Decazeville. Antenne : nouvel échec pour Orange

   PUBLIÉ LE 08/02/2011 08:14 | SYLVIE FERRER

Pour des raisons de sécurité envers les membres de l'association BVA, l'antenne est restée à terre./Photo DDM, S. F.

Pour des raisons de sécurité envers les membres de l’association BVA, l’antenne est restée à terre./Photo DDM, S. F.

Nouveau branle-bas de combat, hier matin, sur les hauteurs d’Auzits. Dès potron-minet, les propriétaires des terrains riverains du lieu où doit être implantée l’antenne-relais ont sonné le clairon à l’arrivée de l’entreprise toulousaine Itas Sud-Ouest, mandatée par Orange pour ériger le mât haut de 40 mètres. Aussitôt, les membres de l’association Bien vivre à Auzits (BVA), créée pour s’opposer à l’érection de cette antenne, ont investi les lieux, bien décidés à empêcher toute entreprise, ceci dans un calme olympien. Et ils y sont arrivés, une nouvelle fois. Michel Lacaze, l’huissier présent sur les lieux en compagnie des gendarmes, n’a pu qu’appliquer la réglementation : « Les membres de BVA sont trop près et ne sont pas équipés de casques. Je constate donc que le pylône ne peut pas être monté », explique-t-il.

« Nous recommencerons »

La dizaine de membres présente sur les lieux n’a pourtant pas quitté son poste de guet. « Si nous partons, ils monteront l’antenne aussitôt. Dans certains cas, ils ont même travaillé la nuit pour que les riverains ne s’aperçoivent de rien », assurent-ils. Ce n’est que sur les coups de 11 heures, après que l’entreprise a reçu l’accord d’Orange, que le camion a levé le camp pour se diriger vers Firmi, au grand soulagement des opposants qui ont pu à leur tour quitter les lieux. Des opposants qui ont gagné une nouvelle bataille mais restent vigilants : « Nous savons qu’ils reviendront et nous recommencerons. à la moindre alerte des personnes proches qui assurent une surveillance, nous nous retrouverons là-bas », explique Serje Perronnet, porte-parole de l’association BVA, qui attend toujours le bornage demandé à un géomètre il y a plusieurs semaines. Dans tous les cas, elle assure qu’elle n’en restera pas là.

Source : http://www.ladepeche.fr/article/2011/02/08/1008788-Antenne-nouvel-echec-pour-Orange.html

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Hiis. Un pylône wimax attaqué au chalumeau

LA-D-p-che-copie-1.png   PUBLIÉ LE 13/01/2011 08:00 – MODIFIÉ LE 13/01/2011 À 13:52 | AR.P

Un tube du pylône a été découpé au chalumeau./ Photo DDM, Laurent Dard.

Un tube du pylône a été découpé au chalumeau./ Photo DDM, Laurent Dard.


Le pylône d’une antenne wimax, technologie de diffusion internet sans fil, implantée sur un point haut de Hiis, a été attaqué au chalumeau. La tentative de sabotage a été découverte mardi matin par une équipe technique qui s’apprêtait à intervenir sur le pylône. C’est en commençant l’ascension du pylône, qui culmine à une vingtaine de mètres de haut, qu’un technicien s’est rendu compte qu’il bougeait. Une rapide inspection a permis de découvrir que l’un des trois tubes du pylône avait été découpé, vraisemblablement à l’aide d’un chalumeau qui permet l’oxydécoupage. Le tube était découpé presque en totalité. On ignore si l’auteur des faits a été interrompu dans sa tâche ou s’il a voulu affaiblir la structure pour la rendre sensible au vent, par exemple. Pour parvenir jusqu’au pylône, le ou les auteurs ont découpé une partie du grillage d’enceinte. Du côté de Hautes-Pyrénées Numérique, société en charge du déploiement, on n’a pas souhaité faire de commentaires. « Ce qui est gênant, c’est qu’il aurait pu y avoir un blessé. Le ou les personnes qui ont fait cela sont totalement irresponsables », lâche-t-on quand même. Une plainte a été déposée auprès de la gendarmerie. Le tube du pylône a été réparé hier.

