Montastruc-la-Conseillère. Les antennes relais font toujours polémique

   PUBLIÉ LE 16/03/2012 08:45 | ELIANE ORLANDO

Le déplacement de l'antenne a eu lieu sans aucune concertation./ Photo DDM

Le déplacement de l’antenne a eu lieu sans aucune concertation./ Photo DDM

Les antennes-relais ne sont pas les bienvenues dans l’environnement. Et lorsqu’elles sont déjà implantées, cela pose souvent un problème pour les riverains et la municipalité qui, dans les limites qui lui sont fixées, tente de protéger sa commune.

Politique du fait accompli

Ainsi, le déplacement des antennes se trouvant sur le château d’eau devait faire l’objet d’une concertation avec les élus et la population afin que la nouvelle implantation prenne en compte les intérêts de tous. Or, l’opérateur (Bouygues télécom) a installé ces antennes sur le pylône édifié sur le terrain voisin sans en informer la municipalité qui s’est retrouvée devant le fait accompli: un courrier a été adressé à cet opérateur pour condamner un tel comportement contraire à la « charte des bonnes pratiques » signée entre l’association des maires de France et l’association française des opérateurs mobiles.

Avis défavorable, mais…

SFR souhaite également implanter une antenne sur un terrain situé sur la route entre Saint Jean l’Herm et Gragnague. La municipalité rappelle qu’elle n’a aucun moyen de s’opposer à cette implantation, le site choisi étant un terrain privé. Le seul moyen, pour contraindre l’opérateur de téléphonie mobile à une concertation avec les élus et les personnes concernées a été de donner un avis défavorable à la demande d’électrification du terrain devant supporter le pylône.

Une note rassurante

Enfin, Free cherche également un emplacement pour y implanter une nouvelle antenne…

Une note rassurante cependant: les dernière mesures réalisées montreraient que les taux d’exposition sont dans les normes, et que les plus importants d’entre eux seraient dus à la présence de l’antenne ASF, au bord de l’autoroute.

Source : http://www.ladepeche.fr/article/2012/03/16/1307086-montastruc-la-conseillere-les-antennes-relais-font-toujours-polemique.html

Facebooktwitterlinkedinmail

Bonhoure : dernières émissions avant fermeture

   PUBLIÉ LE 08/03/2012 09:06 | B. DV.

Toulouse vue depuis les hauteurs de Pech-David./Photo DDM, Archives

Toulouse vue depuis les hauteurs de Pech-David./Photo DDM, Archives

Après le transfert des émetteurs TV depuis le pylône de Bonhoure vers Lafilaire, opérateurs radio et Capitole organisent le déménagement des émetteurs FM vers la colline de Pech David.

L’Est toulousain sera-t-il bientôt débarrassé de toutes ses antennes ? Rien n’est encore totalement réglé, mais le grand déménagement a d’ores et déjà commencé. Le 8 novembre 2001, le basculement de la télévision hertzienne vers la télé numérique a marqué la première étape de la déconcentration du pylône de Bonhoure qui a perdu ses antennes TV au profit de l’émetteur de Laffilaire. Pour le Capitole, il s’agit désormais de poursuivre le ménage en concertation avec les opérateurs en déplaçant les antennes FM qui émettent encore depuis Bonhoure et le château d’eau de Moscou. La majorité de ces antennes devrait prochainement migrer vers la colline de Pech David. La société Towercast, propriété du groupe Energy, possède une dizaine d’antennes sur le château d’eau de Moscou qu’elle se dit prête à déplacer le plus vite possible. Cette filiale du groupe énergy vient d’ailleurs de déposer une demande préalable auprès de la mairie de Toulouse pour construire un pylône de 45 m de hauteur à côté du château d’eau de Pech David. Sur le papier, le projet est conforme au cahier des charges du plan local d’urbanisme puisqu’il se situe en zone non constructible et à environ 250 mètres à vol d’oiseau de son voisin le plus proche : l’hôpital Rangueil. L’opérateur, qui ne veut pas s’enfermer dans un calendrier précise « qu’il négocie actuellement le déménagement avec ses clients. »

Pour TDF ex-Télédiffusion de France, une partie de la solution est déjà trouvée. Dès juin 2012, la moitié des antennes FM qui émettent depuis Bonhoure devrait, après accord du Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA), et des radios concernées, être décrochée du pylône et réinstallée sur l’émetteur de l’opérateur à Ramonville.

