La réunion publique organisée le 13 novembre dernier salle Mermoz à Toulouse sur la gestion de l’eau a permis de clarifier nombre d’enjeux. Hélas, un point majeur n’a pu être abordé, sur lequel nous tenons à attirer votre attention avant le vote du 13 décembre au Conseil de la métropole.
En effet, il a été avancé en début de séance par un intervenant qui parlait avec enthousiasme de la « digitalisation » 1 , que confier la gestion à de grands groupes privés comme Suez ou Véolia permettrait le recours à des outils technologiques beaucoup plus sophistiqués. Ont même été évoqués avec gourmandise « des compteurs comme les Linky » mais « pas tout à fait pareils », bien qu’il soit clair qu’en matière d’aggravation des pollutions électromagnétiques comme de centralisation des données, les dispositifs envisagés iraient bien au delà des seuls compteurs. De fait, les capteurs émetteurs se multiplient déjà sous nos chaussées et nos trottoirs. Lire la lettre