Perturbation des dispositifs médicaux par les radiofréquences : des pratiques à adapter à chaque situation

 

Le risque de perturbation électromagnétique de certains dispositifs médicaux, engendré par des téléphones mobiles, est discuté de longue date. L’usage de téléphones mobiles en tout lieu et à tout moment par une majorité de la population est une pratique courante, y compris par les professionnels de santé, les patients ou leurs familles. En pratique, les recommandations d’usage alertant sur les risques d’interférences des champs électromagnétiques émis par les téléphones mobiles avec les dispositifs médicaux apparaissent de moins en moins appliquées. Dans ce contexte, les ministères chargés de la Santé et de l’Environnement ont demandé à l’Anses d’évaluer les risques potentiels de perturbation électromagnétique des dispositifs médicaux exposés à des radiofréquences. Dans l’avis publié ce jour, l’Agence recommande la mise en place de zones d’usage autorisé, limité ou interdit, au vu de la diversité des situations d’usages des systèmes de communication sans-fil et des risques auxquels ils peuvent conduire. Par ailleurs, l’Agence recommande aux porteurs de dispositifs médicaux implantables actifs (pacemaker, neurostimulateur, etc.) de veiller à éloigner les sources d’exposition les plus fortes (téléphones mobiles).

La suite du texte sur le site de l’ANSES

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Les soignants sont aussi victimes des ondes.

Collectif Santé Sans Onde

Avec le soutien de l’association POEM26 (prévention ondes électromagnétiques Drome, poem26.fr), Nous : Médecins, Dentistes, Masseur- Kinésithérapeutes, Infirmières, Psychologues, Sages Femmes, Ostéopathes,… atteints du Syndrome d’Intolérance aux Champs Electromagnétiques (SICEM) ou électrohypersensibles, nous constituons en un collectif : “SANTE SANS ONDE” afin d’alerter et dénoncer la surexposition croissante à la pollution environnementale électronique et  électromagnétique agressive pour nos organismes et tous les organismes vivants.

Oui , nous aussi , Soignants diplômés d’état Français, sommes victimes des rayonnements émis par les nouvelles technologies du sans fil qui envahissent nos lieux de vie, de travail et de soins.

Les conséquences sur notre vie au quotidien sont dramatiques comme pour toute personne victime des ondes artificielles : certains doivent abandonner leur travail et fuir la société pour vivre, voir survivre!

D’autres doivent adapter leur lieu pour vivre et travailler avec le moins de douleurs et de symptômes possible, dans des conditions difficiles à réaliser lorsque l’on reçoit du public , lui même gros utilisateur de la téléphonie mobile fortement irradiante . Qu’en est -il de la notion de risques et sécurité au travail?

Aussi, Le but de ce collectif est de lancer un cri d’alarme auprès de nos politiques, de nos confrères et d’être reçu par les hautes instances médicales et politiques afin que ce grave problème sanitaire soit pris en considération en urgence pour que chaque victime des ondes puisse vivre décemment en France et garder le droit fondamental d’accès aux soins dans les lieux adaptés.

Tout le monde est concerné, quels vont être l’avenir et la santé de nos enfants si la prise de conscience n’est pas rapide !

Nous vous invitons à faire circuler ce mail auprès des thérapeutes électrosensibles ou intolérants aux ondes afin qu’ils se rapprochent de ce nouveau collectif pour entreprendre collectivement une action auprès des diverses instances du monde médical et du monde politique.

Les personnes du monde médical, non victimes des ondes mais interpellées par ce grave problème sanitaire, peuvent nous apporter leur soutien.

Merci de diffuser ce mail à une grande échelle

pour plus de précisions , n’hésitez pas à nous contacter sur notre adresse mail

Le Collectif Santé sans Onde  santesansonde@gmail.com

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Qualité du réseau électrique avec Linky: un constat en images

Cette courte vidéo de 18 secondes permet de voir la pollution du courant électrique distribué sur le réseau et les fréquences CPL du Linky. Filmée sur l’écran d’un oscilloscope connecté au réseau électrique dans un quartier urbain toulousain, où les compteurs Linky sont déployés depuis quelques mois.

A l’écran, le plus grand tracé est une ondulation qui représente la tension alternative 220V 50 hertz. C’est ce que l’on nomme habituellement « le secteur ». Pour ce tracé seulement, un carreau vertical vaut 100 volts.

L’onde devrait être une pure sinusoïde, mais on constate qu’elle est très déformée, puisque c’est plutôt un trapèze. La tension 220Volts 50 hertz, qui devrait être purement sinusoïdale comme se doit EDF de le proposer à ses abonnés, est en réalité affectée par une distorsion de plus de 20 volts en crête, soit 10% d’erreur.

