Etats-Unis: Les gaz de schiste vus du ciel

20minutes.frPar 20minutes.fr | 20minutes.fr – mer. 30 janv. 2013

Les Etats-Unis vus par les satellites de la Nasa, le 6 décembre 2012., AFP PHOTO / NASA Earth Observatory/NOAA NGDC

20minutes.fr/20minutes.fr – Les Etats-Unis vus par les satellites de la Nasa, le 6 décembre 2012., AFP PHOTO / NASA Earth Observatory/NOAA NGDC

Il n’y a pas que les villes qui éclairent la nuit. Les images de la Nasa ont révélé que les torchères des exploitations de gaz de schiste des Etats-Unis dégageaient une forte luminosité, observable de l’espace. Selon le Financial Times, l’année 2012 a connu une forte hausse de 50% de gaz brûlé dans le Dakota du Nord et le nombre de permis de «torchage» au Texas ont été multipliés par six depuis 2010. Au total, les Etats-Unis brûlent aujourd’hui trois fois plus de gaz qu’il y a cinq ans.

Mais pourquoi brûler le gaz sur place? Tout simplement parce que ce sous-produit des gaz de schiste serait trop cher à transporter par rapport à sa valeur de revente. Les exploitants préfèrent donc le brûler, quitte à émettre dans l’atmosphère de grandes quantités de CO2. Selon un rapport de la Banque mondiale, 1,5% des émissions mondiales de CO2 seraient dues à la combustion de gaz, qui représente entre 130 et 150 milliards de mètres cubes chaque année. Un gaspillage visible de l’espace qui vient encore alourdir le bilan environnemental des gaz de schiste.

 Audrey Chauvet

Source : http://www.20minutes.fr/article/1090423/etats-unis-gaz-schiste-vus-ciel

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Gaz de schiste : des paysans polonais tiennent tête au géant Chevron

terraeco.net

« La malédiction du gaz de schiste », de Lech Kowalski, 75 min. Diffusion ce mardi 29 janvier, à 0h50 sur Arte. Rediffusion samedi 2 février à 10H25 et mercredi 13 février à 09H55.

(Crédit photo : Arte)

En Pologne, des petits paysans bombent le torse face au puissant Chevron. Ils tentent d’empêcher le géant américain de forer pour extraire du gaz de schiste comme il l’a fait en Pennsylvanie. Un reportage diffusé ce mardi soir sur Arte.

Ils font front, le pied obstinément collé à la route, le regard brillant d’affront. Les paysans polonais de Zamosc, dans l’est du pays, entendent bien bloquer le travail des camions dépêchés par Chevron, deuxième compagnie pétrolière des Etats-Unis. Des camions chargés de prospecter les champs de la région en vue de trouver du gaz de schiste. Mais voilà. A quelques encablures de là, de premières prospections menées par le géant américain ont fissuré les murs des fermes, pollué les puits des habitants. Alors les paysans de la région ont commencé à s’interroger. Faut-il voir dans le gaz de schiste une opportunité économique pour la région (l’eldorado aura finalement des allures de pétard mouillé) ? Ou une menace pour la santé des hommes et des bêtes et pour l’environnement ? Dans les salles des fêtes des villages, les habitants se sont réunis et le ton est monté. Chevron a bien tenté de calmer les ardeurs en venant s’expliquer. Il a même, dans un ultime effort, distribué d’affreux tigres en peluche aux paysans. Ils finiront pendus sur les machines de chantier.

Des milliers de kilomètres plus loin, en Pennsylvanie, aux Etats-Unis, le mal est déjà fait. Le paysage est marqué par le triste spectacle des têtes de puits et, sur les routes, les camions défilent dans un ballet incessant. Ici, des habitants brandissent des bidons d’eau polluée, là, des agriculteurs montrent leurs bêtes au pelage abîmé ou décrivent la fragilité de leur état de santé. En Pennsylvanie, c’est trop tard, assure le réalisateur Lech Kowalski. Mais en Pologne ? Tout est encore possible. Et l’immense Chevron peut craindre l’ire des petits paysans.

