Le téléphone portable peut affecter la mémoire chez les adolescents

Encore une alerte sur les risques sanitaires liés à la téléphonie mobile

Des chercheurs suisses mettent en garde contre une utilisation trop fréquente des téléphones portables collés à l’oreille. Cette habitude favoriserait en effet l’absorption des radiofréquences par le cerveau, ce qui aurait un impact sur la mémoire des adolescents.

L’article sur le site de Parents

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Orange rappelle un téléphone émettant trop d’ondes

Des dizaines de milliers de consommateurs concernés

Ce sont les contrôles réalisés par l’Agence nationale des fréquences (ANFR) qui ont détecté un dépassement du débit d’absorption spécifique (DAS) autorisé. Le DAS est la mesure utilisée pour quantifier l’énergie des ondes absorbée par l’utilisateur d’un portable. Il est limité à 2 W/kg au niveau de la tête (« DAS tête ») comme au niveau du corps (« DAS tronc »).

Durcissement des normes

Ces normes ont par ailleurs été durcies. Un changement de méthode de mesure, qui s’applique aux smartphones et autres portables mis sur le marché depuis avril 2016, conduit à mesurer les émissions au niveau du tronc à une distance maximale de 0,5 cm du corps.

Auparavant, les fabricants pouvaient effectuer des mesures à 2,5 cm de distance. Ces quelques centimètres changent tout : ils permettaient aux fabricants d’afficher des valeurs bien plus faibles, et donc de respecter plus facilement les normes.

L’article de 60 millions de consommateurs

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Communiqué de Robin des Toits à la suite du rapport de l’ANSES

L’Electro Hyper Sensibilité reconnue de fait ; à l’Etat d’agir ! 

Hypersensibilité électromagnétique ou intolérance environnementale idiopathique attribuée aux champs électromagnétiques : Avis de l’ANSES – Rapport d’expertise collective – 26 Mars 2018

L’association nationale Robin des Toits prend acte que ce rapport reconnaît de fait l’existence de l’Electro Hyper Sensibilité (EHS), à la fois par son existence même et par un certain nombre d’éléments de son contenu. Elle note également que l’EHS n’est plus considérée comme un trouble purement psychique, selon une approche psychiatrisante. Il est donc à souhaiter que les recommandations de l’ANSES soient entendues des personnels médicaux et paramédicaux ainsi que des institutions et entreprises pour que cesse une ségrégation de fait et que la réalité de l’EHS soit vraiment  prise en compte à tous les niveaux.

Le communiqué de Robin des Toits

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Après l’ANSES chez nous, d’autres études chez les Anglo-saxons

28 mars 2018 17h10

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Sensibilité aux ondes électromagnétiques: une “souffrance” qui doit être prise en charge

L'Anses répertorie des dizaines de symptômes que les électrosensibles attribuent à leur exposition aux radiofréquences des téléphones portables, antennes relais et wifi. - RelaxNews - AFP TV

L’ANSES publie son rapport dans la Dépêche du Midi

L’existence même de l’électrohypersensibilité (EHS) fait débat entre une communauté médicale sceptique face à une pathologie qui ne se définit que par l’autodéclaration des personnes qui en souffrent et des patients qui mettent en avant des symptômes handicapants.

Maux de tête, troubles du sommeil, nausées, irritabilité, fourmillements dans les doigts ou encore problèmes cutanés: l’Anses répertorie des dizaines de symptômes, plus ou moins courants, que les électrosensibles attribuent à leur exposition aux radiofréquences des téléphones portables, antennes relais et autre wifi.

“Il n’existe pas de critères de diagnostic de l’EHS validées à ce jour”, note l’Anses dans cet avis publié mardi. Mais “quoi qu’il en soit, les plaintes (douleurs, souffrance) formulées par les personnes se déclarant EHS correspondent à une réalité vécue”.

“C’est une avancée. On ne parle plus d’un effet nocebo exclusif”, a indiqué à l’AFP le président de l’association Robin des Toits, Pierre-Marie Theveniaud, avant d’avoir pris connaissance de l’intégralité du rapport.

A lire dans la Dépêche.fr

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Communiqué : Le Conseil de l’Ordre veut poursuivre le médecin des Electrosensibles

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

DE ROBIN DES TOITS

 

ENEDIS a saisi le Conseil de l’Ordre des Médecins d’une plainte contre le Pr. BELPOMME en raison de certificats délivrés à des personnes électrosensibles (intolérantes à la pollution électromagnétique) pour leur éviter l’installation de compteurs Linky.      