Cette qualité du réseau, très limite, réinjecte dans tous les appareils connectés des harmoniques parasites à des fréquences élevées qui provoquent échauffement, vieillissement prématurés, vibrations audibles des transformateurs, etc…

La dégradation de la qualité du secteur est due en partie à la surcharge du réseau électrique (postes de transformations EDF de quartier) qui ne passe plus correctement la demande de courant électrique en constante augmentation, et en partie à cause de réinjections importantes de courant par les onduleurs à découpage électronique des systèmes photovoltaïques privés, de qualité inégale.

Les deux autres tracés montrent les signaux électriques de fréquence élevée (supérieurs à 5000 hertz) superposés par les compteurs EDF Linky sur la phase et le neutre du secteur 220Volt 50hertz. Ces signaux ont une forme par paquet, fréquents, et font environ 1,5 volt d’amplitude. Pour ces deux tracés, un carreau vertical vaut 1 volt, (à ne pas confondre avec l’échelle pour le grand trapèze).

Pour conclure, cette vidéo montre clairement d’une part que
contrairement à ce qu’avance ERDF, ces signaux sont quasi permanents, et non pas 2 fois par jour. Surtout, il est à craindre qu’avec un déploiement progressif du nombre de compteurs devant être interrogés, ces signaux polluant le 50 hertz seront ininterrompus.
– d’autre part, on voit également à quel point la qualité du voltage 220 volts acheminé par ERDF est affectée par une distorsion importante par rapport à la sinusoïde pure, normalement requise pour un bon fonctionnement des équipements électriques domestiques.

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Communiqué de presse de Robin des Toits

robindestoits-logoParis, le 09 Novembre 2016
Communiqué de Presse
Ondes électromagnétiques : des conflits d’intérêts et des pratiques condamnables au Comité Economique et Social Européen (CESE)

De nombreux mois après une plainte déposée par des organisations européennes concernées et regroupées dans une Coordination Européenne des Organisations pour une Réglementation de l’Exposition aux Champs Electromagnétiques, la Médiatrice européenne reconnaît pour la première fois un conflit d’intérêts mettant en cause des entreprises d’électricité et de télécommunications et une institution consultative européenne pour éviter la prévention et la reconnaissance intégrale de l’électrohypersensibilité (EHS).

Un avis concernant l’EHS et visant à diminuer les seuils d’exposition aux ondes électromagnétiques devait être voté après longue discussion et accord sur le contenu. Lors de la session plénière du CESE du 21 Janvier 2015, il a été approuvé de justesse un amendement global (“contravis”), de type négationniste, présenté irrégulièrement (un jour seulement avant le vote) par M. Richard Adams qui, de plus, a caché ses conflits d’intérêt: partie liée à un conglomérat d’industries de l’électricité et de la téléphonie (ex. : Vodafone), et conseiller de l’une des cinq entreprises électriques et gazières les plus importantes en Europe qui promeut également les réseaux et les compteurs intelligents (faisant appel aux radiofréquences / micro-ondes pour la transmission de données). Cette irrégularité vient d’être reconnue par la Médiatrice Européenne.

Pour plus de détails: communiqué daté du 26 octobre de la Coordination Européenne
citée.

Contact :
Pierre-Marie THEVENIAUD
pm-theveniaud@robindestoits.org

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Quand Linky allume nos lampes de chevet

Depuis l’arrivée du compteur Linky, des lampes tactiles s’allument toutes seules. Ce drôle de phénomène concernerait des produits non conformes.
une lampe de chevet allumée à 4h30

Une lampe qui s’allume et s’éteint toute seule… C’est ce que de nombreux consommateurs découvrent après l’installation d’un compteur Linky chez eux. Rappelons que 1,5 million de ces compteurs communicants ont jusqu’à présent été installés, sur les 35 millions prévus d’ici à 2021.

La suite sur le site de 60 millions de consommateurs

http://www.60millions-mag.com/2016/09/21/quand-linky-allume-nos-lampes-de-chevet-10677

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Linky communiqué de Robin des Toits

REPONSES AUX QUESTIONS SUR LE LINKY

Le déploiement du Linky est-il obligatoire ?

Serait-il possible de contester le déploiement du Linky en alléguant qu’il n’y pas eu d’évaluation préalable favorable à ce déploiement ?

A qui appartiennent les compteurs électriques ?

Une commune qui a transféré sa compétence pour la distribution de l’électricité peut-elle encore intervenir ?

Certaines délibérations de communes ayant interdit le Linky n’ont pas été contestées dans le délai de recours de deux mois, sont-elles définitives ?