Regardez la bande-annonce de « La malédiction du gaz de schiste » :

« La malédiction du gaz de schiste », de Lech Kowalski, 75 min. Diffusion ce mardi 29 janvier, à 20h50 sur Arte. Rediffusion samedi 2 février à 10H25 et mercredi 13 février à 09H55.

Source : 

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Le gaz de schiste gâché aux Etats-Unis

L'actualité industrielle en ligne - INFO24/7 L'Usine Nouvelle   Par Ludovic Dupin – Publié le 28 janvier 2013, à 17h25

Torchère

© Pascal Guittet – L’Usine Nouvelle

Un volume croissant de gaz de schiste est aujourd’hui brûlé dans des torchères aux Etats-Unis. Une pratique excessive qui interroge sur les conséquences stratégiques et environnementales pour le pays.

Aux Etats-Unis, les agences environnementales, l’Etat fédéral et les investisseurs pétroliers s’inquiètent des conséquences du torchage excessif des gaz de schiste, rapporte le quotidien britannique “Financial Times”. Une grande partie du gaz extrait en même temps que le pétrole est tout simplement brûlé, son transport n’étant pas rentable. Au Texas, l’équivalent de l’énergie nécessaire pour alimenter 400 000 foyers a été torché au printemps dernier. Sur l’ensemble du pays, c’est de quoi alimenter les villes de Chicago et de Washington qui part en fumée. Un gigantesque gaspillage d’une ressource stratégique et un rejet massif de gaz à effet de serre.

La raison de ce gâchis est avant tout économique. La production massive de gaz de schiste aux Etats-Unis a fait chuter les prix de 13 dollars le MBTU en 2008 à 3,40 dollars le MBTU aujourd’hui. Les pétroliers n’ont pas intérêt à investir dans la construction de capacités de transport et de stockage de gaz. Conséquence, l’explosion du nombre de puits a pris de vitesse le développement des réseaux. En 2012, 1 000 puits ont été reliés aux systèmes de collecte de gaz, un nombre insuffisant pour stopper la progression du torchage, rapporte le quotidien économique. Le mouvement ne devrait pas s’inverser tant qu’une large partie de la production, notamment au Texas, est vendue à perte. Seule l’exploitation du pétrole qui sort conjointement des puits d’hydrocarbures de schiste est rentable.

Le torchage des gaz est une pratique classique, liée à la sécurité des installations pétrolières. Entre 2005 et 2010, les pétroliers, sous l’effet conjugué des exigences environnementales et de celles de leurs actionnaires, ont diminué de 20 % la quantité de gaz torché. Depuis 2011, ce volume est reparti à la hausse, uniquement sous l’effet de la révolution énergétique américaine. Aujourd’hui, les Etats-Unis sont au cinquième rang des pays qui brûlent le plus de gaz dans les torchères, derrière la Russie, le Nigeria, l’Iran et l’Irak.

Ludovic Dupin

Source :  http://www.usinenouvelle.com/article/le-gaz-de-schiste-gache-aux-etats-unis.N190439

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Onde électromagnétique : Fleur Pellerin rassure pour protéger la 4G

Informatique et multimédia 

Pascal Samama 01netle 30/01/13 à 11h47

Avant l’examen de la loi sur l’exposition aux ondes, la ministre de l’Économie numérique veut rassurer sur le danger des ondes tout en rappelant que le déploiement de la 4G est un enjeu important pour les opérateurs et les usagers.

Les ondes électromagnétiques dégagées par les outils mobiles et les antennes relais représentent-elles un danger pour la santé ? En plein déploiement de la 4G en France le gouvernement a décidé d’adopter un angle économique. Alors que l’Assemblée Nationale doit étudier demain une proposition de loi sur l’exposition aux ondes, Fleur Pellerin, ministre délégué à l’Économie Numérique, a convié la presse dans le 12e arrondissement de Paris pour effectuer des tests et rassurer les citoyens.
Il s’agissait aussi de rassurer les opérateurs qui développent le réseau 4G en France. Appareil de mesure à la main, la ministre accompagnée de représentants de l’Agence Nationale des Fréquences (ANF) a montré que le niveau dégagé par les antennes était loin d’atteindre le seuil autorisé de 41 V/m. Les associations de riverains, parmi, lesquels les Robin des Toits, aimerait que ce seuil ne dépasse pas 0,6 V/m.

