Une différence spectaculaire dans l’activité cérébrale avec des cas EHS

Ci-dessous la traduction automatique de Google de l’étude : Pilot Study Shows Dramatic Difference In Brain Activity With EHS (Electrohypersensitive) Cases As Compared To Controls (Non EHS).

Une étude pilote montre une différence spectaculaire dans l’activité cérébrale avec des cas EHS (électro-hypersensibles) comparés aux contrôles (non-EHS).

  Ceci est la première étude publiée connue pour montrer des images de EHS sur une IRMf.


Nouvelles fournies par

La Fondation de l’Initiative des Peuples

5 décembre 2017, 10:37 ET


LOS ANGELES , 5 décembre 2017 / PRNewswire / – La Fondation de l’Initiative des Peuples a annoncé la conclusion d’une étude pilote qu’ils ont organisée, dirigée par le Dr Gunnar Heuser , montrant l’EHS sur une IRMf. Cette étude a été publiée à l’origine par Degruyter en Juillet 2017, mais était absente des images des contrôles. La société a attendu que les images soient placées dans l’étude pour publier ce communiqué de presse, car la différence visuelle entre les cas et les contrôles est assez dramatique.

Voici deux exemples d’images de l’étude. La grande zone blanche sur le côté gauche de l’image de gauche montre une hyperconnectivité dans le cerveau d’un cas (personne EHS). La même petite zone blanche dans l’image à droite montre une activité cérébrale normale chez un témoin (personne non EHS).

EHS ou « électrohypersensibilité » en termes civils, « empoisonnement par micro-ondes » en termes militaires, est une maladie radio-induite dont l’existence même est vivement débattue par le gouvernement les scientifiques et le personnel de l’industrie du sans fil. Cette étude apporte la preuve qu’il existe des anomalies dans le cerveau EHS qui ne sont pas présentes dans le cerveau non EHS et pourrait mettre fin au débat sur l’existence de l’EHS. Il défie également la position largement répandue de l’industrie gouvernementale et sans fil selon laquelle les appareils sans fil et l’infrastructure n’ont aucune conséquence sur la santé humaine et pourraient avoir une incidence sur l’opinion prédominante selon laquelle le rayonnement sans fil est jugé sécuritaire.

L’intégralité de l’article en Anglais

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Nocivité des téléphones portables : les conditions irréalistes des tests

La revue européenne des médias et du numériqueUn « phonegate », selon l’expression inventée par Pierre Le Hir, journaliste au Monde, pourrait éclater, un nouveau scandale sanitaire dû à une trop forte exposition aux ondes émises par les smartphones.

L’affaire porte sur des tests de téléphones portables effectués, comme chaque année sur environ 80 appareils, à la demande de l’ANFR, par des laboratoires accrédités, afin de contrôler le rayonnement électromagnétique et radio des appareils, mesuré par le DAS – débit d’absorption spécifique – calculé en watts par kilogramme………..  En revanche, la mesure prise de l’exposition aux ondes lorsque l’appareil se trouve au contact du tronc révèle un DAS supérieur à 2 W/kg pour 89 % des téléphones testés en 2015 et même un DAS supérieur à 4 W/kg pour 25 % d’entre eux, allant jusqu’à 7 W/kg pour quelques appareils…..

L’article intégral de la revue des médias et du numérique

 

 

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Danger des ondes de portables : en route vers un « phonegate » ?

MarianneMédecin, Marc Arazi n’a de cesse d’alerter les pouvoirs publics sur les dangers potentiels représentés par les ondes de nos téléphones portables sur la santé publique. Il vient d’écrire en ce sens au nouveau gouvernement.

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DAS : les constructeurs nous mentent sur les ondes de smartphones !

Commentaire de Robin des Toits Midi-Pyrénées : cet article est extrait du blog PHONANDROID dédié aux smartphones, un article dénonçant la manipulation des fabricants de téléphones qui impactent notre sécurité et que l’on ne s’attendait pas à lire dans ce genre de publication, c’est tout à leur honneur.

Bonne lecture. JCH.


Vous souvenez-vous du Dieselgate de Volkswagen ? Nous pourrions avoir aussi droit à notre scandale dans la téléphonie mobile. En effet, selon une enquête de certaines organisations et d’experts, les tests effectués par les constructeurs pour déterminer le DAS ne sont pas fiables. L’exposition réelle aux ondes de smartphones serait bien plus importante que celle annoncée par les marques.

das constructeurs mentent

Lire la suite sur phonandroid

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Téléphones mobiles : affichage du rayonnement électromagnétique à partir du 15 avril 2011

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Publié le 6.04.2011
A partir du 15 avril 2011, les consommateurs doivent être informés du niveau d’exposition aux champs électromagnétiques émis par les téléphones mobiles.
L’affichage de la valeur du Débit d’absorption spécifique (DAS) qui correspond à la dose d’énergie absorbée par le corps lors de l’exposition aux radiofréquences devient en effet obligatoire sur tous les lieux de vente mais aussi sur toute publicité. La valeur du DAS est exprimée en watts par kilogramme. La réglementation française impose que le DAS ne dépasse pas 2 watts par kilogramme.
Un décret et un arrêté ont été publiés en ce sens au Journal officiel du 14 octobre 2010.