Pour l’autre moitié plusieurs solutions sont à l’étude. Mais un autre site de la colline de Pech David fait pour l’instant figure de favori. TDF pourrait en effet surélever un des deux pylônes utilisés par la police et les pompiers pour y installer ses dernières antennes FM. Rejeté jusqu’à une date récente en raison des interférences entres les ondes radio FM et les fréquences utilisée par les services de secours, cette solution vient de refaire surface. « Car, précise un proche du dossier, il semble que cette question des interférences avec les « Champs faibles » soit désormais réglée ». Rien ne s’opposerait donc plus à la cohabitation sur un même site entre radios FM et émissions à des fins militaires ou de sécurité publique. Mais comme Towercast, TDF préfère rester prudent sur la date de son retrait total de Bonhoure tant que les discussions avec les radios clientes et le CSA ne sont pas closes.


Que deviendront les dernières radios associatives ?

Lorsque les antennes FM appartenant à TDF et à Towercast auront quitté le pylône de Bonhoure et le Château d’eau de Moscou, le Capitole, qui souhaite « libérer tout l’Est de Toulouse des émetteurs FM », implantés trop près des habitations devra encore régler la question des radios associatives qui continueront à émettre depuis la rue d’Assalit, Jolimont ou l’avenue Jean-Chaubet.

Pour le moment, la mairie a essentiellement discuté avec les opérateurs professionnels propriétaires de la majorité des antennes FM. Mais des solutions sont actuellement à l’étude pour créer des sites susceptibles d’héberger les émetteurs associatifs.

Aucune solution définitive n’a toutefois été trouvée pour l’instant.

source :  http://www.ladepeche.fr/article/2012/03/08/1301089-bonhoure-dernieres-emissions-avant-fermeture.html


Facebooktwitterlinkedinmail

Foix. Ils appellent le maire à saisir la justice

   PUBLIÉ LE 28/02/2012 08:08 | E.D.

L'antenne surplombera l'école de Cadirac./Photos DDM, Stéphanie Leborne.

L’antenne surplombera l’école de Cadirac./Photos DDM, Stéphanie Leborne.

Pas question qu’une nouvelle antenne s’installe sur la commune de Foix. L’association Robin des Toits, qui conseille le collectif opposé à cette implantation, est bien décidée à utiliser tous les moyens. Le 20 février dernier, elle a ainsi écrit au maire de la ville, Jean-Noël Fondère. Dans ce courrier, Robin des toits l’incite fortement à attaquer les opérateurs de téléphonie en justice, au prétexte qu’ils dépasseraient la réglementation européenne.

Pour l’association, les antennes de Saurat et de Cadirac sont « des exemples flagrants de cette volonté des opérateurs de passer en force au mépris des inquiétudes légitimes des habitants et des maires ».

Contrairement à l’argumentaire développé par les élus sur leur impuissance, l’association estime qu’ils ont des cartes à jouer. « Il existe d’autres moyens que les réglementations générales de valeur limitent d’exposition, il existe d’autres façons que le simple appel au principe de précaution pour bloquer l’antenne », assure-t-elle.

D’après Robin des Toits, la mairie aurait ainsi des atouts qu’elle n’exploiterait pas. Notamment un dossier du docteur Le Ruz expert européen en matière de protection contre les champs électromagnétiques.

