à nous aider à tenir le coup », affirment les deux femmes, qui refusent d’être considérées comme des marginales.

« Quand je me suis trouvée dans cette grotte, je me suis demandé ce que j’avais fait pour en arriver là, je n’arrivais pas à y croire », relate Bernadette Touloumond, hôtesse de l’air pendant 25 ans à Paris, réfugiée depuis quelques mois dans la grotte de Beaumugne.

« On m’a traitée de folle, j’ai perdu la plupart de mes amis, ma famille a du mal à comprendre et je sais aujourd’hui que je ne pourrai pas retourner dans des musées », regrette la sexagénaire aux cheveux soigneusement tirés en arrière.

Les deux femmes réclament la création en urgence de « zones blanches », même si elles savent que leur demande va à l’inverse de la tendance visant à couvrir l’intégralité du territoire français par les réseaux de téléphonie mobile.

© 2011 AFP

SOURCE : http://www.liberation.fr/depeches/01012368566-elles-se-refugient-dans-une-grotte-pour-fuir-les-antennes-relais


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Mondonville. Des opposants à l’antenne-relais font analyser leur sang

   PUBLIÉ LE 03/11/2011 03:47 | G. D.

Une volontaire au bilan sanguin avant la mise en service de l'antenne-relais./Photo DDM, G. D.

Une volontaire au bilan sanguin avant la mise en service de l’antenne-relais./Photo DDM, G. D.

Une vingtaine d’habitants de Mondonville se sont rendus dans un laboratoire pour réaliser un bilan sanguin avant la mise en service de l’antenne-relais prévue à proximité de leur domicile. Selon une volontaire, « la démarche vise à montrer, si nécessaire, les modifications liées aux champs électromagnétiques que les organismes risquent de subir ». Elle ajoute « nous souhaitons amener l’opérateur à choisir un site d’implantation plus éloigné des habitations, et nous réclamons une puissance respectant les résolutions du Conseil de l’Europe c’est-à-dire inférieure à 0.6 volts/mètre, les normes françaises actuelles admettent un seuil de 61 volts/mètre trop élevé selon les scientifiques indépendants pour être dénué d’effet sur la santé ». Le collectif Antenne Mondonville a demandé la suspension des travaux. Il attend un courrier de l’opérateur attestant l’absence de risque sanitaire. Un père de famille en colère précise « en l’absence de réponse, nous sommes déterminés à mener des actions plus étendues et nous allons nous concerter avec les collectifs des communes voisines ». Un avocat spécialisé va les accompagner dans leurs démarches auprès des instances concernées.

Source : http://www.ladepeche.fr/article/2011/11/03/1206779-mondonville-des-opposants-a-l-antenne-relais-font-analyser-leur-sang.html

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Affaire du Mediator. Gérard Bapt : "Je n’ai jamais diffamé Servier"

   PUBLIÉ LE 01/11/2011 07:47 | RECUEILLI PAR THOMAS BELET

Gérard Bapt, député de Haute-Garonne, est accusé de diffamation par Servier./DDM archives

Gérard Bapt, député de Haute-Garonne, est accusé de diffamation par Servier./DDM archives

Député PS de la seconde circonscription de la Haute-Garonne et président de la mission d’information parlementaire sur le Médiator, Gérard Bapt est poursuivi en diffamation par les laboratoires Servier aux côtés de deux journalistes de « Libération ». Dans le cadre d’une interview à « Libé », Gérard Bapt avait déclaré que le laboratoire Servier allait jusqu’à « falsifier des cas pour que le décès des patients n’apparaisse pas » pour le médicament Protélos et accusé Servier de « développer des méthodes perverses et pas seulement pour le Médiator ».

Vous attendiez-vous à une attaque en diffamation ?

Non, absolument pas. Même si Servier est un habitué de ce type de procès en diffamation, je pense qu’il se tire une balle dans le pied. Il n’y a qu’à regarder ce qu’il s’est passé avec Irène Frachon. Le laboratoire Servier l’a attaquée suite à la parution de son livre « Médiator : combien de morts ? », et après avoir gagné le procès en première instance, il l’a perdu en appel. On a parlé du livre, et cela a boosté les ventes. Après, pour mon cas, c’est à la justice d’en décider.

Avez-vous des preuves sur ce que vous reprochez à Servier ?