Voir le décret et l’arrêté relatif à l’affichage du débit d’absortion spécifique.

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Smartphones émetteurs de radiations : Danger ?

FRANDROID   Catégorie : Actualités Générales // Auteur : Dr Duck
D’après une récente étude de l’Environmental Working Group (EWG), les téléphones récents flirteraient beaucoup trop avec la limite d’émission de radiations.

Les ondes émises par les téléphones sont calculées en watt par kilogramme et représentent un indice appelé DAS, débit d’absorption apécifique, qui correspond au niveau de radio-fréquences que le portable émet lorsque ce dernier est utilisée à pleine puissance.
En France, les mobiles doivent présenter un DAS inférieur à 2 W/kg contre 1,6 W/kg au Etats-Unis.

On remarque, d’après cette étude, que le Blackberry Bold 9700 a un taux de radiations de 1,55 w/kg. Le Motorola Droid (Milestone) est à 1,50 w/kg, suivi du LG Chocolate (1,46 w/kg) et du Nexus One (1,39 w/kg).

On notera également que le HTC Magic possède également un fort taux d’émissions de radiations, évalué à 1,55 w/kg.

Afin de palier ces mauvaises statistiques, la Commission du Développement Durable a demandé aux constructeurs d’indiquer plus clairement le taux d’émission sur leur produits. L’Agence nationale des fréquences (ANFR) doit également présenter une carte de France où seront identifiables les zones où les antennes-relais émettent le plus d’ondes.

Même si rien n’a été prouvé concernant la dangerosité des ondes émises par les téléphones portables, il faut toutefois s’en préoccuper et c’est aux constructeurs d’agir afin de préserver la santé de leurs clients.

Source  : 

http://www.frandroid.com/11571/smartphones-emetteurs-de-radiations-danger/

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L’AFSSET préconise de priviligier les téléphones qui ont un DAS (débit d’absorption spécifique) le plus bas possible.

Dans son rapport l’AFSSET préconise de privilégier les appareils à faible émission (DAS ou débit d’absorption spécifique, qui mesure le niveau de radiofréquences émis par le portable).
L’AFSSET préconise également de généraliser l’affichage des indicateurs d’exposition maximale pour tous les équipements personnels utilisant la technologie des radiofréquences (téléphones portables, téléphones sans fil, veille-bébé.

Définition du DAS selon le CRIIREM :

Notion de débit d’absorption spécifique DAS :

Ce dernier nommé SAR chez les anglo-saxons (Spécific absorption rate) est utilisé par certains scientifiques pour évaluer l’énergie absorbée par les organismes vivants exposés à des ondes hyperfréquences ou micro-ondes et exprimée en Watts par kilogramme de tissus vivants (W/kg).

Il relève plus du calcul que de l’expérimentation et de mesures réelles. Il fait l’objet d’étude et de modélisations très complexes et très controversées sur le plan scientifique. On peut se faire une idée de cette notion en utilisant cette formule très simplifiée  :

DAS (Watts/kg) = 6 x Taille (mètres) /gigaHertz x Poids (kilogrammes)

Soit pour un homme pesant 90 kilogrammes et mesurant 1, 80 mètre exposée à une antenne relais de téléphonie mobile de 1800 mégaHertz :

DAS (Watts/kg) = 6x 1,80 / 1,8 x 90 = 0,07 W / kg

Soit pour un rat de laboratoire de 20 centimètres pesant 350 grammes et exposé de façon identique :

DAS (Watts/kg) = 6 x 0,20 / 1,8 x 0,350 = 1,9 W / kg

 

Pour résumer  ces calculs simples montrent bien combien le DAS est influencé par la fréquence de micro-ondes utilisées, mais aussi par la Taille et le Poids de l’organisme exposé. Cependant il ne s’agit que d’une valeur indicative qui ne doit pas servir d’alibi scientifique à certains organismes officiels pour établir des normes sanitaires en se dispensant d’études expérimentales et épidémiologiques pourtant incontournables.

Voir la Liste des DAS des principaux téléphones portables selon le site guerir.fr

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