C’est à partir de ce rapport que l’association souhaite que le maire attaque certains opérateurs en justice. Robin des Toits va même plus loin : « Émettez un arrêté interdisant toute nouvelle implantation d’antenne qui ne garantit pas par écrit le respect de ce seuil (3v/m). Des textes de droit français existent sur lesquels vous pouvez vous appuyer », explique-t-elle. Et cette dernière de proposer au maire de lui fournir les textes nécessaires pour élaborer cet arrêté.

C’est une démarche de la dernière chance. Car l’implantation de l’antenne est imminente. Rappelons qu’installée sur un terrain privé et haute de moins de 12 m, elle ne fait l’objet d’aucun permis de construire. La semaine passée, les opposants avaient déjà écrit au préfet pour lui demander d’agir.


L’argument de la 3G

Quand Orange est venu à l’école de Cadirac commenter l’étude d’impact, l’opérateur a insisté sur le fait que cette antenne a pour but de permettre à la zone d’avoir la 3G. Les opérateurs sont en effet soumis à un taux de couverture de 98 % par l’État.

Or pour les opposants à l’antenne, cet argument ne tient pas. Dans un courrier au préfet de l’Ariège, ils notent que la 3G couvre déjà la zone depuis fort longtemps. « Ce projet d’antenne ne rentre pas dans le cadre de l’utilité publique », concluent-ils.

Source : http://www.ladepeche.fr/article/2012/02/28/1293774-foix-ils-appellent-le-maire-a-saisir-la-justice.html

Facebooktwitterlinkedinmail

Carcasonne : un coup de balai sur les antennes-relais

   PUBLIÉ LE 03/02/2012 03:52 | C. S.-B.

Les papiers gras, mégots, poussière de la ville et autres détritus jetés dans la rue par les Carcassonnais qui donnent tant de fil à retordre aux balayeurs n’ont qu’à bien se tenir… Enfin, façon d’écrire… Quoi qu’il en soit, à partir du 1er mars, les équipes de communaux attachées au nettoyage seront renforcées. Ce bataillon comptera quatorze agents en piste, balais en main. Outre cet incontournable outil manuel, les nettoyeurs seront aussi dotés de deux balayeuses et d’une arroseuse. L’achat de ce matériel a été voté hier, lors du conseil municipal, pour un montant de 435 000€. « Cet effort répond aux besoins du personnel de travailler dans de meilleures conditions », a souligné Henry Garino.

téléphonie mobile dans le collimateur

Stop ! Les antennes relais de téléphonie mobile n’ont plus droit de cité dans les espaces publics de Carcassonne. « La ville refusera toutes les demandes d’installation sur ses bâtiments, y compris le stade », a indiqué hier Michel Cornuet. Pour le moment, c’est le seul biais car en octobre dernier, le Conseil d’État a retoqué les arrêtés de trois communes tentant de réglementer les installations. Donc, à défaut de pouvoir réguler, le conseil municipal a adopté à l’unanimité une motion adressée au gouvernement. Le conseil demande « une révision de la réglementation nationale, fixant la valeur limite d’exposition aux ondes à 0,6 volt par mètre » et d’accorder aux maires un pouvoir réel de régulation. Aujourd’hui en France, la limitation est fixée à 61 V/m. « Réglementation insuffisante », jugent les élus carcassonnais au regard d’autres pays européens qui ont baissé le niveau à 3 V/m. « L’Autriche a même été plus loin en fixant cette limite à 0,6 V/m, valeur reconnue comme le meilleur compromis entre la préoccupation de la santé publique et celle du fonctionnement du service de téléphonie mobile », pointe la motion.

Source : http://www.ladepeche.fr/article/2012/02/03/1276738-un-coup-de-balai-sur-les-antennes-relais.html

Facebooktwitterlinkedinmail

Launac. Une antenne relais indésirable

   PUBLIÉ LE 19/01/2012 08:23 | A. G.

Un paysage à sauvegarder / Photo DDM, A. G.