L’absence des ministères de la Santé et de l’Écologie

Concernant les différentes études qui mettent en garde contre l’exposition à ces ondes, Fleur Pellerin répond par le doute : « Elles sont contradictoires et il n’est pas question de jouer avec des peurs irrationnelles pour freiner le déploiement de la 4G. Il ne faut pas opposer l’économie et l’écologie. » Elle ajoute qu’il faut continuer à mener des recherches pour avoir plus de certitudes.
Sous la tutelle du ministère de l’Économie, Fleur Pellerin a défendu sa mission. Quant à l’absence de représentants des ministères de la Santé ou de l’Écologie lors de cette mâtinée de découverte, elle a rappelé qu’il n’était pas question de freiner le déploiement de la 4G. « C’est un enjeu important. Il représente un investissement de 3 milliards d’euros sur 5 ans et des dizaines de milliers d’emplois. »

Protéger le marché de la 4G

Consciente de l’inquiétude qui touche de nombreuses personnes et le développement de pathologies liées à l’hypersensibilité de certaines personnes, la ministre annonce une campagne d’information pour inciter les utilisateurs à se servir d’oreillettes et les fabricants à proposer des modèles adaptés aux enfants. Elle estime aussi que ce sont les téléphones qui génèrent des ondes, pas les antennes.
Faut-il protéger le marché de la 4G ? C’est la question. La loi qui sera examinée demain devait quelques précautions sur le danger potentiel des ondes. Une disposition devait même freiner le déploiement de la 4G avant d’avoir des études confirmant ou non son impact sur la santé. Pour Fleur Pellerin, le déploiement est avant tout un sujet économique qu’il ne faut surtout pas perturber.
Source : http://www.01net.com/editorial/585559/onde-electromagnetique-fleur-pellerin-rassure-pour-proteger-la-4g/

 

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Fleur Pellerin : "Il n’y a pas de consensus scientifique" sur la dangerosité des ondes

Clubic.com

La ministre déléguée à l’Economie numérique a présenté les points que le gouvernent mettra en avant lors du débat portant sur la proposition de loi sur les ondes électromagnétiques. Fleur Pellerin insiste sur le fait que l’implantation des antennes-relais ne doit pas être remise en cause et invite les utilisateurs à se protéger des impacts éventuels de ces ondes en se munissant de kits mains libres ou d’oreillettes Bluetooth.

Fleur Pellerin ANFR

« Au sujet de la dangerosité des ondes, il n’y a pas de consensus scientifique. A l’heure actuelle, la dangerosité n’est pas avérée ni contredite », explique Fleur Pellerin. A l’occasion d’une mesure des ondes à Paris, organisée conjointement avec l’Agence Nationale des Fréquences ce mercredi, la ministre a ainsi tenu à expliquer que l’attention des pouvoirs publics et des utilisateurs devait être portée non pas vers les antennes-relais mais vers les terminaux eux-mêmes.

L’objectif de la présentation était de faire suite aux réunions entamées en 2009 dans le cadre du Grenelle des ondes. Un comité d’expérimentation (Copic) a ainsi été mis sur pied pour mener des simulations sur l’exposition au public. Les observations de ce comité ont ensuite permis la rédaction d’une proposition de loi portant sur les ondes électromagnétiques, déposée par la député écologiste Laurence Abeille.

Fleur Pellerin précise : « Il ne faut pas se tromper de débat mais le plus gros point atypique est le téléphone dans votre sac. C’est pourquoi nous allons proposer la mise en place de campagnes de prévention afin que les utilisateurs se munissent de kits mains-libres ou d’oreillettes Bluetooth. Je note également que certains accessoires ne sont pas adaptés à la morphologie des plus jeunes ».