Robin des Toits qui est à l’origine de la médiatisation de l’électrosensibilité en 2008 et qui souhaite la reconnaissance de cette affection a pu interroger le Pr Belpomme. Il a simplement tenu à confirmer la pleine validité scientifique de tout ce qu’il a fait concernant l’Électro-Hypersensibilité (EHS). Pour le reste, il s’en remet à l’impartialité du Conseil de l’Ordre.


Robin des Toits a souhaité poursuivre son enquête pour en savoir plus.
Nous avons découvert que cette saisie du Conseil de l’Ordre a fuité dans la presse (dépêche APM et article du JIM le 19 décembre 2017), mais par qui ?
Il nous apparaît qu’il ne peut y avoir que deux sources possibles de cette divulgation qui contrevient au secret de l’instruction : soit Enedis, soit le Conseil de l’Ordre lui-même, la dépêche d’APM mentionnant une “source ordinale”…
Nous avons été troublés de découvrir que le président du Conseil de l’Ordre a récemment rejoint l’Académie de Médecine dont les positions – on pourrait presque parler de militantisme – contre la reconnaissance de l’EHS sont bien connues.
Etienne Cendrier porte-parole de Robin des Toits s’interroge : “Le Pr Belpomme n’est-il pas visé parce qu’il était en passe d’établir scientifiquement la causalité de l’Electro-Hypersensibilité” ? 
En effet, le Pr Belpomme a déjà publié sur l’Électro-Hypersensibilité dans une revue scientifique à comité de lecture et d’après nos informations, plusieurs autres articles devraient être publiés par la suite.
 
Etienne Cendrier
Porte-Parole nationa
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Une différence spectaculaire dans l’activité cérébrale avec des cas EHS

Ci-dessous la traduction automatique de Google de l’étude : Pilot Study Shows Dramatic Difference In Brain Activity With EHS (Electrohypersensitive) Cases As Compared To Controls (Non EHS).

Une étude pilote montre une différence spectaculaire dans l’activité cérébrale avec des cas EHS (électro-hypersensibles) comparés aux contrôles (non-EHS).

  Ceci est la première étude publiée connue pour montrer des images de EHS sur une IRMf.


Nouvelles fournies par

La Fondation de l’Initiative des Peuples

5 décembre 2017, 10:37 ET


LOS ANGELES , 5 décembre 2017 / PRNewswire / – La Fondation de l’Initiative des Peuples a annoncé la conclusion d’une étude pilote qu’ils ont organisée, dirigée par le Dr Gunnar Heuser , montrant l’EHS sur une IRMf. Cette étude a été publiée à l’origine par Degruyter en Juillet 2017, mais était absente des images des contrôles. La société a attendu que les images soient placées dans l’étude pour publier ce communiqué de presse, car la différence visuelle entre les cas et les contrôles est assez dramatique.

Voici deux exemples d’images de l’étude. La grande zone blanche sur le côté gauche de l’image de gauche montre une hyperconnectivité dans le cerveau d’un cas (personne EHS). La même petite zone blanche dans l’image à droite montre une activité cérébrale normale chez un témoin (personne non EHS).

EHS ou “électrohypersensibilité” en termes civils, “empoisonnement par micro-ondes” en termes militaires, est une maladie radio-induite dont l’existence même est vivement débattue par le gouvernement les scientifiques et le personnel de l’industrie du sans fil. Cette étude apporte la preuve qu’il existe des anomalies dans le cerveau EHS qui ne sont pas présentes dans le cerveau non EHS et pourrait mettre fin au débat sur l’existence de l’EHS. Il défie également la position largement répandue de l’industrie gouvernementale et sans fil selon laquelle les appareils sans fil et l’infrastructure n’ont aucune conséquence sur la santé humaine et pourraient avoir une incidence sur l’opinion prédominante selon laquelle le rayonnement sans fil est jugé sécuritaire.

L’intégralité de l’article en Anglais

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Danger des ondes sur la santé de votre bébé

tablette

Rendu public mardi 15 octobre, le rapport de l’Agence nationale de sécurité de l’alimentation, de l’environnement et du travail confirme ce que l’on craignait déjà depuis un moment : les ondes WiFi peuvent avoir de véritables conséquences sur la santé. Qu’en est-il pour les plus petits ? Faut-il restreindre l’usage des babyphones et mettre un terme aux jeux sur les tablettes ? Le point avec Olivier Merckel, chef de l’unité évaluation des risques liés aux agents physiques de l’Anses.

Un article sur bébé sans ondes

Un article sur Magicmaman

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