Mes propos s’appuient sur un rapport d’inspection 2010 de l’agence européenne du médicament. Ce rapport met en lumière un certain nombre de dysfonctionnements graves. Il apparaît notamment que deux cas de décès sont survenus chez des patients sous Protélos ayant développé ensuite un « dress syndrom ». Ces éléments n’ont jamais été mentionnés par le laboratoire Servier.

Avez-vous déjà subi des pressions de Servier ?

J’ai reçu plusieurs lettres de son avocat m’accusant de violer le principe de séparation des pouvoirs. Ils sont même allés jusqu’à écrire au président de l’Assemblée nationale Bernard Acoyer dans l’espoir de me faire taire.

SOURCE : http://www.ladepeche.fr/article/2011/11/01/1205619-gerard-bapt-je-n-ai-jamais-diffame-servier.html

 


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Colère des riverains à Mondonville

Logo : France 3

Geste symbolique des futurs riverains d'une antenne relais

Geste symbolique des futurs riverains d’une antenne relais

Ils ont fait analyser leur sang. Geste symbolique, mais pas seulement.

Des habitants de Mondonville s’opposent à l’implantation d’une antenne relais près de chez eux. Ce matin ils étaient une vingtaine à se rendre dans un laboratoire pour faire une prise de sang. Une façon de montrer, au cas si nécesaire, l’impact des ondes électro magnétiques sur la santé.

Dans une semaine, une antenne relais sera mis en service tout prêt de chez eux, à Mondonville.

Inquiets pour leur santé ces riverains veulent pouvoir prouver, au cas, ou l’impact des ondes sur leur santé.

L’antenne relais sera prochainement installée sur le terrain d’un particulier. Sa puissance devrait atteindre 60 volts par mètre.C’est 100 fois plus que le seuil recommandé par l’Organisation mondiale de la santé.

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Ramonville. Antenne 31 dénonce le danger des portables

   Mardi 01 Nov – 09:18 – La Toussaint

Marie-France Hébrard (Antenne 31) refuse d'utiliser le téléphone portable ./Photo DDM archives.

Marie-France Hébrard (Antenne 31) refuse d’utiliser le téléphone portable ./Photo DDM archives.

Le collectif Antenne 31 est intervenu lors de la réunion publique consacrée aux antennes relais et à leurs dangers. Marie-France et Jean-Claude Hébrard qui en sont les animateurs expliquent leur position.

Que pensez-vous de la démarche de la municipalité ?

Elle a une attitude exemplaire en faisant faire des mesures sur son territoire. Quant aux experts, ils font très bien leur travail. Le problème, c’est que les députés ont accepté que soit encore en vigueur un décret en vigueur depuis Jospin en 2002 et qui fait d e la France le pays le plus exposé avec l’Allemagne.

À quoi sommes nous exposés ?

À des champs électromagnétiques trop importants. Les normes sont tellement excessives que personne n’est en infraction. La norme est de 2 volts/mètre alors qu’il ne faudrait pas être exposé à plus de 0,6volt/m. Et les personnes électro-sensibles, comme moi, (soit environ 10 % de la population) craignent l’exposition à partir de 0,2volt/m.

Donc nous sommes tous en danger…

Oui, 2 volts/m, c’est trop pour tout le monde. Nous sommes de plus en plus sollicités par des gens victimes d’acouphènes, de vertiges, de malaises, de maux de tête. Les personnes qui téléphonent plus de six minutes par jour avec un téléphone portable s’exposent à contracter différentes maladies. Pour récupérer après une telle conversation, le cerveau met trois heures.

Combien d’adhérents comptez -vous en Haute-Garonne ?

Une bonne centaine peut-être mais il y a dedans plusieurs collectifs. Donc, beaucoup plus.

Ramonville est-elle plus concernée que d’autres viles ?

Ni plus ni moins. Mais par exemple, un jour, nous avons, au hasard mesuré… au carrefour de l’avenue de l’Aéropostale et de la rue Rosa- Parks. Nous avons obtenu 4,4volts/m.

Comment y remédier ?

Il faut que les gens se bougent pour faire changer la loi. Déjà, l’Europe pousse dans ce sens. L’OMS (Organisme mondial de la santé) s’en émeut et a classé les rayonnements des téléphones portables comme « potentiellement cancérigènes». La municipalité de Ramonville, nous le redisons, a bien communiqué. Mais c’est la loi qu’il faut changer. En attendant, protégeons-nous des ondes électromagnétiques dont les niveaux vont continuer d’augmenter avec les progrès de la technologie. C’est une question de prévention de notre santé et de celle de nos enfants.

