Antennes-relais : les élus locaux mettent l’Etat face à ses responsabilités

Localtis : retour à l'accueil publié le 18 novembre 2009

« Les élus que nous sommes sont pour la plupart des incompétents polyvalents, et donc sur ces questions techniques, à moins d’être à la fois maire et expert des ondes électromagnétiques… », a plaisanté Daniel Nouaille, maire d’Aix-sur-Vienne (87) et membre du comité directeur de l’Association des maires de France (AMF), au cours d’un point d’information sur les antennes-relais, qu’il a présidé, ce 17 novembre à Paris, dans le cadre du congrès de l’association. Si la quantité d’auditeurs était plutôt réduite (une cinquantaine), la qualité des intervenants, l’attention des participants et la pertinence des témoignages d’élus étaient au rendez-vous.
En Lot-et-Garonne, une petite commune a fait effectuer une campagne de mesure sur un pylône TDF. En Charente, un adjoint au maire est en permanence agressé par une personne hypersensible qui entend des bourdonnements depuis l’installation du Wi-Fi. En Savoie, une nouvelle antenne Wi-Fi a été mise en place sans aucune concertation. A Sainte-Marie-de-Ré, la maire doit faire face, seule, à la mobilisation au sujet d’une antenne SFR/Orange implantée à une quinzaine de mètres de l’école élémentaire. « Plus d’un Français sur deux ne croient pas les scientifiques au sujet des effets des ondes électromagnétiques. C’est la pire situation que puissent connaître aujourd’hui les maires, les opérateurs et les juges », a reconnu Martin Guespereau, directeur de l’Afsset (Agence française de sécurité sanitaire de l’environnement et du travail), en rappelant notamment les conclusions de son récent rapport. « Nous sommes dans l’incertitude scientifique. Mais des signaux nous conduisent à agir sur les téléphones d’abord puis sur l’abaissement du seuil d’émission sur certains points atypiques de concentration qu’il faut cartographier de manière systématique. » Il est exact que les 17.000 mesures réalisées sont faites « à la demande des élus, des riverains, des associations » et non pas de manière statistique sur tout le territoire, a reconnu Arnaud Miquel pour l’Agence nationale des fréquences. En outre, certains « margoulins » font des mesures qui ne sont pas fiables… Il faut dire que l’exercice est précisément encadré.

Violence dans les réunions publiques locales

 

Rappelant ses guides édités en 2004 puis 2008, cette « bible des relations que les opérateurs devraient avoir sur le terrain avec les élus », Jean-Marie Danjou, délégué général de l’Association française des opérateurs mobiles (Afom) a reconnu le mauvais climat des séances publiques que les opérateurs qualifient entre eux de « réunions tomates ». Certaines rencontres en arrivent parfois jusqu’aux mains ! Les travaux engagés par le gouvernement dans le cadre du Grenelle des antennes permettraient, selon lui, de sortir du « dialogue de sourd entre opérateurs et associations de riverains ». Mais les opérateurs ne sont pas légitimes pour porter les paroles en terme de santé publique tout en attirant l’attention sur l’écueil d’une baisse du niveau d’émission partout : « Si on baisse la puissance de toutes les antennes, ça ne va plus marcher ! », a-t-il prévenu. Julia Velut, rapporteur du comité opérationnel inauguré en juillet dernier suite au Grenelle, a justement précisé le calendrier des travaux en cours. A l’occasion de sa prochaine réunion fin novembre, le choix sera arrêté pour les expériences d’abaissement des seuils d’émission dans une vingtaine de communes (281 candidatures, soit 238 collectivités locales). Cinq communes expérimenteront, en outre, les nouvelles procédures de concertation et d’information locale. Les tests devraient démarrer début décembre avec un rendu prévu en avril « et au plus tard avant l’été ». L’ensemble des résultats de ces travaux sera diffusé, sur un site portail interministériel consacré aux radiofréquences, déjà en cours d’élaboration. Le rapporteur a aussi rappelé le service d’assistance sur les champs électromagnétiques pour les collectivités, mis en place par le ministère de l’Ecologie et l’Ineris (Institut national de l’environnement industriel et des risques). Ce service en ligne propose des informations, des questions/réponses ainsi qu’une ligne téléphonique. Il permet notamment l’envoi d’un expert dans le cadre des réunions publiques organisées par les élus sur le terrain. « La position de l’AMF est constante sur ce sujet. Si le maire peut avoir un avis en matière d’esthétisme sur les forêts d’antennes qui se déploient de manière anarchique sur le territoire, il n’est pas de sa compétence de juger de leur nocivité ou non. C’est à l’Etat de se prononcer et d’édicter des règles », a conclu Daniel Nouaille.

