Vidéo YouTube décortiquant un compteur Linky, ou la vision parcellaire d’un technophile


L’auteur de cette vidéo, qui a des compétence en électronique mais pas vraiment en électromagnétisme ni en électrotechnique, conseille aux néophytes d’aller directement voir les 5 dernières minutes de la vidéo, où il énonce ses conclusions, pour le moins sidérantes quant aux valeurs si faibles des mesures de champ magnétique.

Cette vidéo posté sur la chaine Youtube « Deus ex silicium » a fait le Buzz dans les milieux technophiles mais a fait réagir assez vivement les experts du mouvement stoplinky: Pour aider à une appréhension objective de son contenu, voici quelques éléments préliminaires à prendre en considération.


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5G : Lettre ouverte au Président de Toulouse Métropole

La réunion publique organisée le 13 novembre dernier salle Mermoz à Toulouse sur la gestion de l’eau a permis de clarifier nombre d’enjeux. Hélas, un point majeur n’a pu être abordé, sur lequel nous tenons à attirer votre attention avant le vote du 13 décembre au Conseil de la métropole.
En effet, il a été avancé en début de séance par un intervenant qui parlait avec enthousiasme de la « digitalisation » 1 , que confier la gestion à de grands groupes privés comme Suez ou Véolia permettrait le recours à des outils technologiques beaucoup plus sophistiqués. Ont même été évoqués avec gourmandise « des compteurs comme les Linky » mais « pas tout à fait pareils », bien qu’il soit clair qu’en matière d’aggravation des pollutions électromagnétiques comme de centralisation des données, les dispositifs envisagés iraient bien au ­delà des seuls compteurs. De fait, les capteurs ­émetteurs se multiplient déjà sous nos chaussées et nos trottoirs.  Lire la lettreFacebooktwitterlinkedinmail

WIMAX et/ou WIFI : Lettre ouverte de l’association Robin des Toits à Monsieur Pierre IZARD Président du CONSEIL GENERAL DE LA HAUTE-GARONNE

robin-copie-10.jpg   Paris, le 24 Décembre 2010
Monsieur Pierre IZARD
Président
CONSEIL GENERAL DE LA HAUTE-GARONNE

Monsieur le Président,

Des responsables politiques acceptent l’installation et la mise en
service de réseaux WIMAX et/ou WIFI – WIFI (Internet, jeux et
télécommunications sans fil – faible portée) – WIMAX (équivalent au
WIFI mais rayonnant sur environ 50 km de rayon) – Le WIFI et le WIMAX
ne permettent pas le très haut débit et ne permettent pas d’échanges
de données Internet sécurisés.

Pour expliquer de telles décisions, il y a lieu de supposer que nombre
d’informations leur font défaut.

On passe trop souvent sous silence les risques sanitaires associés à
ces technologies de télécommunications sans fil.
Cette absence de risques n’est d’ailleurs jamais garantie par les
industriels. En revanche, ils sont soulignés par les plus grandes
Compagnies d’assurances et de ré-assurances mondiales qui ne couvrent
pas, ou plus, les risques sanitaires liés aux émissions de champs et
ondes électromagnétiques.

La vraie solution pour réduire la fracture numérique est déjà
développée sur la majeure partie du territoire  (mais il est très
difficile d’en connaître la couverture exacte), et a déjà été financée
par les contribuables. Cette solution est la fibre optique.

Le WIFI comme le WIMAX n’autorisent que des transmissions haut débit
aléatoires et non sécurisées, contrairement à la fibre optique qui
permet le très haut débit sécurisé et qui seule sera à même d’intégrer
toutes les nouvelles applications technologiques. En outre, la fibre
optique ne présente aucun risque sanitaire.

Mettre en place le WIFI et/ou le WIMAX, c’est faire payer 2 fois le
contribuable pour un service déficient. C’est en fait concrètement
pérenniser la fracture numérique en instaurant un accès multimédia à 2
vitesses.
Le bon pour les endroits rentables, comme les grandes villes ; celui
de seconde zone à forts risques sanitaires pour les endroits moins
rentables, comme les zones rurales.
Que penser d’une telle conception de l’égalité républicaine et
d’aménagement du territoire ?
Il ne s’agit pas, bien sûr, d’un usage très judicieux de ce qu’on
nomme argent public à des fins essentiellement privées.

Certains décideurs politiques se sont informés et ont déjà pris la
mesure du problème. Le WIMAX est aujourd’hui abandonné dans 1 Région
et 6 Départements. Le tout filaire est décidé dans 1 Région et 2
Départements. Exemple Région PACA qui a abandonné la dorsale WIMAX
bien que celle-ci ait déjà été votée (voir pièce jointe : La Trousse).

Par ailleurs, un nombre croissant de nos concitoyens est touché par
l’électrohypersensibilité (EHS), ou encore SICEM (Syndrome
d’Intolérance aux Champs Electromagnétiques).
La mise en place du WIFI et/ou WIMAX leur rend la vie insupportable,
et nombre d’entre eux sont contraints d’abandonner leur lieu de vie,
voire leur travail et leur famille.  Ils deviennent des « réfugiés
environnementaux » réduits au nomadisme et à des conditions de vie
terriblement précaires.