Positionné sur l’un des points hauts de la commune de Hiis, en limite de la commune de Visker, le pylône est implanté sur un site isolé, dans un bouquet d’arbres. Ce pylône, qui dessert 22 communes dont Visker, Odos, Loucrup, Layrisse, Barbazan-Dessus, a été installé dans le cadre du plan internet haut débit en cours de déploiement. L’implantation de 43 antennes wimax, une technologie de diffusion internet sans fil, a provoqué l’opposition de plusieurs associations de riverains qui dénoncent la nocivité de ces ondes sur la santé humaine. Cette tentative de sabotage intervient quelques jours après les mesures de champs électromagnétiques effectués à 500 m d’une antenne wimax à Cieutat (notre édition du 7 janvier). Avec 0,007 V/m, les mesures étaient très largement inférieures au seuil légal de 61 V/m, pointait Hautes-Pyrénées Numérique. Pas convaincus par ces mesures, des opposants ont déjà annoncé leur intention de faire procéder à une autre campagne de mesures.

Source :  http://www.ladepeche.fr/article/2011/01/13/988389-Un-pylone-wimax-attaque-au-chalumeau.html

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L’antenne relais installée malgré la pétition

LA-D-p-che-copie-1.png   PUBLIÉ LE 14/12/2010 15:56 | F. V.

Géraldine Castex, une des responsables du Cesa, a assisté, impuissante, à la mise en place de l'antenne. /Photo DDM, Thierry Bordas

Géraldine Castex, une des responsables du Cesa, a assisté, impuissante, à la mise en place de l’antenne. /Photo DDM, Thierry Bordas

Toulouse; Les responsables du collectif enfants sans antennes (Cesa) ont assisté hier, dans la plus grande impuissance, à la pose d’une antenne relais dans une fausse cheminée d’un particulier installé sur l’avenue Jean-Rieux à Toulouse. Ce dispositif va permettre au groupe de téléphonie mobile SFR de couvrir une très large partie du secteur.

Près de 1000 habitants ont signé, en septembre, une pétition dans laquelle ils faisaient part de leurs vives inquiétudes quant à cette antenne relais. Sans grand effet. Désormais, ils veulent engager une action judiciaire civile, devant le tribunal de grande instance, fondée sur « les troubles anormaux du voisinage ».

« Nous rameutons tout le monde pour qu’il y ait un maximum de participants », explique Géraldine Castex, une des responsables du Cesa.

Comme beaucoup, elle ne croit pas à l’innocuité de l’antenne de SFR. « Nous allons nous baser sur le principe de précaution. Il y a tous les riverains qui subiront les ondes, mais aussi une crèche à deux rues d’ici, une école où les parents sont particulièrement attentifs », détaille la jeune femme. En fin de journée, les ouvriers ont remballé leur grue et leur matériel utilisé pour camoufler l’antenne « par respect du code de l’urbanisme ».

Responsable de l’environnement au sein de SFR, Philippe Cometti explique : « Cette antenne, comme toutes celles posées en ville, respecte la réglementation ». Il poursuit : « Nous sommes prêts à faire réaliser des mesures par des organes indépendants et certifiés. La mairie en dispose déjà de plusieurs centaines menées aux abords d’autres antennes relais de Toulouse ». Quel que soit le résultat de ces mesures, elles auront du mal à convaincre les habitants de l’avenue Jean-Rieu qui regardent, avec angoisse, la fausse cheminée. En posant l’œil sur son propre jardin, l’un d’eux glisse : « On voulait faire une piscine, mais avec ça au-dessus de nos têtes, c’est pas la peine ». 

Source http://www.ladepeche.fr/article/2010/12/14/969741-L-antenne-relais-installee-malgre-la-petition.html

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P.-O. Antennes-relais : les P.-O. saturées ?

Accueil Lindependant.com   Edition du 08 12 2010

Antennes-relais : les P.-O. saturées ?