Luc Derriano / EVS

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Mesure de champs électromagnétiques : Le projet SAMPER

  • Post category:Information
Ce projet est financé par l’Agence Nationale de la Recherche (appel à projets 2007
« Télécommunications TLCOM »)

Le projet SAMPER vise à démontrer la faisabilité et à mettre au point un système de mesure et de post traitement capable d’estimer les niveaux de champ électromagnétique liés aux systèmes de radio communication à tout moment et en tout point d’une zone géographique prédéfinie.

L’approche choisie pour développer ce système opérationnel s’appuie sur la combinaison de mesures (stations de mesure autonomes réparties sur un nombre restreint de points dans la zone d’étude, complétées par des mesures mobiles ponctuelles si nécessaire), de technique de simulation du milieu de propagation (méthode inverse, algorithmes de type méthodes asymptotiques) et de techniques d’interpolation statistique (méthode de krigeage, analyse statistique de variogramme).

Ce projet doit se concrétiser par la mise en place d’un démonstrateur sur un site pilote dans la Ville de Grenoble.

Les services de télécommunication concernés dans ce projet sont la radiotéléphonie mobile (GSM, UMLTS) et les réseaux hauts débits (Wifi, Wimax) – bande de fréquence 900MHz à 6GHz.

L’objectif est de pouvoir traiter des situations complexes telle qu’un milieu urbain dense, qu’il est impossible de simuler du fait du manque d’information sur les émetteurs présents. Les applications visées concernent conjointement l’aspect surveillance des niveaux de champ électromagnétique à l’échelle d’un quartier, d’une ville ou d’un bâtiment et l’aspect cartographie et quantification de la qualité de service d’un réseau type téléphonie mobile ou haut débit.

Les cinq partenaires associées dans ce projet sont l’entreprise SATIMO (ex Antennessa), France Telecom, l’équipe de géostatistique de l’école de Mines de Paris (Armines – ENSMP), la Ville de Grenoble et le Centre Scientifique et Technique du bâtiment (CSTB).

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«Des forfaits illimités-limités impossibles à comprendre»

    Anne-Diandra Louarn (LeFigaro.fr)
18/11/2009 | Mise à jour : 10:32

VOS TEMOIGNAGESPiégés par des abonnements aux conditions obscures ou dépassés par les fonctionnalités des téléphones dernier cri, les clients des opérateurs de téléphonie sont souvent poussés à consommer à leur insu. Factures exorbitantes, hors-forfait inexpliqués, des internautes du Figaro.fr témoignent.

Sans forcément atteindre les sommes dernièrement médiatisées (46.000 euros pour l’un, 159.212 euros pour l’autre), les consommateurs de téléphonie mobile sont parfois dépassés par les contrats d’abonnement auxquels ils souscrivent. Ils croient disposer d’un forfait illimité ou d’une facture à prix fixe, pourtant les mauvaises surprises sont très fréquentes.

«Il y a un peu plus d’un an, j’ai eu un dépassement de forfait de 1.200 euros. Je venais de changer de portable pour un smartphone sans forfait internet car je n’étais pas intéressé. Je voulais uniquement utiliser le wifi. Grave erreur», témoigne l’internaute ha-000000000001, expliquant que son nouveau téléphone était auto-configuré pour accéder à internet, même lorsque le wifi était désactivé. «Mon opérateur ne m’a prévenu qu’au bout d’une semaine. Il y avait alors plus de 100 heures de connexion à 30 centimes la minute, qu’on me demandait de payer.» Refusant de payer, la ligne fut immédiatement coupée. «Par la suite, j’ai fait des propositions amiables, je suis passé par l’UFC que choisir, puis par un avocat, mais rien n’y a fait. La seule chose qu’ils m’ont proposée est un échéancier pour payer en deux fois.»

Attention aux frontières

Mais posséder un forfait internet illimité pour son téléphone ne garantit pas pour autant des prix gelés sur sa facture. Plusieurs internautes du Figaro.fr ont noté que les régions frontalières sont souvent des zones piège. L’internaute ma07380-0000001 habite la frontière franco-belge, qu’il traverse régulièrement. «Je bloque toujours mon GSM, manuellement, sur mon opérateur belge. Au début, j’ai pu constater qu’en restant en choix automatique, c’était un réseau français qui prenait en charge mes communications Belgique-Belgique», alerte-t-il.

MC GeGe, pensait avoir pris toutes ses précautions lorsqu’il s’est rendu 48 heures à Amsterdam, mais assure pourtant s’être fait avoir : «Tout avait été déconnecté sur mon iPhone. J’ai quand même eu 18 euros hors-forfait… et sans rien faire!», s’insurge-t-il.