La ministre souhaite également que des bandeaux incitant à l’achat d’oreillettes Bluetooth figurent sous les publicités pour des téléphones mobiles. « Cette campagne de sensibilisation qui serait similaire au Manger-bouger en matière d’alimentation, ferait ainsi figurer des recommandations afin que les utilisateurs ne soient pas trop exposés aux ondes », ajoute-t-elle.

Vers de meilleurs consensus dans l’installation d’antennes-relais ?

Le ministère entend donc axer son travail sur les terminaux, plutôt que les antennes-relais elles-mêmes. Le gouvernement indique toutefois souhaiter introduire plus de concertation entre les collectivités locales et les opérateurs pour les nouveaux projets d’implantation d’antennes. Depuis une décision du Conseil d’Etat, les maires ont en effet été dépouillés de leur pouvoir de réglementer, sur le territoire de leur commune, ces nouvelles installations.

Désormais, seules les autorités comme le ministère chargé des communications électroniques, l’Arcep ou encore l’ANFR sont compétentes pour réglementer de façon générale l’implantation d’antennes.

La question de l’installation de nouvelles antennes ainsi que la puissance d’émission de ces dernières reste en effet centrale. Deux positions s’affrontent sur le sujet entre d’un côté, ceux qui souhaitent que les antennes soient moins nombreuses mais dotées d’une plus grande puissance et, de l’autre, ceux désirant que le nombre de ces émetteurs soit augmenté. Toutefois, chaque antenne ne couvrirait qu’une petite partie de territoire.

ANFR

Interrogée par nos soins à ce sujet, Fleur Pellerin précise que : « si on abaisse les seuils d’émission (la puissance d’émission d’une antenne, ndr), le nombre d’antennes va logiquement croître, ce qui mécaniquement va également augmenter les ondes produites par les terminaux ».

De son côté, Xavier Moussu, responsable auprès de l’ANFR précise : « le principal écueil dans le fait de réduire la puissance des antennes se situe au niveau de la réception à l’intérieur des bâtiments. Nous avons ainsi constaté des pertes significatives de couverture. De même, si le nombre d’antennes augmente, la facture risque d’être plus importante pour les clients et les opérateurs ».

Une position que ne partage pas l’association nationale pour la sécurité sanitaire dans les technologies sans fil, Robin des Toits. En signe de mécontentement face aux conclusions du COPIC, le groupement a décidé de quitter ce comité d’expérimentation. Son porte-parole, Etienne Cendrier précise qu’il est, à ce jour, possible d’abaisser l’exposition du public à 0,6 V/m, à condition de multiplier le nombre d’antennes-relais par trois dans certains quartiers de Paris ou par 1,6 à Grenoble, par exemple.

Robin des Toits rappelle également que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a classé en mai 2011 les champs électromagnétiques de radiofréquences comme potentiellement cancérigènes (notamment pour le cerveau). Un point sur lequel Fleur Pellerin a tenu à préciser que ce risque restait « potentiel ».

Du principe de précaution à celui d’ALARA

Lors de l’examen de la proposition de loi sur les ondes électromagnétiques à l’Assemblée nationale dès ce jeudi, la ministre soutiendra donc une forme du principe de précaution. Fleur Pellerin milite en effet pour que soit pris en compte le principe d’ALARA (pour As Low As Reasonably Achievable) que l’on peut traduire par « Aussi bas que raisonnablement possible ».

Un amendement tentera ainsi d’introduire cette obligation de moyen précisant que les autorités ont pris et prendront à l’avenir des dispositions afin de réduire l’exposition des utilisateurs. Il n’est toutefois pas certain que l’inscription de ce principe dans la loi fasse taire les critiques.

Source :

http://www.clubic.com/mobilite-et-telephonie/actualite-538274-fleur-pellerin-antennes-relais-ondes-4g.html

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Ondes électromagnétiques : "Ne pas reproduire les erreurs de l’amiante"

Terrafemina

Proposition de loi des écologistes, campagne de sensibilisation à l’utilisation du kit mains libres, étude du comportement des ados face à leur téléphone portable : les ondes électromagnétiques inquiètent les professionnels de santé comme les politiques, qui cherchent des solutions. Le Dr Pierre Souvet, président de l’Association santé-environnement France (ASEF), apporte son analyse.