© L’Indépendant

Faut-il craindre les ondes émises par les antennes-relais ? Au début des années 2000, une série de rapports officiels excluait tout risque sanitaire lié aux antennes-relais. Depuis, des études plus récentes ont encouragé ceux qui soutiennent le contraire, appuyés désormais par des décisions de justice. Face à ces contradictions permanentes, les élus doivent-ils mettre en application le principe de précaution ? Oui, répondent les associations et collectifs contre les ondes qui se multiplient dans le département. Tandis que ces   « anti » se confrontent à la ténacité
quasi systématique des maires des communes sur lesquelles sont installées de telles antennes. Le bras de fer est engagé.

La fronde s’organise

Comme à Villeneuve-de-la-Raho où le collectif de riverains   Un mât pour les ondes tente depuis quelques années de faire déplacer les antennes relais dressées sur le château d’eau, surplombant ainsi la commune. En vain. Un cas bien loin d’être isolé et conduisant d’autres villages à lui emboîter le pas. Perpignan, Saint-Estève, Céret, Montesquieu-des-Albères, Saint-André, Millas et dernièrement Cabestany où des discussions sont en cours avec la mairie concernant le projet d’antenne qui pourrait voir le jour au rond-point de Saint-Nazaire (lire page 27).  

Mais dans ce combat, les riverains ne sont pas seuls. Fédérés au sein de la coordination   Antennes 66, les collectifs peuvent aussi compter sur le soutien de l’association nationale   Robin des Toits via sa délégation dans les P.-O..

Le cas villelonguais

Ensemble, ils participent aux réunions publiques et défendent le principe de précaution introduit par la loi du 2 février 1995 relative à la protection de l’environnement qui stipule   « qu’en l’absence de certitude, compte tenu de l’état des connaissances scientifiques et techniques du moment, la menace d’atteintes graves et irréversibles doit conduire à l’adoption de mesures proportionnées à un coût économiquement supportable ». Un principe que Christian Nifosi, maire de Villelongue-dels-Monts, n’a pas hésité à faire valoir à plusieurs reprises. Selon le principe qui veut que dans le doute, il vaut mieux s’abstenir, l’élu a ainsi refusé que son village soit exposé aussi bien aux ondes d’une antenne-relais que plus récemment à celles du Wi-Fi. En 2002, le premier édile avait dit ‘non’ à une antenne relais dans le village.   « À l’époque, on avait organisé une réunion publique. La salle était comble, puis le conseil municipal s’était prononcé contre et j’avais suivi » précise le maire. Il a réitéré s’agissant du Wi-Fi. Explications   : « France Télécom voulait installer le Wi-Fi juste à côté de l’école, à la mairie ou encore sur le clocher de l’église. J’ai refusé au nom du principe de précaution. Tant qu’il existe des zones d’ombre, je refuserai. S’il arrivait quelque chose à un enfant du village, je ne voudrais pas avoir ça sur la conscience ! ».

Soupçons sur le Wi-Fi

Désormais, le débat s’étend au Wi-Fi et à l’ensemble des technologies radio reposant sur les micro-ondes (Wi-max, 3G + DECT…). Nouveau cheval de bataille de la coordination   Antennes 66 qui affirme son opposition au Wi-Fi que la région souhaite imposer à certaines communes.   « Le Wi-Fi est tout aussi nocif pour la santé que les antennes relais et, de plus, ses capacités techniques en matière de débit sont plus que limitées C’est pour cela qu’on réclame la couverture du département en tout filaire comme c’est le cas dans d’autres départements », explique Anne-Laure Mager, présidente de la coordination (lire ci-contre). Là encore, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a conclu qu’il n’y avait aucune raison de craindre de telles technologies tandis que le Wi-Fi a été officiellement déconseillé, voire interdit dans des écoles en Angleterre, en Allemagne et en Autriche…

Alexandra Girard

Source :  http://www.lindependant.com/articles/2010-12-08/antennes-relais-les-p-o-saturees-297740.php

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Le portable perturbe les bébés

LA-D-p-che-copie-1.png   Publié le 07/12/2010 07:48 | LaDepeche.fr

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Le portable perturbe les bébés

Les futures mamans qui utilisent régulièrement un téléphone mobile auraient un risque accru d’avoir des enfants présentant des troubles du comportement. Un risque accru si ces enfants ont eux-mêmes utilisé précocément ces appareils.