Un paysage à sauvegarder / Photo DDM, A. G

Le collectif Launac Relais, adhérant à l’association Robin des Toits, s’est crée le 15 décembre 2011 à la suite de la découverte du panneau présentant l’arrêté de non opposition à une déclaration préalable signé par la DDT (Madame Letourmy) concernant l’implantation d’une antenne radio téléphonique SFR. Le collectif constate que la commune de Launac détient déjà deux antennes radio téléphoniques ainsi que la Wimax, ce qui semble être suffisant. Le collectif Launac Relais ne veut en aucune façon s’opposer à l’extension du réseau de téléphone mobile, mais le site d’implantation choisi est trop proche des habitants, ainsi que de l’école Fourio. Le site choisi nuira également le paysage des environnements, étant l’entrée de la forêt communale à moins de 10 m. C’est pour tout cela que le collectif conteste de la manière la plus formelle l’implantation de cette nouvelle antenne. Il a été communiqué à la Dépêche (article publié le 28/11/2011) qu’une information complète serait délivrée aux habitants de Launac, hors les riverains n’ont jamais étés informés de ce projet. Il est aussi indiqué sur un article publié le 14/12/2011 du même journal, que Monsieur le Maire a donné son avis défavorable et que sur le site concerné la municipalité a un projet de zone verte. Depuis la date de création du collectif, un recours gracieux a été rédigé à destination des élus. A ce jour aucune réponse de leur part n’a été communiquée. Un rendez- vous avec Monsieur le Maire a été demandé à plusieurs reprises, sans aucun retour. En effet, le collectif attend le soutien du maire, de par son avis défavorable pour ce projet. Entre temps, le collectif Launac Relais a recueilli plus de 300 signatures lors d’une pétition à l’encontre de ce projet, venant confirmer le refus catégorique de l’implantation de cette antenne sur notre commune. De plus, une rencontre avec madame Volto, conseillère générale du canton de Grenade s’est tenue ce vendredi 13 janvier 2012. Elle témoigne au collectif son soutien au retrait catégorique de ce projet.

Source :  http://www.ladepeche.fr/article/2012/01/19/1263972-launac-une-antenne-relais-indesirable.html


Facebooktwitterlinkedinmail

Launac. La mairie n’a pas délivré d’autorisation pour l’antenne relais

   PUBLIÉ LE 14/12/2011 11:02 | LA DÉPÊCHE DU MIDI

Le lac de Launac ou riverains et poissons vivent paisiblement./Photo DDM, A. G.

Le lac de Launac ou riverains et poissons vivent paisiblement./Photo DDM, A. G.

http://www.ladepeche.fr/article/2011/11/28/1226390-launac-bientot-une-antenne-relais-de-telephonie-mobile.html). Il est précisé dans cet article : « Cette implantation a fait l’objet d’une autorisation municipale délivrée le 5 octobre 2011 ». Cette autorisation n’a jamais été délivrée par la mairie, qui d’ailleurs a émis un avis défavorable à ce projet. Rappel des faits : En date du 2 septembre 2011, la société Graniou, représentée par M. J.-M. Gourvil, a déposé en mairie de Launac une déclaration préalable (N° DP 31281 11W0015) portant sur un projet d’antenne-relais pour le compte de l’opérateur téléphonique SFR. Suite à un courrier de relance adressé à M. le maire de Launac, en date du 6 octobre 2011, la société Graniou a souhaité obtenir un certificat de non-opposition tacite de la part de l’équipe municipale. M. le maire de Launac, après consultation de ses adjoints a considéré que la couverture de notre territoire est très satisfaisante pour les trois principaux opérateurs de téléphonie mobile. M. le maire a donc informé la société Graniou, par un courrier établi le 26 octobre 2011, de son désaccord quant à l’installation d’une nouvelle antenne de radio téléphonie sur le territoire de notre commune.

D’autant que sur le site concerné la municipalité à un projet de zone verte.