Ondes électromagnétiques : Ne pas reproduire les erreurs de l'amiante

Terrafemina : Est-il prouvé scientifiquement que les ondes électromagnétiques sont un danger pour la santé humaine ?

Dr Pierre Souvet : Il y a eu une évolution sur le sujet. Désormais elles sont considérées commecancérigènes puisque le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) a prouvé que les ondes électromagnétiques multipliaient les risques de tumeurs du cerveau. Et puis il ne faut pas non plus oublier leur incidence sur l’électro-sensibilité des personnes : elles sont à l’origine d’acouphènes (bourdonnements ou sifflements persistants dans les oreilles qui ne sont pas dus à des bruits extérieurs), de troubles du sommeil ou de la concentration.

Tf : Laurence Abeille, une députée écologiste, a déposé une proposition de loi pour réduire la propagation de ces ondes électromagnétiques. Mais ces deux principales mesures, suppression du wifi dans les écoles et obligation pour les opérateurs d’installer des antennes à niveaux d’ondes les plus bas possibles, ont été retoquées. Pourquoi, selon vous ?

Dr P. Souvet : La puissance du lobby des opérateurs est un obstacle insurmontable pour la gauche comme pour la droite. En 2005, Nathalie Kosciusko-Morizet a été la première à déposer une proposition de loi en ce sens. Et depuis, il y en a eu plusieurs. Mais à chaque fois, elles ont été abandonnées. Lors de la conférence environnementale à laquelle j’ai assisté en septembre dernier, le Medef a clairement dit à la ministre de la Santé : on ne touche pas à la 4G. Et elle a acquiescé. 

Actuellement, alors qu’en Chine, la norme est à 6V/m et en Belgique à 3V/m, elle est toujours à 41V/m en France pour les GSM (norme numérique 2G). Et c’est pareil pour la 3G et la 4G. Elles sont obsolètes et devraient être revues. L’Union européenne se bat pour que la France abaisse ses limites. Mais c’est un long combat qui avance très doucement, voire trop doucement.Tf : Quelles sont les solutions pratiques pour réduire l’exposition aux ondes ?

Dr P. Souvet : Il faut d’abord s’appuyer sur une stratégie collective en réduisant au maximum l’exposition des populations. Il est impensable d’attendre et de reproduire ainsi les mêmes erreurs qu’avec l’amiante. Actuellement, le problème ne vient pas des appareils dont la norme de compatibilité électromagnétique est limitée à 3V/m, comme les pacemakers, mais bien des antennes. Leur puissance doit absolument être réduite puis il faudra les redéployer pour une couverture optimale du territoire.

Ensuite, la responsabilisation individuelle est très importante, surtout chez les jeunes sujets puisque chez eux, les ondes pénètrent plus profondément dans la boîte crânienne. Un code de bonne conduite du téléphone portable est indispensable : plus le portable est loin de la tête, moins le cerveau est exposé aux ondes. Il faut également, comme le préconise l’Association santé-environnement France (ASEF), favoriser le kit piéton, favoriser les SMS et se méfier des téléphones sans fil à la maison. En effet, l’étude de l’ASEF a conclu que seul un tiers des jeunes interrogés avait un téléphone filaire chez eux. Enfin, il ne faut plus que les jeunes dorment avec leur portable sous l’oreiller et qu’ils évitent de le ranger dans leurs poches ou leur soutien-gorge.

Source : http://www.terrafemina.com/vie-privee/sante/articles/22100-ondes-electromagnetiques-ne-pas-reproduire-les-erreurs-de-lamiante.html

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Cyberaction : Encadrement des technologies sans fil : le renoncement c’est maintenant ? – 29/01/2013

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Cyberaction : Encadrement des technologies sans fil : le renoncement c'est maintenant ? - 29/01/2013

Cette cyberaction sera envoyée à : Président de l’Assemblée Nationale, votre député et à votre député 

Elle prendra fin le : dimanche 30 juin 2013

cyberaction : Encadrement des technologies sans fil : le renoncement c’est maintenant ? 