Désinformation

A l’instar de MC GeGe, les abonnés ont des surprises avec les zones d’ombre de leurs contrats. Pour Cestlacrise , «les opérateurs mobile n’avertissement pas leurs clients lors de l’achat, ces derniers pensent acheter de l’illimité qui ne l’est pas !» Kenshiro15 parle même d’un «illimité limité» créé par les opérateurs «avec des conditions tellement confuses et complexes, qu’il est impossible de comprendre toutes les règles qui s’appliquent en termes de tarifs et d’utilisation».

Déplorant un manque de clarté, les consommateurs désinformés reprochent également la mauvaise qualité, voire l’absence d’un service client compétent sur ces questions.

«Nous vivons dans un monde de communication (internet téléphonie mobile, etc) mais sans contact avec les opérateurs ou fournisseurs qui deviennent invisibles une fois le contrat signé», estime peter’s views. Vivijj , pour qui les opérateurs incarnent «des rois de l’opacité», ne comprend pas pourquoi «chaque mois en restant dans la durée du forfait, vous avez des facturations supplémentaires qui sont hors-forfait» Dans le même cas, celestemma voit constamment sa facture passer de 29€ mensuels à 40€, «sans savoir pourquoi». Abonnée à un forfait illimité, celestemma, comme plusieurs autres internautes du Figaro.fr, reste «dans le flou» : «J’ai pourtant demandé des explications», tient-elle à souligner.

En revanche, Anto2b n’attend rien de son opérateur et utilise les outils de suivi de consommation pour vérifier l’évolution de ses factures avant qu’elles ne lui soient envoyées. «Signer un contrat, c’est avant tout le lire !», exprime-t-il.

Retrouvez l’ensemble des commentaires sur : http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2009/11/17/01016-20091117ARTFIG00625-des-forfaits-illimites-limites-impossibles-a-comprendre-.php

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Rieumes. Antennes relais : le dossier gelé


   Publié le 18/11/2009 03:47 | LaDepeche.fr

Un collectif d’habitants du village s’oppose à l’installation detrois nouvelles antennes relais pour Orange au sommet du château d’eau.

Dans un communiqué le collectif précise «Des habitants de Sainte Foy ont découvert que la mairie avait autorisé, sans concertation préalable, l’installation de trois nouvelles antennes pour Orange alors que le village est déjà couvert pour les trois opérateurs.

«sacrifice de la santé au nom du confort»

Au vu des éléments alarmants du rapport Bio-Initiatives 2007, « le principe de précaution » est invoqué par le collectif qui souhaite s’opposer à l’installation de ces antennes qui seraient installées au centre du village à proximité des habitations et lieux de vie et demande « de ne pas sacrifier la santé au nom du confort ».

Le collectif a exprimé ses inquiétudes, demandé le retrait de cette autorisation de travaux et a formulé des demandes diverses, auprès de la municipalité.

Il demande le retrait des antennes et pour cela des recours administratifs ont été déposés, à titre individuel et collectif. Il sollicite une réunion publique avec la municipalité dans un souci d’information à la population et espère que la mairie pourra retirer son arrêté de non opposition à l’installation de ces antennes.

Le collectif fera circuler une pétition sur la commune.

Adresse internet du « collectif des riverains de Sainte Foy de Peyrolières» antennestefoy@free.fr

La mairie prévoit une réunion publique

Dans un communiqué François Vives le maire précise : «Les membres du conseil municipal et moi-même nous sommes réunis à titre exceptionnel, le mardi 10 novembre. Nous souhaitons prendre en compte les commentaires des riverains et de l’association des parents d’élèves concernant le projet actuel de l’opérateur Orange.

De ce fait, nous demandons au Syndicat Intercommunal des Eaux des Coteaux du Touch, propriétaire du château d’eau, de geler le dossier.

Nous confirmons cependant la nécessité de renforcer la couverture en téléphonie mobile sur le territoire de la commune.Une réunion publique, en présence de l’opérateur, est en préparation. La date sera communiquée ultérieurement par voie d’affichage et par sa mise en ligne sur le site Internet de la commune».

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Pamiers. Les antennes de la colère


   Publié le 18/11/2009 09:43 | S.Polycarpe

Société. Les habitants de la rue des Cheminots ont découvert qu’un relais de téléphonie mobile devrait s’implanter très prochainement sur le quartier.

Les habitants du quartier Fémouras sont furieux depuis qu’un beau matin, il y a une dizaine de jours, alors qu’elle se promenait, Claudette découvre par hasard un panneau de demande de permis de construire flambant neuf, daté du 25 septembre 2009, pour l’installation d’une antenne Bougues Télécom de 33 mètres de haut, sur le terrain de l’imprimerie Polito. Si aucune objection n’est faite d’ici le 25 de ce mois, la délivrance d’autorisation sera effective. Le sang de Claudette ne fait qu’un tour. Elle en avise immédiatement les habitants du quartier qui, tour à tour, viennent contempler l’objet de leur colère.

