LINKY Une analyse de Frédéric Wolff

Sur le site de Fabrice Nicolino

Frédéric Wolff n’aime pas l’intelligence des compteurs électriques

Les collectifs contre les compteurs « communicants » s’organisent. Des communes rejettent cette technologie nuisible, coûteuse et déshumanisante, des individus refusent d’être pollués et fliqués. La propagande d’Etat n’endort plus grand monde, à part peut-être les techno-fanatiques.

Y aurait-il de l’eau dans le Gazpar et le Linky ? Le vent serait-il en train de tourner ?

Pour que le vent tourne effectivement, il conviendrait de ne pas en rester là.

L’intégralité de l’article est ICI

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Ondes électromagnétiques : un nouveau scandale sanitaire ?

L’Ehs, qui est concerné ?

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Si nous sommes tous sensibles aux ondes magnétiques, les personnes Ehs, sont des personnes qui ont développé un syndrome d’intolérance aux champs magnétiques. On estime aujourd’hui à 5 % en Europe les personnes qui en sont victimes. 2 malades sur 3 seraient des femmes d’un âge moyen de 47 ans.

Si vous ne recevez pas Viva l’article est la :

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Electrohypersensibilité : vers la fin de l’anonymat

logo-agora-vox2016 est bien là, comme le problème des ondes. Après un temps de réflexion salvateur depuis notre dernier article écrit sous le coup, non pas de la colère, mais de la raison, il est temps de reprendre le clavier.

L’avenir est à un grand mouvement libertaire, agrégeant les actions efficaces, sans récupération politique parasite, c’est-à-dire l’accaparement d’une problématique par un petit nombre, promouvant leurs seuls intérêts. Oubliez donc les illuminés à la Thierry Casasnovas qui viennent s’approprier la question des ondes pour régler – croient-ils ! – leur problème de notoriété. Ils ne proposent rien d’intéressant. Ailleurs, les choses bougent vraiment. Et c’est tant mieux.

La suite de l’article est ICI sur agoravox.fr

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Le « droit à la déconnexion » pourrait entrer dans le code du travail

A l’heure du tout connecté et de la perméabilité entre vies professionnelle et privée, le « droit à la déconnexion » ou droit de ne pas répondre à ses courriels ou messages professionnels hors temps de travail, pourrait faire son entrée dans le code du travail en 2016.

Par la rédaction d’Allodocteurs.fr, avec AFP

Le

Dans un récent rapport sur l’impact du numérique sur le travail commandé par le gouvernement, le DRH d’Orange, Bruno Mettling, a préconisé l’instauration d’un « droit à la déconnexion professionnelle, qui doit se généraliser par négociation d’entreprise« . Il assortit cette proposition d’un « devoir de déconnexion dont le respect incombe à tout un chacun mais aussi à l’entreprise« , tenue de « former ses collaborateurs au bon usage des outils digitaux ».

La suite de l’article est ICI

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Communiqué de Robin des Toits sur l’électrohypersensibilité !

 

ROBIN DES TOITS
Correspondance : 33 rue d’Amsterdam 75008 Paris

Tél. : 33 1 47 00 96 33

Ondes : une étude établit la causalité pour l’électrohypersensibilité !

Une étude de l’ARTAC (Association pour la Recherche Thérapeutique AntiCancéreuse – www.artac.info) a pu (enfin!) détecter des marqueurs biologiques communs entre électrohypersensibilité et sensibilité chimique multiple pour établir le diagnostic objectif et la caractérisation d’une même pathologie. L’une et l’autre affection ont une origine environnementale, et qu’elles soient liées aux champs électromagnétiques et/ou aux produits chimiques est hautement probable.  
Belpomme D, Campagnac C, Irigaray P. Reliable disease biomarkers characterizing and identifying electrohypersensitivity and Multiple Chemical Sensitivity as two etiopathogenic aspects of a unique pathological disorder. Rev Environ Health. 2015 Dec 1;30(4):251-71

La controverse sur les causes de l’Electrohypersensibilité (EHS) et de la sensibilité aux produits chimiques multiples (MCS) réside dans l’absence de critères diagnostics reconnus en raison du manque de biomarqueurs objectifs. Depuis 2009, l’ARTAC a investigué cliniquement et biologiquement 1216 cas de malades se disant être atteints d’EHS et/ou de MCS.

les données de l’étude révèlent qu’EHS (électrosensibilité) et MCS (chimico -sensibilité) peuvent être objectivement caractérisées et diagnostiquées par des tests simples. Chacune des deux affections implique en effet une hyperhistaminémie et un stress oxydant liés à une inflammation, une réponse auto-immune, une hypoperfusion dans la région capsulotalamique, une ouverture de la BHE (barrière hémato-encéphalique), ainsi qu’un déficit en mélatonine.

L’ensemble de ces éléments démontrent donc que les malades se réclamant d’une électrohypersensibilité et/ou d’une sensibilité multiples aux produits chimiques sont de vrais malades, que leur affection ne relève nullement d’une pathologie psychiatrique ou même psychosomatique.  

En outre ces résultats suggèrent très fortement la possibilité d’un risque augmenté de maladies neurodégénératives chroniques chez ces patients. Ces études se poursuivent dans le cadre de collaborations internationales.

Pour Etienne Cendrier porte-parole de Robin des Toits, « L’étude de l’ARTAC a pu mettre en lumière des biomarqueurs objectifs tant pour l’électrosensibilité que pour la chimico-sensibilité. Ceci est de nature à éteindre cette polémique scientifique artificielle qui ne sert que les intérêts économiques de court-terme des industriels au détriment de la santé publique. J’appelle les pouvoirs publics à mettre en place de toute urgence les politiques publiques d’exposition du public que Robin des Toits préconise depuis trop longtemps. »

Etienne CENDRIER
Porte-Parole national
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