Source : http://www.ladepeche.fr/article/2011/12/14/1239486-launac-la-mairie-n-a-pas-delivre-d-autorisation-pour-l-antenne-relais.html

Facebooktwitterlinkedinmail

Antennes-relais : la guerre des ondes est relancée

  PUBLIÉ LE 04/01/2012 08:14 | G.-R. SOUILLÉS

La réglementation de 1999 est dépassée./Photo DDM, Neddir Debbiche

La réglementation de 1999 est dépassée./Photo DDM, Neddir Debbiche

La réglementation nationale sur l’exposition aux ondes des antennes de téléphonie mobile est-elle suffisante ? Certainement pas pour les élus toulousains du groupe Ecologie-Les Verts qui ont fait voter au dernier conseil municipal une résolution interpellant le gouvernement sur la nécessaire protection de la population aux effets des champs électromagnétiques. « Aujourd’hui la loi, qui repose sur des textes de 1999, fixe la valeur limite d’exposition aux ondes UMTS à 61 V/m, alors que plusieurs pays de l’Union européenne ont réduit cette limite d’exposition à 3 V/m, explique le groupe écologiste. L’Autriche a même été plus loin en fixant cette limite à 0,6 V/m, valeur reconnue comme le meilleur compromis entre la préoccupation de la santé publique et celle du fonctionnement du service de téléphonie mobile ». Les Verts veulent aussi une loi qui accorde aux maires les moyens de réguler ces implantations d’antennes relais en fonction des critères fixés. « Pour l’heure un maire ne peut s’opposer à l’implantation d’infrastructures, à l’exception de celles qui relèvent du domaine public non routier, et son rôle reste pour l’essentiel cantonné à de la médiation », s’insurgent les écologistes. En pleine explosion de la téléphonie mobile, il s’agit pour eux du principe minimal de précaution.


Des effets mal connus

En juin 2011, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a pris la décision de classer les ondes de la téléphonie mobile dans la catégorie des agents « cancérogènes possibles ». Confirmant un rapport publié en 2009 par l’Agence française de sécurité sanitaire de l’environnement et du travail (AFSSET) qui évoquait un domaine « incertain ». L’AFSSET soulignait également « qu’il existe des signaux suffisants d’effets biologiques ». Et la majorité des scientifiques s’accorde aujourd’hui a minima pour l’application du principe constitutionnel de précaution.

Source : http://www.ladepeche.fr/article/2012/01/04/1253195-antennes-relais-la-guerre-des-ondes-est-relancee.html

Facebooktwitterlinkedinmail

Mazères. Principe de précaution : l’antenne relais déménage

   PUBLIÉ LE 09/12/2011 08:27 | LA DÉPÊCHE DU MIDI

Les techniciens démontent les antennes./Photo DDM.

Les techniciens démontent les antennes./Photo DDM.

Voilà maintenant quelques années que les deux opérateurs avaient implanté sur le toit du château d’eau une antenne plus performante permettant à la téléphonie mobile un meilleur débit, offrant également la connexion Internet via son téléphone, etc. Avec peut-être pour inconvénient des signaux électriques et ondes électromagnétiques. Soumise à un processus réglementaire, l’implantation des relais doit respecter des codes dans l’intérêt général de la santé et la sécurité des personnes afin de prévenir des risques. Afin de respecter le principe de précaution, la municipalité a souhaité que les antennes implantées au-dessus de l’ancien château d’eau soient déplacées en dehors des zones d’habitation. A la suite de plusieurs réunions du conseil municipal, un nouvel emplacement situé sur un terrain communal au lieu dit « Abdon » a été proposé aux opérateurs, en précisant que la commune n’accepterait qu’un seul pylône pour l’ensemble des opérateurs. Le pylône remplit actuellement ses fonctions d’antenne relais. Depuis quelques jours, les opérations de démontage des antennes situées sur le château d’eau sont réalisées par des techniciens opérateurs de téléphonie mobile et le château d’eau a retrouvé son aspect d’antan. D’après les riverains, c’est une sage décision, en espérant que les communes voisines suivent l’exemple.

source :  http://www.ladepeche.fr/article/2011/12/09/1235224-mazeres-principe-de-precaution-l-antenne-relais-demenage.html

Facebooktwitterlinkedinmail