L’étude, danoise, se base sur près de 100.000 femmes enceintes entre 1996 et 2002. Elle a été conduite sur plus de 28.000 enfants ayant atteint l’âge de 7 ans en décembre 2008. Elle fait suite à une première étude portant sur près de 13.000 enfants, qui avait déjà montré un lien entre une exposition prénatale et des troubles du comportement.

Selon les chercheurs, les enfants exposés à la téléphonie mobile avant et après la naissance ont 50% plus de risque de présenter des problèmes de comportements. Pour les enfants exposés uniquement avant la naissance, le risque est majoré de 40%. «Même s’il est prématuré d’interpréter ces résultats comme un lien de causalité, nous craignons que l’exposition précoce aux téléphones mobiles puisse comporter un risque, qui, s’il était avéré, serait un problème de santé publique étant donné l’utilisation très répandue de cette technologie», ont conclu les auteurs.

Source :  http://www.ladepeche.fr/article/2010/12/07/964734-Le-portable-perturbe-les-bebes.html

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Brax. Antenne-relais et cancer : des riverains inquiets

LA-D-p-che-copie-1.png   Publié le 24/11/2010 03:47 | LaDepeche.fr

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L’association «Bien vivre à Brax» s’est mobilisée lors de l’exposition sur le cancer./Photo DDM

La semaine dernière, la place du village accueillait durant trois jours une exposition gratuite sur le thème du cancer. À cette occasion, le collectif « Bien vivre à bras », devenu depuis peu une association, était présent pour informer sur le projet d’antenne-relais bientôt implantée rue de laspiacères.

« D’un point de vue juridique et administratif, il était plus facile pour nous d’avoir les statuts d’une association de loi 1 901 » explique Christophe Mangion, leur porte-parole. Malgré l’avancement du projet, les riverains n’ont pourtant pas jeté l’éponge. L’espoir demeure de voir l’antenne déplacée ou le projet annulé. En attendant de nouvelles décisions ou actions, les membres de l’association se sont succédé la semaine dernière devant l’exposition mobile « face au cancer, la santé ça se construit ! ». » Même s’il n’est pas prouvé que les ondes émises part les antennes-relais peuvent provoquer des cancers, ajoute Chistophe, il est important d’informer la population sur les risques, ne serait-ce que par principe de précaution ». Les habitants sont conviés à participer à une réunion d’information le mercredi 1er décembre à 20 h 30, qui se tiendra dans la petite salle des fêtes.

Source : http://www.ladepeche.fr/article/2010/11/24/955202-Brax-Antenne-relais-et-cancer-des-riverains-inquiets.html

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Appel aux victimes des onde électromagnétiques

   PUBLIÉ LE 22/11/2010 08:04 | LAURENT GAUTHEY

Les antennes du Prat d'Albis, au-dessus de Foix.

Les antennes du Prat d’Albis, au-dessus de Foix.

Le collectif «Ni wifi, ni wimax» lance un appel à témoignages aux personnes qui pensent être victimes des ondes électromagnétiques. Et réclame également des précisions sur les dernières installations réalisées pour la couverture Internet du département.

Ils ne sont pas toujours pris au sérieux, et ils en souffrent ouvertement. Désireux de rester anonymes, ils se montrent même méfiants vis-à-vis de l’effet produit. «Un article, dans «La Dépêche», c’est une bonne chose, estime Marie, jeune femme qui se définit comme «électro-sensible». Par contre, les gens mal informés risquent de nous prendre encore pour des illuminés». Et Evelyne, autre «victime des ondes» d’ajouter: «Nous ne sommes pas idiots. Nous savons bien que les ondes existent à l’état naturel. Le problème vient de ces ondes artificielles qui nous entourent». Elisabeth, autre membre du collectif, énumère les problèmes de santé qu’elle rencontre: «Dès que je suis entouré d’ondes, j’ai des migraines épouvantables. Il faut que je m’éloigne au plus vite. Pour moi, il est très difficile d’aller à Foix, et impossible d’assister à un spectacle à l’Estive (1)». Très sensible aux ondes, elle n’utilise ni portable, ni téléphone sans fil et vient de changer de travail. Evelyne reprend: «Ma fille de onze ans connaît les mêmes difficultés que moi. Il y a une antenne-relais à proximité de son collège. Elle ressent des migraines épouvantables. J’ai dû décider de la garder à la maison et de lui faire suivre des cours par correspondance».