« Je ne comprends pas comment la mairie a pu donner son accord alors que la puissance de l’émetteur n’est même pas indiquée sur la demande de permis de construire », tempête Marie.

De son côté, le propriétaire du terrain qui recevrait cette plateforme ne pensait pas mettre ainsi en émoi tout un quartier. « Lorsque Bouygues m’a contacté pour louer un emplacement afin d’y installer une antenne relais, précise Michel Polito, je leur ai demandé qu’ils me fournissent tous les papiers attestant la non-nocivité des ondes. Je les ai fait étudier par mon avocat et mon notaire qui m’ont dit qu’il n’y avait de problème ».

Toujours est-il que les riverains de la rue des Cheminots ont pris le taureau par les cornes et ont constitué un collectif. Ils ont contacté « les Robins des Toits » pour s’informer des démarches nécessaires pour arrêter le projet. Une pétition qui a circulé dans le quartier, et obtenu près de 100 signatures, a été déposée à la mairie en guise de recours.

De son côté, la mairie semble surprise de la tournure que prend cette affaire. Elle a reçu un dossier de demande d’implantation d’antennes en bonne et due forme de la part de Bouygues Télécom avec la certification, charte à l’appui, que : « le champ radioélectrique maximum produit par la station serait inférieur à la valeur référence du décret n° 2002.775 du 3 mai 2002 ». Sauf que le terrain de l’imprimerie Polito fait partie de la zone industrielle. Et en ce lieu, le seuil maximal légal de 3V/m pour la téléphonie mobile ne rentre pas en ligne de compte. Le décret stipule également qu’aucun établissement particulier de notoriété public, tel un collège par exemple ne doit être situé dans un rayon de 100 m de l’antenne. Ce sur ce sujet, David est plus réservé : « Le collège Bayle est situé à environ deux cents mètres à vol d’oiseau, or les rayons électromagnétiques se diffusent jusqu’à six cents mètres. Sans compter les salles de sport et les entreprises à risques qu’il y a tout près ».

Bref ,c’est la psychose du côté de la rue des Cheminots. « Nous avons regardé sur internet un rapport descriptif du syndrome d’intolérance aux champs électromagnétiques, poursuit Marie. Il est bien dit que le risque est réel, notamment chez les enfants ». Il est vrai que la lecture de ce rapport, rejeté par certains scientifiques, fait froid dans le dos.

En fait, c’est peut-être la nébulosité qui règne autour de l’implantation de cette antenne qui attise le plus les peurs des riverains qui à l’unisson pensent : « On nous cache quelque chose ».

Affaire à suivre.

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Liste définitive des villes candidates à tester 0.6 V/m

  • Post category:Non classé
Liste des villes candidates

On notera la présence de 4 villes en Haute-Garonne

La plus représentative: Toulouse
Deux grosses villes: Blagnac  et Saint Orens de Gameville
Un villlage : Montbrun Bocage qui a rejoint récemment notre collectif

On notera surtout hormis Toulouse la présence de nombreuses grandes villes

Sans oublier, Foix et Lavelanet pour l’Ariège

Couffouleux, Rabastens et carmaux pour le Tarn

Auch pour le Gers

Notre région est donc très bien représentée et a donc pris conscience de l’enjeu de cette expérimentation:

Faire savoir que nous ne voulons pas être des poulets grillés , des malades pour demain et déja aujourd’hui pour certains.

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Voir ou revoir le documentaire "Sous le feu des ondes "

Documentaire diffusé le 22 juillet 2009 sur ARTE à 22h15  durée 52 minutes. (En 4 parties).

A l’aube du XXIe siècle, le corps humain baigne dans un brouillard électromagnétique de plus en plus dense bien qu’invisible. Des réseaux d’antennes maillent le territoire, trois milliards d’individus communiquent au moyen de téléphones cellulaires, les technologies sans fil se développent… Dès lors une question de santé publique se pose : ces rayonnements artificiels peuvent-ils perturber l’activité métabolique de notre corps. Investigation scientifique dans le monde du bio-électromagnétisme, le film « Sous le feu des ondes » éclairera la dimension électromagnétique du corps humain, puis il évaluera les preuves scientifiques de l’effet des rayonnements électromagnétiques sur le vivant avant d’en pointer les risques sanitaires dans le cadre d’un électrosmog de plus en plus envahissant.

Pour voir le documentaire cliquer sur le lien suivant : http://antennes31.over-blog.com/pages/ARTE_Sous_le_feu_des_ondes-1799892.html

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Marquefave: A qui profite le crime?

  • Post category:Information
Chacun pourra se poser la question!

Quelqu’un de bien informé en tous cas et qui n’aime pas la démocratie… et qui aime visiblement les antennes! Pourquoi?

Ce genre de réactions donne en général plus de détermination et de motivation ! Donc, merci à celui-là…

Il pourra le constater à la réunion du 17 Novembre…

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