C’était pourtant écrit en toutes lettres dans l’accord de gouvernement PS-EELV, signé avant la victoire de François Hollande : « Nous appliquerons le principe de précaution sur les champs électromagnétiques. » 

Une proposition de loi va être examinée le 31 janvier 2013

L’Assemblée nationale débattra sur une proposition de loi présentée par les députés EELV à l’initiative de Laurence Abeille, députée du Val de Marne. Si ce texte était adopté, il marquerait une réelle avancée dans l’encadrement des technologies sans fil et pour la reconnaissance des personnes devenues intolérantes aux ondes. 
http://www.assemblee-nationale.fr/14/ta-commission/r0654-a0.asp 

Ondes des mobiles, WiFi : comment le gouvernement a censuré les écolos 
http://www.robindestoits.org/Ondes-des-mobiles-WiFi-comment-le-gouvernement-a-censure-les-ecolos-Rue89-28-01-2013_a1900.html 

Robin des Toits vient de suspendre sa participation au COPIC 
http://www.cyberacteurs.org/blog/robin-des-toits-vient-de-suspendre-sa-participation-au-copic/ 

Finalement que restera-t-il de ce qui devait être la grande proposition de loi écologiste de l’année ? Quelques mesurettes comme : 

– la désactivation par défaut du WiFi, 
– l’indication de l’émission électromagnétique sur tout appareil qui émet des ondes, 
– une campagne de prévention sanitaire… 

Bref, des broutilles. « Au moins, le débat aura été ouvert », se consolent des élus EELV. 

Si comme nous vous pensez qu’un débat qui s’ouvre et se referme aussi rapidement n’est pas satisfaisant, nous vous invitons à interpeller votre député. 

Etienne Cendrier Robin des Toits 
Alain Uguen Cyber @cteurs 

Participation à la cyberaction Encadrement des technologies sans fil : le renoncement c’est maintenant ? 

Vous pouvez signer en quelques clics seulement en étant inscrit. 
Cela vous permet également de visualiser les cyberactions ou pétitions auxquelles vous avez participé et de modifier votre profil. 

L’inscription est libre et gratuite, et ne vous engage à rien : elle n’inclut pas de recevoir de messages de notre part. Vous pourrez vous désinscrire à tout moment. 

Vous pouvez également signer sans vous inscrire, toutefois, il vous faudra valider votre signature : vous recevrez un courriel de confirmation dont il faudra suivre les indications. 


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Cancer du cerveau : le téléphone portable en cause ?

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Cancer du cerveau : le téléphone portable en cause ? - Fil actus Santé

Depuis des années, le débat concernant l’impact du téléphone portable sur notre santé, fait rage au sein de la communauté scientifique et des instances sanitaires nationales et internationales. L’agence européenne de l’environnement, qui devrait rendre un rapport sur le sujet dans les jours à venir, semble avoir tranché. L’organisme estime qu’il existe un lien probable entre l’utilisation régulière de téléphones mobiles et l’apparition de cancers du cerveau.

D’après le rapport à venir de l’agence européenne de l’environnement, téléphoner trop souvent avec un portable aurait un impact sur notre santé, et notamment lorsque les appels ont lieu lors d’un trajet en voiture. En effet, à chaque passage d’une antenne relais à une autre, notre cerveau capterait des ondes particulièrement nocives. Si d’autres travaux de recherche ont déjà montré qu’il existait un lien certain entre téléphone mobile et cancer du cerveau, c’est la première fois qu’un rapport d’une agence internationale pointe l’effet pervers du changement de relais.

Afin de réduire les risques liés à l’exposition aux ondes nocives pour le corps humain, il est conseillé de limiter les appels en voiture et, en règle générale, de changer d’oreille toutes les deux minutes. C’est en effet, selon les experts européens, l’exposition prolongée d’un seul côté de la tête qui serait à l’origine du développement de tumeur cérébrale…

Source : http://www.informationhospitaliere.com/actualite-21466-cancer-cerveau-telephone-portable-en-cause.html

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