Les autorités organisatrices de la distribution d’électricité (AOD) peuvent-elles empêcher le déploiement des compteurs Linky ?

Et encore d’autres questions réponses ICI

Télécharger le PDF: Réponse Questions Linky 26-10-2016

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Art numérique : des Toulousains créent un champ de lumières pour percevoir les ondes électromagnétiques

  • Post category:Electrosmog

Les artistes Toulousains de Tazasproject viennent de présenter à Bordeaux, leur dernière création : une installation lumineuse qui s’allume en fonction des champs électromagnétiques qui nous entourent.

Tazasproject © Rodolphe Escher Photographe

Tazasproject
© Rodolphe Escher Photographe

La suite de l’article est ICI

http://france3-regions.blog.francetvinfo.fr/numerique-midi-pyrenees/2016/10/12/art-numerique-des-toulousains-crees-un-champ-de-lumieres-pour-percevoir-les-champs-electromagnetiques.html

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Les taxes et EDF, le saviez-vous ?

De toute la lumière sur l’électricité mais surtout les factures…..
De Yannik Chauvin, Docteur en droit, écrivain, compositeur
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C’est fascinant, une facture EDF : belle comme une page de Verlaine, elle contient presque autant de lignes qu’un sonnet de Ronsard.
À la base, le gros monopole d’État vend des kilowatts/heure et le client, tous les deux mois, paye ce qu’il a consommé.
Exactement comme chez le boucher : je choisis une escalope, il la pèse, je paye le prix affiché et je repars avec une « facture » – en réalité un ticket – qui ne comporte qu’une seule ligne.
Alors, pourquoi la facture EDF est-elle si copieuse ?
On y trouve le prix du kilowatt/heure – 9,09 euros pour 100 kWh – qui passera à 9,32 euros après l’augmentation estivale de 2,5 %.
Jusque-là, rien que de très normal. Les gâteries viennent immédiatement après.
D’abord, EDF facture un abonnement ! On se demande bien pourquoi !
Lorsque j’achète une escalope, je ne suis abonné à rien, et pas à la balance du commerçant; je l’ai, en face de moi, qui vend ce dont j’ai besoin,
nous faisons affaire et c’est tout. Non !
Avec EDF, même monopole, faut s’abonner. Et ce n’est pas négligeable : 11,6 euros par mois, soit 140 euros par an.
Depuis août 2011, l’abonnement a augmenté de 22 %.
Puis viennent les taxes ! Ah ! Les taxes… oh, pardon, une seule taxe et deux « contributions ».
La contribution, c’est plus sympa, ça fait plus « social » ; pour un peu, on serait heureux de s’en acquitter, alors que la « taxe », beurk !
Cela commence par la TCFE, la taxe sur la consommation finale d’électricité.
C’est quoi, la consommation finale ? Y a-t-il une consommation initiale ? Personne ne sait pourquoi cette taxe existe, même pas EDF,
qui se borne à dire que ce prélèvement est reversé aux collectivités territoriales et à l’État (qui détient pourtant 84,5 % du capital du mastodonte).
Depuis août 2011, elle a augmenté de 16 %, soit 4 % par an.
Arrive ensuite la merveilleuse CSPE, la contribution au service public d’électricité.
Moi qui croyais ingénument que je contribuais à ce service en me contentant d’acheter du courant électrique !
Eh bien, non ! En fait, cette CSPE sert, entre autres, à compenser le coût exorbitant auquel EDF s’est engagé à acheter l’électricité des petits malins qui se sont équipés de bidules photovoltaïques ou éoliens.
En août 2011, elle était de 9 % du coût de la consommation ; elle en pèse aujourd’hui 21,5 %. À ce rythme,
elle représentera la moitié de notre facture dans trois ans.
On est parti joyeusement sur la belle voie rectiligne tracée par les taxes sur les carburants.
Puis vient enfin, toute menue, toute discrète, la CTAE, contribution tarifaire d’acheminement électrique car, contrairement au boucher vendeur d’escalope,
EDF vous apporte votre achat à domicile contre la modeste somme de cinquante euros par an.
C’est alors que surgit la TVA.
Sur la consommation, au prix fort de 20 % : là aussi, c’est courant !
Mais également sur les taxes ! Chez EDF, les taxes sont taxées !
À 20 % (CSPE, TFCE) ou à 5,5 % (CTAE) !
Impigeable, mais poétique, vous dis-je…
Yannik Chauvin
Le meilleur pour la fin: EDF prélève 1% de notre  facture pour son CE (comité d’entreprise géré par les communistes de la CGT pour entretenir leurs châteaux).
La vie n’est-elle pas belle pour certains ?
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