Ces témoignages sont les premiers qui ont été recueillis par le collectif «Ni wifi, ni wimax», très engagé dans la lutte contre les ondes électromagnétiques. Ce collectif est composé de particulier, mais aussi d’une association le Comité Écologie Ariégeois, qui essaie depuis plusieurs mois d’obtenir la carte des installations réalisées pour assurer la couverture Internet du département. «Nous n’y sommes pas encore parvenus. On nous oppose un refus courtois, mais ferme», confie Jean-Pierre Delorme. A la fin de l’été dernier, le collectif a donc décidé de lancer un appel aux personnes qui se disent victimes de ces ondes, afin «d’alerter une nouvelle fois les pouvoirs publics», précise encore le militant écologiste.

Reste à savoir si ces champs électro-magnétiques sont dangereux. Rien n’est définitivement tranché, mais un rapport récent de l’Association pour la recherche thérapeutique anticancéreuse ne l’exclut pas, loin de là, établissant l’existence d’effets des ondes sur le système nerveux. Et de faire remarque qu’en Suède, «l’électro-sensibilité est reconnue comme un handicap qui touche environ 250000 personnes, sur une population de 9 millions d’habitants».

Le toît de la Scène nationale accueille en effet un grand nombre d’antennes.

Pour joindre le collectif: 05.61.03.63.27 ou 05.61.01.08.87. Ou par courrier:collectif.niwimaxniwifi@laposte.net


De Massat à Pamiers, les opposants s’organisent

Plusieurs collectifs ont vu le jour ces derniers temps en Ariège. Certains sont affiliés à l’association nationale «Robin des Toîts». Il existe une mobilisation à Massat (téléphonie mobile), Tarascon (soutien d’une victime électro-sensible), Saint-Girons et Pamiers (lutte contre une antenne de téléphonie, action judiciaire en cours).

Source : http://www.ladepeche.fr/article/2010/11/22/953644-Appel-aux-victimes-des-onde-electromagnetiques.html

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Mediator : appel à la démission

LA-D-p-che-copie-1.png    PUBLIÉ LE 18/11/2010 08:22 | LADEPECHE.FR

La secrétaire d'état à la Santé, Nora Berra.

La secrétaire d’état à la Santé, Nora Berra.

Le député socialiste de Haute-Garonne, Gérard Bapt, a réclamé hier la démission de la toute nouvelle secrétaire d’état à la Santé, Nora Berra. L’élu, cardiologue et rapporteur de la mission Santé à la commission des finances la soupçonne de conflit d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique. Nora Berra a en effet travaillé pendant dix ans, jusqu’à sa nomination au gouvernement l’an dernier pour trois laboratoires, dont Sanofi.

Le député s’est dit « scandalisé» par la déclaration de Nora Berra mardi matin sur I Télé au sujet du scandale du Mediator: «Il faudra voir la relation d’imputabilité entre le médicament et ses effets. Il y a un gros travail de compilation de données et d’expertise à faire sur ce dossier», avait-elle temporisé, tandis que l’Afssaps annonçait le même jour que 500 morts seraient imputables à la prise de ce médicament administré aux diabétiques en surpoids.

Gérard Bapt avait beaucoup bataillé pour que les autorités se saisissent de cette question de santé publique, regrettant «l’inertie des agences sanitaires». Nora Berra a dénoncé hier dans une lettre ouverte au député des «insinuations malveillantes» et la «polémique politicienne stérile».

Source : http://www.ladepeche.fr/article/2010/11/18/950464-Mediator-appel-a-la-demission.html

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