L’essentiel,
-c’est comprendre les décideurs politiques faces aux enjeux socio-économiques de la problématique santé de la téléphonie mobile par rapport aux lois universelles de la biologie et de la physique, – c’est avoir une information non biaisée sur la volonté politique et la réalité du débat (rejet des 0,6 V/m, DAS, distance 100 m, information de la population, zones refuges, cadastre Hertzien, téléphonie passive, reconnaissance de l’EHS, création d’une licence informative d’utilisation, de clusters sur les zones de champs proches, etc . . . ), – c’est traduire en justice en opposant l’expertise, ceux qui en charge de responsabilités sont des négationnistes notoires (souvent en conflits d’intérêts).