SOURCE : http://www.ladepeche.fr/article/2011/11/01/1205300-antenne-31-denonce-le-danger-des-portables.html

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VIDEO : Anne-Laure, une jeune femme électrosensible (EHS) – Tellement vrai – NRJ12 – 21/10/2011

VIDEO : Anne-Laure, une jeune femme électrosensible (EHS) - Tellement vrai - NRJ12 - 21/10/2011 Par robindestoits  

Anne-Laure est une jeune femme qui a du arrêter ses études et n’a quasiment plus de vie sociale pour cause d’électrosensibilité très prononcée. Elle habite à proximité d’une antenne-relais 3G et doit sortir de chez elle couverte de protection militaire (protection contre le même type d’ondes radar).

source : http://www.nrj12.fr/nrj12-replay-3276/media/video/447125-mes-angoisses-me-gachent-la-vie.html

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Gaz de schiste : premier jumelage France-Québec

Agence QMI  
François C. Guèvremont
24/10/2011 20h05

Environnement - Gaz de schiste : premier jumelage France-Québec

Jacques Villemaire, maire de Saint-Denis-sur-Richelieu, s’est réjouit du jumelage avec la France. En arrière-plan, la banderole avec les 4200 signatures de France.  

© Agence QMI
SAINT-DENIS-SUR-RICHELIEU – La municipalité de Saint-Denis-sur-Richelieu en Montérégie sera la première du Québec à être jumelée à une municipalité en France pour échanger de l’information afin de lutter contre l’industrie des gaz de schiste.

Saint-Denis-sur-Richelieu sera jumelée à la municipalité de Millau, dans l’Aveyron. L’annonce a été faite lundi aux abords du puits de la compagnie Canbriam, à La Présentation, devant une cinquantaine de manifestants.

Rappelons que la compagnie Canadian Forest Oil a foré l’automne dernier un puits à Saint-Denis-sur-Richelieu, qui compte 2300 habitants.

« Dès demain, nous allons commencer à travailler avec eux, a dit le maire de Saint-Denis-sur-Richelieu, Jacques Villemaire. Nous voulons aller chercher la recette qui permet aux Français de mobiliser leur peuple et de sortir dans les rues contre les gazières. »

Une militante anti-gaz de schiste française était aussi présente lors de l’annonce. Elle avait apporté une banderole signée par 4200 membres de comités de mobilisation dans son pays. Elle l’a laissée pour quelques mois aux opposants québécois.

« C’est une lutte internationale, autant en Pologne, aux États-Unis qu’au Québec, a indiqué la Française, Elisabelle Bourgue. Ce serait intéressant d’organiser plus de jumelage de ce genre entre des villes du Québec et de la France. »

Improvisation du gouvernement

Plusieurs députés du Parti québécois étaient présents à La Présentation pour appuyer les opposants à l’industrie gazière. Ils ont d’ailleurs réitéré la demande de leur parti d’instaurer un moratoire sur l’exploration et l’exploitation des gaz de schiste au Québec.

« Le gouvernement improvise avec les deniers publics, mais nous ne les laisserons pas improviser avec la santé des citoyens, a dit le député de Verchères Stéphane Bergeron. C’est clair qu’il y a des gens au gouvernement qui ne veulent pas que nous ayons l’information. Nous allons aller la chercher! »

Sa collègue Martine Ouellet, porte-parole de l’opposition officielle en matière de mines et de gaz de schiste et députée de Vachon, est allée encore plus loin. « Ce n’est pas de l’improvisation, c’est carrément de l’incompétence et de la complaisance avec les entreprises gazières », a-t-elle dit.

Elle déplore d’ailleurs les conditions dans lesquelles se déroule l’Étude environnementale stratégique, commandée par le Bureau d’audiences publiques sur l’environnement. « Ils veulent utiliser tout le territoire de la vallée du fleuve Saint-Laurent comme terrain d’expérience, a dit Mme Ouellet. Il faut mettre ces apprentis sorciers au pas. »

 

SOURCE : http://fr.canoe.ca/infos/environnement/archives/2011/10/20111024-200531.html

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