Aucune politique, aucun développement économique ne peuvent excuser
cela. D’autant que des solutions réellement pérennes et sans danger
existent et sont, pour la majeure partie, opérationnelles.

Nous restons à votre disposition pour toute information
supplémentaire, ainsi que pour toute initiative que vous souhaiteriez
prendre pour assurer une réelle disparition de la fracture numérique,
tout en évitant des conséquences sanitaires lourdes aux plus
vulnérables de vos concitoyens dont vous avez la responsabilité.

Veuillez recevoir, Monsieur le Président, l’expression de notre
parfaite considération.

Etienne CENDRIER
Porte-Parole National

P.J. :
Synthèse de l’information générale actuelle intitulée La Trousse 2010

ROBIN DES TOITS
Correspondance : 12 rue Lucien Sampaix  75010 Paris
Tél. : 33 1 43 55 96 08
E-mail : contact@robindestoits.org
http://www.robindestoits.org

Voir la lettre au format PDF

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WIMAX et/ou WIFI : Lettre ouverte de l’association Robin des Toits à Monsieur Martin MALVY Président du CONSEIL REGIONAL DE MIDI-PYRENEES

robin-copie-10.jpg   Paris, le 24 Décembre 2010

Monsieur Martin MALVY
Président
CONSEIL REGIONAL MIDI-PYRENEES

Monsieur le Président,

Des responsables politiques acceptent l’installation et la mise en
service de réseaux WIMAX et/ou WIFI – WIFI (Internet, jeux et
télécommunications sans fil – faible portée) – WIMAX (équivalent au
WIFI mais rayonnant sur environ 50 km de rayon) – Le WIFI et le WIMAX
ne permettent pas le très haut débit et ne permettent pas d’échanges
de données Internet sécurisés.

Pour expliquer de telles décisions, il y a lieu de supposer que nombre
d’informations leur font défaut.

On passe trop souvent sous silence les risques sanitaires associés à
ces technologies de télécommunications sans fil.
Cette absence de risques n’est d’ailleurs jamais garantie par les
industriels. En revanche, ils sont soulignés par les plus grandes
Compagnies d’assurances et de ré-assurances mondiales qui ne couvrent
pas, ou plus, les risques sanitaires liés aux émissions de champs et
ondes électromagnétiques.

La vraie solution pour réduire la fracture numérique est déjà
développée sur la majeure partie du territoire  (mais il est très
difficile d’en connaître la couverture exacte), et a déjà été financée
par les contribuables. Cette solution est la fibre optique.

Le WIFI comme le WIMAX n’autorisent que des transmissions haut débit
aléatoires et non sécurisées, contrairement à la fibre optique qui
permet le très haut débit sécurisé et qui seule sera à même d’intégrer
toutes les nouvelles applications technologiques. En outre, la fibre
optique ne présente aucun risque sanitaire.

Mettre en place le WIFI et/ou le WIMAX, c’est faire payer 2 fois le
contribuable pour un service déficient. C’est en fait concrètement
pérenniser la fracture numérique en instaurant un accès multimédia à 2
vitesses.
Le bon pour les endroits rentables, comme les grandes villes ; celui
de seconde zone à forts risques sanitaires pour les endroits moins
rentables, comme les zones rurales.
Que penser d’une telle conception de l’égalité républicaine et
d’aménagement du territoire ?
Il ne s’agit pas, bien sûr, d’un usage très judicieux de ce qu’on
nomme argent public à des fins essentiellement privées.

Certains décideurs politiques se sont informés et ont déjà pris la
mesure du problème. Le WIMAX est aujourd’hui abandonné dans 1 Région
et 6 Départements. Le tout filaire est décidé dans 1 Région et 2
Départements. Exemple Région PACA qui a abandonné la dorsale WIMAX
bien que celle-ci ait déjà été votée (voir pièce jointe : La Trousse).

Par ailleurs, un nombre croissant de nos concitoyens est touché par
l’électrohypersensibilité (EHS), ou encore SICEM (Syndrome
d’Intolérance aux Champs Electromagnétiques).
La mise en place du WIFI et/ou WIMAX leur rend la vie insupportable,
et nombre d’entre eux sont contraints d’abandonner leur lieu de vie,
voire leur travail et leur famille.  Ils deviennent des « réfugiés
environnementaux » réduits au nomadisme et à des conditions de vie
terriblement précaires.

Aucune politique, aucun développement économique ne peuvent excuser
cela. D’autant que des solutions réellement pérennes et sans danger
existent et sont, pour la majeure partie, opérationnelles.

Nous restons à votre disposition pour toute information
supplémentaire, ainsi que pour toute initiative que vous souhaiteriez
prendre pour assurer une réelle disparition de la fracture numérique,
tout en évitant des conséquences sanitaires lourdes aux plus
vulnérables de vos concitoyens dont vous avez la responsabilité.

Veuillez recevoir, Monsieur le Président, l’expression de notre
parfaite considération.

Etienne CENDRIER
Porte-Parole National

P.J. :
Synthèse de l’information générale actuelle intitulée La Trousse 2010

ROBIN DES TOITS
Correspondance : 12 rue Lucien Sampaix  75010 Paris
Tél. : 33 1 43 55 96 08
E-mail : contact@robindestoits.org
http://www.robindestoits.org

Voir la lettre au format PDF

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